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Sunday, October 31, 2021

Très populaire, le paiement sans contact - TVA Nouvelles

Avec la pandémie, le paiement sans contact a explosé. Mais la prudence est de mise.

Au début de la pandémie, on soupçonnait que le virus maudit se propageait avec les billets de banque et les pièces de monnaie, ce qui fut rapidement démenti. 

L’argent de plastique (crédit et débit) a tout de même pris beaucoup de place dans le commerce de détail. 

La technologie de paiement sans contact (payWave chez Visa et PayPass chez Mastercard) a explosé, d’autant plus que le plafond de sécurité est passé de 100 $ à 250 $, selon le commerce. 

« C’est populaire parce que le consommateur ne touche plus au terminal et que c’est le moyen de paiement le plus rapide », explique Stephen Turgeon, vice-président, Centre et Est du Canada, chez Moneris.

Ainsi, la proportion des transactions sans contact dans le commerce de détail est passée de 53 % au Canada (48 % au Québec) au dernier trimestre de 2019 à 64 % au Canada (62 % au Québec) au troisième trimestre de 2021, selon Moneris. Et ces chiffres sont appelés à croître encore, prédit M. Turgeon.

Parallèlement, de plus en plus de consommateurs paient avec leurs téléphones, notamment par Apple Pay (383 millions d’utilisateurs dans le monde, 48 % des transactions, selon Statista) et Google Pay, ou par des technologies comme PayPal et Square.

Il y a quelques années, les reportages se multipliaient autour de pirates équipés d’un lecteur pouvant cloner notre carte à partir des ondes radio émises par la puce de la carte, qui utilise la technologie RFID (radio frequency identification). 

La menace existe toujours, mais il ne faut pas s’emballer. 

Pour pouvoir effectuer ce genre de fraude, le pirate doit se placer à moins de trois centimètres de votre carte. Difficile à faire dans les transports en commun, les magasins ou sur un trottoir... Mais plus simple si vous avez échappé votre portefeuille ou s’il a été volé.

Signalons que le Centre antifraude du Canada n’a reçu aucun signalement concernant le clonage de cartes RFID.

  • Le risque, pour le consommateur, est pratiquement nul, puisque les émetteurs de cartes de crédit dégagent le titulaire de la carte de toute responsabilité financière si des fraudeurs effectuent des dépenses ou des retraits. Par contre, cette « responsabilité zéro » ne s’applique pas si le consommateur a été négligent.  
  • Si vous soupçonnez qu’on a fraudé votre carte, contactez immédiatement votre émetteur. Un délai pourrait justement être considéré comme de la négligence. 
  • Les plus paranoïaques d’entre nous peuvent glisser leur carte dans un étui prévenant les fraudes par ondes radio ; un tel étui est normalement une petite enveloppe de papier ou de plastique doublée par une couche d’aluminium, qui bloque les ondées émises par la carte. On vend ces étuis en magasin ou en ligne pour à peine quelques cents. Il se vend aussi des portefeuilles et des porte-cartes intégrés à une coque protectrice de téléphone, « blindés » de cette manière. 
  • De la lecture sur la fraude par carte de crédit : www.canada.ca/fr/agence-consommation-matiere-financiere/services/fraude-credit.html 

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Saturday, October 30, 2021

Tous les commerçants bientôt obligés de proposer un paiement électronique - RTL info

Nouvelle décision du gouvernement : les commerces devront bientôt vous proposer une alternative au paiement en liquide. Avec la crise sanitaire, de plus en plus de magasins se sont dotés de terminaux électroniques. Qu'en pensent les commerçants et leurs clients?

Déjà très populaire, le paiement électronique par carte compte bien se généraliser. Pas assez fiable pour certains qui ne paient qu'en espèce comme cette dame interrogée dans une fromagerie charcuterie dans la région namuroise : "J'ai déjà été débitée deux fois pour le même truc. C'est fini. J'ai supprimé le 'sans contact' de ma carte. Toujours en cash!"

D'autres préfèrent payer par carte: "C'est pour des raisons de sécurité déjà. Des questions d'hygiène aussi, on vient de l'apprendre et il va falloir continuer dans cette voix-là", exprime un homme interrogé. Thomas Depouhon, lui, est le gérant de l'établissement: "En règle générale, tout le mode a pris l'habitude de régler par carte. Avec le nouveau système sans contact, tout le monde a pris le pli."

C'est bon, on a eu une notre dose

A l'avenir, le ministre fédéral des Fiances compte imposer à tous les commerçants un moyen de paiement électronique ou digital en complément du cash. Pour d'autres petits indépendants qui n'utilisent que des billets et des pièces, la mesure passe plutôt mal.
Nicolas Primangeli, vendeur de Hamburgers: "On a déjà passé une période assez compliquée, si c'est pour en plus nous ajouter des frais supplémentaires … c'est bon, on a eu une notre dose."

De son côté, l'UCM (Union des classes moyennes) trouve l'évolution acceptable. Arnaud Deplae, secrétaire général de l'UCM, analyse: "Après la crise, on a énormément de paiements électroniques qui se sont développés. On a énormément de possibilités. On est plus avec la carte, on est plus avec le sabot. On est vraiment dans un contexte où cela est devenu acceptable à partir du moment où on autorise le cash également."

L'objectif est avant tout d'éviter les fraudes. En Belgique, le manque à gagner de recettes TVA est estimé à 3,6 milliards d'euros chaque année.

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Tous les commerçants bientôt obligés de proposer un paiement électronique - RTL info
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Payer en plusieurs fois, une habitude dangereuse ? - Le Monde

Payer en trois ou quatre fois est devenu un véritable phénomène de consommation, tant à la caisse des magasins d’électroménager ou de téléphonie que sur les sites d’e-commerce. Les Français seraient ainsi 31 % à avoir eu recours au paiement fractionné durant les douze derniers mois, contre 25 % un an auparavant, d’après le dernier Baromètre OpinionWay-Floa sur l’évolution des moyens de paiement, réalisé en avril.

L’opération est simplissime : au moment de régler un achat avec votre carte bancaire, vous demandez le paiement en plusieurs fois. Quelques secondes suffisent pour obtenir l’accord. Pour un paiement en quatre fois, par exemple, vous serez débité le jour de l’achat, puis dans trente, soixante et quatre-vingt-dix jours.

« Il n’y a pas de profil type d’utilisateur : certains sont des CSP + préférant étaler leurs paiements lorsqu’ils se font plaisir, d’autres des consommateurs au petit budget souhaitant mieux maîtriser leurs dépenses », constate Corinne Hochart, directrice générale de Oney en France. Cet établissement appartenant à BPCE et Auchan propose le service pour 10 000 sites Internet et magasins – des grandes enseignes comme des petits commerces indépendants –, pour des montants entre 100 euros et 3 000 euros.

Taux d’acceptation élevés

Autrement dit, il est possible de régler à peu près n’importe quelle dépense en plusieurs fois, et certains peuvent être tentés d’abuser de cette facilité de paiement. Ce que déplore Olivier Gayraud, juriste à l’association de consommateurs CLCV (Consommation Logement Cadre de vie) : « Le paiement fractionné est octroyé trop facilement, cela favorise la surconsommation et peut mettre certains clients en difficulté financière. »

D’autant qu’il n’y a pas de filet de sécurité pour les paiements fractionnés : remboursables en trois mois, ils n’entrent pas dans le périmètre de la loi Lagarde de 2010 visant à protéger le consommateur en matière de crédit. « En conséquence, l’information précontractuelle est réduite au minimum, la solvabilité du client n’est pas suffisamment vérifiée », souligne le député LRM Philippe Chassaing, qui a remis au ministre de l’économie, Bruno Le Maire, le 19 octobre, un rapport sur la prévention du surendettement. On peut donc réaliser cinq ou six opérations de paiement fractionné dans le même mois…

Les établissements proposant ce service disent cependant procéder à des vérifications. « Nos algorithmes permettent d’évaluer la solvabilité du client en quelques secondes à partir de deux cents critères comme le panier et l’historique d’achat sur le site, ou le navigateur utilisé », précise Jacques-Olivier Schatz, directeur général de la fintech Pledg, qui propose sa solution de paiement fractionné à quatre cents commerçants. Le compte en banque du client n’est donc pas directement analysé et les taux d’acceptation sont élevés – « de 75 % à 95 % selon les partenaires », observe M. Schatz.

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Paiement sans contact : 3 nouveautés pour régler la note au restaurant - MoneyVox

La pandémie de Covid a redonné un coup de fouet aux solutions de paiements sans contact. Voici trois alternatives au cash, à la carte bancaire ou au chèque pour payer l'addition au restaurant.

Comment limiter l'attente à la caisse des restaurants aux heures de pointe, le midi et le soir ? Voici une question sur laquelle les restaurateurs et les spécialistes du paiement planchent de longue date. Dès 2014, PayPal avait déployé, dans quelques restos et cafés de Nancy, un service baptisé « Pay@table », qui permettait aux usagers du portefeuille numérique de payer leur addition depuis leur smartphone, sans passer par la caisse. Une expérience sans lendemain : la solution n'a jamais été déployée à grande échelle, sans doute faute de restaurateurs pour l'adopter.

La pandémie de Covid semble toutefois avoir redonné une actualité au sujet. Plusieurs acteurs profitent de ce contexte inattendu pour pousser leurs alternatives au cash, à la carte et au chèque. En voici trois exemples.

TheFork Pay

TheFork, anciennement LaFourchette, est une plateforme de réservation de restaurants créée en France en 2007. Rachetée en 2014 par TripAdvisor, elle est désormais présente dans 22 pays et annonce travailler avec plus de 80 000 restaurateurs. Depuis 2020, ces derniers peuvent s'appuyer sur TheFork Pay pour offrir un moyen de paiement supplémentaire à leurs clients.

Le service proposé est proche de celui de PayPal 2014. Il a toutefois l'avantage de s'intégrer dans un écosystème déjà adopté par de nombreux restaurants. Chez ces derniers, le client n'a qu'à renseigner, au moment de payer, la somme à régler dans l'application mobile TheFork. S'il ne l'a déjà fait, il doit également donner les coordonnées d'une carte bancaire ou d'une éventuelle carte cadeau pour valider le paiement. Le commerçant, lui, est notifié du règlement de la somme sur TheFork Manager, la plateforme qui lui permet de gérer les réservations, ou par mail. Il reçoit ensuite l'argent en deux jours ouvrés.

La solution, jusqu'ici gratuite, va devenir payante à compter du 1er janvier 2022. Elle sera facturée 0,95% du montant payé par le client, plus 0,50 euro de frais fixes.

Sunday

Autre application créée pour faciliter la vie des restaurateurs et de leurs clients, Sunday est également française, puisque fondée par les patrons de la chaîne Big Mamma. Ces derniers ont fait le choix de s'appuyer sur le QR Code, une technologie relativement ancienne — elle a été inventée en 1994 - mais qui retrouve une seconde jeunesse avec la crise sanitaire.

Paiement sans contact : les atouts inattendus du QR Code

Pour limiter les risques de contamination par contact manuel, de nombreux restaurants ont remplacé le menu plastique par un QR Code, qui permet d'en consulter une version numérique sur son téléphone. Les fondateurs de Sunday ont poussé cette idée un peu plus loin, en permettant aussi au client de payer par ce biais. L'opération gagne encore en simplicité : le client n'a besoin que de scanner le QR Code présenté sur sa table pour recevoir son addition. Il choisit ensuite son moyen de paiement (une carte de paiement, un titre restaurant, un wallet mobile du type Apple Pa) et paye sans bouger de son siège. Côté restaurateurs, Sunday présente l'avantage d'être directement intégrée au système de caisse. Il leur en coûte en moyenne 0,5% du montant de l'addition.

Sunday équipe actuellement environ 1 500 restaurants, mais veut aller vite. La jeune pousse, installée aux Etats-Unis, vient ainsi de lever 100 millions de dollars pour accélérer son déploiement.

Compte pour enfant/ado : notre comparatif des offres sans risque

Lyf Pay

Contrairement à TheFork ou Sunday, Lyf n'est pas spécialisée dans la restauration. L'offre de l'application de paiement française est plus large, puisqu'elle intègre également des solutions pour payer en caisse ou entre amis.

La solution est toutefois suffisamment plastique pour s'adapter à un usage en restaurant. Avec Lyf, le restaurateur peut ainsi intégrer sur son addition papier un QR Code, que le client utilise pour déclencher le paiement.

Comme TheFork ou Sunday, Lyf Pay intègre également la possibilité de partager la note entre convives ou de verser un pourboire dématérialisé au serveur. Un vrai plus pour ce dernier, à l'heure où certains consommateurs sont de plus en plus réticents à utiliser du cash.

Quel est le meilleur TPE mobile du moment ?

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Friday, October 29, 2021

Evergrande effectue un paiement de coupon avant l'échéance de vendredi, selon des sources - Zonebourse.com

HONG KONG (Reuters) - Evergrande a effectué le paiement du coupon d'une obligation offshore avant l'expiration d'un délai de grâce vendredi, ont déclaré deux personnes au fait du dossier, remplissant ainsi sa deuxième obligation de remboursement en dollars américains ce mois-ci.

Deuxième promoteur immobilier de Chine, Evergrande, croule sous plus de 300 milliards de dollars de dettes, alimentant les inquiétudes quant à l'impact que ses déboires auront sur la deuxième plus grande économie du monde et les marchés mondiaux.

Le géant chinois, qui a évité un défaut de paiement la semaine dernière en remettant 83,5 millions de dollars (73 millions d'euros) sur un compte de Citibank, devait verser 47,5 millions de dollars de coupons aux détenteurs d'obligations d'ici vendredi.

Evergrande n'a pas répondu à une demande de commentaire de Reuters. Les personnes concernées ont refusé d'être identifiées en raison du caractère sensible de l'affaire.

Les actions d'Evergrande ont pris plus de 1% dans les premiers échanges vendredi.

Evergrande a manqué des paiements de coupons totalisant près de 280 millions de dollars et a encore près de 338 millions de dollars d'autres paiements de coupons offshore à payer en novembre et décembre.

(Reportage Svea Herbst-Bayliss, Clare Jim et Andrew Galbraith; rédigé par Megan Davies et Sumeet Chatterjee; version française Camille Raynaud)

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Evergrande réussit à rembourser un second emprunt - La Presse

(Pékin) Le promoteur chinois Evergrande, étranglé par une dette abyssale de 260 milliards d’euros, a honoré un paiement obligataire juste avant une date butoir ce vendredi, selon l’agence financière Bloomberg.

Agence France-Presse

La situation financière du groupe immobilier, l’un des plus gros de Chine, est scrutée avec inquiétude car son potentiel effondrement pourrait plomber la croissance du géant asiatique.

Evergrande devait s’acquitter le 29 septembre d’un paiement d’intérêts sur une obligation en dollars. Le versement n’avait alors pas été effectué, mais l’entreprise disposait d’un délai de grâce d’un mois – qui courait jusqu’à ce vendredi.

Le groupe a bien remboursé les 47,5 millions de dollars qu’il devait à ses créanciers, écrit vendredi l’agence Bloomberg sans préciser ses sources.  

Malgré ce paiement, le titre Evergrande a perdu vendredi près de 4 % à la Bourse de Hong Kong.

Il s’agit pour Evergrande de sa seconde échéance honorée en une semaine.  

Le mois dernier, la firme avait été incapable de rembourser un premier emprunt de 83,5 millions de dollars.

Les craintes d’une faillite d’Evergrande avaient affolé les marchés internationaux. Cette somme a depuis été remboursée, à la surprise des analystes.

En septembre, des dizaines de propriétaires lésés, n’ayant pas reçu livraison de leur appartement, ainsi que des fournisseurs non payés, ont manifesté devant le siège du groupe à Shenzhen.  

Les autorités craignent davantage d’agitation en cas d’effondrement du mastodonte de l’immobilier.  

Le pouvoir communiste n’a toujours pas dit clairement s’il se porterait ou non au secours de l’entreprise.

Pékin presse toutefois le patron d’Evergrande, le milliardaire chinois Xu Jiayin, de puiser dans sa fortune personnelle pour sauver son groupe, a affirmé cette semaine Bloomberg.

La mauvaise santé du groupe n’est qu’un des symptômes d’un secteur immobilier en Chine globalement grippé.

Les prix des logements neufs sont ainsi en repli pour la première fois depuis six ans, dans un contexte de méfiance des acheteurs face au risque de faillite de plusieurs promoteurs.

Le promoteur Kaisa a ainsi vu ses notes de solidité financière abaissées par les agences de notation Fitch et S&P.  

La décision a fait dévisser de 18 % jeudi l’action à la Bourse de Hong Kong, où le groupe est coté. Elle a terminé vendredi en hausse de 0,84 %.

Kaisa, bien moins important en taille qu’Evergrande, avait été le premier groupe immobilier chinois en 2015 à faire l’objet d’un défaut de paiement sur des obligations en dollars.  

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Il sera bientôt obligatoire de proposer un moyen de paiement électronique dans tous les commerces du pays - RTBF

C’est une décision du ministre fédéral des Finances CD&V Vincent Van Peteghem qui vient d’être validée ce vendredi en conseil des ministres : l’idée est de rendre plus accessible le paiement électronique dans les commerces de tous types du pays.

Obligation donc pour les commerçants d’offrir la possibilité d’un moyen de paiement électronique, mais pour ne pas discriminer certains publics, le paiement par cash devra rester possible. Concernés tous les commerces, l’horeca mais pas les professions libérales.

L’Union des Classes moyennes (UCM) a bien été consultée sur cette nouvelle possibilité et pour elle, c’est devenu "acceptable" avec le covid et notamment le développement accru du "sans contact", le client le réclamant de plus en plus souvent, l’UCM cherchant juste à s’assurer que la voie du cash restait bien ouverte. Autre condition : que la forme du paiement électronique reste libre du côté du commerçant pour faire jouer toutes les initiatives modernes de paiement, pas uniquement la carte avec le "sabot". Bref : les applis de paiement à distance et sans contact via smartphone par exemple, moins coûteuses pour le commerçant.

Aucun détail n’a par contre encore filtré sur la date espérée d’entrée en vigueur de cette décision, qui sera reprise dans le vaste paquet de la loi-programme, soit les textes qui encadrent la trajectoire budgétaire du gouvernement et qui vont être prochainement transmis pour débat et vote à la Chambre d’ici la fin de l’année. Le gouvernement entend procéder le plus vite possible, mais même après publication de la disposition il faudra laisser le temps aux commerçants de s’adapter. Pas d’entrée en vigueur dès lors espérée avant la mi-2022.

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Très populaire, le paiement sans contact - TVA Nouvelles

Avec la pandémie, le paiement sans contact a explosé. Mais la prudence est de mise.

Au début de la pandémie, on soupçonnait que le virus maudit se propageait avec les billets de banque et les pièces de monnaie, ce qui fut rapidement démenti. 

L’argent de plastique (crédit et débit) a tout de même pris beaucoup de place dans le commerce de détail. 

La technologie de paiement sans contact (payWave chez Visa et PayPass chez Mastercard) a explosé, d’autant plus que le plafond de sécurité est passé de 100 $ à 250 $, selon le commerce. 

« C’est populaire parce que le consommateur ne touche plus au terminal et que c’est le moyen de paiement le plus rapide », explique Stephen Turgeon, vice-président, Centre et Est du Canada, chez Moneris.

Ainsi, la proportion des transactions sans contact dans le commerce de détail est passée de 53 % au Canada (48 % au Québec) au dernier trimestre de 2019 à 64 % au Canada (62 % au Québec) au troisième trimestre de 2021, selon Moneris. Et ces chiffres sont appelés à croître encore, prédit M. Turgeon.

Parallèlement, de plus en plus de consommateurs paient avec leurs téléphones, notamment par Apple Pay (383 millions d’utilisateurs dans le monde, 48 % des transactions, selon Statista) et Google Pay, ou par des technologies comme PayPal et Square.

Il y a quelques années, les reportages se multipliaient autour de pirates équipés d’un lecteur pouvant cloner notre carte à partir des ondes radio émises par la puce de la carte, qui utilise la technologie RFID (radio frequency identification). 

La menace existe toujours, mais il ne faut pas s’emballer. 

Pour pouvoir effectuer ce genre de fraude, le pirate doit se placer à moins de trois centimètres de votre carte. Difficile à faire dans les transports en commun, les magasins ou sur un trottoir... Mais plus simple si vous avez échappé votre portefeuille ou s’il a été volé.

Signalons que le Centre antifraude du Canada n’a reçu aucun signalement concernant le clonage de cartes RFID.

  • Le risque, pour le consommateur, est pratiquement nul, puisque les émetteurs de cartes de crédit dégagent le titulaire de la carte de toute responsabilité financière si des fraudeurs effectuent des dépenses ou des retraits. Par contre, cette « responsabilité zéro » ne s’applique pas si le consommateur a été négligent.  
  • Si vous soupçonnez qu’on a fraudé votre carte, contactez immédiatement votre émetteur. Un délai pourrait justement être considéré comme de la négligence. 
  • Les plus paranoïaques d’entre nous peuvent glisser leur carte dans un étui prévenant les fraudes par ondes radio ; un tel étui est normalement une petite enveloppe de papier ou de plastique doublée par une couche d’aluminium, qui bloque les ondées émises par la carte. On vend ces étuis en magasin ou en ligne pour à peine quelques cents. Il se vend aussi des portefeuilles et des porte-cartes intégrés à une coque protectrice de téléphone, « blindés » de cette manière. 
  • De la lecture sur la fraude par carte de crédit : www.canada.ca/fr/agence-consommation-matiere-financiere/services/fraude-credit.html 

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Evergrande effectue un paiement de coupon avant l'échéance de vendredi, selon des sources - Zonebourse.com

HONG KONG (Reuters) - Evergrande a effectué le paiement du coupon d'une obligation offshore avant l'expiration d'un délai de grâce vendredi, ont déclaré deux personnes au fait du dossier, remplissant ainsi sa deuxième obligation de remboursement en dollars américains ce mois-ci.

Deuxième promoteur immobilier de Chine, Evergrande, croule sous plus de 300 milliards de dollars de dettes, alimentant les inquiétudes quant à l'impact que ses déboires auront sur la deuxième plus grande économie du monde et les marchés mondiaux.

Le géant chinois, qui a évité un défaut de paiement la semaine dernière en remettant 83,5 millions de dollars (73 millions d'euros) sur un compte de Citibank, devait verser 47,5 millions de dollars de coupons aux détenteurs d'obligations d'ici vendredi.

Evergrande n'a pas répondu à une demande de commentaire de Reuters. Les personnes concernées ont refusé d'être identifiées en raison du caractère sensible de l'affaire.

Les actions d'Evergrande ont pris plus de 1% dans les premiers échanges vendredi.

Evergrande a manqué des paiements de coupons totalisant près de 280 millions de dollars et a encore près de 338 millions de dollars d'autres paiements de coupons offshore à payer en novembre et décembre.

(Reportage Svea Herbst-Bayliss, Clare Jim et Andrew Galbraith; rédigé par Megan Davies et Sumeet Chatterjee; version française Camille Raynaud)

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Evergrande effectue un paiement de coupon avant l'échéance de vendredi, selon des sources - Zonebourse.com
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Evergrande réussit à rembourser un second emprunt - La Presse

(Pékin) Le promoteur chinois Evergrande, étranglé par une dette abyssale de 375 milliards de dollars, a honoré un paiement obligataire juste avant une date butoir ce vendredi, selon l’agence financière Bloomberg.

Agence France-Presse

La situation financière du groupe immobilier, l’un des plus gros de Chine, est scrutée avec inquiétude, car son potentiel effondrement pourrait plomber la croissance du géant asiatique.

Evergrande devait s’acquitter le 29 septembre d’un paiement d’intérêts sur une obligation en dollars. Le versement n’avait alors pas été effectué, mais l’entreprise disposait d’un délai de grâce d’un mois – qui courait jusqu’à ce vendredi.

Le groupe a bien remboursé les 47,5 millions de dollars qu’il devait à ses créanciers, écrit vendredi l’agence Bloomberg sans préciser ses sources.  

Malgré ce paiement, le titre Evergrande reculait de -0,83 % vendredi matin à la Bourse de Hong Kong.

Il s’agit pour Evergrande de sa seconde échéance honorée en une semaine.  

Le mois dernier, la firme avait été incapable de rembourser un premier emprunt de 83,5 millions de dollars.

Les craintes d’une faillite d’Evergrande avaient affolé les marchés internationaux. Cette somme a depuis été remboursée, à la surprise des analystes.

En septembre, des dizaines de propriétaires lésés, n’ayant pas reçu livraison de leur appartement, ainsi que des fournisseurs non payés, ont manifesté devant le siège du groupe à Shenzhen (sud).  

Les autorités craignent davantage d’agitation en cas d’effondrement du mastodonte de l’immobilier.  

Le pouvoir communiste n’a toujours pas dit clairement s’il se porterait ou non au secours de l’entreprise.

Pékin presse toutefois le patron d’Evergrande, le milliardaire chinois Xu Jiayin, de puiser dans sa fortune personnelle pour sauver son groupe, a affirmé cette semaine Bloomberg.

La mauvaise santé du groupe n’est qu’un des symptômes d’un secteur immobilier en Chine globalement grippé.

Les prix des logements neufs sont ainsi en repli pour la première fois depuis six ans, dans un contexte de méfiance des acheteurs face au risque de faillite de plusieurs promoteurs.

Le promoteur Kaisa a ainsi vu ses notes de solidité financière abaissées par les agences de notation Fitch et S&P.  

La décision a fait dévisser de 18 % jeudi l’action à la Bourse de Hong Kong, où le groupe est coté. Elle perdait encore plus de 2 % vendredi matin.

Kaisa, bien moins important en taille qu’Evergrande, avait été le premier groupe immobilier chinois en 2015 à faire l’objet d’un défaut de paiement sur des obligations en dollars.  

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Thursday, October 28, 2021

L'essor du paiement en plusieurs fois inquiète - Le Monde

Payer en trois ou quatre fois est devenu un véritable phénomène de consommation, tant à la caisse des magasins d’électroménager ou de téléphonie que sur les sites d’e-commerce. Les Français seraient ainsi 31 % à avoir eu recours au paiement fractionné durant les douze derniers mois, contre 25 % un an auparavant, d’après le dernier Baromètre OpinionWay-Floa sur l’évolution des moyens de paiement, réalisé en avril.

L’opération est simplissime : au moment de régler un achat avec votre carte bancaire, vous demandez le paiement en plusieurs fois. Quelques secondes suffisent pour obtenir l’accord. Pour un paiement en quatre fois, par exemple, vous serez débité le jour de l’achat, puis dans trente, soixante et quatre-vingt-dix jours.

« Il n’y a pas de profil type d’utilisateur : certains sont des CSP + préférant étaler leurs paiements lorsqu’ils se font plaisir, d’autres des consommateurs au petit budget souhaitant mieux maîtriser leurs dépenses », constate Corinne Hochart, directrice générale de Oney en France. Cet établissement appartenant à BPCE et Auchan propose le service pour 10 000 sites Internet et magasins – des grandes enseignes comme des petits commerces indépendants –, pour des montants entre 100 euros et 3 000 euros.

Taux d’acceptation élevés

Autrement dit, il est possible de régler à peu près n’importe quelle dépense en plusieurs fois, et certains peuvent être tentés d’abuser de cette facilité de paiement. Ce que déplore Olivier Gayraud, juriste à l’association de consommateurs CLCV (Consommation Logement Cadre de vie) : « Le paiement fractionné est octroyé trop facilement, cela favorise la surconsommation et peut mettre certains clients en difficulté financière. »

D’autant qu’il n’y a pas de filet de sécurité pour les paiements fractionnés : remboursables en trois mois, ils n’entrent pas dans le périmètre de la loi Lagarde de 2010 visant à protéger le consommateur en matière de crédit. « En conséquence, l’information précontractuelle est réduite au minimum, la solvabilité du client n’est pas suffisamment vérifiée », souligne le député LRM Philippe Chassaing, qui a remis au ministre de l’économie, Bruno Le Maire, le 19 octobre, un rapport sur la prévention du surendettement. On peut donc réaliser cinq ou six opérations de paiement fractionné dans le même mois…

Les établissements proposant ce service disent cependant procéder à des vérifications. « Nos algorithmes permettent d’évaluer la solvabilité du client en quelques secondes à partir de deux cents critères comme le panier et l’historique d’achat sur le site, ou le navigateur utilisé », précise Jacques-Olivier Schatz, directeur général de la fintech Pledg, qui propose sa solution de paiement fractionné à quatre cents commerçants. Le compte en banque du client n’est donc pas directement analysé et les taux d’acceptation sont élevés – « de 75 % à 95 % selon les partenaires », observe M. Schatz.

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Startup à Suivre - Paystand: un logiciel de paiement B2B, Moon: payer en crypto, Rarible: une marketplace NFT - Fevad

Paystand: un logiciel de paiement B2B avec 0% de frais de transaction

La startup B2B Paystand est basée à Scotts Valley, en Californie, et utilise la technologie cloud et la Blockchain Ethereum comme moteur de son réseau Paystand Bank qui permet des paiements inter-entreprises sans frais. Depuis 2013, Paystand donne les outils nécessaires aux ecommerçants pour accepter des paiements depuis leurs sites ou apps. Les paiements acceptés sont divers: cartes de crédits, ACH, Dwolla et Bitcoins avec 0% de frais de transaction. Afin d’avoir accès à cet outil numérique, les commerçants paient un montant mensuel pour le logiciel et donc évitent les frais de transactions facturés par d’autres services de paiement. Paystand a reçu, depuis 2013, un total de $78.3 millions d’investissement. Les clients utilisant Paystand sur une période de trois ans sont en mesure de générer 50% d’économies sur le coût des créances et $850 000 d’économies sur les frais de transaction. L’entreprise constate une augmentation de 200 % de la valeur des paiements mensuels du réseau et le nombre de clients a doublé au cours de la dernière année.

Site Web :https://www.paystand.com/

Moon: payer en crypto avec une carte virtuelle

Fondée en 2018, Moon facilite le paiement en cryptomonnaie avec des cartes Visa prépayées acceptées par divers sites ecommerce. Comment ça marche? Tout d’abord, il faut ajouter Moon à son moteur de recherche, puis acheter des cartes via son compte Coinbase. La cryptomonnaie est convertie en dollars américains et les cartes sont prêtes à être utilisées instantanément sur divers sites. Les sites qui acceptent ces cartes Visa sont plus d’un million: Walmart, Etsy, Doordash, Ebay… Plusieurs cryptomonnaies sont acceptées comme forme de paiement pour les cartes Visa: Bitcoin, Litecoin, Ether… Récemment, Moon a reçu $2,1 millions d’investissement afin de créer plus de partenariats et offrir plus de types de paiements crypto pour l’ecommerce. De plus, Moon souhaite permettre aux utilisateurs de transférer leur cryptomonnaie depuis d’autres comptes (pour l’instant, seulement Coinbase est acceptée). 

Site Web : https://paywithmoon.com/

Rarible: une marketplace NFT pour l’art digital

La startup Rarible a créé un logiciel permettant aux artistes et créateurs numériques de publier et de vendre des actifs cryptos qui représentent la propriété de leur travail numérique. Fondée en 2020 dans l’État de Delaware aux États-Unis, Rarible est une marketplace sur Ethereum qui permet à l’artiste et l’acheteur de commercer sans intermédiaire. Ethereum, un projet de Blockchain, cherche à utiliser la cryptomonnaie pour décentraliser les produits et services dans divers cas d’utilisation. Grâce à ce logiciel, l’artiste transforme son œuvre en NFT (non-fungible tokens, chaque NFT est unique et indépendant d’autres NFTs) qui devient un nouveau “token” sur la blockchain Ethereum. De plus, Rarible a sa propre crypto monnaie: RARI, qui permet aux utilisateurs de voter sur les propositions qui affectent la plateforme et de modérer les créateurs. Depuis son lancement, la startup a atteint $150 millions de dollars de ventes. Au total, elle a récolté $16 millions en investissements.

Site Web : https://rarible.com/

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Startup à Suivre - Paystand: un logiciel de paiement B2B, Moon: payer en crypto, Rarible: une marketplace NFT - Fevad
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Wednesday, October 27, 2021

Très populaire, le paiement sans contact | JDQ - Le Journal de Québec

Avec la pandémie, le paiement sans contact a explosé. Mais la prudence est de mise.

Au début de la pandémie, on soupçonnait que le virus maudit se propageait avec les billets de banque et les pièces de monnaie, ce qui fut rapidement démenti. 

L’argent de plastique (crédit et débit) a tout de même pris beaucoup de place dans le commerce de détail. 

La technologie de paiement sans contact (payWave chez Visa et PayPass chez Mastercard) a explosé, d’autant plus que le plafond de sécurité est passé de 100 $ à 250 $, selon le commerce. 

« C’est populaire parce que le consommateur ne touche plus au terminal et que c’est le moyen de paiement le plus rapide », explique Stephen Turgeon, vice-président, Centre et Est du Canada, chez Moneris.

Ainsi, la proportion des transactions sans contact dans le commerce de détail est passée de 53 % au Canada (48 % au Québec) au dernier trimestre de 2019 à 64 % au Canada (62 % au Québec) au troisième trimestre de 2021, selon Moneris. Et ces chiffres sont appelés à croître encore, prédit M. Turgeon.

Parallèlement, de plus en plus de consommateurs paient avec leurs téléphones, notamment par Apple Pay (383 millions d’utilisateurs dans le monde, 48 % des transactions, selon Statista) et Google Pay, ou par des technologies comme PayPal et Square.

Et la sécurité ?

Il y a quelques années, les reportages se multipliaient autour de pirates équipés d’un lecteur pouvant cloner notre carte à partir des ondes radio émises par la puce de la carte, qui utilise la technologie RFID (radio frequency identification). 

La menace existe toujours, mais il ne faut pas s’emballer. 

Pour pouvoir effectuer ce genre de fraude, le pirate doit se placer à moins de trois centimètres de votre carte. Difficile à faire dans les transports en commun, les magasins ou sur un trottoir... Mais plus simple si vous avez échappé votre portefeuille ou s’il a été volé.

Signalons que le Centre antifraude du Canada n’a reçu aucun signalement concernant le clonage de cartes RFID.

Conseils

  • Le risque, pour le consommateur, est pratiquement nul, puisque les émetteurs de cartes de crédit dégagent le titulaire de la carte de toute responsabilité financière si des fraudeurs effectuent des dépenses ou des retraits. Par contre, cette « responsabilité zéro » ne s’applique pas si le consommateur a été négligent. 
  • Si vous soupçonnez qu’on a fraudé votre carte, contactez immédiatement votre émetteur. Un délai pourrait justement être considéré comme de la négligence.
  • Les plus paranoïaques d’entre nous peuvent glisser leur carte dans un étui prévenant les fraudes par ondes radio ; un tel étui est normalement une petite enveloppe de papier ou de plastique doublée par une couche d’aluminium, qui bloque les ondées émises par la carte. On vend ces étuis en magasin ou en ligne pour à peine quelques cents. Il se vend aussi des portefeuilles et des porte-cartes intégrés à une coque protectrice de téléphone, « blindés » de cette manière.
  • De la lecture sur la fraude par carte de crédit : www.canada.ca/fr/agence-consommation-matiere-financiere/services/fraude-credit.html

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Très populaire, le paiement sans contact | JDQ - Le Journal de Québec
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Très populaire, le paiement sans contact | JDM - Le Journal de Montréal

Avec la pandémie, le paiement sans contact a explosé. Mais la prudence est de mise.

Au début de la pandémie, on soupçonnait que le virus maudit se propageait avec les billets de banque et les pièces de monnaie, ce qui fut rapidement démenti. 

L’argent de plastique (crédit et débit) a tout de même pris beaucoup de place dans le commerce de détail. 

La technologie de paiement sans contact (payWave chez Visa et PayPass chez Mastercard) a explosé, d’autant plus que le plafond de sécurité est passé de 100 $ à 250 $, selon le commerce. 

« C’est populaire parce que le consommateur ne touche plus au terminal et que c’est le moyen de paiement le plus rapide », explique Stephen Turgeon, vice-président, Centre et Est du Canada, chez Moneris.

Ainsi, la proportion des transactions sans contact dans le commerce de détail est passée de 53 % au Canada (48 % au Québec) au dernier trimestre de 2019 à 64 % au Canada (62 % au Québec) au troisième trimestre de 2021, selon Moneris. Et ces chiffres sont appelés à croître encore, prédit M. Turgeon.

Parallèlement, de plus en plus de consommateurs paient avec leurs téléphones, notamment par Apple Pay (383 millions d’utilisateurs dans le monde, 48 % des transactions, selon Statista) et Google Pay, ou par des technologies comme PayPal et Square.

Et la sécurité ?

Il y a quelques années, les reportages se multipliaient autour de pirates équipés d’un lecteur pouvant cloner notre carte à partir des ondes radio émises par la puce de la carte, qui utilise la technologie RFID (radio frequency identification). 

La menace existe toujours, mais il ne faut pas s’emballer. 

Pour pouvoir effectuer ce genre de fraude, le pirate doit se placer à moins de trois centimètres de votre carte. Difficile à faire dans les transports en commun, les magasins ou sur un trottoir... Mais plus simple si vous avez échappé votre portefeuille ou s’il a été volé.

Signalons que le Centre antifraude du Canada n’a reçu aucun signalement concernant le clonage de cartes RFID.

Conseils

  • Le risque, pour le consommateur, est pratiquement nul, puisque les émetteurs de cartes de crédit dégagent le titulaire de la carte de toute responsabilité financière si des fraudeurs effectuent des dépenses ou des retraits. Par contre, cette « responsabilité zéro » ne s’applique pas si le consommateur a été négligent. 
  • Si vous soupçonnez qu’on a fraudé votre carte, contactez immédiatement votre émetteur. Un délai pourrait justement être considéré comme de la négligence.
  • Les plus paranoïaques d’entre nous peuvent glisser leur carte dans un étui prévenant les fraudes par ondes radio ; un tel étui est normalement une petite enveloppe de papier ou de plastique doublée par une couche d’aluminium, qui bloque les ondées émises par la carte. On vend ces étuis en magasin ou en ligne pour à peine quelques cents. Il se vend aussi des portefeuilles et des porte-cartes intégrés à une coque protectrice de téléphone, « blindés » de cette manière.
  • De la lecture sur la fraude par carte de crédit : www.canada.ca/fr/agence-consommation-matiere-financiere/services/fraude-credit.html

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dLocal étend ses capacités de traitement des paiements en Asie et en Amérique centrale - LeLézard.com

Classé dans : Science et technologie
Sujet : Product/Service

dLocal, une plateforme de paiement fondée sur la technologie et permettant aux entreprises marchandes mondiales de se connecter à des milliards de consommateurs sur les marchés émergents, annonce aujourd'hui son expansion vers trois nouveaux pays d'Asie et d'Amérique centrale. Les commerçants opérant à l'échelle internationale peuvent désormais se créer de nouvelles sources de revenus en Thaïlande, au Salvador et au Guatemala.

À eux trois, ces pays représentent un marché de plus de 93 millions de consommateurs et des revenus de commerce en ligne totalisant 26 milliards USD. L'importance de ces chiffres n'a d'égale que la diversité des méthodes de paiement locales à la disposition des acheteurs en ligne de ces régions. «Notre concept "One dLocal" ? une API, une plateforme, un contrat ? offre aux commerçants un accès à des marques internationales et locales de cartes de crédit et de débit, ainsi qu'à des alternatives de méthodes de paiement comme les portefeuilles électroniques, les virements bancaires et les transactions en espèces», déclare Sumita Pandit, cheffe d'exploitation de dLocal.

La plateforme de dLocal permettra l'utilisation de méthodes de paiement alternatives et par cartes de crédit et de débit dans ces trois nouveaux pays. Au départ, ces méthodes seront les suivantes:

  • En Thaïlande, le portefeuille TrueMoney, des applications de paiement basées sur un QR code, et les portefeuilles électroniques AliPay et WeChat,
  • Au Guatemala, des cartes de paiement et les méthodes de transactions en espèces AkíSíPago,
  • Au Salvador, PuntoXpress.

«Pour les commerçant opérant à l'international, il est vital de s'associer à un facilitateur de paiements connaissant parfaitement les comportements de paiement locaux et capable de travailler rapidement à l'intégration du plus grand nombre possible de méthodes alternatives de paiement», ajoute Mme Pandit. En Afrique, en Asie, en Amérique latine et au Moyen-Orient, dLocal propose plus de 600+ méthodes de paiement locales dans 33 pays.

La décision de commencer à opérer en Thaïlande, au Salvador et au Guatemala a été induite non seulement par le potentiel combiné de ces trois pays, mais aussi par la demande des clients de dLocal. «Nous avons accéléré nos investissements dans les technologies dont nos clients ont besoin pour développer leurs activités dans les marchés émergents. Nous avons étendu notre implantation géographique et notre portefeuille de méthodes de paiement pour répondre aux besoins actuels et futurs des commerçants. Nous exploitons systématiquement les opportunités qui nous permettent d'accélérer l'extension de notre présence et de proposer plus rapidement nos services à de nouveaux marchés émergents», a déclaré Mme Pandit.

À propos de dLocal

dLocal offre sur les marchés émergents des systèmes de paiement locaux qui permettent aux entreprises commerçantes du monde entier d'entrer en relation avec des milliards de consommateurs des marchés émergents en Afrique, en Asie, en Amérique latine et au Moyen-Orient. Grâce au concept «One dLocal» (une API, une plateforme, un contrat), les entreprises à travers le monde peuvent accepter et envoyer des paiements, régler des opérations dans le monde entier et émettre des cartes de débit virtuelles et physiques prépayées en monnaies locales et en marque blanche sans avoir à gérer des sous-traitants différents pour les recettes et les paiements, à mettre en place de nombreuses entités locales, ni à intégrer de multiples acquéreurs et méthodes de paiement sur chaque marché. Pour en savoir plus, consultez https://dlocal.com.

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.


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dLocal, une plateforme de paiement fondée sur la technologie et permettant aux entreprises marchandes mondiales de se connecter à des milliards de consommateurs sur les marchés émergents, annonce aujourd'hui son expansion vers trois nouveaux pays...




Communiqué envoyé le 27 octobre 2021 à 11:25 et diffusé par :

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Tuesday, October 26, 2021

Karine Paiement vise la mairie de Saint-Jacques-le-Mineur - Coup d'œil - Coup d'Oeil

Karine -Paiement, qui est citoyenne de -Saint-Jacques–le-Mineur depuis 2007, est candidate au poste de mairesse de la municipalité, en vue des élections qui se tiendront le 7 novembre. Elle fait la lutte à la mairesse sortante, -Lise -Sauriol.

Mme -Paiement est infirmière depuis l’an 2000. Elle est aussi conseillère en relation de travail pour -Fédération interprofessionnelle de la santé du -Québec, le syndicat qui représente les infirmières depuis 2013.

« -Forte de mes convictions de justice, d’équité et d’égalité, j’ai porté la voix des professionnels en soins sur toutes les tribunes locales, régionales et provinciales notamment dans le dossier des ratios professionnels en soins/patients, explique -Mme -Paiement. Aujourd’hui, je souhaite utiliser ma capacité de prendre la parole pour faire entendre la voix des citoyens de -Saint-Jacques–le-Mineur. »

VIE -COMMUNAUTAIRE

Karine -Paiement se présente comme une personne qui participe activement à la vie communautaire dans sa municipalité.

« -En plus de participer au conseil municipal tous les mois, de participer à l’élaboration de la politique familiale et des aînés, j’ai été bénévole pour la guignolée, les activités de loisir de la bibliothèque, les activités de la -Saint-Jean-Baptiste, la maison hantée et je suis membre de l’équipe de -balle-molle. »

ENGAGEMENTS

Mme -Paiement affirme que les valeurs qui guideront son leadership sont la famille, la communauté, l’équité et le travail d’équipe. Elle dit vouloir former une équipe gagnante et efficace afin de mener à bien certains dossiers qu’elle juge prioritaires.

Elle veut établir une bonne communication avec les citoyens et assurer la rétention du personnel en place.

Mme -Paiment entend aussi procéder à l’évaluation les infrastructures municipales et des besoins relatifs à -ceux-ci.

Si elle est élue, la candidate s’engage aussi à finaliser la construction du deuxième puits et à informer les citoyens quant à l’évolution du dossier, finaliser le dossier de la construction du centre de la petite enfance et faire progresser le dossier du centre communautaire.

« -Je veux aussi développer l’offre de service en loisirs et culture et rendre fonctionnel le chalet des loisirs », -ajoute-t-elle.

Finalement, elle veut évaluer la possibilité de dévier les camions qui se rendent à la carrière ou qui en sortent, vers une voie de contournement.

« -Il faut aussi répondre aux besoins du milieu agricole et de la population en général, en établissant un dialogue constructif », pense -Mme -Paiement.

SITE -INTERNET

Mme -Paiement invite les citoyens qui veulent en apprendre davantage sur sa candidature et son programme à visiter son site -Internet à l’adresse karinepaiementelection2021.com.

« J’ai bien hâte de travailler avec vous à faire grandir la municipalité dans le respect de son charme et de la culture qui y est déjà bien établie », -conclut-elle.

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Soan lance une offre de paiement tout en un et s’internationalise - Maddyness

Les chiffres sont parfois trompeurs. Le baromètre BPI de septembre 2021 indique que le niveau d’inquiétude des dirigeants et dirigeantes de TPE / PME n’a jamais été aussi bas. Seuls 20 % se déclarent ainsi inquiets quant au niveau de leur trésorerie. Suffisant pour dire qu’elle n’est plus un sujet de préoccupation pour eux ? Pas si vite, pour Nicolas Lemeteyer : « Les prêts garantis par l’État et les différentes aides accordées aux entreprises françaises ont été très utiles pendant la crise, mais on ne peut pas totalement maîtriser les fluctuations de la trésorerie, qui reste un sujet essentiel dans la gestion d’une entreprise. »

La trésorerie, un enjeu majeur pour les TPE / PME

Or, la gestion de la trésorerie d’une entreprise n’est pas si simple, à plus forte raison pour ces entreprises de moins de 250 salariés, qui sont souvent fondées sur une idée, un produit ou un service et moins souvent sur de fortes compétences de gestionnaire. Si ces compétences comptables peuvent s’apprendre sur le tas, il n’en reste pas moins que la gestion des flux financiers peut représenter une charge mentale importante pour un dirigeant ou une dirigeante d’entreprise. D’autant plus que les retards de paiement représentent près de 19 milliards d’euros de manque à gagner, principalement pour les petites entreprises en défaut de trésorerie, selon la Banque de France.

La préoccupation est grande, car le sujet est essentiel. La trésorerie constitue un actif fondamental pour une entreprise. Elle est nécessaire pour honorer le paiement des charges courantes, bien sûr, mais aussi pour investir sereinement, ce que confirme Nicolas Lemeteyer : « L’enjeu du cashflow est fondamental puisque c’est la trésorerie qui définira la capacité d’une entreprise à investir. C’est un indicateur que les investisseurs, mêmes externes, regardent de très près ».

L’outil au service d’une meilleure collaboration

Dans « le monde d’avant », pour être payé, il fallait établir une facture (souvent sur Excel ou sur un logiciel de facturation spécifique), puis envoyer cette facture, attendre le virement, relancer le client en cas de non-paiement, suivre les flux de trésorerie pour valider les encaissements, puis les intégrer au tableau de suivi comptable. Autant d’étapes souvent réalisées sur des outils différents, autant de tâches distinctes et donc de préoccupations, surtout pour les non-initiés.

Une charge mentale largement amputée par une solution qui intègre l’ensemble de la chaîne de valeur du paiement, selon Nicolas Lemeteyer : « Depuis la facturation et l’initiation du paiement jusqu’à l’accusé de réception du même paiement, en passant par les éventuelles relances et rappels, notre plateforme offre une solution complète qui héberge l’ensemble de la transaction. Cette intégration automatisée retire une grande part de la préoccupation de l’émetteur de la facture quant à son paiement ».

Une collaboration plus transparente qui, là encore, d’après le fondateur de Soan, va dans le sens d’une dynamique vertueuse plus générale : « On remarque que les entreprises sont en dialogue constant avec leurs fournisseurs, leurs prestataires, leurs clients. Fluidifier le processus de paiement facilite grandement la collaboration interentreprises, la rendant de ce fait plus saine et efficace »  

L’international en ligne de mire

L’intégration totale et exhaustive de l’ensemble de la chaîne de valeur de paiement proposée par Soan constitue un avantage concurrentiel non négligeable, dont  Nicolas Lemeteyer est très fier : « Je suis très content du chemin que nous avons déjà parcouru. Nous sommes les premiers à le faire. Notre vélocité sur cette nouvelle offre nous donne beaucoup de confiance pour la suite ».

La suite s’écrit sûrement sur l’ensemble du territoire européen, avec ses 23 millions d’entreprises clientes potentielles. Le développement international est un enjeu très fort pour la startup parisienne et le lancement récent de sa solution via une filiale espagnole n’en est qu’une première étape. Ayant remporté notamment la mention internationale du concours Next Innov, ce développement devrait encore s’accélérer dans les mois à venir.

Maddyness, partenaire média de Soan

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Soan lance une offre de paiement tout en un et s’internationalise - Maddyness
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Monday, October 25, 2021

Un quart des adulte québécois utilise désormais le paiement mobile en magasin - Isarta

25 octobre 2021

L’Académie de la transformation numérique vient de publier sa dernière étude NETendances intitulée Services bancaires en ligne. En voici les faits saillants.

Quelle utilisation d’Internet pour les opérations bancaires au Québec ?

En 2021, le pourcentage d’adultes québécois qui utilisent Internet pour effectuer des opérations bancaires est de 87 %, un résultat relativement stable par rapport à 2020, alors que ce pourcentage était de 86 %. Il s’agit tout de même du plus haut pourcentage enregistré depuis 2015, soit un écart représentant 22 points de pourcentage.

Par ailleurs, comme cela fut observé dans nos mesures des années précédentes, on constate en 2021 que les hommes (89 %), par comparaison avec les femmes (85 %), ainsi que les adultes âgés de 25 à 34 ans (96 %), de 35 à 44 ans (92 %) et de 45-54 ans (92 %) de même que les diplômés de niveau collégial (93 %) et universitaire (94 %) sont relativement plus nombreux à utiliser Internet pour effectuer des opérations bancaires.

En 2021, c’est 83 % des adultes québécois qui consultent en ligne le solde de leur compte bancaire et leurs transactions. C’est aussi 83 % des adultes qui effectuent en ligne des opérations courantes comme des paiements de factures ou des virements entre personnes au Canada. Par contre, c’est dans des proportions moindres qu’ils effectuent des placements financiers en ligne sur le portail de leur institution financière (27 % des adultes), qu’ils comparent les offres des institutions financières (26 % des adultes) ou qu’ils achètent ou vendent des actions en ligne (23 % des adultes).

Des méthodes diverses selon les activités bancaires

Autre enseignement : les adultes québécois privilégient des canaux différents dépendamment du type d’activités bancaires à effectuer. D’abord, on constate que presque la moitié des adultes québécois privilégient le mode « présentiel » lorsqu’il est question de faire un plan financier (48 % des répondants) ou d’obtenir un financement hypothécaire (48 % des répondants).

Une proportion également significative d’adultes privilégie le mode « présentiel » pour effectuer des placements (43 % des répondants), pour renouveler ou refinancer une hypothèque (40 % des répondants) et également pour obtenir des conseils financiers (39 % des répondants).

Par contre, pour acquérir une carte de crédit, les adultes vont en premier lieu opter pour le faire en ligne, avec ou sans assistance. C’est le cas de 38 % des adultes. Et lorsqu’ils souhaitent prendre un rendez-vous avec un conseiller, le téléphone est alors la méthode privilégiée de 41 % des adultes.

Paiement et dépôt mobile : quelle tendance ?

Alors que le taux d’utilisation du dépôt mobile a connu une hausse considérable l’an dernier, passant de 25 % en 2019 à 48 % en 2020, on constate qu’il est demeuré stable en 2021. En effet, au cours des 12 derniers mois précédant l’enquête, 46 % des détenteurs d’appareils mobiles, qu’il s’agisse de téléphones intelligents ou de tablettes électroniques, avaient utilisé l’application mobile de leur institution financière pour y déposer un chèque transmis à partir d’une photo.

En 2021, le mode de paiement mobile en magasin a gagné en popularité chez les adultes québécois, avec un taux d’utilisation passant de 17 % en 2019 à 25 % en 2021, ce qui représente un bond de 8 points de pourcentage. Parmi les adultes qui ont utilisé ce type de paiement en magasin au cours des 12 derniers mois, il y a cette année une plus forte proportion d’adultes âgés de 18 à 24 ans (44 %), de 25 à 34 ans (58 %) et de 35 à 44 ans (34 %), de même que de diplômés de l’université (36 %) et d’adultes dont le revenu familial annuel total est de 100 000 $ et plus (45 %).

Quelles sont les nouveaux réflexes pour le magasinage d’assurances en ligne ?

Que ce soit pour eux personnellement ou pour leur ménage, près des trois quarts des adultes interrogés (72 %) s’occupent de magasiner l’assurance auto ou habitation, alors qu’ils sont plus de la moitié (59 %) à le faire pour de l’assurance vie et santé individuelle.

  1. Lors de la demande d’une soumission

Deux tiers des adultes québécois impliqués dans le magasinage de ces produits privilégient, à l’étape de la demande d’une soumission, des moyens plus traditionnels (60 % pour l’assurance auto ou habitation et 63 % pour l’assurance vie et santé individuelle). On parle ici de privilégier le « téléphone » ou le mode « en personne » avec un conseiller.

2. Lors de l’achat de l’assurance

Au moment de l’achat d’une assurance, on remarque que la popularité des moyens plus traditionnels augmente. D’ailleurs, à cette étape, c’est un peu plus des deux tiers des adultes s’occupant du magasinage de l’assurance auto ou habitation (67 %) et de l’assurance vie et santé individuelle (69 %) qui privilégient conclure la transaction par « téléphone » ou « en personne ».

3. Lors de la réclamation d’assurance

Lors d’une réclamation d’assurance, on remarque encore une fois que la majorité des adultes qui magasinent les assurances optent pour des méthodes plus traditionnelles comme « le téléphone » ou une rencontre « en personne ». En effet, les trois quarts de ces adultes (76 %) privilégient le mode « téléphone » ou « en personne » lors d’une réclamation d’assurance auto ou habitation, et un peu moins des deux tiers (62 %) lors d’une réclamation d’assurance vie et santé individuelle.


Méthodologie

Pour réaliser le volet « Services bancaires en ligne » de l’enquête NETendances 2021, une collecte de données a été procédée du 17 mai au 2 juin 2021, au cours de laquelle 1 040 adultes internautes québécois âgés de 18 ans et plus ont été interrogés via le Web. À ces répondants ont été ajoutés des non-internautes issus de la collecte téléphonique annuelle de l’enquête.

Ces résultats ont ensuite été pondérés en fonction du sexe, de l’âge, de la région, de la langue et du niveau de scolarité des répondants afin d’assurer la représentativité de l’ensemble des adultes québécois. La marge d’erreur maximale, selon la proportion estimée, se situe à ± 3,0 % pour la base des adultes et celle des internautes, et ce, 19 fois sur 20.


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Apple autorise désormais les développeurs à proposer des systèmes de paiement alternatifs - L'Usine Digitale

Apple autorise désormais les développeurs à proposer des systèmes de paiement alternatifs
Apple autorise désormais les développeurs à proposer des systèmes de paiement alternatifs © James Yarema/Unsplash

Apple a modifié le 22 octobre 2021 le règlement de l'App Store sur la monétisation des applications. Désormais, les développeurs peuvent informer leurs utilisateurs de l'existence de moyens de paiement alternatifs en dehors de l'App Store. A ceci près qu'ils ne peuvent pas le faire au sein de leur application directement mais par email ou via leur site web. 

Par conséquent, les développeurs peuvent demander des informations de contact, telles le nom et l'adresse email, à leurs utilisateurs. A condition que cette demande soit facultative et que son refus n'empêche pas d'utiliser l'application, précise Apple dans sa mise à jour.

Contourner la taxe de 30%
Cette pratique, qui était jusqu'ici strictement interdite sous peine de sanction, permet de contourner le prélèvement de 30% – depuis peu 15% pour les développeurs ayant réalisé moins d'un million de dollars de chiffre d'affaires sur un an – sur tous les revenus générés via les paiements depuis les smartphones (y compris les abonnements mensuels).

En effet, en informant leurs utilisateurs qu'ils peuvent acheter un abonnement sur leur site internet ou par email, les développeurs ne seront plus soumis à cette taxe, considérée comme trop élevée et totalement injuste par les acteurs du secteur. Elle représente tout particulièrement un désavantage pour des entreprises en compétition avec les services maison d'Apple, comme Spotify pour la musique.

Une réponse à un recours collectif aux Etats-Unis
Ces nouvelles règles sont issues d'un compromis trouvé avec un collectif de développeurs américains en Californie en août 2021. Actées au sein de l'App Store, elles s'appliquent désormais à tous les développeurs quel que soit leur lieu d'activité. En août dernier aussi, une nouvelle législation en Corée du Sud a interdit la firme de Cupertino à obliger les développeurs à utiliser uniquement son système de paiement.

En réalité, ces mises à jour ne bouleversent pas les relations très tendues entre Apple et les développeurs, à l'image de la bataille judiciaire actuellement menée par Epic Games. L'entreprise à l'origine du moteur Unreal et du jeu à succès Fortnite accuse Apple d'abuser de sa position monopolistique en obligeant les développeurs à utiliser son système de paiement pour toutes les transactions réalisées sur les applications accessibles sur sa boutique. Epic remet plus généralement en question la poigne de fer d'Apple sur les appareils qu'il fabrique, avec l'impossibilité pour les utilisateurs d'installer une application sans passer par l'App Store.

Il n'est donc pas certain que les changements initiés permettent à l'entreprise de s'éviter les foudres des régulateurs. La Commission européenne enquête depuis juin 2020 sur le fonctionnement de l'App Store. La procédure, toujours en cours, pourrait découler sur une amende pouvant aller jusqu'à 10% du chiffre d'affaires de la société américaine (111,4 milliards de dollars en 2020).

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Sunday, October 24, 2021

L'argent comptant en voie de disparition - Le Journal de Montréal

L’argent comptant est de moins en moins populaire.

Près de 25% des adultes québécois utilisent leur cellulaire pour payer leurs achats à la caisse, révèle l’Académie de transformation numérique de l’Université Laval. Il s’agit d’une augmentation de 8% par rapport à l’année dernière.

L’enquête révèle également qu’un Québécois sur deux paie ses transactions courantes sur son cellulaire.

«En général, le moyen de paiement qu’on a le plus, c’est la carte bancaire. Ce qui revient assez régulièrement, c’est le téléphone sans contact», explique cet employé de commerce interrogé par TVA Nouvelles.

«Je pense que c’est plus sécuritaire , plus vite, plus facile. Je n’ai pas vraiment besoin d’apporter mes cartes avec moi», affirme ce client.

Selon le consultant en stratégie de communication numérique, Bruno Guglielminetti, la pandémie est en bonne partie responsable l’augmentation du nombre de personnes payant avec leur téléphone cellulaire.

«S’il y a des gens qui hésitaient à le faire, ils ont été incités à le faire. Les commerçants aussi indiquent très clairement, quand vient le temps d’aller à des points de paiement, qu’ils préfèrent les paiements par carte de crédit ou par téléphone», indique-t-il.

Par ailleurs, l’enquête révèle que 75% des Québécois connaissent l’existence de la cryptomonnaie, bien que seulement une personne sur 10 y ait déjà eu recours.

Pour voir le reportage complet, visionnez la vidéo ci-haut.

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L'argent comptant en voie de disparition - TVA Nouvelles

L’argent comptant est de moins en moins populaire.

Près de 25% des adultes québécois utilisent leur cellulaire pour payer leurs achats à la caisse, révèle l’Académie de transformation numérique de l’Université Laval. Il s’agit d’une augmentation de 8% par rapport à l’année dernière.

L’enquête révèle également qu’un Québécois sur deux paie ses transactions courantes sur son cellulaire.

«En général, le moyen de paiement qu’on a le plus, c’est la carte bancaire. Ce qui revient assez régulièrement, c’est le téléphone sans contact», explique cet employé de commerce interrogé par TVA Nouvelles.

«Je pense que c’est plus sécuritaire , plus vite, plus facile. Je n’ai pas vraiment besoin d’apporter mes cartes avec moi», affirme ce client.

Selon le consultant en stratégie de communication numérique, Bruno Guglielminetti, la pandémie est en bonne partie responsable l’augmentation du nombre de personnes payant avec leur téléphone cellulaire.

«S’il y a des gens qui hésitaient à le faire, ils ont été incités à le faire. Les commerçants aussi indiquent très clairement, quand vient le temps d’aller à des points de paiement, qu’ils préfèrent les paiements par carte de crédit ou par téléphone», indique-t-il.

Par ailleurs, l’enquête révèle que 75% des Québécois connaissent l’existence de la cryptomonnaie, bien que seulement une personne sur 10 y ait déjà eu recours.

Pour voir le reportage complet, visionnez la vidéo ci-haut.

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L'argent comptant en voie de disparition - TVA Nouvelles
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Saturday, October 23, 2021

Les concessions promises par Apple en place sur l'App Store - La Presse

(San Francisco) Apple permet désormais aux éditeurs d’applications mobiles de contacter leurs utilisateurs directement et de leur proposer des moyens de paiement non contrôlés par l’App Store, une concession annoncée en août qui ne résout pas le sujet épineux d’une réelle ouverture de sa plateforme.

Agence France-Presse

Le groupe californien a mis à jour vendredi le règlement de son App Store, sa plateforme incontournable de téléchargement des applications sur ses téléphones intelligents et tablettes.

Selon les nouvelles règles, les développeurs peuvent à présent contacter individuellement les consommateurs, par courriel par exemple, pour leur proposer de payer pour un abonnement ou autre service via leur site web.

Ils pourront donc aussi leur demander des informations de base, comme leur nom et adresse courriel, « tant que cette requête reste optionnelle » pour l’utilisateur, précise le fabricant de l’iPhone.

Apple avait proposé ces changements fin août pour mettre fin à des poursuites de petites entreprises qui conçoivent des applications.

Celles-ci pourront ainsi contourner le système de paiement d’Apple, et donc la commission de 15 ou 30 % allant au géant de l’électronique.

Mais cette concession ne satisfait pas de nombreux éditeurs, notamment de jeux vidéo mobiles, comme Epic Games.

Le studio responsable du très populaire jeu Fortnite a intenté un procès à la marque à la pomme qu’il accuse de monopole. En septembre, une juge américaine a en partie blanchi Apple de ces accusations tout en lui ordonnant de ne plus imposer son système de paiement au sein des applications.

Les deux parties ont fait appel. Pour Epic, la possibilité de rediriger des utilisateurs vers une méthode de paiement hors de l’application n’est pas suffisante : la plupart des joueurs sont heureux de pouvoir payer directement dans le jeu, sans en sortir.

Apple fait aussi face à des enquêtes d’autorités américaines et européennes qui l’accusent d’abus de position dominante.

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Les concessions promises par Apple en place sur l'App Store - La Presse
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Friday, October 22, 2021

Bourse: ce qui bouge sur les marchés avant l'ouverture vendredi - LesAffaires.com

(Photo: Getty Images)

De nouveaux résultats d'entreprises positifs et le paiement d'intérêts effectué par le géant chinois ultra-endetté Evergrande ont rendu les marchés boursiers plutôt confiants vendredi. Wall Street s'orientait vers une ouverture en ordre dispersé.

Les indices

Aux États-Unis, vers 8h00, les contrats à terme du Dow Jones gagnaient 79 points, ou 0,22% à 35 559 points. Ceux du S&P 500 augmentaient de 5 points, ou de 0,11% à 4 546,75 points alors que ceux du Nasdaq perdaient 28 points ou 0,18% à 15 450,75 points.

En Europe, les résultats étaient aussi à la hausse. À Londres, le FTSE 100 haussait de 0,57%. À Paris, le CAC 40 montait de 1,01% et à Francfort, le DAX prenait 0,87%.

En Asie, le Nikkei de Tokyo a récolté 0,34%. De son côté, le Hang Seng de Hong Kong a avancé de 0,42%.

Du côté du pétrole, vers 8h00, le prix du baril de WTI américain progressait de 0,96% à 83,29 $US et le baril de Brent de la mer du Nord gagnait 1,06% à 85,51 $US.

Le contexte

Les investisseurs ont été «rassurés par un paiement anticipé du géant immobilier chinois, alors que la probabilité d'un défaut de paiement et le risque associé pour le système financier s'estompaient», explique Pierre Veyret, analyste pour ActivTrades.

Un média d’État chinois affirme en effet qu'Evergrande aurait effectué un versement de 83,5 millions de dollars américains (71,8 millions d'euros) pour honorer un paiement d'intérêts, dont l'échéance était fixée à ce samedi. 

«Si Evergrande a réussi à réunir les fonds nécessaires pour ce paiement, il est raisonnable de penser que ceux des semaines suivantes seront également honorés», ajoute Jeffrey Halley, analyste chez Oanda.

Les marchés sont également soutenus par de nombreux résultats d'entreprises qui dépassent les estimations des analystes. 

«La saison des résultats d'entreprises américaines va continuer de dominer le climat des marchés, et à juste titre», estime Jeffrey Halley, analyste chez Oanda.

Le contexte à moyen terme reste cependant morose, avec des hausses de prix qui ne ralentissent pas ou très peu, des difficultés sur les chaînes d'approvisionnement qui perdurent, la croissance mondiale qui se tasse et le retrait prochain du soutien exceptionnel des banques centrales. 

L'activité du secteur privé dans la zone euro a d'ailleurs ralenti en octobre pour le troisième mois consécutif, selon le cabinet Markit qui note des envolées de prix «sans précédent».

La Banque d'Angleterre (BoE) Huw Pill, a estimé que l'inflation au Royaume-Uni pourrait dépasser cette année 5%, alors que les marchés s'attendent à une hausse des taux d'intérêt rapide et forte dans le pays.

En Russie, la Banque centrale a augmenté pour la sixième fois consécutive son taux directeur, à 7,50%, l'inflation continuant de miner le pouvoir d'achat des Russes.

Sur le marché obligataire, les taux d'intérêt des dettes souveraines restaient stables.

L'action du géant chinois de l'immobilier Evergrande a rebondi de 4,26% à Hong Kong, après un plongeon de 12,54% la veille, jour de reprise de sa cotation.

L'action du géant français des cosmétiques L'Oréal grimpait de 5,92% à 391,15 euros. L'Oréal a confirmé sa reprise au troisième trimestre, dépassant même ses niveaux pourtant élevés de 2019, avec des ventes en progression dans toutes les catégories. 

Tous le secteur du luxe était tiré, à l'instar de LVMH (+1,24% à 667,90 euros) et Hermès (+2,60% à 1 362,50 euros) à Paris, ou encore Burberry (+0,93% à 1 892 pence) à Londres et Moncler (+1,10% à 60,90 euros) à Milan.

Le groupe hôtelier britannique Intercontinental (IHG) perdait 3,10% à 4 841 pence. IHG a vu son revenu par chambre disponible grimper de 66% au troisième trimestre, porté par une hausse de la fréquentation, mais ce chiffre reste 21% sous ses niveaux d'avant la pandémie.

L'euro s'appréciait de 0,14% face au billet vert à 1,1640 $US.

Le bitcoin montait de 1,20% par rapport à la veille à 63 430 $US.

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Portrait des ventes pour non-paiement des taxes - CFNJ

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