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Tuesday, April 30, 2024

Les Coyotes étaient en retard dans le paiement de leurs factures d'hôtel - DansLesCoulisses

Ah, misère.

Plus ça va, et plus on entend des histoires ridicules en provenance de l’Arizona.

Et évidemment, vous comprendrez que tout ça a un lien avec les maudits Coyotes. 

La dernière histoire est malade : on apprend par l’entremise de Greg Wyshynski (ESPN) que les Coyotes étaient en retard dans le paiement de leurs factures d’hôtel lorsqu’ils évoluaient dans le désert.

Pourtant, les Coyotes essayaient de séjourner dans des hôtels de moindre qualité… Et le pire, c’est que des fois, ils ont simplement barré le total de la facture afin de payer un montant complètement différent :

D’autres sources ont indiqué que des entreprises locales s’adressaient à l’équipe pour demander des paiements, et elles se voyaient offrir une fraction de ce qui était dû. Les Coyotes tentaient ensuite de négocier ce qui était réellement dû. – Greg Wyshynski

On dirait que c’est une farce… Mais ce n’est pas le cas :

Dans l’article de Greg Wyshynski, on lit aussi que Shane Doan a décidé de quitter l’organisation en 2023 en raison d’une décision d’Alex Meruelo Jr., le fils d’Alex Meruelo.

Doan souhaitait devenir président des opérations hockey du club après avoir passé plusieurs années à titre d’agent en chef du développement… Mais le fils du proprio lui a dit qu’il n’était « pas prêt » à obtenir un rôle de la sorte.

T’sais, quand tu renies le meilleur et le plus grand joueur de ta propre organisation… #ToutCroche 

Les Coyotes ont obtenu un nouveau départ et c’est parfait ainsi.

Là, l’organisation devra mettre tout le négatif derrière elle (et il y en a beaucoup) pour se concentrer sur l’avenir, parce que les partisans à Salt Lake City ne méritent pas de vivre ce que les partisans en Arizona ont vécu.

Ah, et j’espère que les nouveaux dirigeants ont une meilleure façon de voir les choses… Parce qu’Alex Meruelo, visiblement, n’avait pas la tête à diriger un club de hockey.

En rafale

– J’adore!

– C’est normal.

– Il est vraiment hot, le jeune.

– Boom!

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Monday, April 29, 2024

Windstar Cruises: paiement des commissions avant le départ - Open Jaw Québec

Windstar Cruises
Windstar Cruises

La compagnie Windstar Cruises a annoncé qu’à partir de juin 2024, elle commencera à verser les commissions aux conseillers en voyages 29 jours avant le départ des clients, plutôt qu’après celui-ci.

Cette mesure vise à soutenir davantage les agents de voyages, qui sont des partenaires importants dans le succès de l’entreprise, selon Travel Market Report.

« Les conseillers en voyages sont essentiels à notre succès chez Windstar », affirme Janet Bava, directrice commerciale de l’entreprise.

« Nous sommes heureux d’annoncer qu’après une mise à niveau majeure de notre système de réservation, nous serons en mesure de payer les commissions de nos conseillers plus tôt. »

Bava a ajouté que c’est quelque chose que les conseillers demandent depuis un certain temps.

« À présent, nous allons pouvoir le faire. Nos succès sont liés et nous devons nous soutenir mutuellement », a-t-elle conclu.

Deux nouveaux navires de la classe Star en route

La compagnie basée à Seattle vient par ailleurs d’annoncer l’ajout à sa flotte de deux nouveaux navires de la classe Star, composés « uniquement de suites ».

Le premier, le Star Seeker, sera lancé en décembre 2025. Il sera suivi du Star Explorer, qui commencera ses activités en décembre 2026.

Chaque navire pourra accueillir 224 invités et disposera de 112 suites avec des vérandas privées et des « fenêtres à débordement ».

Les petits navires de luxe de la compagnie auront également deux nouvelles suites propriétaires avec balcons panoramiques, parfaits pour des cocktails dînatoires ou des événements privés.

Pour plus d’informations: https://www.windstarcruises.com/

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Avis de vente pour défaut de paiement des impôts fonciers - Le Nouvelliste

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Avis de vente pour défaut de paiement des impôts fonciers  Le Nouvelliste
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Vente des immeubles pour défaut de paiement de taxes – 2024 - Le Quotidien

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Vente des immeubles pour défaut de paiement de taxes – 2024  Le Quotidien
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Saturday, April 27, 2024

Proposé directement sur le terminal de carte bancaire, le «pourboire suggéré» fait débat - Capital.fr

Temps de lecture: 1 min

De plus en plus de restaurants proposent au moment du paiement un pourboire sur le terminal bancaire. Une méthode peu répandue en France et qui suscite le débat.

Vidéo Capital : restaurant

© Jacob Lund/Adobe Stock

Vous l’avez peut-être déjà remarqué à la fin d’un repas au restaurant : le serveur vous propose, sur le terminal de paiement, de laisser un pourboire après avoir réglé votre addition. Si le processus est courant dans de nombreux pays à l’étranger où le service n’est pas inclus, en France, c’est plutôt rare. Mais la pratique du «pourboire suggéré» commence à faire débat. Nos confrères de BFMTV en ont fait l’expérience. À la fin du déjeuner, le paiement est effectué sur le terminal avec une carte bancaire. Une fenêtre s’ouvre ensuite et vous propose de laisser un pourboire d’un ou deux euros, sous les yeux du serveur.

Une pratique qui dérange, comme l’avoue un passant auprès de nos confrères : «Avec le serveur qui regarde, il peut y avoir un côté oppressant, et on peut être forcé de le faire», admet-il. Sauf que, parfois, les sommes peuvent être bien plus importantes qu’un ou deux euros. Sur le réseau social X, un internaute pas inconnu du grand public a publié un message dans lequel il a raconté une mésaventure survenue au sein d’un restaurant. À la fin du repas, on lui a proposé de laisser un pourboire de 10, 15 ou 20%, même s’il y avait une dernière case indiquant «autre montant». Le tout «sous l’œil inquisiteur du serveur qui attend».

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Les JO sont-ils une excuse ?

Cet internaute n’est autre qu’Olivier Babeau, économiste et président de l’institut Sapiens. Interrogé par BFMTV, il raconte : «J’ai été très surpris parce que je sais qu’aux États-Unis, c’est la procédure, mais parce que le service n’est pas compris. Alors qu’en France, le service est compris Pour lui, il s’agit d’une manière d’«encourager le Français à donner plus» ou un touriste «à donner ce qu’il aurait donné à l’étranger». Il s'interroge : «Y a-t-il un lien avec les JO ?»

Une ambiguïté que le restaurateur Stéphane Manigold, président du groupe Éclore, refuse d’instaurer : «Nous, patrons, on a quand même ce qu’on appelle des salaires. J’ai envie que les clients viennent chez nous pour payer les salaires. Et les tips, on verra quand la conjoncture ira mieux plus tard», avoue-t-il. Il tient à rappeler que le secteur de la restauration traditionnelle «souffre lourdement, comme les Français», et ajoute : «Pour moi, ce n’est pas un sujet d’actualité et il ne faut pas que cela le devienne.» Comme l’arrondi solidaire à la caisse, le pourboire suggéré est loin de faire l’unanimité.

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Friday, April 26, 2024

Paiement à Stormy Daniels : un témoin au procès de Trump dit avoir servi d’intermédiaire | Donald Trump face à la justice - Radio-Canada.ca

Le versement de paiements secrets à une ex-playmate et à une ancienne actrice pornographique a rythmé cette troisième journée d'interrogatoire du premier témoin, jeudi, au procès criminel de l'ex-président Donald Trump à New York.

Le témoignage de David Pecker, ex-PDG du groupe de presse American Media Inc. (AMI) et ami de longue date du célèbre accusé, a conduit les jurés loin des colonnes de chiffres trafiqués et des fausses factures mentionnées dans l'acte d'accusation.

Les procureurs l'ont amené à reconstituer de façon détaillée la chronologie des événements qui ont ultimement abouti au paiement fait à une maîtresse présumée, l'actrice de cinéma pornographique Stormy Daniels, pour la contraindre au silence.

C'est vers la fin de l'interrogatoire que cette question précise a été abordée.

M. Pecker a indiqué avoir eu vent des demandes de Stormy Daniels, de son vrai nom Stephanie Clifford, au début de 2016. Il n'y avait alors pas donné suite, puisqu'un site avait déjà publié les allégations en 2011 et qu'elle les avait alors niées.

La situation avait changé en octobre, quelques semaines avant le scrutin présidentiel : les médias avaient diffusé un enregistrement désormais célèbre sur lequel on entendait Donald Trump se vanter de pouvoir « attraper » les femmes par leur sexe en toute impunité.

M. Pecker a indiqué avoir reçu un appel urgent de Dylan Howard, à l'époque rédacteur en chef du National Enquirer, un tabloïd du groupe AMI. Dans un texto qui a été montré aux jurés, M. Howard lui a écrit : Je sais qu'il y a eu des démentis par le passé, mais cette histoire est vraie.

Après avoir averti l'avocat personnel de Donald Trump à l'époque, Michael Cohen, M. Pecker a cependant refusé de verser 120 000 $ US à Mme Clifford, comme le pressait de le faire M. Cohen.

À ce stade, comme l'a longuement expliqué M. Pecker, AMI avait enterré au cours des semaines précédentes deux histoires préjudiciables au candidat républicain, dont celle d'une autre femme se présentant comme une ancienne maîtresse.

Après avoir échoué à récupérer les 180 000 $ US payés par son entreprise pour l'achat de leurs histoires, David Pecker, qui espérait être remboursé par Donald Trump ou par la Trump Organization, a tracé une ligne.

Je ne suis pas une banque.

Une citation de David Pecker, ancien PDG d'AMI

Il a ajouté qu'il ne voulait pas être impliqué dans une histoire concernant une vedette porno.

Je pensais qu'il fallait que [cette histoire] soit retirée du marché et que si quelqu'un devait l'acheter, c'était à Michael Cohen et à Donald Trump de le faire, a déclaré M. Pecker.

M. Cohen a reconnu avoir payé 130 000 $ US à Stormy Daniels – il purge une peine de prison en rapport avec cet aveu – et a affirmé avoir agi sur les instructions de M. Trump.

Dans cette affaire, l'ancien président américain est accusé d'avoir falsifié des documents financiers pour dissimuler le remboursement fait à Michael Cohen.

David Pecker a par ailleurs affirmé qu'en décembre 2016, Michael Cohen, après avoir payé Mme Clifford, s'était plaint de ne pas encore avoir été remboursé.

M. Cohen, qui devrait témoigner, soutient avoir été remboursé et récompensé par Donald Trump, en plusieurs paiements faussement désignés comme des honoraires, pour une somme totalisant 420 000 $ US entre février et décembre 2017.

Motivations électorales

Illustration de David Pecker, qui témoigne sous les yeux du juge Juan Merchan et de Donald Trump.

David Pecker a poursuivi son témoignage pour une troisième journée.

Photo : Reuters / Jane Rosenberg

M. Pecker a par ailleurs estimé que les motivations de Donald Trump pour étouffer les scandales semblaient avoir changé après que l'homme d'affaires eut annoncé sa candidature.

Avant, il s'inquiétait pour sa famille, et après, il semblait s'inquiéter pour sa campagne, a affirmé M. Pecker.

Je n'ai pas entendu dire qu'il était question de ce que dirait Melania ou Ivanka ou de ce que dirait sa famille, mais il était question de l'impact que cela aurait sur l'élection.

Une citation de David Pecker, ancien PDG d'AMI

Lors de sa déclaration d'ouverture, la semaine dernière, la défense a argué que Donald Trump avait agi pour protéger sa famille, sa réputation et sa marque.

Supprimer les allégations d'une première maîtresse

Karen McDougal photographiée sur un tapis rouge.

Karen McDougal en 2010 à une fête du magazine « Playboy ». Elle porte plainte contre Donald Trump.

Photo : Getty Images / Dimitrios Kambouris

Les réponses de David Pecker aux procureurs jettent les fondements de leur argumentaire, qui place l'ancien président, accusé de falsification de documents, au centre d'un complot visant à « corrompre l’élection de 2016 ».

Plus tôt cette semaine, M. Pecker a admis avoir mis son tabloïd au service de la campagne de Donald Trump dès 2015 en chassant les scandales susceptibles de faire dérailler sa campagne.

En début de journée, le magnat des médias a détaillé les circonstances du versement fait à l'ancienne playmate Karen McDougal, la première femme qui a allégué avoir eu des relations sexuelles avec Donald Trump.

M. Pecker a admis avoir acheté, pendant la campagne présidentielle de 2016, les droits exclusifs de son récit pour 150 000 $ US avec l'intention de ne pas le publier pour éviter de nuire aux perspectives électorales de Donald Trump.

Nous ne voulions pas que cette histoire mette M. Trump dans l'embarras ou [...] qu'elle nuise à [sa] campagne.

Une citation de David Pecker, ancien PDG d'AMI

M. Pecker a affirmé avoir reçu un appel de Donald Trump à ce sujet.

Il a notamment fait état de ce que lui aurait dit M. Trump après avoir discuté avec Michael Cohen : J'ai parlé à Michael. Karen est une fille bien. Est-ce que c'est vrai qu'un groupe mexicain cherche à acheter l'histoire pour 8 millions de dollars?

David Pecker lui aurait répondu qu'il ne le croyait pas, après quoi Donald Trump lui aurait demandé ce qu'il devait faire. Je pense que tu devrais acheter l'histoire et la retirer du marché, lui aurait-il répliqué.

Je croyais que [les affirmations de Karen McDougal] étaient vraies.

Une citation de David Pecker, ancien PDG d'AMI

Mme McDougal soutient avoir entretenu pendant 10 mois, entre 2006 et 2007, une relation avec Donald Trump avant l'entrée en politique de ce dernier.

En janvier 2017, quelques semaines après la victoire électorale de Donald Trump, David Pecker a, selon son témoignage, été invité à la Trump Tower et présenté à des membres de la future administration Trump, dont le patron du FBI de l'époque, James Comey, et celui qui allait devenir le directeur de la CIA, Mike Pompeo.

Donald Trump l'aurait remercié pour son aide et lui aurait aussi demandé : Comment va notre fille?

Bien. Elle garde le silence. Aucun problème, aurait répondu M. Pecker. Il n'est pas clair si les autres hommes présents à la rencontre ont entendu leur conversation.

Contentieux autour du paiement

David Pecker a exprimé à plusieurs occasions ses inquiétudes devant la possibilité de voir son groupe médiatique devoir absorber lui-même la prise en charge du paiement à Mme McDougal.

Le patron va s'en occuper, lui aurait initialement assuré Michael Cohen après avoir donné à M. Pecker le feu vert pour acheter le récit de la jeune femme.

À l'issue des négociations avec l'avocat de Mme McDougal, le grand patron d'AMI a convenu de lui verser 150 000 $ US, mais il a initialement résisté à la demande de M. Cohen d'avancer la somme.

Il a rendu compte de sa conversation avec l'ex-homme de confiance du président : Michael, pourquoi devrais-je payer? Je viens de payer 30 000 $ US pour l'histoire du portier. Maintenant, vous me demandez de payer 150 000 $ US pour l'histoire de Karen.

Mardi, il avait indiqué avoir payé un ancien portier de la Trump Tower qui affirmait que M. Trump avait un enfant illégitime, même si ses affirmations avaient été jugées mensongères.

Signe de l'importance accordée à ces témoignages, il avait spécifié plus tôt cette semaine que son groupe médiatique payait habituellement ses sources entre 250 $ US et 2500 $ US, parfois 5000 $ US dans le cas de révélations sur de grandes célébrités.

M. Pecker a également avoué que son entreprise avait faussement conclu un contrat de collaboration avec Mme  McDougal pour ne pas donner l'impression d'enfreindre les lois sur le financement électoral.

Pour légitimer une somme aussi importante, la jeune femme serait officiellement rémunérée pour écrire des chroniques sur la forme physique (qu'elle n'écrirait pas elle-même) et pour faire la couverture du National Enquirer.

M. Pecker a ajouté avoir signé un accord pour être remboursé par une société-écran créée par Michael Cohen.

Il a dit avoir changé d'idée après avoir consulté son avocat et l'avoir signifié à Michael Cohen, par crainte des répercussions juridiques.

Michael Cohen se serait alors fâché contre lui et aurait crié : Le patron va être très en colère contre vous.

M. Pecker, qui n'a jamais été remboursé et n'a pas fait état du paiement aux autorités, a reconnu devant les jurés avoir violé les lois sur le financement électoral, puisque les dépenses de campagne faites en coordination avec l'équipe d'un candidat doivent être déclarées.

Il a d'ailleurs indiqué avoir conclu une entente avec le bureau du procureur du district de Manhattan, qui a déposé les accusations contre Donald Trump. L'entente lui a permis d'éviter des poursuites.

On savait qu'il avait conclu une entente similaire avec les procureurs fédéraux en 2018.

Vers la fin de l'interrogatoire des procureurs, M. Pecker a dit toujours considérer Donald Trump comme un ami, même si les deux hommes ne se sont pas parlé depuis 2019.

Début du contre-interrogatoire

Les avocats de Donald Trump ont eu l'occasion d'amorcer brièvement leur contre-interrogatoire, pendant lequel ils ont tenté d'ouvrir leurs premières brèches dans la thèse des procureurs.

M. Pecker a entre autres indiqué avoir prévenu M. Trump de la publication d'articles négatifs bien avant qu'il ne se lance en politique.

L'avocat Emil Bove a aussi tenté de normaliser la pratique d'interception et de suppression d'informations négatives pratiquée par le groupe AMI.

David Pecker a ainsi indiqué avoir déjà tué dans l'œuf des histoires visant l'ex-gouverneur de Californie Arnold Schwarzenegger, l'ex-maire de Chicago Rahm Emanuel, un démocrate aujourd'hui ambassadeur des États-Unis au Japon ou encore le golfeur Tiger Woods.

Le témoignage de M. Pecker se poursuivra vendredi.

Avec les informations de New York Times, CNN, Washington Post et Reuters

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Des terminaux de paiement qui suggèrent des pourboires élevés | Info - Radio-Canada.ca

Myriam Fehmiu, coanimatrice de l’émission Ll’épicerie, explique pourquoi les pourcentages de pourboire suggérés sur les terminaux de paiement ne sont pas un hasard.

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Portrait des ventes pour non-paiement des taxes - CFNJ

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