Les fédérations qui radinent, énième épisode.
Les joueuses nigérianes, malgré leur élimination de la Coupe du monde lundi midi aux tirs au but contre l’Angleterre, continuent de faire parler d’elles. En effet, comme indiqué par l’AFP, elles exigent de leur fédération – par l’intermédiaire du syndicat des joueuses, la Fifpro – qu’elle « honore ses engagements » et « paie les montants dus », à savoir les primes et les dépenses impayées. « L’équipe est extrêmement frustrée d’avoir dû poursuivre la Fédération nigériane de football pour ces paiements avant et pendant le tournoi et pourrait devoir continuer à le faire par la suite, continue le communiqué. Il est regrettable que les joueuses aient dû défier leur propre fédération à un moment aussi important de leur carrière. »
Les primes des joueuses du Nigeria – distribuées aux fédérations par la FIFA, au milieu des dotations globales – doivent normalement s’élever à 60 000 dollars (55 000 euros) grâce à la qualification en huitièmes. Les Super Falcons avaient déjà menacé de boycotter le premier match du Mondial, le 21 juillet face au Canada, en acceptant finalement de prendre sur elles. Le conflit dont il est question dure depuis deux ans car les joueuses réclament également que soient payées leurs indemnités de stage et d’autres dépenses remontant jusqu’en 2021. La question des primes – et des moyens financiers mis à disposition des joueuses de manière plus générale – est au centre de ce Mondial.
L’Arabie saoudite n’a pas quelques sous à filer ?
Les joueuses nigérianes exigent le paiement de leurs primes - SO FOOT
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