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Thursday, March 31, 2022

Viaduc de la montée Paiement: «trop tôt» pour un échéancier, dit le MTQ - Le Droit

Le ministère des Transports du Québec (MTQ) affirme avoir amorcé les premières phases de planification des travaux d’élargissement et de réaménagement du viaduc de la montée Paiement. Il est cependant trop tôt, dit-on, pour préciser un échéancier pour la réalisation des travaux

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Moscou va imposer aux pays "inamicaux" le paiement du gaz en roubles - FRANCE 24

Publié le :

Vladimir Poutine a annoncé, jeudi, que les consommateurs de gaz russe de pays "inamicaux" devront avoir des comptes en roubles en Russie pour régler leurs factures. Cette mesure doit concerner plusieurs États, principalement ceux de l'Union européenne.

De l'eau dans le gaz russe entre Moscou et l'Union européenne. Le président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, a annoncé jeudi 31 mars que les pays consommateurs de gaz russe devront avoir des comptes en roubles pour régler leurs factures, et ce dès le vendredi 1er avril.

Le prix du gaz reste, cependant, libellé dans la devise des contrats en cours, soit le plus souvent en euros ou en dollars.

L'UE est le principal client de la Russie et elle cherche depuis l'offensive en Ukraine à se sevrer de sa dépendance aux hydrocarbures russes.   

Les Européens, comme d'autres pays, "doivent ouvrir des comptes en roubles dans des banques russes. Et de ces comptes ils devront payer le gaz livré et cela dès demain (vendredi)", a déclaré Vladimir Poutine à la télévision après avoir signé un décret en ce sens. Ce décret confie les opérations à Gazprombank, filiale du géant gazier Gazprom.

Vladimir Poutine a ajouté qu'en cas de refus, "les contrats en cours seront arrêtés".

Pas de changement

Le président russe a rappelé que cette mesure était une réponse au gel de quelque 300 milliards de dollars de réserves en devises dont la Russie disposait à l'étranger, une sanction décidée par les Occidentaux en représailles à l'offensive russe en Ukraine.

Dès lors, imposer l'achat de roubles à ses clients "renforce la souveraineté économique et financière" de la Russie, selon le président russe.

Moscou a publié début mars une liste de pays "inamicaux" qui comprend notamment les États-Unis, les membres de l'Union européenne, le Royaume-Uni, le Canada, le Japon, la Suisse, Taïwan, la Corée du Sud, la Norvège et l'Australie.

>> À voir, notre Focus : L'Union européenne contrainte de repenser sa stratégie énergétique

Vladimir Poutine a insisté sur le fait que le paiement en roubles n'aurait aucun effet sur les volumes ou les prix, alors que ceux-ci sont formulés dans la plupart des contrats en devises étrangères. 

De facto, comme l'avait expliqué le Kremlin jeudi matin, les acheteurs devront effectuer une opération de change en Russie. "Pour celui qui reçoit le gaz russe, qui paie les livraisons, il n'y a dans les faits aucun changement. Ils acquièrent juste des roubles pour le montant en devise qui est prévu dans le contrat", a souligné Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin. 

Il a précisé que Vladimir Poutine et le chancelier allemand Olaf Scholz, ainsi que leurs conseillers, avaient discuté en détail du nouveau système mercredi. Le chancelier allemand a néanmoins assuré jeudi que les paiements continueront de se faire en euros.

"Il est écrit dans les contrats que les paiements se font en euros et parfois en dollars", a expliqué Olaf Scholz lors d'une conférence de presse avec son homologue autrichien, Karl Nehammer. "J'ai dit clairement au président russe que cela resterait ainsi" et "les entreprises veulent pouvoir payer en euros et le feront", a-t-il ajouté.

Réduire la dépendance

Le gaz russe est crucial pour l'UE, qui cherche depuis le début de l'offensive de Moscou en Ukraine à se défaire de cette dépendance. Les Vingt-Sept veulent désormais des achats en commun de gaz et les États-Unis vont augmenter leurs livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL) à l'Europe.

Par ailleurs, la Commission européenne a mené des inspections surprises en Allemagne dans des locaux de Gazprom qu'elle suspecte d'avoir fait monter les prix du gaz en Europe en abusant de sa position dominante.

La décision de passer à une facturation en roubles doit permettre à la Russie de soutenir sa monnaie nationale, chahutée par les sanctions, mais la privera d'une source de devises. D'ores et déjà, la Russie oblige ses exportateurs, y compris Gazprom, à convertir 80 % de leur chiffre d'affaires en roubles. 

Ces mesures et un taux d'intérêt directeur à 20 % ont permis à la monnaie russe de se reprendre. Après avoir considérablement dévissé dans la foulée du début de l'offensive russe, le 24 février, elle revient à des niveaux proches de ceux d'avant l'assaut.

Selon les chiffres de la Banque centrale russe, ses réserves – qui incluent encore les 300 milliards bloqués – sont passées entre le 18 février et le 25 mars de 643,2 à 604,4 milliards de dollars, donnant une idée des interventions pour soutenir l'économie russe depuis un mois. 

Avec AFP

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Le Kremlin minimise la portée du paiement du gaz russe en roubles - LesAffaires.com

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rappelé les ambassadeurs d'Ukraine au Maroc et en Géorgie, jugeant qu'ils n'étaient pas assez «efficaces». (Photo: 123RF)

Ce texte regroupe toutes les réactions depuis l'invasion de la Russie en Ukraine pour la journée du 31 mars 2022. Il sera mis à jour au courant de la journée. Pour retrouver toute notre couverture sur le conflit, c'est ici.  

8h12 | Moscou — Le Kremlin a minimisé jeudi la portée de sa mesure obligeant les Européens à payer leurs factures de gaz en roubles et non plus en euros, jugeant qu'il s'agissait d'une simple opération de change.

Vladimir Poutine avait annoncé la semaine dernière l'obligation pour les clients européens de Gazprom de régler leurs factures en roubles et non plus en euros ou en dollars, mesure présentée comme des représailles après des sanctions occidentales qui ont gelé une grosse partie des réserves en devises russes après l'offensive en Ukraine.

«De facto, pour celui qui reçoit le gaz russe, qui paye les livraisons, il n'y a dans les faits aucun changement. Ils acquièrent juste des roubles pour le montant en devise qui est prévu dans le contrat» d'approvisionnement en gaz, a souligné Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin. 

«La Russie reste fidèle à ses obligations contractuelles, en volume comme en prix», a-t-il dit, précisant que Vladimir Poutine et le chancelier allemand Olaf Scholz, ainsi que leurs conseillers, avaient discuté en détail du nouveau système la veille.

Le gaz russe est crucial pour l'UE, qui cherche depuis le début de l'offensive russe en Ukraine à trouver les moyens de se défaire de cette dépendance. 

La décision de passer à une facturation en roubles permet à la Russie de soutenir sa monnaie nationale, chahutée par les sanctions, mais la privera d'une source de devises.

D'ores et déjà, la Russie oblige ses exportateurs, y compris Gazprom, à convertir 80% de leurs chiffres d'affaires en roubles. 

Ces mesures et un taux d'intérêt directeur à 20% ont permis à la monnaie russe de se reprendre. Après avoir considérablement dévissé dans la foulée du début de l'offensive russe le 24 février, elle revient à des niveaux proches du ceux enregistrés avant l'assaut.

Stellantis va suspendre l'activité de son usine russe «faute de pièces»

6h31 | Paris — Le groupe Stellantis va bientôt suspendre la fabrication d'utilitaires dans son unique usine russe, à Kaluga (sud-ouest de Moscou), faute de pièces, a annoncé jeudi le directeur général du groupe automobile, Carlos Tavares.

«L'usine Stellantis de Kaluga, en Russie, devra cesser ses activités en raison d'une pénurie de composants, ce qui ne rendra pas le monde meilleur», a déclaré Carlos Tavares lors d'un déplacement à l'usine Mirafiori de Turin, selon le groupe. 

Le groupe avait déjà annoncé début mars l'arrêt de toute importation et exportation vers et depuis la Russie, et son usine de Kaluga tournait au ralenti, avec ses 2 700 salariés. 

Alors que Stellantis comptait sur l'usine pour alimenter le marché européen en camionnettes Peugeot, Citroën et Opel, la guerre en Ukraine l'a forcé à transférer ces volumes de production à Hordain, en France, et à Luton, en Angleterre.

«Nous suivons les lois à la lettre, nous faisons tout pour respecter les sanctions, mais nous avons besoin de paix», a poursuivi M. Tavares. «J'espère que la paix reviendra, car notre entreprise crée du bien-être et de la richesse».

La plupart des constructeurs automobiles ont suspendu leur production industrielle en Russie, principalement destinée au marché local. 

Volkwagen, mais aussi le fabricant de poids lourds Volvo, avaient déjà annoncé début mars l'arrêt de leurs usines à Kaluga. Toyota a suspendu l'activité dans son usine de Saint-Pétersbourg.

L'usine Renault de Moscou est aussi en pause, mais le groupe français est plus exposé via sa participation majoritaire dans Avtovaz, le N° 1 du marché russe avec sa marque Lada. Les 35 000 employés de l'usine Avtovaz de Togliatti (sud) doivent prendre bientôt leurs trois semaines de congés d'été, en raison d'une pénurie de composants importés. La firme au Losange a prévu d'évaluer «les options possibles» concernant sa participation et prépare une éventuelle sortie.

Zelensky rappelle les ambassadeurs au Maroc et en Géorgie, «pas efficaces»

6h15 | Kyiv — Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a rappelé les ambassadeurs d'Ukraine au Maroc et en Géorgie, jugeant qu'ils n'étaient pas assez «efficaces» pour obtenir des armes ou des sanctions contre la Russie dans ces deux pays. 

«Il y a ceux qui travaillent pour que l'Ukraine puisse se défendre et se battre pour son avenir et il y a ceux qui perdent leur temps en s'accrochant à leurs postes. J'ai signé un premier décret pour rappeler une telle personne, l'ambassadrice au Maroc» Oksana Vassilieva, a-t-il déclaré dans un message vidéo mercredi. 

«Nous avons aussi rappelé l'ambassadeur en Géorgie» Igor Dolgov, a ajouté le président ukrainien.

L'ambassadeur ukrainien en Géorgie avait été rappelé début mars pour consultations suite au refus du gouvernement géorgien d'approuver des sanctions contre la Russie. Tbilissi empêchait par ailleurs l'arrivée de combattants volontaires depuis la Géorgie en Ukraine.

«Avec tout le respect, s'il n'y a pas d'armes, pas de sanctions, pas de restrictions contre le business russe, cherchez s'il vous plaît un autre travail», a-t-il martelé.

«J'attends des résultats dans les jours qui viennent de nos représentants en Amérique latine, au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est et en Afrique. J'attends également des résultats de nos attachés militaires. Le front diplomatique est un front clé et tous doivent travailler de façon efficace», a-t-il conclu.

Zelensky exhorte les Pays-Bas à «être prêts» à boycotter l'énergie russe

5h59 | La Haye — Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a demandé jeudi aux Pays-Bas d'être prêt à boycotter l'énergie russe lors d'un discours devant le Parlement néerlandais.

«Soyez prêts à arrêter les exportations d'énergie en provenance de Russie pour ne pas payer des milliards pour la guerre», a-t-il dit lors d'une intervention en visioconférence.

La Russie est le principal fournisseur de gaz naturel de l'Europe. Soucieux d'isoler Moscou et de priver la Russie de sources de revenus après son invasion de l'Ukraine, Bruxelles veut réduire des deux tiers dès cette année les achats européens de gaz russe.

Le plus grand gisement de gaz naturel d'Europe se trouve dans le nord des Pays-Bas, dans la région de Groningue. À cause de séismes à répétition, le gouvernement néerlandais a promis aux habitants la fermeture à terme du robinet.

Pour devenir moins dépendante du gaz russe, une solution consiste à extraire davantage de gaz à Groningue que prévu, mais le gouvernement souhaite limiter cela autant que possible.

À terme, l'extraction de gaz à Groningue devra vraiment s'arrêter en 2023 ou 2024, a récemment indiqué le gouvernement, tout en précisant qu'aucune certitude ne pouvait être donnée compte tenu de la conjoncture internationale.

Lors de son discours devant le Parlement néerlandais jeudi, le président ukrainien a par ailleurs demandé des sanctions «plus fortes» et «l'arrêt de tout commerce» avec la Russie.

Le président ukrainien s'est déjà adressé à plusieurs parlements occidentaux, s'exprimant chaque fois en visioconférence dans sa langue (traduite en simultané) et apparaissant en chef de guerre assis devant le drapeau de son pays.

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Tuesday, March 29, 2022

Les délais de paiement se sont améliorés en 2021 - Le Figaro

Selon une étude du cabinet Altares les délais de paiement se réduisent dans l’Hexagone.

Pas de retour à la situation de l’avant-crise, mais la lente décrue des délais de paiement se poursuit, selon l’étude du cabinet Altares. Fin 2021, ils sont redescendus à 12,5 jours de retard en moyenne (au-delà des 60 jours légaux), après avoir grimpé à 14,4 jours lors de l’été 2020. C’est encore loin des efforts menés en 2018, où ils avaient reflué sous la barre des 11 jours. La France s’est toutefois détachée de la moyenne européenne, qui a atteint l’an dernier 13,6 jours. Mais elle reste à la traîne des bons élèves hollandais et allemands, avec respectivement 4,5 et 6,4 jours de retard. Elle s’est même fait ravir la troisième marche du podium par la Belgique (10,6 jours).

Malgré les progrès réalisés dans l’Hexagone, des disparités persistent selon les secteurs. Dans l’hébergement et la restauration, les délais de paiement restent supérieurs à 20 jours, après avoir dépassé les 25 jours au plus fort de la pandémie. «La fin de l’année 2021 a montré des signes d’amélioration. Le secteur va retrouver des pratiques convenables ; mais il aura des défaillances», prévient Thierry Millon, directeur des études d’Altares. Depuis octobre, les retards ont progressé dans le transport-logistique (16 jours en moyenne), où les délais légaux de règlement sont à 30 jours. Une orientation préoccupante que risque d’accroître la flambée des prix des carburants.

Quant au commerce, les délais sont passés sous 14 jours, mais ils sont plus élevés dans l’habillement (18 jours), où il n’y a pas d’amélioration. Les grands groupes sont toujours loin de montrer l’exemple. L’écart est de 5 jours de retard entre les entreprises de moins de 50 salariés et celles de plus de 1000. Les disparités régionales subsistent, avec en queue de peloton l’Île-de-France (17,3 jours). La Bretagne (9,8 jours) et les Pays de la Loire (10,3 jours) sont les régions les plus vertueuses.

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La SAAQ explique le congé de paiement du permis de conduire - Le Journal de Montréal

Les automobilistes québécois ont eu une belle surprise en ce début d'année. En effet, les détenteurs d’un permis de conduire du Québec paieront moins cher le renouvellement de celui-ci.

Pour en discuter, Antoine Joubert et Germain Goyer ont reçu Mario Vaillancourt, porte-parole de la SAAQ, à l’émission Le Guide de l’auto, sur QUB radio

Pour 2022 et 2023, les automobilistes québécois ne paieront que 24$ pour renouveler leur permis, ce qui correspond aux frais de base seulement. «Le congé de paiement de contribution d’assurance pour le permis de conduire est possible étant donné que les revenus de placement étaient plus élevés que ce qui avait été anticipé par les actuaires dans les dernières années», explique M. Vaillancourt. L'amélioration du bilan routier en 2020 est un autre facteur qui a permis à la SAAQ d'offrir ce petit cadeau aux conducteurs québécois. 

Les contributions d'assurances qui sont habituellement incluses dans le coût de renouvellement du permis de conduire servent à indemniser les gens qui sont impliqués dans un accident de la route. «Ça prend un taux de capitalisation qui est d'au moins 100% [...] mais on était au-delà du 120% et c'est la raison pour laquelle le congé de paiement a été attribué», explique Mario Vaillancourt, en soulignant toutefois que les conducteurs ayant des points d'inaptitude à leur dossier devront payer davantage. 

Les plaques personnalisées ont la cote 

En juillet 2018, la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) proposait un nouveau service aux automobilistes d’ici, soit de pouvoir commander une plaque d’immatriculation personnalisée. Ce service, qui était déjà offert dans la plupart des autres provinces et États d'Amérique du Nord, connaît un grand succès depuis son implantation. 

«Les automobilistes qui désiraient avoir une plaque d’immatriculation personnalisée étaient très heureux de voir ce programme arriver. On est rendu à plus de 54 000 plaques demandées», mentionne M. Vaillancourt. 

Les jeunes demeurent surreprésentés dans les accidents 

Le bilan routier complet de l’année 2021 n’est pas encore finalisé. En revanche, le bilan préliminaire couvrant la période de janvier à octobre rapporte un nombre de décès similaire entre 2020 et 2021. On en a respectivement comptabilisé 287 et 281. Sur un horizon de cinq ans, une baisse est constatée.

Dans son analyse des données, M. Vaillancourt souligne la surreprésentation des jeunes conducteurs dans les accidents de la route. «Depuis une décennie, on remarque une amélioration du bilan routier chez les jeunes. Ils demeurent toutefois surreprésentés dans les accidents avec dommages corporels. Les conducteurs âgés de 16 à 24 ans sont impliqués dans 18% des accidents avec dommages corporels alors qu’ils ne représentent que 8% des titulaires de permis», précise le porte-parole de la SAAQ.

Actualités de la semaine 

Au cours de cette émission, il a été question aussi de la prolongation et de la modification du programme Roulez vert ainsi que de la nouvelle motorisation chez Stellantis

Essais routiers 

Les deux animateurs ont livré leurs impressions sur les Genesis GV80 2022 et Audi S3 2022 récemment mis à l’essai. 

Le Guide de l'auto, c'est tous les samedis à 10h sur QUB radio, en reprise le dimanche à 18h.

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Monday, March 28, 2022

Demander le paiement du gaz russe en roubles n'est «pas acceptable», affirme le G7 - LesAffaires.com

(Photo: 123RF)

Ce texte regroupe toutes les réactions depuis l'invasion de la Russie en Ukraine pour la journée du 28 mars 2022. Il sera mis à jour au courant de la journée. Pour retrouver toute notre couverture sur le conflit, c'est ici.  

8h48 | Berlin — Les pays du G7 ont estimé lundi qu'exiger un paiement en roubles du gaz russe n'est «pas acceptable» et montre que le président russe Vladimir Poutine est «dos au mur», a déclaré le ministre allemand de l'Économie Robert Habeck.

«Tous les ministres du G7 sont tombés d'accord sur le fait qu'il s'agissait d'une violation unilatérale et claire des contrats existants (…) ce qui signifie qu'un paiement en roubles n'est pas acceptable», a dit M. Habeck, à l'issue d'une réunion virtuelle avec ses homologues du G7.

«Je pense qu'il faut interpréter cette demande comme le fait que Poutine est dos au mur», a-t-il ajouté.

Vladimir Poutine a annoncé la semaine dernière que la Russie n'accepterait plus de paiements en dollars ou en euros pour les livraisons de gaz à l'UE, donnant une semaine aux autorités russes pour élaborer un nouveau système de règlement en roubles.

«Nous demandons aux entreprises concernées de ne pas répondre à la demande de Poutine», a encore affirmé Robert Habeck lundi, qualifiant la Russie de «fournisseur pas fiable».

À travers cette exigence, «la tentative de Poutine de nous diviser est évidente», a ajouté le ministre dont le pays préside cette année le G7 (États-Unis, France, Grande-Bretagne, Canada, Japon, Allemagne et Italie).

Le président russe a expliqué que sa décision était une réaction au gel des actifs de la Russie décidée par les Occidentaux pour sanctionner Moscou après l'invasion de l'Ukraine.

Nombre des acheteurs européens du gaz russe — dont l'Allemagne, la Pologne ou encore la France – ont dénoncé cette demande, estimant que la Russie violait par ce biais ses contrats avec les entreprises européennes achetant du gaz.

Malgré l'invasion de l'Ukraine par Moscou, le gaz russe continue d'affluer vers l'Union européenne, qui refuse d'imposer un embargo, comme les États-Unis.

Certains pays européens, comme l'Allemagne, sont en effet particulièrement dépendants de cette ressource pour leur économie.

Berlin, qui se fournissait avant la guerre à plus de 55% auprès de la Russie, cherche à réduire rapidement sa dépendance en démarchant d'autres producteurs, mais n'envisage pas pouvoir se passer de gaz russe avant mi-2024.

Le gouvernement allemand va notamment accélérer la construction de terminaux GNL en vue d'importer du gaz liquéfié.

Un accord a été signé mi-mars avec le Qatar, important exportateur de GNL (gaz naturel liquéfié), pour une «fourniture de long terme», lors d'une visite de M. Habeck dans ce pays du Golfe.

Heineken annonce son retrait de la Russie

8h07 | La Haye — Le brasseur néerlandais Heineken (HEIA.AS, 88,26 €) a annoncé lundi qu'il quitterait la Russie, où il compte 1 800 employés, à cause de la guerre en Ukraine qui se poursuit et continue à «s'intensifier». 

L'activité en Russie de Heineken n'est «plus viable dans l'environnement actuel», indique dans un communiqué le deuxième plus gros brasseur mondial. «Par conséquent, nous avons décidé de quitter la Russie», ajoute-t-il.

«Nous visons une cession ordonnée de notre entreprise à un nouveau propriétaire en pleine conformité avec les lois internationales et locales», a précisé Heineken, qui avait annoncé le 9 mars l'arrêt de la production et de la vente de sa marque de bière en Russie. 

Le brasseur a souligné qu'il ne profiterait pas d'une cession de propriété et prévoit que la transaction lui coûtera 400 millions d'euros en raison de la perte de valeur de cet actif et autres «charges exceptionnelles».

«Nous continuons d'espérer qu'une voie vers une issue pacifique émerge à court terme», a souhaité Heineken.

Le groupe a garanti le paiement des salaires de ses 1 800 collaborateurs en Russie jusqu'à fin 2022. 

Fondé au XIXe siècle à Amsterdam, Heineken produit et vend plus de 300 marques de bière et de cidre, dont Heineken, Strongbow et Amstel, et emploie plus de 85 000 personnes à l'échelle mondiale.

Des centaines d'entreprises et groupes internationaux ont ces dernières semaines annoncé, certaines sous-pressions, la suspension de leurs activités en Russie ou leur retrait progressif du pays en raison de l'invasion de l'Ukraine. 

La semaine dernière, le président Zelensky, dans un message au Parlement français, avait exhorté les entreprises françaises implantées en Russie à cesser de soutenir «la machine de guerre» russe et à quitter ce pays, citant Renault, Auchan et Leroy Merlin.

Auchan, qui emploie 30 000 personnes en Russie, a annoncé qu'il maintenait ses activités dans le pays, arguant notamment de la nécessité de soutenir le pouvoir d'achat des Russes.

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Retards de paiement aux travailleurs dans la santé: les versements ont commencé - La Voix de l'Est

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Retards de paiement aux travailleurs dans la santé: les versements ont commencé  La Voix de l'Est
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Tuesday, March 22, 2022

Travailleurs de la santé | Les paiements dus ont commencé à être versés - La Presse

Les paiements dus à des milliers de travailleurs dans la santé, depuis des mois, ont finalement commencé à être versés.

Publié hier à 12h03
Lia Lévesque La Presse Canadienne

La Presse Canadienne avait révélé, en octobre dernier, que des milliers de préposés aux bénéficiaires étaient victimes de ces retards de paiement, qui concernaient des augmentations de salaire et des primes, et même des versements d’équité salariale remontant à 2010.

Puis, au début de novembre, La Presse Canadienne avait rapporté que des infirmières aussi étaient touchées par les mêmes retards de paiement.

Québec avait alors expliqué ces retards de paiement par les nombreux changements à apporter aux paies, ainsi que le nombre d’employés touchés — ce qui fait que les entreprises privées qui font le traitement de la paie n’avaient pu effectuer les modifications à temps. Le tout survenait après le renouvellement des conventions collectives dans le secteur public.

Les travailleurs de la santé étaient en colère, d’autant plus que Québec leur en demandait encore plus, en temps de pandémie, et suspendait même des clauses de leurs conventions collectives.

Or, la situation est en voie de se résorber, même si tout n’est pas limpide et que les versements proviennent parfois d’avances qui sont versées aux travailleurs.

« Il reste encore de la grosse méfiance. Il y en a qui ont des avances ; ils ne savent pas combien ils vont avoir. Notre monde n’en est pas revenu de tout le temps que ça a pris », s’est exclamée en entrevue Sylvie Nelson, présidente du Syndicat québécois des employés de service (SQEES), affilié à la FTQ, qui représente des préposés aux bénéficiaires.

« On espère qu’il n’y a pas trop d’erreurs » dans ces versements, s’empresse d’ajouter Mme Nelson.

Le SQEES a fait savoir que la majorité des primes et des augmentations de salaire dues avaient commencé à être versées, et ce, dans la plupart des établissements de santé.

Pas encore pour l’équité

Ce n’est toutefois pas le cas pour les versements d’équité salariale qui remontent, eux, à plusieurs années, soit 2010 ou 2015.

Ces versements d’équité salariale touchent aussi des adjointes administratives, par exemple.

« Le premier ministre Legault nous a dit : “je vais remettre de l’argent dans le portefeuille des Québécois” (lors du budget de mardi). J’ai hâte de voir ça ; pas de problème avec ça. Mais il devrait peut-être, avant, commencer à penser à régler la dette qu’il a envers des milliers de Québécoises. Parce qu’elles aussi, leur portefeuille… ça fait plus de 11 ans qu’elles attendent l’argent qu’on leur doit », a lancé Mme Nelson.

Et les infirmières

Du côté de la FIQ (Fédération interprofessionnelle en santé), on décrit une situation « à géométrie très variable » après avoir fait un coup de sonde auprès des membres.

Ainsi, les paiements de rétroactivité et les augmentations de salaire ont commencé à être versés, mais « pas pour tout le monde », indiquait lundi l’organisation syndicale des infirmières, infirmières auxiliaires et autres professionnelles en soins.

Et surtout, plusieurs primes prévues dans la convention collective et d’autres primes annoncées dans les arrêtés ministériels n’ont toujours pas été versées, a ajouté la FIQ.

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Quel avenir pour le paiement dans les prochaines années ? - JDN

Digitalisation accélérée, évolution de la consommation… l'industrie des paiements est en plein bouleversement. Partout dans le monde.

Dans l’univers des paiements comme sur bon nombre de secteurs, la pandémie a eu, a et aura un impact évident. La digitalisation accélérée en est une des conséquences (et elle sera sans retour en arrière), tout comme l’intensification du paiement sans contact dopé en France par son plafond relevé à 50 euros, du paiement mobile, du paiement par wallet… 

Cependant la crise sanitaire n’est pas la seule explication de la transformation du paiement et des solutions qui en émanent. En effet, les consommateurs ont pris un virage important dans leurs attentes et dans leur façon de consommer : passage d’une consommation basée sur la propriété à une consommation à l’usage, demande de plus de flexibilité, de fluidité et de choix dans les parcours d’achat, besoin d’immédiateté. Ces évolutions des comportements imposent à l’industrie des paiements une refonte en profondeur.

Certains acteurs, comme les GAFAs et leurs homologues chinois, les BATX, ont bien saisi ces évolutions et se préparent à façonner, à leur manière, le paiement de demain. Face à ces mastodontes américains et chinois, l’Union européenne n’a pas d’autres choix que de bâtir une Europe des paiements sur des bases solides, car il en va de sa souveraineté.

Des innovations pour toutes les formes de paiement

Payer de n’importe où, à n’importe quel moment, de façon rapide et simple, via un seul service, avec une seule identification, et bien sûr, dans un cadre innovant et sécurisé, voilà ce qu’attendent aujourd’hui les consommateurs.

C’est donc tout naturellement que le paiement de demain va orienter ses efforts d’innovation vers :

  • Plus de mobilité avec une multiplication des développements technologiques pour des applications de paiement mobiles natives, qui bénéficieront aussi à l’évolution du sans contact et des wallets.
  • Le paiement sans contact : fort de son succès (utilisé aujourd’hui en France pour la moitié des paiements par cartes), le sans contact voit son avenir devenir biométrique. Les cartes bancaires biométriques, où les empreintes digitales remplacent le code pin, commencent d’ailleurs à faire leur apparition.
  • Les Wallets ou porte-monnaies électroniques : appréciés pour leur sécurité, ils poursuivent leur essor partout dans le monde, avec une croissance tirée vers le haut par les utilisateurs asiatiques (60% des paiements en Asie se font par wallet contre 26% en Europe).
  • Le paiement vocal : grâce à l’utilisation croissante des assistants vocaux, montres ou enceintes connectées, smartphones évidemment, le voice commerce décolle enfin. Et avec les appareils embarqués (voitures, télés, consoles de jeux…), on est encore loin d’avoir fait le tour de tous les usages et opportunités possibles.
  • L’Instant payment : ce virement instantané va s’installer progressivement mais durablement parmi les moyens de paiement européens. Grâce au paiement en temps réel qu’il permet, à l’absence de date de fin de validité et à son plafond bien supérieur à celui des cartes bancaires, il répond parfaitement aux nouveaux modes de consommation.

Pour les marchands, l’avenir est à une plus grande flexibilité afin qu’ils gagnent en agilité pour mettre en place rapidement de nouveaux modèles de vente tels que le request to pay, ou le Variable Recurring payment,.. permis par l’Open Banking et le partage des données entre acteurs financiers.

Le paiement : un enjeu de souveraineté européenne

Le rôle prépondérant des réseaux de carte internationaux et l’arrivée de nouveaux acteurs, de l’Internet notamment, sur le marché des services financiers incitent fortement l’Europe, depuis plusieurs années déjà, à organiser et structurer un cadre réglementaire européen harmonisé.

La DSP2 marque une étape majeure sur cette voie et l’émergence de l’instant payment comme moyen de paiement paneuropéen montre qu’il existe une vraie volonté de l’Europe de ne pas dépendre des Américains aujourd’hui, ni des Chinois demain.

Le lancement de l’Initiative européenne des paiements (EPI), projet interbancaire majeur dans lequel une vingtaine de banques européennes sont actuellement engagées, constitue une nouvelle étape vers la souveraineté européenne dans le domaine des paiements. 

En visant la création d’un nouveau standard européen des paiements, unifié pour les consommateurs et les marchands, l’EPI peut se révéler décisive, pour peu que les pays arrivent à se mettre d’accord sur une roadmap commune et sur son financement. 

Mais dans cette évolution vers l’Europe des paiements, que nous soutenons avec enthousiasme, tous les acteurs concernés doivent être intégrés. Les Fintechs au premier chef : en plus de leur capacité à innover, elles ont une réelle expertise terrain et, pour certaines d’entre elles, un engagement déjà important dans des projets paneuropéens. Il serait donc fort dommage de se priver de leurs expertises et leurs expériences pour un projet d’une telle ampleur et aux enjeux cruciaux…

Le paiement de demain est loin d’être figé, le secteur étant très actif, les acteurs nombreux et les initiatives multiples. L’avenir est aux paiements fluides qui répondent à des usages, à des besoins et qui garantissent à la fois sécurité et respect de la protection des citoyens. 

La sortie de pandémie, que nous espérons tous, sera aussi l’occasion de poser les bases de cette Europe des paiements de plus en plus nécessaire.

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Quel avenir pour le paiement dans les prochaines années ? - JDN
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Monday, March 21, 2022

Retards de paiement aux travailleurs dans la santé: les versements ont commencé - L'Hebdo Journal

MONTRÉAL — Les paiements dus à des milliers de travailleurs dans la santé, depuis des mois, ont finalement commencé à être versés.

La Presse Canadienne avait révélé, en octobre dernier, que des milliers de préposés aux bénéficiaires étaient victimes de ces retards de paiement, qui concernaient des augmentations de salaire et des primes, et même des versements d’équité salariale remontant à 2010.

Puis, au début de novembre, La Presse Canadienne avait rapporté que des infirmières aussi étaient touchées par les mêmes retards de paiement.

Québec avait alors expliqué ces retards de paiement par les nombreux changements à apporter aux paies, ainsi que le nombre d’employés touchés — ce qui fait que les entreprises privées qui font le traitement de la paie n’avaient pu effectuer les modifications à temps. Le tout survenait après le renouvellement des conventions collectives dans le secteur public.

Les travailleurs de la santé étaient en colère, d’autant plus que Québec leur en demandait encore plus, en temps de pandémie, et suspendait même des clauses de leurs conventions collectives.

Or, la situation est en voie de se résorber, même si tout n’est pas limpide et que les versements proviennent parfois d’avances qui sont versées aux travailleurs.

«Il reste encore de la grosse méfiance. Il y en a qui ont des avances; ils ne savent pas combien ils vont avoir. Notre monde n’en est pas revenu de tout le temps que ça a pris», s’est exclamée en entrevue Sylvie Nelson, présidente du Syndicat québécois des employés de service (SQEES), affilié à la FTQ, qui représente des préposés aux bénéficiaires.

«On espère qu’il n’y a pas trop d’erreurs» dans ces versements, s’empresse d’ajouter Mme Nelson.

Le SQEES a fait savoir que la majorité des primes et des augmentations de salaire dues avaient commencé à être versées, et ce, dans la plupart des établissements de santé.

Pas encore pour l’équité

Ce n’est toutefois pas le cas pour les versements d’équité salariale qui remontent, eux, à plusieurs années, soit 2010 ou 2015.

Ces versements d’équité salariale touchent aussi des adjointes administratives, par exemple.

«Le premier ministre Legault nous a dit: ‘je vais remettre de l’argent dans le portefeuille des Québécois’ (lors du budget de mardi). J’ai hâte de voir ça; pas de problème avec ça. Mais il devrait peut-être, avant, commencer à penser à régler la dette qu’il a envers des milliers de Québécoises. Parce qu’elles aussi, leur portefeuille… ça fait plus de 11 ans qu’elles attendent l’argent qu’on leur doit», a lancé Mme Nelson.

Et les infirmières

Du côté de la FIQ (Fédération interprofessionnelle en santé), on décrit une situation «à géométrie très variable» après avoir fait un coup de sonde auprès des membres.

Ainsi, les paiements de rétroactivité et les augmentations de salaire ont commencé à être versés, mais «pas pour tout le monde», indiquait lundi l’organisation syndicale des infirmières, infirmières auxiliaires et autres professionnelles en soins.

Et surtout, plusieurs primes prévues dans la convention collective et d’autres primes annoncées dans les arrêtés ministériels n’ont toujours pas été versées, a ajouté la FIQ. 

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Carte bancaire : le paiement sans contact va évoluer, voici ce qui va changer - Ouest-France

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Carte bancaire : le paiement sans contact va évoluer, voici ce qui va changer  Ouest-France
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Wednesday, March 16, 2022

Sanctions: la Russie, menacée de défaut, face à une première échéance de paiement - Le Journal de Québec

La Russie fait face mercredi à une première échéance de paiement d'obligations qui la menace d'un défaut de paiement, ses avoirs à l'étranger étant gelés par des sanctions occidentales. 

Mercredi, Moscou doit rembourser 117 millions de dollars sur deux euro-obligations, la première d'une série de plusieurs échéances en mars-avril.

Mais aujourd'hui, en représailles à l'intervention militaire russe en Ukraine, la partie des réserves russes détenues à l'étranger, environ 300 milliards de dollars, est gelée dans le cadre des sanctions occidentale.

Lundi, le ministère des Finances a annoncé avoir envoyé «un ordre de paiement à la banque correspondante concernant le paiement (...) d'un montant total de 117,2 millions de dollars».

Or le ministre des Finances Anton Silouanov avait menacé plus tôt lundi de rembourser les dettes russes en roubles. 

«Les déclarations selon lesquelles la Russie ne peut remplir ses obligations concernant sa dette publique ne correspondent pas à la réalité», avait-il insisté, accusant les occidentaux de vouloir «provoquer un défaut artificiel».

Si la Russie paie en roubles, comme elle a menacé de le faire, une période de 30 jours commencera au bout de laquelle la Russie sera déclarée en défaut de paiement sur sa dette extérieure, une première depuis 1918, quand Lénine avait renié les obligations du pays.

Mais un certain flou demeure autour de cette première échéance. Les analystes de JPMorgan estiment eux que ces paiements devraient être possibles.

Le Trésor américain précise que le paiement des intérêts est possible jusqu'au 25 mai 2022, pour les personnes américaines, sur les obligations émises avant le 1er mars 2022 par la Banque centrale de Russie, un fonds souverain russe, ou le ministère des Finances.

Après cette date, il leur faudra une autorisation pour continuer à recevoir ces paiements.

Les sanctions occidentales ont paralysé une partie du système bancaire et financier russe et provoqué un effondrement du rouble. Un défaut de paiement coupe un État des marchés financiers et compromet son retour pour des années.

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Tuesday, March 15, 2022

Comment expliquer l'essor du paiement fractionné au Canada ? - Isarta

Kristina Elkhazin, directrice générale de Klarna Canada

15 mars 2022

Mené entre autres par de jeunes fintech, le secteur du paiement fractionné est en pleine croissance partout dans le monde. Porté par cette vague, un nouveau joueur de l’industrie, Klarna, vient de s’installer au Canada.

Il y a un mois, Block (anciennement Square), complétait l’acquisition de la fintech australienne Afterpay, créée en 2014. La transaction a été évaluée à 29 milliards de dollars américains.

Pourquoi payer une telle somme pour une entreprise méconnue d’une grande partie du public et créée il y a moins de 10 ans ? En partie en raison de ses ententes avec plus de 100 000 marchants. En partie aussi en raison de la croissance rapide de sa base de clients (évaluée à plus de 16 millions en 2021), ainsi qu’au fait que l’entreprise évolue dans un secteur en pleine ébullition : celui du paiement fragmenté.

En effet, aux États-Unis seulement, on estime que le nombre d’usagers de services dits « achetez maintenant, payez plus tard » a plus que doublé entre 2020 et cette année. On estime aussi que ce nombre d’usagers continuera d’augmenter de façon importante dans les années à venir.

En raison de son potentiel, le marché du paiement fragmenté est extrêmement compétitif. Certains marchants offrent eux-mêmes à leurs clients des facilités de paiements en plusieurs versements sans intérêt. Des géants comme Amazon proposent ainsi du paiement fractionné sur certains items. On y retrouve aussi des fintech comme Afterpay donc, mais aussi Klarna, jeune entreprise suédoise qui, tout comme son concurrent australien, a connu une croissance rapide dans les dernières années.

Une présence et des investissements au Canada

En début d’année, Klarna annonçait son entrée officielle sur le marché canadien. Celle-ci possède déjà des ententes avec différents partenaires afin d’offrir ses services. Son principe de base est simple : Klarna offre de payer ses achats en quatre versements égaux sur une période de six semaines ou moins.

Basé sur la donnée disponible pour le marché américain, on estime à 150 dollars le montant moyen d’un achat effectué avec Klarna , mentionne Kristina Elkhazin, directrice générale de Klarna Canada. Toujours selon ses informations, les vêtements, les accessoires de mode, les produits de beauté ainsi que les produits de sport et de divertissement seraient les catégories de produits les plus populaires auprès des utilisateurs de Klarna.

L’utilisateur moyen de Klarna aurait 40 ans. Toutefois, Mme Elkhazin mentionne que le segment ayant connu la forte croissance en 2020-2021 est celui des 55 ans et plus. Ici, on peut faire un parallèle avec le fait qu’au Québec, durant la pandémie, c’est aussi à l’intérieur de ce segment que la proportion de cyberacheteurs a le plus augmenté.     

Une majorité d’achats réglés dans les délais

Un des reproches souvent fait aux entreprises du secteur « achetez maintenant, payez plus tard » est que ces derniers risquent de contribuer à l’endettement de certains consommateurs. À ce sujet, Klarna mentionne que la grande majorité de leurs clients (99 %) paient leurs achats dans les délais. Pour l’usager qui effectue des paiements en retard, aucun frais ni intérêt n’est facturé (Klarna tire ses revenus d’ententes avec ses partenaires), mais des ententes de délais supplémentaires de paiement peuvent être conclues. Pour ceux qui accumuleraient les retards, l’usage de l’application peut être restreinte.

Notons qu’en plus d’offrir ses services au Canada, Klarna compte ouvrir un centre de développement de produits à Toronto, où l’entreprise prévoit embaucher plus de 500 ingénieurs d’ici 2025. L’ouverture de bureaux à Montréal et à Vancouver sont aussi dans les plans.


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Monday, March 14, 2022

La Russie se prépare à un défaut de paiement, ravivant le traumatisme de 1998 - Le Soleil

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  1. La Russie se prépare à un défaut de paiement, ravivant le traumatisme de 1998  Le Soleil
  2. L'Occident veut orchestrer un défaut de paiement "artificiel" de la Russie, selon Moscou  FRANCE 24
  3. Moscou accuse l'Occident de vouloir orchestrer "un défaut de paiement artificiel" de la Russie  BFM Business
  4. Guerre en Ukraine : l’Occident veut orchestrer un défaut de paiement «artificiel» de la Russie, selon Moscou  Le Parisien
  5. Selon Moscou, l'Occident veut orchestrer un défaut de paiement «artificiel» de la Russie  Le Figaro
  6. Afficher la couverture complète sur Google Actualités

La Russie se prépare à un défaut de paiement, ravivant le traumatisme de 1998 - Le Soleil
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PPI : l’expertise et le conseil pour l’ensemble de la chaîne de paiement - BFM Business

Spécialiste des solutions et du conseil sur mesure dans le domaine des paiements depuis de nombreuses années, la société PPI apporte son expertise auprès de banques et d’institutions financières. Un haut niveau de connaissances qui lui permet aujourd’hui de s’imposer comme le leader européen sur ce marché d’activité.

Une équipe d’experts autour des paiements

Présente en France depuis treize ans, l’entreprise PPI est une société qui développe des solutions couvrant l’ensemble de la chaîne de paiement, de la partie interface de l’utilisateur jusqu’à la partie messagerie, en passant par les étapes de traitement des transactions, mais aussi celle de la connexion vers les infrastructures centrales.

En parallèle, PPI propose à ses clients une expertise conseil à travers une équipe de professionnels dédiés, qui les accompagnent dans la mise en œuvre de projets liés au paiement et afin de trouver des leviers de croissance via leur paiement.

Transformer les défis en leviers de croissance

Qu’il s’agisse de banques ou d’acteurs financiers, PPI propose une mise en œuvre extrêmement rapide des solutions de paiement, à travers une réduction drastique du temps de mise en production.

« Notre équipe se compose de spécialistes capables, en effet, de développer rapidement des solutions de paiement, mais aussi d’experts pour accompagner nos clients et les aider à transformer les défis relatifs au paiement, en puissants leviers de croissance ! », explique Jocelyne Mwilu, Directrice de PPI France.

Les équipes de PPI peuvent ainsi apporter toute leur expertise pour conseiller chaque acteur, par exemple dans le cadre de la nouvelle norme ISO 20 022, régissant l’échange de données informatisées entre les institutions financières, comme le souligne Jocelyne Mwilu.

À l’heure où les Fintechs profitent de leur agilité et de leur scalabilité pour mettre en place de façon rapide de nouvelles solutions de paiement, PPI offre la possibilité à ses clients de booster, eux aussi, leur compétitivité, grâce à l’innovation.

Pour maintenir son haut niveau d’expertise, PPI investit régulièrement afin d’élaborer de nouvelles solutions de paiement pleinement pertinentes, en lien avec la réalité du marché et dans l’intérêt de sa clientèle. Une stratégie gagnante qui permet à l’entreprise historique de conserver sa place de leader européen dans le domaine des transferts de paiements.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec OpenMédias. La rédaction de BFM Business n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

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PPI : l’expertise et le conseil pour l’ensemble de la chaîne de paiement - BFM Business
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L'Occident veut orchestrer un défaut de paiement "artificiel" de la Russie, selon Moscou - FRANCE 24

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Moscou (AFP) – Le ministère russe des Finances a estimé lundi que les sanctions visant Moscou à cause du conflit en Ukraine visaient à provoquer un défaut de paiement artificiel de la Russie.

"Les déclarations selon lesquelles la Russie ne peut remplir ses obligations concernant sa dette publique ne correspondent pas à la réalité", a dit le ministère dans un communiqué, relevant que "le gel des comptes en devises de la Banque de Russie et du gouvernement peut être vu comme le désir de pays étrangers de provoquer un défaut artificiel".

Courant mars et avril, la Russie doit faire face à plusieurs échéances de paiement de dettes en devises étrangères, hors ses réserves ont été gelées dans le cadre des sanctions occidentales, ce qui la met au défi d’honorer ses obligations.

Un défaut de paiement coupe automatiquement un État des marchés financiers et compromet son éventuel retour pour quelques années.

Le ministère des Finances a indiqué qu'il allait "donner l'ordre aux banques-agents d'effectuer les versements en devises dans les délais", mais il relève aussi que "l'exécution des paiements va dépendre des restrictions dues aux sanctions pesant sur les capacités du gouvernement et de la Banque de Russie de contrôler ses comptes en devises".

Il a aussi dit être disposé à rembourser ses euro-obligations émises depuis 2018 en roubles au taux du jour de la Banque de Russie.

Les sanctions occidentales ont paralysé une partie du système bancaire et financier russe, gelé une grosse partie des réserves en devises de l'Etat, et provoqué un effondrement du rouble.

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Saturday, March 12, 2022

Sanctions contre la Russie: défaut de paiement probable de Gazprom et d'autres entreprises russes d'hydrocarbures - TVA Nouvelles

L’agence de notation Fitch a abaissé samedi la note octroyée à la dette de 28 groupes russes d’exploitation de ressources naturelles et estime qu’un «défaut de paiement de quelque sorte semble probable».  

• À lire aussi: Spotify tire un trait sur ses abonnés payants en Russie

• À lire aussi: Que représente le défaut de paiement pour la Russie?

• À lire aussi: L'Union européenne ajoute 160 Russes à sa liste noire et sanctionne la finance bélarusse

Fitch a dégradé la note du géant du gaz Gazprom, de la pétrolière Lukoil, des minières Rusal, Polyus, Evraz et de 23 autres sociétés liées aux ressources naturelles de B à «CC principalement», ce qui signifie qu’il est «probable» que ces entreprises n’honorent pas leurs engagements financiers. 

Les notes de Gazprom et Lukoil avaient aussi été dégradées cette semaine par Moody’s, une autre agence de notation, à un niveau indiquant un très haut risque de non-remboursement.

Pour l’agence de notation, l’autorisation donnée par le gouvernement russe de rembourser en rouble les dettes contractées auprès des pays qui figurent dans une liste de pays «hostiles» pourrait compromettre la capacité de ces entreprises à payer à temps leurs créanciers. 

Cette liste comprend entre autres les pays de l’Union européenne, l’Australie, le Royaume-Uni, le Canada, Monaco, la Corée du Sud, les États-Unis, la Suisse et Japon.

Cette mesure fait partie d’une série d’actions du gouvernement russe et de la banque centrale du pays pour tenter de limiter la chute de la devise nationale, le rouble, qui a perdu la moitié de sa valeur depuis le 1er janvier en raison des sanctions imposées à Moscou par les Occidentaux après l’invasion russe de l’Ukraine.

Fitch ajoute en outre que «le durcissement continu des sanctions, y compris les restrictions sur le commerce et les importations d’énergie, augmente la probabilité d’une réponse politique de la part de la Russie, et affaiblit davantage son économie, érodant l’environnement opérationnel de ses entreprises».

Les États-Unis ont annoncé mardi un embargo sur les importations de pétrole et gaz russes, comme le Royaume-Uni pour le pétrole.

Trois grandes agences de notation ont placé début mars la note de la dette à long terme de la Russie dans la catégorie des pays susceptibles de ne pas pouvoir rembourser leur dette en raison de l’accumulation des sanctions à son encontre. Fitch a par la suite abaissé encore sa note, signifiant que le risque d’un défaut souverain était à ses yeux «imminent».

Plus une note de solvabilité est basse, moins les prêteurs feront confiance au pays et moins celui-ci pourra emprunter de l’argent à des taux d’intérêt raisonnables. 

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Sanctions contre la Russie: défaut de paiement probable de Gazprom et d'autres entreprises russes d'hydrocarbures - Le Journal de Montréal

L’agence de notation Fitch a abaissé samedi la note octroyée à la dette de 28 groupes russes d’exploitation de ressources naturelles et estime qu’un «défaut de paiement de quelque sorte semble probable».  

• À lire aussi: Un mégayacht de l’oligarque russe Abramovitch arrivé dans une baie monténégrine

• À lire aussi: Un programme pour enfants est compromis par la guerre en Ukraine

• À lire aussi: Mosquée de Marioupol: récits contradictoires, tentatives d’évacuation

Fitch a dégradé la note du géant du gaz Gazprom, de la pétrolière Lukoil, des minières Rusal, Polyus, Evraz et de 23 autres sociétés liées aux ressources naturelles de B à «CC principalement», ce qui signifie qu’il est «probable» que ces entreprises n’honorent pas leurs engagements financiers. 

Les notes de Gazprom et Lukoil avaient aussi été dégradées cette semaine par Moody’s, une autre agence de notation, à un niveau indiquant un très haut risque de non-remboursement.

Pour l’agence de notation, l’autorisation donnée par le gouvernement russe de rembourser en rouble les dettes contractées auprès des pays qui figurent dans une liste de pays «hostiles» pourrait compromettre la capacité de ces entreprises à payer à temps leurs créanciers. 

Cette liste comprend entre autres les pays de l’Union européenne, l’Australie, le Royaume-Uni, le Canada, Monaco, la Corée du Sud, les États-Unis, la Suisse et Japon.

Cette mesure fait partie d’une série d’actions du gouvernement russe et de la banque centrale du pays pour tenter de limiter la chute de la devise nationale, le rouble, qui a perdu la moitié de sa valeur depuis le 1er janvier en raison des sanctions imposées à Moscou par les Occidentaux après l’invasion russe de l’Ukraine.

Fitch ajoute en outre que «le durcissement continu des sanctions, y compris les restrictions sur le commerce et les importations d’énergie, augmente la probabilité d’une réponse politique de la part de la Russie, et affaiblit davantage son économie, érodant l’environnement opérationnel de ses entreprises».

Les États-Unis ont annoncé mardi un embargo sur les importations de pétrole et gaz russes, comme le Royaume-Uni pour le pétrole.

Trois grandes agences de notation ont placé début mars la note de la dette à long terme de la Russie dans la catégorie des pays susceptibles de ne pas pouvoir rembourser leur dette en raison de l’accumulation des sanctions à son encontre. Fitch a par la suite abaissé encore sa note, signifiant que le risque d’un défaut souverain était à ses yeux «imminent».

Plus une note de solvabilité est basse, moins les prêteurs feront confiance au pays et moins celui-ci pourra emprunter de l’argent à des taux d’intérêt raisonnables.

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18 139 écrivains canadiens se partagent 14 999 662 $ - l-express.ca

Pour être admissibles, les livres doivent figurer dans une bibliothèque publique. Le DPP échantillonne sept catalogues de bibliothèques pour chaque langue officielle.

Accès livres en français
Les écrivains reçoivent entre 50$ et 4500 $ selon la sortie de leurs ouvrages des bibliothèques.

Le pactole pour les écrivains

Dix bibliothèques publiques de l’Ontario et seize du Québec participent au Programme de Droit de prêt public. Les bibliothèques ontariennes sont situées à Etobicoke, Grand Sudbury, Hamilton, Kitchener, London, Markham, Mississauga, North York, Ottawa et Toronto.

En raison du plus grand nombre de livres trouvés, la grille de paiement a été légèrement réduite.

Chaque fois qu’il est trouvé, un livre inscrit entre 2017 et 2021 rapporte 62,96 $. S’il est inscrit entre 2012 et 2016, ça donne 50,37 $, entre 2007 et 2011 44,07 $. Un titre inscrit entre 1996 et 2006 rapporte 37,78 $ chaque fois qu’il est trouvé.

Le paiement minimum se chiffre toujours à 50 $, le paiement maximum à 4 500 $. Tout versement de plus de 500 $ est accompagné d’un relevé d’impôt T4A.

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Friday, March 11, 2022

Paiement en ligne entre particuliers: quelle sécurité? - Challenges

Le développement des plateformes de commerce en ligne a conduit à l’explosion des ventes en ligne entre particuliers, grâce à des sites leaders dans ce domaine comme Leboncoin, ParuVendu ou PriceMinister, désormais Rakuten France. Mais si le succès de ce modèle ne se dément pas, il s’accompagne aussi de risques nouveaux, notamment dans l’encadrement des transactions financières qu’il implique. Alors, pour ne pas tomber dans le piège des mauvais payeurs et des escroqueries organisées, il convient de ne jamais prendre ce type de paiements à la légère.

Prendre en compte les paramètres du paiement

Dans un premier temps, renseignez-vous sur l’identité du vendeur que vous souhaitez contacter ou de l’acheteur qui vous sollicite. Outre les éventuels avis d’autres consommateurs de la même plateforme, contactez-le pour savoir si un échange en main propre est possible si la distance géographique le permet (dans un endroit sûr et non isolé bien sûr). Si cela n’est pas possible ou que vous préférez tout de même le paiement en ligne, préférez les sites qui opèrent comme tiers de confiance marchands. S’ils ne s’occupent pas de gérer de quelconques stocks, comparés aux autres acteurs de la vente en ligne, ils permettent néanmoins d’instaurer des garanties de paiement et de livraison très utiles: le vendeur ne touche l’argent de la transaction qu’au moment où la livraison du bien est confirmée. Attention aux sites de petites annonces: ils ne sont que de simples relais de publication et n’offrent aucune protection légale ou juridique dans la transaction.

Privilégiez certains types de paiements

Le montant et la nature de la transaction vont dicter le mode de paiement le plus adéquat. Pour les petits montants et pour les remises en main propre, il vaudra mieux recourir au paiement cash, particulièrement si vous souhaitez encore négocier le prix de vente au moment de la remise. À l’inverse, le paiement liquide est déconseillé pour les montants élevés, de par le risque accru de fraude aux faux billets, qui concerne d’ailleurs fréquemment les billets de valeur moyenne (20 et 50 euros). Pour ces transactions, le chèque est une solution préconisée, mais exigez dans ce cas un chèque de banque, qui contrairement aux chèques classiques ne peut être rempli sans provision. Contactez immédiatement votre banque après réception du chèque pour savoir si celui-ci peut bel et bien être encaissé. Et pour les virements, choisissez les solutions de paiement en ligne sécurisé (PayPal, Paylib…) et refusez catégoriquement les virements par mandat cash, postal ou Western Union: ces solutions de paiement mal encadrées sont les plus prisées des escrocs.

Que faire en cas d’arnaque?

Pour prendre le moins de risques possible, choisissez l’envoi par colis suivi si celui-ci se fait par envoi postal. Faites attention également aux courriels frauduleux que vous pourriez recevoir suite à la transaction, comme les arnaques au faux courriel PayPal, très populaires et toujours plus sophistiquées. Si malgré toutes vos précautions, vous estimez avoir été victime d’une arnaque, informez-en immédiatement la direction départementale de la protection des populations (DDPP) et déposez une plainte au commissariat de police ou à la gendarmerie la plus proche. Informez le site de vos mésaventures et n’oubliez jamais: tant que l’objet n’est pas arrivé à destination dans les mains de l’acheteur, c’est au vendeur qu’incombe la responsabilité de l’envoi et de la réception de celui-ci dans un état conforme.

(Par la rédaction de l'agence hREF)

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Thursday, March 10, 2022

Que représente le défaut de paiement pour la Russie? - Le Journal de Québec

L'agence de notation financière Fitch a prévenu qu'un risque de défaut de paiement était «imminent» pour la Russie. Comment se matérialise un défaut de paiement? Quels sont les risques et les conséquences d'un tel scénario? 

• À lire aussi: Ukraine: les troupes russes se rapprochent de Kyïv, avant des pourparlers en Turquie

• À lire aussi: [VIDÉO] Un hôpital pour enfants de Marioupol bombardé par l'armée russe

• À lire aussi: La guerre en Ukraine, frein ou moteur de la transition énergétique?

Que signifie le défaut de paiement d'un État?  

Un pays est considéré en défaut de paiement quand il est incapable d'honorer ses engagements financiers en temps et en heure auprès de ses créanciers, qui peuvent être des États, des institutions financières (Fonds monétaire international, Banque mondiale, etc.) ou des investisseurs sur les marchés financiers. 

Le défaut est qualifié de partiel quand l'État ne rembourse pas une partie de ses obligations.

Le gouvernement lui-même peut se déclarer en défaut de paiement en annonçant qu'il cesse de rembourser ses échéances de dette, comme l'avait d'ailleurs fait la Russie en 1998, ou l'annonce peut aussi provenir d'une agence de notation après un délai de grâce de 30 jours qui suit le constat du défaut de paiement.

Quelles marges de manœuvre pour obtenir un remboursement?   

Le défaut peut aussi être officialisé par un créancier privé, révélant publiquement qu'un pays a cessé de le rembourser, ou encore par l'agence américaine ISDA (International Swaps and Derivatives Association), qui régit les CDS, sorte d'assurance contre le défaut de paiement.

Rien ne garantit le remboursement des emprunts souverains. À l'inverse d'un cas de défaut de paiement d'une entreprise, où il est possible de récupérer des actifs en guise de remboursement, il n'est, en revanche, pas possible dans le cas d'un défaut de paiement caractérisé pour un État, de saisir un bien public situé dans ce pays pour le vendre, selon les experts interrogés par l'AFP.

Restructurer une dette signifie rééchelonner les remboursements et, le plus souvent, diminuer ou effacer des créances. Cela induit que le pays est en «défaut», mais qu'il espère néanmoins parvenir à un accord avec ses créanciers.

De quel emprunt s'agit-il dans le cas de la Russie?  

La Russie a un emprunt obligataire qui arrive à maturité le 4 avril et qui porte sur deux milliards de dollars. «Cet emprunt ayant été émis sur la Bourse de Londres en dollars américains», détaille Slim Souissi, directeur adjoint de l'IUP de Caen, spécialiste des banques qui a travaillé pour Fitch et fait sa thèse sur la défaillance des États.

Il s'agira de savoir le 4 avril si la Russie a été en mesure ou non de payer ses échéances de dette, ses créanciers étant principalement des fonds d'investissements américains.

Quels sont les risques que le défaut de paiement se matérialise?  

Les agences d'évaluation financière, dont Fitch, S&P Global Ratings et Moody's, considèrent que c'est une question de volonté et que les emprunts pourraient ne pas être remboursés dans leur totalité face aux sanctions prises par les pays occidentaux en réponse à l'invasion russe de l'Ukraine.

«Le pays a les moyens de rembourser cette dette émise sur les marchés financiers, mais peut décider de ne pas le faire pour répliquer par exemple aux sanctions financières occidentales», explique le professeur.

La Russie, qui a quasiment doublé son stock d'or et de devises étrangères depuis 2014-2015, dispose de réserves de change qui atteignaient plus de 640 milliards de dollars au 18 février.

Pour les préserver, Moscou a en outre récemment limité la sortie des devises à l'étranger.

Quelles conséquences si l'hypothèse de défaut était confirmée?   

«Les créanciers vont perdre les montants prêtés, mais cela ne devrait pas provoquer de crise systémique», estime M. Souissi.

Un arrangement de restructuration de la dette, en plein conflit, paraît hors de propos aux spécialistes de la dette.

Un défaut de paiement coupe automatiquement un État des marchés financiers et compromet son éventuel retour pour quelques années. 

Il a fallu attendre douze ans pour que la Russie puisse revenir emprunter sur les marchés après le défaut de paiement sur sa dette intérieure en 1998, au moment où son économie était déstabilisée par une lame de fond financière venue d'Asie.

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Wednesday, March 9, 2022

Ukraine: Zelensky veut des avions de combat «au plus vite», la Russie au bord du défaut de paiement - Le Journal de Montréal

KYÏV | Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mercredi les Occidentaux à lui envoyer «au plus vite» des avions de chasse, à commencer par les Mig-29 proposés par Varsovie malgré une mise en garde du Kremlin, au 14e jour de l’invasion russe et alors que les sanctions ont amené Moscou au bord du défaut de paiement. 

• À lire aussi: [EN DIRECT] Deux semaines de guerre en Ukraine: voici tous les derniers développements

• À lire aussi: Guerre en Ukraine: Trudeau s’est entretenu avec le président Zelensky

• À lire aussi: L’ermite russe est furieux

 «Prenez une décision au plus vite, envoyez-nous des avions!», a lancé M. Zelensky aux Occidentaux dans une nouvelle vidéo mercredi sur sa chaîne Telegram. Il a remercié Varsovie pour avoir proposé d’envoyer des Mig-29 à l’Ukraine et regretté qu’«aucune décision» «n’ait (encore) été prise».

La Pologne a pris les Américains par surprise mardi en se disant «prête à déplacer sans délai et gratuitement tous ses avions Mig-29 sur la base de Ramstein (en Allemagne) et à les mettre à la disposition du gouvernement des États-Unis», pour que ces derniers les livrent à l’Ukraine.

Washington, qui craint un élargissement du conflit car la Russie a prévenu qu’elle considérerait l’envoi de tels avions par un pays tiers comme une implication directe dans la guerre en Ukraine, a rejeté sèchement la proposition.

«Nous ne pensons pas que la proposition de la Pologne soit viable», a déclaré le porte-parole du Pentagone John Kirby.

«C’est un scénario très indésirable et potentiellement dangereux», a répété le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

La vice-présidente américaine Kamala Harris, qui sera en Pologne mercredi, doit cependant discuter avec les dirigeants polonais de la manière de fournir une «assistance militaire» à l’Ukraine, selon des responsables de l’administration américaine, qui ont requis l’anonymat.

«Certains progrès»

Ces débats sur les avions de combat interviennent au moment où la tension semblait baisser légèrement sur le terrain: la Russie et l’Ukraine se sont entendus mercredi sur des cessez-le-feu pour permettre la mise en place de plusieurs couloirs humanitaires autour de zones durement frappées par les combats ces derniers jours, qui ont obligé les civils à rester parfois des jours cachés dans des caves.

«Certains progrès ont été réalisés» dans les négociations destinées à «mettre fin dès que possible à l’effusion de sang insensée et à la résistance des forces armées ukrainiennes», a ainsi déclaré la porte-parole de la diplomatie russe Maria Zakharova. Elle a aussi assuré que la Russie ne cherchait pas à «renverser le gouvernement» ukrainien, contrairement à ce qu’ont affirmé des responsables russes depuis deux semaines.

Des couloirs ont notamment été définis entre Russes et Ukrainiens pour évacuer dans la journée les civils depuis Energodar vers Zaporojie (sud), de Izioum à Lozova (est) et de Soumy à Poltava (nord-est), où un corridor avait déjà permis l’évacuation de milliers de civils mardi. Plusieurs couloirs sont également prévus pour évacuer, vers Kyïv, les civils depuis plusieurs villes situées à l’ouest de la capitale, dont Boutcha, Irpin et Gostomel.

Selon M. Zelensky, un peu plus de 5 000 personnes ont déjà pu être évacuées de Soumy mardi et 18 000 aux alentours de Kyïv.

Toujours plus de réfugiés

Le nombre de réfugiés qui ont fui l’Ukraine depuis l’invasion par l’armée russe le 24 février augmente de jour en jour, et est désormais estimé entre «2,1 et 2,2 millions de personnes», a déclaré mercredi le Haut commissaire aux réfugiés Filippo Grandi lors d’une conférence de presse à Stockholm.

Mardi soir, plusieurs villes ont encore été la cible d’attaques russes. À Severodonetsk, dans l’est du pays, 10 personnes sont mortes dans des bombardements sur des habitations, selon le responsable de la région administrative de Lougansk. Et dans la région de Jytomyr, à l’ouest de Kiev, neuf personnes sont mortes dans des frappes aériennes.

Dans la capitale, les sirènes ont retenti quatre fois dans la nuit. Mercredi matin, les musiciens de l’Orchestre symphonique de Kiev, dirigés par le chef d’orchestre Guerman Makarenko, ont donné un concert sur la place Maïdan, retransmis en direct à la télévision publique.

Alors que la neige commençait à tomber, ils ont joué l’hymne ukrainien et l’Ode à la Joie de Beethoven, l’hymne européen, selon un journaliste de l’AFP.

Inquiétude sur Tchernobyl

Au nord, à la frontière ukraino-bélarusse, l’inquiétude montait à nouveau sur la situation à la centrale de Tchernobyl. L’opérateur ukrainien Ukrenergo a annoncé mercredi que l’alimentation électrique de la centrale et de ses équipements de sécurité avait été «complètement» coupée, en raison d’actions militaires russes.

La veille, l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) avait indiqué que les systèmes permettant de contrôler à distance les matériaux nucléaires de la centrale avaient cessé de lui transmettre des données.

La centrale nucléaire de Tchernobyl

Photo d'archives, AFP

La centrale nucléaire de Tchernobyl

Le site de Tchernobyl, où eut lieu la plus grave catastrophe nucléaire civile en 1986, et situé depuis dans une zone d’exclusion, comprend des réacteurs déclassés et des installations de déchets radioactifs.

Les États-Unis ont par ailleurs dit redouter que les forces russes puissent «prendre le contrôle» des structures de «recherche biologique» en Ukraine et s’emparer de matériaux sensibles.

«Guerre économique»

En Russie, les sanctions occidentales font de plus en plus sentir leurs effets.

Le Kremlin a dénoncé mercredi la «guerre économique» déclarée par les États-Unis à la Russie, à la suite de l’annonce par Washington d’un embargo sur les importations américaines de pétrole et de gaz, en supplément des autres sanctions.

Dans la foulée, le Royaume-Uni a aussi indiqué qu’il cesserait d’ici à la fin de l’année ses achats de brut et de produits pétroliers russes.

Le président Zelensky a chaleureusement remercié son homologue américain pour ce «signal d’une puissance maximale adressé au monde entier».

Il a appelé l’Union européenne à suivre cet exemple en adoptant des «mesures dures, des sanctions contre la Russie pour sa guerre», mais sans appeler directement à un embargo européen sur le pétrole ou le gaz.

Les Européens, beaucoup plus dépendants que les Américains du brut russe, refusent pour l’instant d’aller aussi loin, alors que la guerre fait déjà flamber les prix des hydrocarbures.

La crise énergétique actuelle est «comparable en intensité, en brutalité, au choc pétrolier de 1973», a affirmé mercredi le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire.

La présidence française de l’UE a néanmoins annoncé mercredi matin de nouvelles sanctions européennes contre Moscou et Minsk. Les Vingt-sept ont notamment ajouté trois banques bélarusses aux grandes banques russes déjà débranchées de la plateforme financière internationale Swift, et ajouté 14 oligarques et 146 sénateurs russes à leur liste de personnes visées par des sanctions.

Depuis des jours, la liste d’entreprises occidentales - notamment de grands groupes de consommation comme McDonald’s ou Coca-Cola - coupant ou suspendant tout ou partie de leurs activités et de leurs liens avec la Russie s’allonge, ajoutant aux licenciements.

La Banque centrale russe a annoncé une nouvelle mesure de défense de son économie, avec une suspension des ventes des devises étrangères jusqu’au 9 septembre.

Pourparlers jeudi en Turquie

De son côté, l’agence de notation Fitch a de nouveau abaissé mardi la note qu’elle accorde à la dette de la Russie, une décision signifiant que le risque d’un défaut souverain est à ses yeux «imminent».

Un défaut de paiement de Moscou serait une première depuis la grande crise financière de 1998.

Autre effet des sanctions: selon le quotidien russe Kommersant, Moscou pourrait bientôt manquer de médicaments, notamment d’insuline outre autres produits fabriqués à l’étranger.

Jeudi, la diplomatie tentera de reprendre ses droits, avec une rencontre annoncée en Turquie des ministres des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov, ukrainien Dmytro Kuleba, avec leur homologue turc Mevlüt Cavusoglu comme médiateur.

Sergeï Lavrov

AFP

Sergeï Lavrov

Le président Zelensky a suggéré, dans un entretien à la chaîne américaine ABC, ne plus insister sur une adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, une des questions invoquées par Moscou pour justifier l’invasion.

Il s’est aussi dit prêt à un «compromis» sur le statut des territoires séparatistes de l’est de l’Ukraine dont Vladimir Poutine a reconnu unilatéralement l’indépendance.

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