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Paiement par l'App Store d'Apple: Netflix risque de retirer votre accès Le Journal de Montréal01 mars 2024
Le compte de taxes peut être payé par l’entremise des services automatisés des institutions financières participantes (téléphone, Internet ou guichet automatique). Un délai de deux à cinq jours ouvrables peut s’écouler avant la réception du paiement par la Ville. Prière de s'assurer de la bonne inscription du numéro de matricule à 18 chiffres dans le dossier de paiement électronique.
Plus d'information ici.
La période de l’inscription annuelle et du paiement des cotisations est maintenant débutée. Les membres du Barreau du Québec ont jusqu’au 1er avril 2024 pour remplir leur formulaire d’inscription annuelle, indiquer s’ils souhaitent souscrire au Fonds d’assurance responsabilité professionnelle et procéder au paiement de leurs cotisations.
En s’acquittant de leurs obligations professionnelles, les avocates et les avocats permettent au Barreau de colliger des renseignements utiles qui l’aident à remplir sa mission de protection du public.
L’inscription annuelle se fait par le portail des membres du Barreau du Québec.
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TRANSPORTS. C’est un retour à la case de départ pour le projet de modernisation des options de paiement pour le transport en commun. La Ville de Drummondville a lancé un appel d’offres, mercredi, en vue de l’implantation d’un service de billetterie informatisée.
À l’automne 2020, l’organisation municipale a octroyé un contrat de gré à gré de 731 000 $ pour doter 13 autobus de lecteur numérique permettant de payer son droit de passage par carte à puce. Un montant de 65 248 $ a aussi été investi pour l’ajout d’un système d’information aux passagers. Ce projet fait toutefois l’objet d’un recours juridique entre la Ville et le fournisseur Itsmax solutions.
Malgré le litige, la Ville n’est pas restée les bras croisés, décidant de remplacer le projet initial par l’implantation d’une billetterie informatisée.
Lors de la dernière séance du conseil municipal, les élus ont donné le feu vert au processus d’appel d’offres, approuvant les critères de sélection basés sur la qualité et le prix des propositions.
«On reprend du début. On recommence le processus pour s’assurer d’avoir un système qui fonctionne», a dit la mairesse de Drummondville, Stéphanie Lacoste, lundi soir.
La Ville espère octroyer le contrat au courant de l’année 2024 pour implanter le système en 2025.
La modernisation des options de paiement pour le transport en commun est nécessaire sur le territoire, affirme la première magistrate.
«Dans les autres villes, on peut payer avec notre téléphone de plus en plus. Les billets sont de moins en moins pratique. Je ne dis pas qu’il n’y en aura plus du tout à Drummondville. On va essayer de trouver le meilleur système de paiement pour nos utilisateurs.»
Notons qu’une somme de 410 000 $ a été réservée spécifiquement pour le projet, dans le programme triennal d’immobilisation 2024-2025-2026.
Les procédures judiciaires entre la Ville de Drummondville et Itsmax solutions suivent leurs cours. L’organisation municipale a préféré ne pas commenter le dossier.
Selon les données du service des communications fournies à l’automne dernier, la Ville a versé à Itsmax solutions 50 % du montant total, soit un peu plus de 440 000 $. S’ajoutent maintenant à cela les frais juridiques ainsi que le coût pour la production d’un rapport d’expertise (56 000 $).
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Le chèque de 300$ destiné aux familles à faible revenu annoncé par le premier ministre Blaine Higgs le mois dernier ne sera disponible qu’aux gens qui formuleront une demande à partir du 27 février.
Le versement unique de 300$ promis pour les ménages ayant un revenu de 70 000$ ou moins ne sera pas automatiquement distribué à tous ceux qui y sont admissibles. Il faudra plutôt en faire la demande en ligne ou par la poste à partir du 27 février. Les gens pourront aussi amener leur formulaire rempli avec les preuves de revenu nécessaires à un centre de Service NB.
Pour ce faire, il faudra remettre une copie de la preuve de revenu de l’Agence de revenu du Canada et de celle de son époux ou de son conjoint de fait pour 2022 ou 2023.
Pour avoir droit au versement de 300$, il faut:
Les personnes âgées à faible revenu et les bénéficiaires de l’aide sociale ne toucheront donc pas cette aide.
Les paiements devraient être envoyés de six à huit semaines après la demande, et les gens qui présentent leur demande plus tôt vont recevoir la prestation plus rapidement, selon le gouvernement.
En 2022 et en 2023, un autre programme du gouvernement Higgs, la Prestation d’urgence pour le carburant et la nourriture, avait permis de distribuer 225$ aux personnes admissibles sous un certain seuil de revenu, sans qu’elles aient besoin d’en faire la demande.
Cette fois-ci, il faut présenter une demande. Selon le gouvernement, c’est parce que la province gère le programme directement sans l’aide du gouvernement fédéral.
Selon le ministre des Finances et du Conseil du trésor, Ernie Steeves, pour que le gouvernement fédéral puisse partager des données ou gérer le programme au nom du gouvernement provincial, il faudrait modifier la loi, ce qui pourrait prendre des mois et retarder la distribution de l’argent.
Selon Janelle LeBlanc, coordonnatrice provinciale du Front commun pour la justice sociale, le fait qu’il est nécessaire de présenter une demande peut poser problème, puisque certaines personnes qui ont besoin de cet argent pourraient ne pas être au courant.
«Il y a des personnes qui n’ont pas nécessairement accès à l’internet, elles ne verraient pas où il faut faire la demande.»
Elle affirme qu’elle préférerait une solution plus générale au problème de l’abordabilité pour les familles à faible revenu.
«On n’est pas vraiment en faveur des solutions pansement, on aimerait voir des changements structurels, des solutions permanentes pour aider les familles qui peinent à joindre les deux bouts.»
Selon David Coon, chef du Parti vert, le fait que l’argent ne sera pas automatiquement envoyé aux personnes admissibles démontre que le lancement du programme s’est fait de façon précipitée.
«Clairement, le premier ministre a fait l’annonce le 25 janvier sans plan, sans stratégie. Donc maintenant les fonctionnaires doivent fabriquer un processus juste comme ça, parce qu’il y a eu une annonce», dit-il.
Susan Holt, chef du Parti libéral, affirme qu’il s’agit d’une «barrière» supplémentaire pour les gens admissibles.
«Tout le monde travaille de longues heures, ils ont plusieurs emplois, plusieurs responsabilités, et ils doivent premièrement savoir que le programme existe, trouver du temps pour faire la demande, puis attendre pour voir s’ils sont éligibles ou non. Ça veut dire qu’il y a des personnes qui ne vont pas recevoir cette aide.»
Une entreprise ontarienne de préparation aux examens poursuit Advocis pour une facture impayée de près de 100 000 $, tandis que l’association nationale des conseillers en services financiers allègue qu’elle a été surfacturée.
SeeWhy Financial Learning, basée à Huntsville, en Ontario, allègue qu’Advocis a violé un accord de service en « omettant ou en refusant de payer » une facture de 92 963,97 $ pour du matériel d’apprentissage, selon une déclaration déposée le 29 décembre auprès de la Cour supérieure de justice de l’Ontario à Brantford, en Ontario.
Ce matériel pédagogique concernait le cours d’Advocis pour le programme de qualification du permis d’assurance-vie (PQPAV), qui est requis pour les examens de permis d’assurance. La liste des ressources d’étude du cours comprend la « suite complète d’outils d’étude SeeWhy Learning », indique Advocis sur son site web.
« Advocis a retenu les services d’un conseiller juridique, nie les allégations contenues dans la demande et a l’intention de défendre vigoureusement la demande présentée par SeeWhy Learning », rapporte Douglas Smith, conseiller juridique d’Advocis et associé de Borden Ladner Gervais à Toronto, dans un communiqué envoyé par courrier électronique.
« Advocis ne fera pas d’autres commentaires sur son différend avec SeeWhy Learning étant donné que les parties sont toutes deux représentées par des conseillers juridiques et que l’affaire est maintenant devant les tribunaux », précise-t-il encore.
« Advocis a passé un contrat avec SeeWhy Learning pour inclure le matériel de formation [de SeeWhy] dans le programme LLQP [d’Advocis] », explique de son côté Dennis Touesnard, avocat de SeeWhy et associé du cabinet Waterous Holden Amey Hitchon à Brantford, en Ontario, dans un communiqué envoyé par courriel.
« La position de SeeWhy est qu’elle ne reçoit pas la compensation prévue dans le contrat. Malgré cela, SeeWhy reste déterminée à remplir ses obligations en vertu du contrat. SeeWhy a entamé une procédure judiciaire et respectera la décision des tribunaux », continue-t-il.
Selon la demande de SeeWhy, son accord avec Advocis prévoit que l’association paie SeeWhy « dans les 30 jours suivant la fin du trimestre au cours duquel les inscriptions ont eu lieu ». La facture contestée est datée du 23 novembre 2023 et doit être réglée une semaine plus tard, le 30 novembre.
Dans son mémoire en défense, Advocis ne conteste pas la date d’échéance de la facture. L’association affirme plutôt qu’elle a été surfacturée, que SeeWhy a refusé des réunions pour discuter de la facture et qu’elle a également refusé une demande de documents confirmant les chiffres sous-jacents à la facture.
« Advocis affirme, et le fait est, que le montant facturé est basé sur le nombre total de candidats inscrits au programme, sans tenir compte du fait que les candidats ont effectivement accédé ou utilisé les [matériels]. En conséquence, le montant facturé dépasse le montant réellement dû en vertu de la facture », peut-on lire dans la déclaration de défense.
Une « condition implicite » de l’accord était qu’Advocis ne paierait des frais à SeeWhy que si les étudiants accédaient au matériel d’apprentissage de SeeWhy pendant le cours, selon la déclaration de défense. (Le site web d’Advocis n’indique pas que les étudiants peuvent dégrouper les différentes ressources du cours).
Dennis Touesnard affirme que la position de SeeWhy est que « le contrat a été négocié équitablement et qu’il n’y a pas de conditions implicites ».
Advocis avance que SeeWhy a surfacturé des factures antérieures et qu’Advocis devrait avoir le droit de compenser tout montant dû avec les surfacturations. Advocis a demandé un audit des documents sur lesquels SeeWhy s’est appuyé pour établir la facture et « toutes les factures présentées par [SeeWhy] à Advocis, mais la réponse fournie par [SeeWhy] était incomplète et inadéquate », selon la déclaration de la défense.
« La position de SeeWhy est qu’elle a fait tous les efforts raisonnables pour répondre aux demandes de renseignements concernant sa facture en souffrance auprès d’Advocis, rapporte Dennis Touesnard dans sa déclaration. Cependant, Advocis n’a pas payé la facture et, par conséquent, l’affaire est devant les tribunaux. »
Advocis demande dans sa défense que l’action soit rejetée avec les frais.
La plainte de SeeWhy a été déposée trois semaines après une action en justice beaucoup plus importante contre Advocis.
Greg Pollock, qui a été démis de ses fonctions de président et chef de la direction d’Advocis en septembre, poursuit son ancien employeur pour congédiement injustifié et a déposé sa demande au début de décembre. La demande de Greg Pollock s’élève à 2,5 millions de dollars (M$).
Advocis nie tout acte répréhensible et a l’intention de défendre vigoureusement les allégations de Greg Pollock, a déclaré l’avocat de l’association dans un communiqué.
Même avant ces plaintes, Advocis était confrontée à des difficultés financières. À l’été 2023, l’association a enregistré sa plus importante perte nette des dernières années. Comme l’a rapporté Advisor.ca en août, les dépenses ont dépassé les revenus de 2,5 M$ pour l’exercice 2022.
Le résultat négatif d’Advocis en 2022 est survenu alors que l’association était aux prises avec une baisse du nombre de membres, qu’elle avait mis à jour ses programmes d’éducation, qu’elle avait investi dans l’infrastructure et qu’elle avait fait face aux retombées d’une pandémie.
« Les résultats financiers de 2022 ont mis à rude épreuve les ressources financières et les liquidités de [l’association] », peut-on lire dans les notes relatives aux états financiers.
Les déclarations indiquent que, depuis la fin de l’année 2022, Advocis a levé des fonds en augmentant sa ligne de crédit à 500 000 dollars, en organisant un prêt de 610 000 dollars sur la valeur de rachat des polices d’assurance-vie détenues, et en établissant une ligne de crédit de 1,7 M$ à partir de son Century Initiative Fund (financé par les cotisations des membres), qui lui a également apporté son soutien.
Le solde du Century Initiative Fund était de 5,5 M$ à la fin de l’année dernière, et le fonds a contribué à hauteur de 1,5 M$ à diverses initiatives d’Advocis au cours des cinq dernières années, selon le rapport annuel.
Le rapport financier d’Advocis indique que l’association est en train d’achever un « plan de restructuration » visant à « réduire les dépenses de fonctionnement et à fournir une base financière solide à l’organisation ».
Michelle Schriver est rédactrice en chef de Advisor.ca. Elle travaille avec l’a rédaction depuis 2015 et a été reconnue par les Prix du magazine canadien et la SABEW pour ses reportages. Envoyez-lui un e-mail à michelle@newcom.ca.
Le chèque de 300$ destiné aux familles à faible revenu annoncé par le premier ministre Blaine Higgs le mois dernier ne sera disponible qu’aux gens qui formuleront une demande à partir du 27 février.
Le versement unique de 300$ promis pour les ménages ayant un revenu de 70 000$ ou moins ne sera pas automatiquement distribué à tous ceux qui y sont admissibles. Il faudra plutôt en faire la demande en ligne ou par la poste à partir du 27 février. Les gens pourront aussi amener leur formulaire rempli avec les preuves de revenu nécessaires à un centre de Service NB.
Pour ce faire, il faudra remettre une copie de la preuve de revenu de l’Agence de revenu du Canada et de celle de son époux ou de son conjoint de fait pour 2022 ou 2023. Les membres des Premières Nations qui choisissent d’inclure le revenu de travail exonéré d’impôt en vertu de la Loi sur les Indiens peuvent choisir de soumettre une copie de leur formulaire T90.
Pour avoir droit au versement de 300$, il faut:
Les paiements devraient être envoyés de six à huit semaines après la demande, et les gens qui présentent leur demande plus tôt vont recevoir la prestation plus rapidement, selon le gouvernement.
En 2022 et en 2023, un autre programme du gouvernement Higgs, la Prestation d’urgence pour le carburant et la nourriture, avait permis de distribuer 225$ aux personnes admissibles sous un certain seuil de revenu, sans qu’elles aient besoin d’en faire la demande.
Cette fois-ci, il faut présenter une demande. Selon le gouvernement, c’est parce que la province gère le programme directement sans l’aide du gouvernement fédéral.
Selon le ministre des Finances et du Conseil du trésor, Ernie Steeves, pour que le gouvernement fédéral puisse partager des données ou gérer le programme au nom du gouvernement provincial, il faudrait modifier la loi, ce qui pourrait prendre des mois et retarder la distribution de l’argent.
Selon Janelle LeBlanc, coordonnatrice provinciale du Front commun pour la justice sociale, le fait qu’il est nécessaire de présenter une demande peut poser problème, puisque certaines personnes qui ont besoin de cet argent pourraient ne pas être au courant.
«Il y a des personnes qui n’ont pas nécessairement accès à l’internet, elles ne verraient pas où il faut faire la demande.»
Elle affirme qu’elle préférerait une solution plus générale au problème de l’abordabilité pour les familles à faible revenu.
«On n’est pas vraiment en faveur des solutions pansement, on aimerait voir des changements structurels, des solutions permanentes pour aider les familles qui peinent à joindre les deux bouts.»
Selon David Coon, chef du Parti vert, le fait que l’argent ne sera pas automatiquement envoyé aux personnes admissibles démontre que le lancement du programme s’est fait de façon précipitée.
«Clairement, le premier ministre a fait l’annonce le 25 janvier sans plan, sans stratégie. Donc maintenant les fonctionnaires doivent fabriquer un processus juste comme ça, parce qu’il y a eu une annonce», dit-il.
Susan Holt, chef du Parti libéral, affirme qu’il s’agit d’une «barrière» supplémentaire pour les gens admissibles.
«Tout le monde travaille de longues heures, ils ont plusieurs emplois, plusieurs responsabilités, et ils doivent premièrement savoir que le programme existe, trouver du temps pour faire la demande, puis attendre pour voir s’ils sont éligibles ou non. Ça veut dire qu’il y a des personnes qui ne vont pas recevoir cette aide.»
(New York) Le géant bancaire américain Capital One a annoncé lundi qu’il allait acquérir l’entreprise de services financiers Discover pour 35,3 milliards de dollars, une transaction par échange d’actions qui permettra de réunir deux des plus importantes sociétés de cartes de crédit des États-Unis.
L’acquisition de Discover aidera à « construire un réseau de paiement pouvant rivaliser avec les plus grands réseaux et sociétés de paiement », a déclaré Richard Fairbank, le fondateur et PDG de Capital One, dans un communiqué.
Selon les termes de l’accord entre les deux sociétés, les actionnaires de Discover recevront 1,0192 action Capital One pour chaque action Discover, soit une prime de 26,6 % par rapport au prix de clôture de l’action Discover du 16 février (110,49 dollars).
Une fois l’opération bouclée, fin 2024 ou début 2025, les actionnaires de Capital One détiendront environ 60 % et ceux de Discover environ 40 % de la société issue de la fusion.
Discover, dont les moyens de paiement sont acceptés par 70 millions de commerces dans plus de 200 pays, est le quatrième réseau mondial américain de cartes de crédit derrière les géants Visa, Mastercard et American Express.
La fusion constitue « un point de départ essentiel dans la quête de Capital One pour construire une société de paiement mondiale », a estimé le groupe dans son communiqué.
L’acquisition par Capital One « accélérera la croissance et maximisera la valeur pour nos actionnaires, leur permettant de participer à la formidable croissance de la société combinée », s’est félicité pour sa part le PDG de Discover Michael Rhodes.
De cette somme, 12,5 millions proviennent de Québec, alors que la balance est payée par Ottawa. Plus de 18,6 millions permettront de soutenir l’électrification du centre d’opération de la STS, notamment via l‘acquisition et la mise en fonction de stations de recharge pour les 40 futurs autobus 100 % électriques, et 2,8 millions sont investis pour améliorer l’expérience client.
Plus précisément, l’embarquement sera facilité et accéléré grâce aux 140 nouveaux valideurs capables d’accepter le paiement par carte de crédit et code QR, qui seront installés à l’avant et à l’arrière de tous les véhicules. La STS acquerra également 120 valideurs pour le transport adapté afin de remplacer son système de paiement par jetons et de simplifier la gestion des titres. Finalement, les passagers pourront utiliser le Wi-Fi à bord des autobus grâce à l’acquisition et à l’installation d’un système de communication par modem 5G/LTE.
L’arrivée de ces fonctions dans les véhicules de la STS aidera clairement l’organisation à convaincre les citoyens d’utiliser ses services, selon la mairesse Évelyne Beaudin.
«La carte de crédit, c’est super intéressant pour les touristes ou les nouveaux usagers. [...] Bien qu’on parle d’ajouter des lignes et du temps de service, on ne peut pas faire fi de ce que nous dit la clientèle pour se mettre à la page en matière de qualité en matière de service. Le Wi-Fi, les étudiants, qui sont de grands utilisateurs de la STS, nous parlent souvent de ça», commente-t-elle.
«C’est très aidant, car ne pas pouvoir faire ça est une barrière à l’entrée. Quelqu’un qui veut prendre l’autobus un matin et qui n’a pas de change ou de carte d’autobus, ça devient tout de suite plus compliqué. Avec les nouveaux valideurs, la personne entre, passe sa carte et c’est fait», indique pour sa part Patrick Dobson, le directeur général de la STS.
Il ajoute que la technologie 5G/LTE permettra de mieux suivre le déplacement en temps réel des bus, un problème souvent nommé par les usagers de la STS actuellement.
L’aide financière annoncée aujourd’hui porte à environ 115,2 millions le soutien du gouvernement du Québec à la STS depuis 2019.
Malgré ces bonnes nouvelles pour son organisation, M. Dobson rappelle que les résultats concrets de ces investissements pourraient se faire attendre encore plusieurs années. Si aucun des six politiciens qui ont pris la parole lors de l’annonce lundi ne s’est exprimé sur l’échéancier, le directeur général confirme que certains de ces changements, notamment l’installation des valideurs, pourraient prendre jusqu’à cinq ans.
«Dans le contexte actuel, ce n’est pas facile. Je peux donner l’exemple des autobus électriques. Il y a pénurie de batteries. On espérait avoir nos autobus il y a quelques mois et on ne les a toujours pas», affirme Patrick Dobson.
«Si on veut être conservateurs, je dirais trois à cinq ans d’ici l’entrée en scène complète des valideurs, ajoute-t-il. On espère que ce sera plus rapide, mais, dans le marché actuel, il y a pénurie de pièces et aussi de travailleurs spécialisés. Les gens d’expérience, il y en a de moins en moins.»
Pour l’agrandissement du garage et l’installation de bornes électriques, M. Dobson note que des pièces ont déjà été commandées, mais que pour certaines d’entre elles, un délai d’un an peut être observé dans la livraison.
Durant l’annonce, la présidente de la STS, Laure Letarte-Lavoie, a déclaré ne pas connaître l’échéancier pour ces projets.
L’Agence du revenu du Canada (ARC) a indiqué que ceux qui produisent leurs déclarations de revenus sur papier devraient également avoir déjà reçu leur trousse d’impôts par la poste.
La plupart des Canadiens doivent produire leur déclaration de revenus avant le 30 avril, qui est également la date limite pour effectuer un paiement pour ceux qui doivent de l’argent à l’ARC.
Cependant, les Canadiens qui travaillent à leur compte, ainsi que leurs époux ou conjoints de fait, ont jusqu’au 15 juin. Puisque ce jour tombe un samedi, l’ARC considérera qu’une déclaration est arrivée à temps si elle est reçue ou postée au plus tard le 17 juin.
Les travailleurs indépendants canadiens doivent quand même payer les sommes dues à l’ARC avant la date limite du 30 avril pour éviter de débourser des intérêts.
L’organisation des Comptables professionnels agréés (CPA) du Canada évoque un certain nombre de changements pour la saison de production de déclarations de revenus 2024.
Le vice-président de la fiscalité de CPA, John Oakey, a écrit dans un article publié sur le site web de l’organisation que la méthode forfaitaire temporaire pour déduire les dépenses de bureau à domicile, telles que le loyer, l’électricité, internet et les fournitures de bureau, n’est plus disponible.
De 2020 à 2022, les employés admissibles pouvaient réclamer 2 $ pour chaque journée travaillée à domicile en raison de la pandémie de COVID-19, jusqu’à un maximum annuel de 400 $ en 2020 et de 500 $ en 2021 et 2022.
Les employeurs n’étaient pas tenus de remplir et de signer un formulaire T2200, ni de conserver les documents à l’appui de leurs dépenses.
Pour 2023 et les années suivantes, les employés doivent désormais suivre une méthode plus détaillée pour faire ces réclamations, indique M. Oakey.
D’autres changements notables, ajoute-t-il, incluent le fait que les contribuables n’auront plus à demander des paiements anticipés de l’Allocation canadienne pour les travailleurs lorsqu’ils produiront leur déclaration de revenus. Ces paiements sont désormais versés automatiquement à ceux qui étaient admissibles à recevoir la prestation au cours de l’année fiscale précédente.
En avril dernier, les règles régissant le nouveau compte d’épargne libre d’impôt pour l’achat d’une première propriété (CELIAPP) sont également entrées en vigueur, destinées à aider les Canadiens à épargner pour leur première maison.
Les cotisations au CELIAPP sont déductibles et les revenus gagnés dans ce compte ne sont pas imposables. Les retraits admissibles auprès d’un CELIAPP pour acheter une première maison ne sont pas non plus imposables.
Le programme permet aux acheteurs potentiels de commencer à épargner pendant une période pouvant aller jusqu’à 15 ans une fois qu’ils ont ouvert un compte, avec un plafond de dépôt annuel de 8000 $ et un plafond de contribution à vie de 40 000 $.
M. Oakey souligne également que les contribuables peuvent désormais demander le crédit d’impôt pour la rénovation d’habitations multigénérationnelles. Il s’agit d’un crédit remboursable destiné à couvrir une partie du coût des rénovations pour la création d’une unité secondaire pour une personne âgée ou un adulte admissible au crédit d’impôt pour personnes handicapées.
Le crédit est disponible jusqu’à 7500 $ ou 15 % des coûts d’une rénovation admissible engagés après le 31 décembre 2022.
L’ARC indique avoir traité plus de 18 millions de remboursements pour l’année d’imposition 2022, pour une moyenne de 2262 $. Environ 78 % des remboursements ont été effectués par dépôt direct tandis que le reste a été envoyé par chèque.
Les personnes ayant un revenu modeste et une situation fiscale simple et qui ont besoin d’aide pour produire leurs déclarations peuvent parler avec des bénévoles dans un comptoir d’impôts gratuit de leur région ou prendre un rendez-vous virtuel, précise l’agence fédérale.
Les détails sont disponibles en ligne sur la page des comptoirs d’impôts gratuits de l’ARC.
Le gouvernement du Nouveau-Brunswick va offrir un paiement unique de 300 $ aux familles dont le revenu net est inférieur ou égal à 70 000 $, mais le flou entourant la marche à suivre pour toucher cette somme accès inquiète plusieurs citoyens.
Le chèque ne sera pas envoyé automatiquement. Les ménages admissibles devront en faire la demande, probablement plus tard ce mois-ci, a confirmé vendredi le ministère des Finances.
La mesure a été annoncée en janvier par le premier ministre Blaine Higgs, pendant son discours annuel sur l’état de la province.
Le premier ministre Higgs estime que la mesure coûtera à l’État environ 75 millions de dollars, pour aider 250 000 familles.
Des Néo-Brunswickois qui pourraient avoir droit à ces 300 $ s'impatientent toutefois du fait que le flou persiste, à savoir comment ils pourront toucher cette aide.
Je ne sais pas comment appliquer pour l’avoir, le 300
, dit Rose-Anna Dugas.
Rose-Anna Dugas
Photo : Radio-Canada
J’ai appris ce matin que, contrairement à ce qu’on aurait pu penser, ça n’allait pas être automatique. Il fallait sauter dans plusieurs cerceaux, je ne sais pas encore dans combien de cerceaux, combien de courbettes il faut faire pour avoir les 300 $
, souligne Annette LeBlanc.
Ça a été improvisé, je pense. C’est pour ça que, si on va à Service Nouveau-Brunswick, ils n'auront peut-être pas les renseignements non plus
, avance la citoyenne.
Annette LeBlanc
Photo : Radio-Canada
Je trouve ça triste
, s’émeut Cécile Maillet, parce que les gens en ont besoin. Ils ont tellement besoin d’aide, oui, ces pauvres-là.
Au Vestiaire St-Jean-Baptiste, une banque alimentaire à Bouctouche, on estime qu'il est évident que le chèque de 300 $ ne suffira pas à calmer la faim des gens qui souffrent.
300 $ n’est pas assez pour faire la différence pour les familles que nous autres, on reçoit pour leur fournir les besoins qu’elles ont pour la nourriture
, dit Linda Gaudet, la gérante.
Linda Gaudet est gérante du Vestiaire St-Jean-Baptiste.
Photo : Radio-Canada
Elle dit qu’elle sera disponible pour aider les familles avec qui elle travaille afin de demander l'argent promis par Fredericton. Elle admet toutefois elle aussi ignorer comment procéder pour l'instant.
Nous prévoyons que la procédure de demande sera lancée vers la fin du mois. De plus amples informations seront communiquées dans les prochains jours concernant la manière et le lieu de la demande
, a indiqué Morgan Bell, agente de communications du ministère des Finances et du Conseil du Trésor du Nouveau-Brunswick, dans un courriel à Radio-Canada, vendredi.
D’après le reportage de Babatundé Lawani
Réponses à cinq questions pour mieux comprendre les conséquences du jugement rendu vendredi à New York.
Bataille futile pour certains, nécessité pour d’autres, l’écriture inclusive est un sujet qui fait réagir.
Au moins 221 000 Ukrainiens ont choisi de vivre au Canada depuis l’invasion russe de février 2022.
Le combat d'une vie contre les contrecoups d'une médication aux effets secondaires terrassants.
Le billet gagnant a été acheté dans le nord-est du Nouveau-Brunswick.
Réponses à cinq questions pour mieux comprendre les conséquences du jugement rendu vendredi à New York.
Il y a un an, le juge déposait son rapport sur l'utilisation de la Loi sur les mesures d'urgences.
Bataille futile pour certains, nécessité pour d’autres, l’écriture inclusive est un sujet qui fait réagir.
La mort de M. Navalny dans une prison de l'Arctique a suscité l'indignation à travers le monde.
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