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Wednesday, June 30, 2021

CB : comment Oney Bank veut étendre le paiement fractionné - Capital.fr

Sur un marché évalué à plus de 6 milliards d’euros, Oney Bank frappe un grand coup. L'ancienne filiale de services financiers d'Auchan, et dont BPCE (Banque populaire et Caisse d’épargne) est depuis devenue actionnaire majoritaire, a annoncé ce 30 juin la commercialisation de sa nouvelle offre Oney +. Comprenant un compte de paiement, une carte bancaire Visa et l’accès à une application, l’établissement entend “universaliser” le paiement en plusieurs fois.

Aussi appelé paiement fractionné, ce type de règlement explose en France : le marché croît de 20 à 30% chaque année, assure Corinne Hochart, directrice générale de l’activité française de Oney Bank. De par sa durée - inférieure à 3 mois -, le paiement fractionné échappe aux contraintes réglementaires - signature du contrat, obligation de conseil -, qui encadrent les crédits à la consommation depuis la loi Lagarde de 2010. Mais pour faire bénéficier du paiement fractionné à ses clients, un (e-)commerçant doit avoir signé un contrat avec un établissement de paiement.

Une carte mobilisable dans tous les commerces

C’est bien sur ce point qu’Oney Bank compte se démarquer. Car souscrire à l’offre Oney + permettra à tous les détenteurs de cette carte de pouvoir mobiliser le paiement fractionné chez n'importe quel commerçant acceptant les cartes Visa. Une initiative unique, insiste Jean-Pierre Viboud, directeur général de Oney : “Les clients n’auront plus besoin d’attendre le partenariat entre commerçant et prestataire de service de paiement. Nous rendons leur paiement fractionné ou qu’ils soient.”

>> A lire aussi - Code CB dynamique, crédit instantané... ces nouveaux services bancaires qui cartonnent

Les souscripteurs peuvent, au choix, étaler un paiement jusqu’à 1.000 euros en 3 ou 4 échéances, avec dans chaque cas, le coût exact des frais engendrés. L’outil est mobilisable partout dans le monde, sur tous les canaux, dans tous les types de commerces et de services, y compris par exemple chez le médecin ou le vétérinaire. Quant au prix, il dépendra de l’offre choisie. - La formule “Oney+ Original”, est proposée à raison de 2,50 euros par mois et comprend notamment une Visa Classic. L’offre “Oney+ First” s’accompagne, elle, d’une Visa Premier pour 5,90 euros par mois.

Les coûts ne sont pas négligeables

De prime abord, le paiement fractionné est donc une bonne affaire pour tout le monde. Le marchand fidélise son client, et ce dernier peut se permettre d’augmenter le prix de son panier moyen tout en étalant ses dépenses. Attention toutefois, car l’opération n’est pas dénuée de coûts. Reste à savoir si le commerçant prend en charge ces frais, ou s'il les partage avec son client. Chez Oney, ils sont partagés. Les particuliers optant pour un paiement en trois fois sont soumis à un taux d’intérêt de 1,45% limité à 15 euros par opération. Ceux réglant sur quatre échéances sont soumis à 2,2% d’intérêt, et une facture maximale de 30 euros par opération. Un paiement de 300 euros fractionné en 3 fois coûtera ainsi 4,35 euros au client.

>> Notre service - Économisez jusqu’à 300 euros par an en testant notre comparateur de tarifs bancaires

La fréquence d’utilisation inquiète également les pouvoirs publics. Le député Philippe Chassaing est d’ailleurs missionné par l’exécutif sur la question du surendettement. Son rapport qui sera remis dans les prochaines semaines se penchera sur la question du paiement fractionné. Le parlementaire rappelle que ce genre de paiement peut être mobilisé sans limite. “Les sites marchands n'opèrent aucune vérification de solvabilité pour cette opération assimilables à prêt à taux zéro” expliquait-il récemment à Capital. Le ménage peut ainsi multiplier les achats chez différents commerçants et accumuler les dettes sur plusieurs semaines. Un argument contesté par Nicolas Dreyfus, directeur général adjoint de Oney : “Le paiement fractionné s’accompagne d’un taux d’impayé extrêmement faible, à moins de 1%. Surtout il se substitue pour la plupart des cas au crédit renouvelable, qui lui n’est pas limité dans le temps.”

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Oney se lance dans une application mobile... - LSA

Jusqu’alors, le paiement fractionné en ligne était précisé sur les fiches produits ou au moment de payer ses achats sur le web. La banque Oney propose aujourd’hui aux consommateurs de souscrire à une offre conditionnée à un compte et à une carte de paiement Visa, baptisée Oney+. Soins médicaux, achats en ligne ou en magasins, en France ou à l'étranger, le client […]

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Paysafe permettra les paiements en espèces en ligne sur le Microsoft Store sur Xbox - LeLézard.com

Classé dans : Science et technologie
Sujet : Product/Service

La plateforme de paiements spécialisée de premier plan Paysafe (NYSE : PSFE) a annoncé aujourd'hui avoir encore élargi sa relation avec Microsoft et qu'elle permettait dorénavant d'effectuer des transactions en espèces en ligne sur le Microsoft Store sur Xbox via la solution de paiement eCash de pointe de Paysafe : paysafecard. paysafecard est à présent disponible sur les consoles Xbox pour des millions de clients dans 22 pays européens.

Disponible dans 50 pays via un réseau de distribution composé de plus de 650 000 points de vente, paysafecard permet aux consommateurs d'utiliser des espèces pour acheter des biens et des services en ligne. Utilisant un code à 16 chiffres, les transactions de paiement sont effectuées de manière simple et sécurisée. Via un compte paysafecard en ligne, les consommateurs ont également la possibilité de combiner des soldes créditeurs. Les données financières sensibles comme les détails du compte bancaire ou de la carte de crédit ne sont pas requises.

L'intégration de paysafecard comme option de paiement sur Xbox fait suite à l'ajout initial de la solution de paiement eCash sur le Microsoft Store sur Xbox, dont le lancement a eu lieu en décembre 2020. Le service étendu est à présent disponible dans les 22 pays suivants : Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Suède et Suisse.

Le lancement constitue le dernier développement d'une collaboration à plusieurs facettes en cours entre les deux sociétés qui, tout récemment, a vu Paysafe tirer parti des outils et de la plateforme d'informatique en nuage ouverte et flexible de Microsoft Azure pour ses services de traitement des paiements aux États-Unis.

Udo Müller, PDG de paysafecard, a déclaré : « L'intégration de paysafecard sur le Microsoft Store sur Xbox fournira une importante méthode de paiement alternative à des millions de clients. paysafecard est populaire dans le domaine des jeux depuis un bon moment, fournissant aux joueurs une solution de paiements en espèces en ligne simple et sûre. Il s'agit d'une option inclusive pour ceux qui n'auraient pas de compte en banque traditionnel, offrant un moyen aisé pour gérer les budgets consacrés au divertissement. »

Trevor Nies, directeur principal du département Global Payments & Risk chez Microsoft, a déclaré au sujet du partenariat : « Après avoir intégré paysafecard sur le Microsoft Store et sur Xbox.com à la fin de l'année dernière, il était évident que nous souhaitions l'étendre à la console de jeu également. En proposant paysafecard comme méthode de paiement, nous permettons aux clients payant en espèces d'accéder à nos contenus numériques sur les consoles Xbox via une méthode de paiement alternative fiable, facile et sécurisée. »

À propos de paysafecard
paysafecard, un leader sur le marché des solutions de paiement eCash, a été fondé en 2000 et a son siège social à Vienne. paysafecard fait partie du groupe international Paysafe, qui propose une vaste gamme de solutions et services de paiement innovants. paysafecard offre des solutions de paiement en espèces prépayées et en ligne sous les marques paysafecard, my paysafecard, paysafecard Mastercard® et Paysafecash. Disponible dans 650 000 points de vente dans 50 pays, paysafecard permet d'effectuer des transactions en ligne simples et sécurisées avec des espèces. En utilisant un code paysafecard à 16 chiffres, les clients n'ont pas besoin d'un compte ou d'une carte de crédit pour payer sur l'Internet, protégeant ainsi leurs informations financières confidentielles. En 2018, paysafecard a développé Paysafecash, qui permet aux clients de d'abord effectuer des achats en ligne avant de payer de manière sécurisée leurs achats avec des espèces hors ligne au point de paiement le plus proche. Paysafecash est déjà disponible dans près de 30 pays. En 2020, paysafecard a réalisé un volume de transactions de 4 milliards d'euros. www.paysafecard.com

À propos de Paysafe Limited
Paysafe Limited ("Paysafe") (NYSE : PSFE) (PSFE.WS) est une plateforme de paiements spécialisée de premier plan. Son objectif principal est de permettre aux entreprises et aux consommateurs de se connecter et d'effectuer des transactions de manière transparente grâce à des capacités de pointe dans le traitement des paiements, les portefeuilles numériques et les solutions de paiement en espèces en ligne. Avec plus de 20 ans d'expérience dans les paiements en ligne, un volume transactionnel annualisé de 92 milliards de dollars américains en 2020 et environ 3 400 employés répartis dans plus de 12 sites dans le monde, Paysafe connecte les entreprises et les consommateurs à travers 70 types de paiement dans plus de 40 devises à travers le monde. Fournies via une plateforme intégrée, les solutions Paysafe sont axées sur les transactions initiées par mobile, les analyses en temps réel et la convergence entre les paiements physiques et les paiements en ligne. De plus amples informations sont disponibles sur le site www.paysafe.com.

Le texte du communiqué issu d'une traduction ne doit d'aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d'origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.


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Communiqué envoyé le 30 juin 2021 à 04:35 et diffusé par :

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Tuesday, June 29, 2021

Gare à l'arnaque au paiement sans contact - Bon à Savoir

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Gare à l'arnaque au paiement sans contact  Bon à Savoir
Gare à l'arnaque au paiement sans contact - Bon à Savoir
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Voyages annulés: inscriptions dès maintenant pour un paiement en septembre - Métro Montréal

Les personnes dont le voyage a été annulé en raison de la COVID-19 sont admissibles à une indemnisation.

Le Fonds d’indemnisation des clients des agents de voyages (FICAV) amorcera à compter de septembre et jusqu’au mois de décembre les remboursements aux clients ayant fait une réclamation.

Le gouvernement fédéral a accordé une aide financière conditionnelle au remboursement des consommateurs à Air Canada, Sunwing et Transat.

Étapes à suivre

Faire une réclamation auprès des voyagistes Vacances Air Canada, Transat Tours ou Vacances Sunwing

1)  Il est fortement recommandé d’entreprendre dès maintenant les démarches vous permettant d’obtenir un remboursement, et ce, malgré votre réclamation au FICAV. Vous pourriez être remboursé dans de meilleurs délais. Les modalités de ces remboursements ont été communiquées par le gestionnaire des réclamations du FICAV à la fin mai à tous les clients ayant présenté une demande d’indemnisation. Les clients concernés trouveront l’information nécessaire sur les sites Web de Vacances Air Canada, de Transat et de Sunwing.

Client ayant fait affaire avec une autre agence de voyages, mais qui se sont procuré un forfait vacances provenant des voyagistes Vacances Air Canada, Transat Tours ou Vacances Sunwing, ou dont le voyage comprend un vol avec Air Canada, Air Transat ou Sunwing

2)  Si vous avez acheté des billets ou des forfaits des transporteurs Air Canada, Air Transat, Sunwing ou de leur voyagiste associé, par l’entremise d’une agence de voyages, vous devez communiquer avec cette dernière pour obtenir un remboursement et en connaître les modalités. 

3)  Plusieurs agences de voyages ont déjà entrepris des démarches auprès de ces transporteurs ou de leur voyagiste associé afin de faire une réclamation au nom des clients concernés.

Client ayant déjà reçu un remboursement complet ou partiel

4)  Si vous avez déposé une demande d’indemnisation au FICAV et que vous avez obtenu un remboursement (complet ou partiel) de votre transporteur, d’un voyagiste, d’une agence de voyages, d’un assureur ou de l’émetteur d’une carte de crédit, etc., il faut en informer le gestionnaire des réclamations du FICAV, PWC.

  • Pour l’informer d’un remboursement obtenu, suivez les indications données dans le formulaire de mise à jour d’un dossier de réclamation. Vous aurez besoin du numéro de votre dossier indiqué dans l’accusé de réception de votre demande au FICAV. Il est composé des chiffres qui suivent « 11500 ».
  • Dans le cas de l’obtention d’un remboursement partiel, toute demande de d’indemnisation au FICAV, pour la part non remboursée, sera maintenue et fera l’objet d’une analyse.

Indemnisation du FICAV

5)  À moins que le gestionnaire des réclamations, PWC, ne communique avec elles, les personnes qui ont fait une réclamation n’ont aucune démarche supplémentaire à faire pour être indemnisées.

6)  Si des informations ou des documents supplémentaires sont requis pour l’analyse de votre demande, le gestionnaire des réclamations, PWC, communiquera avec vous.

Liens connexes :          

Pour informer PWC d’un remboursement obtenu, il faut suivre les indications données dans son formulaire de mise à jour d’un dossier de réclamation.

Le formulaire pour présenter une demande de réclamation au fonds en lien avec la pandémie de COVID-19 est disponible dans le site Web de l’Office.

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Prudence lorsque vous magasinerez votre prochaine assurance voyage - LesAffaires.com

(Photo: 123RF)

Les Canadiens qui souhaitent faire partie de la première vague de voyageurs à se rendre à l’étranger une fois les restrictions aux frontières assouplies devraient porter une attention particulière à ce que leur assurance voyage couvrira et ne couvrira pas, préviennent les experts.

Il peut y avoir de nombreuses exemptions de couverture en ce moment puisque le gouvernement canadien déconseille toujours les voyages non essentiels dans tous les pays étrangers, souligne notamment l’Association canadienne de l’assurance voyage (ACAV).

En particulier, les voyageurs devraient confirmer que leur police couvre l’annulation de voyage et les urgences sanitaires liées à la COVID-19, note le directeur exécutif de l’ACAV, Will McAleer.

« La principale chose à rechercher est que la police offre une couverture même s’il y a un avis aux voyageurs demandant d’éviter tous les voyages non essentiels », a-t-il affirmé.

Selon M. McAleer, la plupart des assureurs ne couvrent actuellement pas les interruptions de voyage qui se produisent avant le départ et qui sont directement attribuables à la pandémie.

En outre, de nombreux fournisseurs modifieront probablement le montant d’indemnisation autorisé pour les réclamations courantes.

Selon lui, de nombreux assureurs ont plafonné les paiements à un plus faible niveau pour les problèmes liés à la COVID-19 et il est possible qu’ils n’offrent qu’un faible per diem dans certains scénarios, plutôt qu’une importante somme globale.

Par exemple, il souligne que certains assureurs plafonnent les indemnités journalières à environ 150 $ pour les personnes qui contractent la COVID-19 et encourent des dépenses liées aux mesures de quarantaine et aux tests.

Une façon de maximiser ce à quoi on a droit est de se faire vacciner, explique M. McAleer.

L’ACAV affirme que certaines compagnies d’assurance imposent déjà des paiements maximums différents pour les personnes en fonction de leur statut vaccinal. M. McAleer ajoute qu’une agence d’assurance qu’il connaît offre un paiement maximum de 5 millions $ pour une urgence médicale liée à la COVID-19 pour les clients entièrement vaccinés, contre un paiement de seulement 1 million $ pour ceux qui ne le sont pas.

Même les voyageurs qui sont les plus prudents et font un maximum de vérifications devraient s’attendre à devoir payer certaines sommes de leur poche si leur voyage était perturbé, remarque pour sa part Ian Lee, professeur agrégé à la Sprott School of Business de l’Université Carleton.

« Il y a beaucoup de restrictions en petits caractères », observe M. Lee.

« À quiconque dirait : “Je veux juste être complètement assuré, donc si je pars à l’étranger, je ne dépense pas un sou pour rentrer chez moi”, je répondrais que je crois que ce n’est pas une attente valable. »

Selon lui, les voyageurs doivent savoir que les compagnies d’assurance peuvent modifier leurs polices sur un coup de tête, et que ces compagnies doivent se protéger contre la prise de trop de risques.

M. Lee estime que le principal risque auquel sont confrontés les voyageurs est la menace de fermetures de frontières. Celles-ci déclenchent habituellement des ruées folles pour les changements de vol qui permettent de rentrer à la maison.

MM. McAleer et Lee affirment tous deux s’attendre à ce que l’assurance voyage revienne à la normale lorsqu’il y aura plus de certitude autour de la fin de la pandémie et lorsque les pays lèveront leurs avis aux voyageurs.

En attendant, poursuit M. McAleer, les consommateurs devraient examiner attentivement les endroits où ils décident de passer leurs vacances, car les situations de sécurité de certaines destinations ont changé.

La pandémie mondiale a engendré une crise économique et une crise sanitaire, souligne-t-il, et il pourrait y avoir une augmentation de la criminalité dans les pays où les conditions économiques se sont détériorées.

« Certaines des destinations qui étaient autrefois très sûres et sécurisées ne le sont peut-être plus », affirme M. McAleer.

« Le monde pourrait être un peu différent là-bas, et les premiers voyageurs pourraient être plus exposés à certains des délits mineurs et des vols à la tire, et des choses comme ça. »

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Monday, June 28, 2021

Mise à niveau du service QuickPass mobile de UnionPay - LeLézard.com

Classé dans : Les affaires, Science et technologie
Sujet : Nouveaux produits et services

SHANGHAI, 29 juin 2021 /PRNewswire/ -- UnionPay a annoncé aujourd'hui le lancement du nouveau service QuickPass mobile qui prend en charge le paiement sans contact, le paiement par code QR et le paiement In-App de UnionPay. La nouvelle solution améliorera considérablement l'expérience de paiement mobile pour les titulaires de cartes UnionPay.

Cette mise à jour de QuickPass mobile permet aux clients d'effectuer des paiements dans un large éventail de scénarios de paiement, en ligne et hors ligne, en Chine continentale et ailleurs. Pour effectuer des paiements hors ligne, les clients pourront simplement double-cliquer sur le bouton latéral pour payer par QuickPass ou par code QR à la demande, sans avoir à télécharger ou à ouvrir une quelconque application.

Jusqu'à présent, UnionPay a étendu son réseau mondial d'acceptation à 180 pays et régions, dont plus de la moitié acceptent le paiement par code QR ou QuickPass mobile de UnionPay. Les titulaires de cartes UnionPay peuvent profiter de la commodité des paiements mobiles chez plus de huit millions de commerçants en dehors de la Chine continentale.

La mise à niveau du service QuickPass mobile de UnionPay a intégré de multiples solutions de paiement, prenant en charge une série de services à valeur ajoutée et de promotions premium.

Pour répondre à l'évolution du comportement des consommateurs en matière de paiement, UnionPay s'est efforcé d'étendre son déploiement mondial de produits innovants. À l'heure actuelle, dans 20 pays et régions en dehors de la Chine continentale, plus de 90 produits innovants, dont UnionPay App, QuickPass, les portefeuilles à code QR, ont été développés ou mis à niveau grâce aux technologies d'UnionPay. L'année dernière, UnionPay a lancé un portefeuille mobile au Pakistan, offrant un service de paiement sans contact et par code QR.

Actuellement, cette nouvelle mise à niveau destinée aux produits innovants accélérera encore les options de paiement pour les titulaires de cartes, et permettra à UnionPay d'explorer des modèles de coopération plus innovants avec des partenaires industriels et de répondre aux besoins locaux des marchés étrangers.


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Communiqué envoyé le 28 juin 2021 à 23:43 et diffusé par :

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Équipe Savard veut étaler le paiement de taxes sur 12 mois [VIDÉO] - Le Soleil - Groupe Capitales Médias

Environnement 

La candidate et son parti s'engagent à planter 100 000 arbres supplémentaires d'ici 2027. «Le développement de Québec n’a pas de sens s’il n’est pas nourri par le désir de léguer une ville en santé plus verte et durable aux prochaines générations. L’environnement n’est plus une vertu, c’est une responsabilité de planifier intelligemment l’avenir de notre ville.» 

La Ville de Québec avait antérieurement répertorié 1701 arbres sur son territoire risquant d'être abattus en périphérie du trajet du tramway. Elle croit désormais être en mesure d'en couper seulement 651, bien que le sort de 241 arbres supplémentaires, à la limite du parcours, sera déterminé au moment de creuser. 

Engagements multiples

L’Équipe Savard souhaite innover avec ses partenaires sur le terrain, dont le CIUSSS de la Capitale-Nationale, pour mettre en place des mesures concrètes afin de contrer l’itinérance et d’aider les personnes aux prises avec des problèmes de consommation ou de santé mentale. 

Marie-Josée Savard insiste sur une politique de partage publique avec des citoyens impliqués, notamment en encourageant la participation et l’engagement d’un accompagnement adaptés à la réalité des milieux. «On pense ici à la volonté de créer un espace communautaire dans l’église Saint-Jean-Baptiste», souligne-t-elle. L’équipe tient aussi à aller de l’avant avec une maison de la diversité dans l’actuelle maison Pollack. 

L’Équipe Savard projette d’interdire l'usage des herbicides et pesticides reconnus dangereux par l'OMS. Pas de détails sur les produits qui seront bannis. Impossible donc de savoir si le glyphosate – substance active du produit Roundup de la compagnie américaine Monsanto – sera interdit d’utilisation à Québec dans un avenir rapproché, comme c’est le cas à Laval par exemple.

Enfin, la candidate souhaite poursuivre les actions et les investissements visant à protéger les sources d'eau potable de la ville. Rappelons que certains quartiers sont aux prises avec des problèmes d’eau rougeâtre notamment dans Sainte-Foy. Une vaste opération de mise à niveau de l’usine de traitement d’eau de Sainte-Foy, des travaux évalués à plus de 46,5M$, est d’ailleurs présentement en cours.

La candidate à la mairie termine en précisant que Québec est «Une ville à partager qui doit reposer sur une économie forte et des quartiers vibrants. [Une ville] inclusive avec des citoyennes et citoyens impliqués qui peuvent compter sur une saine gestion des ressources.» 

Dix candidats ont également été présentés officiellement lundi : Steeve Verret, district Lac-Saint-Charles–Saint-Émile; Suzanne Verreault, district Limoilou; Anne Corriveau, pointe de Sainte-Foy; Alicia Despins, Vanier–Duberger; Émilie Villeneuve, Saint-Louis–Sillery; Émilie Robitaille, Loretteville–Les Chapelles; Maxime Gravel-Renaud, Montcalm–Saint-Sacrement; Véronique Dallaire, Les Saules–Les Méandres; David Weiser, district du plateau à Sainte-Foy et Boufeldja Benabdallah, district de Cap-aux-Diamants. Ce sont donc cinq nouveaux visages qui se joignent à l’Équipe Savard.  

Précisons que certains de ces engagements seront précisés durant la campagne électorale qui débutera officiellement le 17 septembre prochain.

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Hausse des paiements par carte bancaire : les secteurs qui en profitent - LCI

Comme beaucoup de Français, vous l'adorez et l'utilisez de plus en plus : votre carte bancaire, et ce, peu importe le montant. Pour les raisons, elles sont plutôt évidentes : "C'est le moyen de paiement le plus simple", "je n'ai jamais de liquide sur moi, la carte bleue est disponible partout donc c'est plus pratique". En juin, les achats par carte bleue ont bondi de près de 20%.

Depuis la réouverture des magasins, nombreux sont ceux qui ont voulu se faire plaisir. La restauration en profite, mais aussi le secteur de l'informatique ou encore de l'habillement. Dans la boutique où travaille Gianna Lenoir par exemple, ce mode de paiement est en hausse de 15%. On remarque que le sans contact est de plus en plus privilégié pour des paiements de moins de 50 euros. Et comme il n'y a pas de plafond sur le téléphone, il y a de quoi faire chauffer la carte bleue. De quoi témoigner d'une bonne reprise économique et ce, avant les soldes qui commencent dans deux jours.

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DNVB, paiement mobile, logistique… le e-commerce poursuit sa course - Les Echos Entrepreneur

Vive la crise ! ce pourrait être le cri du coeur des e-commerçants. L'an dernier, malgré, ou plutôt grâce, à la crise sanitaire, le chiffre d'affaires de la vente en ligne a connu une croissance de 8,5 % à 112 milliards d'euros. En dépit d'une dégringolade dans le tourisme, les voyages et les loisirs, selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance.

Partout, jusque dans les petits villages, les commerçants se sont appropriés l'outil de la vente en ligne pour survivre aux confinements successifs.

Ce constat a poussé Johana Bolender à cofonder en août 2020 un centre de formation, Merci e-commerce. Cette école a déjà accompagné une trentaine de TPE/PME et environ 200 indépendants et demandeurs d'emploi dans le développement de leurs compétences en e-commerce. À Paris, l'établissement a séduit, entre autres, des « secteurs atypiques comme des artistes, des artisans du bois ou des antiquaires », selon l''entrepreneuse. Un signe que le e-commerce est désormais incontournable.

Le commerce en ligne, en plus de s'étendre à tous les secteurs, est aussi porteur d'innovations. L'entreprise niçoise WiziShop, par exemple, a lancé en 2018 Dropizi, un service de dropshipping . Le principe : assister des entrepreneurs individuels dans la création de leur boutique en ligne virtuelle. Pas besoin de stock, il suffit juste de sélectionner des produits chez des fournisseurs partenaires. Tout est géré à distance et ce sont les fournisseurs qui se chargent de l'envoi au client au nom de la boutique.

Le cofondateur de WiziShop, Grégory Beyrouti, le reconnaît volontiers : « On fait partie des grands gagnants de la crise sur le côté business ». La société a été portée par son activité originelle de digitalisation des commerçants. Son modèle économique est simple : une commission sur les ventes. L'an dernier, elle a réalisé un chiffre d'affaires de 3 millions d'euros, en hausse de 86 % par rapport à 2019.

Dans la restauration, les solutions numériques se sont également multipliées. Ainsi, l'activité est forte chez Edgar Restaurant. Ancrée à Nantes et Paris, cette start-up fondée en 2018 propose aux restaurateurs une solution de paiement et d'affichage de leur menu par QR code. Le service est gratuit pour les professionnels. L'application se rémunère en proposant des activités de loisirs autour du restaurant, et une prenant une commission au passage.

Pas de frais bancaires non plus sur les paiements. Edgar Restaurant propose un service de paiement à la table. Et promet de faire économiser de 500 à 1.000 euros par mois à chaque professionnel en faisant payer les frais bancaires de la transaction au client. « En contrepartie, le client peut payer avant, pendant ou à la fin de son repas depuis sa table, sans avoir à faire la queue », souligne Guilhem Miranda, le fondateur. pour le restaurateur, reste à gérer les clients qui veulent absolument régler au comptoir.

Le paiement sans contact généralisé produit lui aussi ses effets. La fintech Famoco permet de réaliser différentes transactions - du paiement à la collecte de taxe, en passant par le contrôle d'identité pour accéder à un lieu - sur un unique terminal mobile Android spécialement conçu pour éviter toute perméabilité avec Google.

Grâce au desserrement de la réglementation sur le paiement sans contact, la société peut désormais opérer des transactions Visa et Mastercard alors qu'elle était jusqu'ici spécialisée dans les paiements alternatifs. « C'est un appel d'air à l'innovation extraordinaire », apprécie son cofondateur, Lionel Baraban. Son entreprise a déjà déployé ses boitiers dans les réseaux de bus de Toronto de Stockholm.

Quant aux plateformes de vente en ligne, « il s'en lance dans tous les sens », observe Vincent Naigeon, fondateur et dirigeant de l'entreprise Ici présent (ex-Masterbox). De 60.000 euros de chiffre d'affaires à son lancement en 2018, ce site spécialisé dans les coffrets cadeaux préparés par des artisans français a réalisé l'année dernière plus de 3,5 millions d'euros de chiffre d'affaires et table sur plus de 5 millions d'euros cette année.

Plus encore que la crise, c'est l'appétit des Français pour les produits locaux qui porte l'activité de Masterbox, selon Vincent Naigeon. La start-up s'appuie sur 400 artisans pour l'instant, et espère en référencer 4.000 d'ici trois à cinq ans afin de générer davantage de ventes et « devenir ainsi le réflexe cadeau » des internautes.

Cette croissance de la vente en ligne soutient encore l'innovation dans l'emballage et la logistique. La start-up Hipli propose par exemple des emballages réutilisables pour le e-commerce. Tandis que Cubyn vise à décharger les e-commerçants de toute leur logistique. la plateforme a levé en début d'année 35 millions d'euros pour se développer en Europe.

Enfin, le modèle DNVB, ces marques 100 % internet attirent les convoitises. L'entreprise Branded, cofondée par l'ancien d'Alibaba Pierre Poignant, rachètent des marques de vente en ligne, qui oeuvrent en particulier sur Amazon, pour les faire croître grâce à un apport marketing et technologique.

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DNVB, paiement mobile, logistique… le e-commerce poursuit sa course - Les Echos Entrepreneur
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Les nouveaux défis e-commerce de l'après-crise : omnicanalité et stratégies de paiement - Forbes France

Non seulement les Français achètent davantage sur Internet, mais ils n’hésitent plus à acheter des biens d’un montant élevé. Ce qui transforme la donne en matière de solutions de paiement, explique Arnaud Le Gall, directeur des partenariats chez Cofidis France.

Comment le développement du commerce électronique, boosté par la crise sanitaire, rejaillit-il sur le secteur des solutions de paiement ?

Arnaud Le Gall : Les ventes en ligne connaissent une croissance de 14,8% sur le premier trimestre 20211. On le sait, cette croissance sera durable et ne régressera pas avec l’ouverture des points de vente. Cette croissance du e-commerce, notamment des marketplaces, en fait aujourd’hui un marché de plus de 100 milliards d’euros. Chez Cofidis, l’an dernier, nous avons pu constater une hausse de 34 % du recours aux facilités de paiement (règlement des achats fractionné en trois ou quatre fois par carte bancaire) et une augmentation d’environ 12% du panier moyen, tous secteurs confondus. Notre large gamme de solutions nous permet de répondre aux attentes des marchands, quel que soit leur panier moyen : ainsi nous avons observé, avec le contexte, une augmentation de la fréquence d’achat chez nos partenaires.

Tout cela se produit avec pour toile de fond une autre évolution majeure du commerce, celle de l’omnicanalité qui, du fait des confinements, ne concerne plus seulement les gros commerçants, mais également les petits et moyens. Nous avons accompagné un certain nombre de partenaires dans leur transformation digitale vers un modèle omnicanal. C’est-à-dire des magasins et des sites de e-commerce aux parcours d’achats intégrés. Ce mouvement est double : pour les enseignes traditionnelles, il s’agit d’étendre leur présence en ligne en partant de points de vente physiques ; pour les DNVB (Digital Native Vertical Brand), comme Le Slip Français ou Tediber, jusqu’alors pure players, d’ouvrir leurs magasins physiques afin de poursuivre leur croissance et proposer une expérience client 360°.

Dans ce contexte, Cofidis est en mesure d’accompagner les marchands dans ces transformations et met son expertise au service du développement de leur activité. Notre maîtrise de l’expérience d’achat et des comportements des consommateurs nous permet de guider nos partenaires dans leur stratégie de paiement et de leur proposer des parcours performants.

Le développement des solutions fractionnées est-il lié à l’augmentation de la valeur du panier moyen sur Internet ?

Arnaud Le Gall : C’est bien le cas. Nous l’avons constaté l’année dernière. Jusqu’à récemment, les consommateurs cherchaient ce dont ils avaient besoin en ligne, mais procédaient à l’achat du bien en magasin (research online, purchase offline – ROPO), notamment pour les montants les plus importants. Suite au Covid-19, l’achat de biens de plus gros montants s’est développé. D’autant que de nombreux e-commerçants et marketplaces se sont organisés pour livrer les commandes rapidement, parfois le jour même, et ont facilité l’étape du renvoi, si le bien ne convenait pas. En conséquence, on a vu se développer une nouvelle habitude d’achat en ligne sur des montants plus élevés avec, pour corollaire, le développement du recours aux solutions de facilités de paiement. Mais au-delà de ces dernières, les solutions de crédit en ligne (par exemple pour le financement de l’achat de véhicules ou l’équipement de la maison) progressent également pour des montants encore plus élevés, mais toujours avec la même exigence de fluidité et de simplicité pour les utilisateurs finaux.

Ces solutions de paiement sont-elles co-construites avec vos boutiques et sites partenaires pour répondre aux besoins exacts de chacun de ces derniers ?

Arnaud Le Gall : Cette approche partenariale est au cœur du positionnement de Cofidis. Notre recherche de compréhension des besoins exprimés par nos partenaires fait notre différence. Au sein de l’expérience d’achat, le paiement est une étape cruciale. Derrière chaque transaction réussie, nous savons chez Cofidis qu’il y a la bonne solution de paiement. Une solution innovante et performante qui répond aux besoins des clients. Une solution qui s’adapte à leurs usages comme à leur budget. Une solution pensée selon leurs parcours de vente. Nous accompagnons donc, au quotidien, nos partenaires dans le développement de leurs ventes et de leurs revenus, et contribuons la satisfaction et la fidélisation de leurs clients.

C’est d’ailleurs cela qui nous a conduit à créer une offre omnicanale, tout en l’adaptant à différents contextes. Pour Vorwerk, qui, dans son modèle économique traditionnel vendait uniquement à domicile son robot de cuisine Thermomix, nous avons développé en un mois une solution digitalisée, afin de l’accompagner sur la proposition de financement à ses clients lors de ses démonstrations à distance. Cela a permis à l’entreprise de reprendre son activité malgré le confinement avec des niveaux de vente égaux à leurs réalisations antérieures.

Notre ambition est claire : accompagner nos partenaires en déployant une vision à 360° autour de leurs besoins (paiement, crédit, assurance si nécessaire). C’est pourquoi nous travaillons sur la mise à disposition d’API, applications qui vont permettre de programmer et d’interfacer nos solutions avec les systèmes des partenaires, sur tous les canaux (caisse traditionnelle ou autonome en magasin, site de e-commerce, tablette d’un vendeur dans un contexte de vente à distance…).

Quelles sont les grandes tendances qui vont se dégager dans l’avenir ?

Arnaud Le Gall : Dans le cadre du développement de l’économie de la fonctionnalité, où l’on ne paye plus le bien mais son usage, nous avons déployé cette année une solution de location longue durée qui va être testée par un premier partenaire, le Roi du Matelas. Dans ce domaine, nous avons aussi pour cible le secteur des mobilités urbaines, avec des produits parfaitement adaptés à ces nouveaux usages.

L’autre grande tendance que l’on voit arriver est celle de l’achat de seconde main, marché en très fort développement, qui devrait peser plus de 50 milliards d’euros dans deux ans et sur lequel Cofidis s’investit beaucoup tant en termes de réflexion produit que de parcours de souscription. Souscrire à un crédit en magasin, c’est une chose. Faciliter un achat entre particuliers – à crédit ou via des facilités de paiement- est sensiblement différent. Dans ce cadre, nous avons noué des alliances avec un certain nombre d’acteurs, dont la fintech Tripartie, qui sécurise les transactions entre particuliers.

1 Source : Chiffres FEVAD premier trimestre 2021

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Saturday, June 26, 2021

Paylib, Apple Pay, Google Pay : ce qui bloque encore le paiement mobile - MoneyVox

Le paiement mobile a-t-il profité de la crise sanitaire pour trouver sa place dans les habitudes des Français ? Quels sont les freins qui subsistent ? Points de vue croisés de Vincent Duval, directeur général de Paylib et Pierre Lahbabi, CEO de Galitt et expert des paiements.

La crise du Covid a modifié les habitudes de paiement des Français. Les wallets mobiles, comme Paylib, en ont-ils profité ?

Vincent Duval : « Certes, l’usage des wallets mobiles reste encore minoritaire, mais nous sommes à un point de bascule. C’est souvent comme cela que ça se passe en matière de paiements : un nouvel usage reste longtemps imperceptible, puis connaît une croissance exponentielle et explose en 2 ou 3 ans. »

Pierre Lahbabi : « Nous constatons que la notoriété et l’usage des wallets mobiles progressent. Selon notre étude PayObserver (1) en 2020, 92% des Français connaissent le paiement mobile, et 22% l’ont déjà utilisé pour régler un achat en magasin, contre 19% en 2019. Il y a également une forte corrélation avec l’âge : les deux tiers des 18-25 ans paient avec leur mobile. »

Vincent Duval : « L’usage progresse toutefois plus vite chez les 35-55 ans, ce qui est un signe de démocratisation. »

Lire aussi : Apple Pay, Paylib, Google Pay : dans quelle banque peut-on payer avec son mobile ?

Quels sont les freins qui subsistent ?

« Les freins vont disparaître avec le temps »

Vincent Duval : « Longtemps, le frein a été technologique. Ce n’est plus le cas : les technologies du paiement mobile en magasin sont désormais matures. Reste un frein lié à la sécurité : le paiement mobile est encore perçu par certains comme plus risqué. Un paradoxe, car ce n’est pas le cas : son taux de fraude est faible et comparable avec celui du paiement sans contact avec carte bancaire. Ce malentendu va disparaître avec le temps, à mesure que les gens voient leurs proches l’utiliser sans connaître de soucis. »

La multiplication des wallets mobiles, qui ne fonctionnent pas tous dans toutes les banques et sur tous les mobiles, n’est-il pas en cause ?

Vincent Duval : « Effectivement, cela complique l’adoption. Paylib sans contact, par exemple, ne fonctionne pas sur les iPhones, car Apple en verrouille l’accès au profit exclusif de sa propre solution, Apple Pay. Je pose la question : qu’attend le législateur français ? Cette restriction d’Apple entrave le développement des acteurs européens. Certains Etats - le Japon, l’Allemagne - tentent d’ailleurs de légiférer sur le sujet. En France, il existe un consensus, dans les discours, sur la nécessité d’une souveraineté numérique face aux Etats-Unis et à la Chine. Mais dans l’immédiat, il manque le passage à l’acte. »

Remplacer le sans contact NFC par le QR Code peut-il être une solution pour contourner le problème ?

Pierre Lahbabi : « Quand on voit le succès du paiement sans contact NFC par carte bancaire, passer au QR Code maintenant serait paradoxal, même si cette technologie est pertinente pour certains usages. »

Vincent Duval : « Oui, un QR Code sur une addition de restaurant pour payer depuis sa table, c’est intéressant. Moins comme alternative au NFC pour payer à la caisse d’un magasin. Le QR Code statique serait un recul en termes de sécurité. Et pour proposer des QR Code dynamiques, plus sûrs, les commerçants devraient changer de terminal de paiement et déployer de nouvelles solutions d’acceptation. Si le QR code peut être un complément, ce n’est certainement pas une alternative. »

NFC contre QR Code

Le NFC et le QR Code sont deux techniques de paiement sans contact. Dans le cas du premier, également utilisé par les cartes bancaires sans contact, le paiement se déclenche en approchant simplement le mobile du terminal de paiement. Dans le cas du second, le payeur doit flasher (prendre en photo) un QR Code fourni par le commerçant.

Plus généralement, que peut apporter le mobile par rapport à la carte pour payer en magasin ?

« Il ne faut pas opposer la carte physique et le mobile »

Pierre Lahbabi : « Apporter une valeur supplémentaire par rapport à la carte est nécessaire. De fait, le mobile permet de relier des services complémentaires au simple paiement : dématérialisation du ticket de caisse, application automatique de réductions, prise en compte de la fidélité, ajout d’un pourboire… L’enjeu est désormais de déployer ces services à grande échelle, en tissant des partenariats avec les commerçants. »

Vincent Duval : « Je partage l’analyse de Pierre, le mobile permet d’ajouter de la valeur. De mon point de vue, toutefois, ce n’est pas la valeur ajoutée qui fait l’adoption. C’est avant tout l’expérience du paiement sec qui convainc : le mobile permet de payer sans contact, facilement et en toute sécurité, même au-delà de 50 euros, contrairement à la carte. C’est dans un second temps, quand le geste est adopté, que la valeur ajoutée fait la différence. Par ailleurs, il ne faut pas opposer la carte physique et le mobile, car leurs usages sont souvent hybrides. Les usagers de Paylib sans contact font huit paiements en magasin par mois, en moyenne, par mobile et l’équivalent par carte physique. »

Paylib propose également « Paylib entre amis », un service mobile de paiement instantané entre particuliers. A-t-il trouvé son public ?

Vincent Duval : « Oui, sa croissance est aujourd’hui six fois plus forte que celle du paiement en magasin. Il a particulièrement explosé depuis Noël dernier, dans le contexte sanitaire qu’on connait, comme alternative aux espèces ou au chèque pour verser de l’argent à ses proches. Paylib entre amis a l’avantage d’être quasi universel, puisque proposé par la plupart des banques françaises, à l’exception pour l’instant de quelques banques en ligne. Résultat : 19 millions de Français sont inscrits, dont 5 millions sont des utilisateurs actifs, et c'est un usage qui se développe en flèche. »

Paylib entre amis a aussi l’avantage d’être instantané et gratuit. Avez-vous compris la déclaration de Fabio Panetta, membre du directoire de la Banque Centrale européenne, qui a regretté que les banques fassent payer le virement instantané trop cher ?

Lire sur le sujet : Le virement instantané moins cher ?

Vincent Duval : « Grâce à Paylib entre amis, le virement instantané est offert par les banques pour les petits paiements, jusqu’à 300 euros, entre particuliers. Pour les usages de montant important - payer un véhicule d’occasion par exemple - il est effectivement souvent payant. C’est normal : le virement instantané représente un coût réel pour les banques et une forte valeur ajoutée pour le client, qui mérite d’être facturé. Par ailleurs, la comparaison de ce responsable de la BCE n’est pas pertinente : elle revient à comparer le prix usine d’un microprocesseur avec le prix grand public d’un PC tout compris ! De telles déclarations n’encouragent pas les banques à investir, alors que l’investissement est un enjeu de souveraineté européenne face aux géants numériques américains et chinois. »

Quelle est la meilleure banque en ligne en 2021 ?

(1) Pay Observer, étude réalisée par le cabinet de conseil Galitt sur un échantillon de 757 personnes représentatives de la population française sur les critères d’âge, de sexe et de région, novembre 2020.

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Friday, June 25, 2021

Paiement sans contact : attention, de nombreuses arnaques existent - Yahoo Actualités

Régler ses achats sans contact c’est pratique, mais attention aux nombreuses escroqueries.

Avec la crise sanitaire, le paiement sans-contact est devenu la norme dans le monde, et donc en France, pour les paiements par carte. Ce système pratique et rapide permet de limiter les manipulations. En revanche, il n’évite pas les arnaques. La dernière fraude à la mode est diablement efficace comme le raconte un article du Midi Libre. À Montpellier, et dans d’autres villes de France, les "fraudeurs opèrent dans les rames du tramway" munis d'un terminal de paiement (TPE) dans un sac. Objectif de l’opération : déclencher des paiements sans contact incognito en se collant aux usagers.

Si ce type d’escroquerie est plus à "la portée de tout le monde" à cause de sa simplicité, les malfrats doivent malgré tout "posséder un compte bancaire au nom d’une société pour encaisser les sommes captées par le terminal de paiement", explique UFC Que-Choisir

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Bien souvent, les victimes se rendent compte de l’entourloupe quelques jours ou semaines plus tard en vérifiant leurs relevés de compte bancaire. Si vous constatez un débit inexpliqué, rappelez-vous que la loi est de votre coté. Selon l’article L. 133-18 du code monétaire et financier, “le client doit être totalement et immédiatement remboursé par la banque lorsque sa carte est utilisée à son insu sans utilisation du code confidentiel”. Ce qui est le cas si quelqu’un utilise votre carte bleue dans un transport en commun ou ailleurs. Et pour éviter tout écueil, pensez à bien ranger votre carte bancaire dans votre porte-monnaie ou portefeuille plutôt que dans une poche. Cela vous évitera les mauvaises surprises.

La virgule décalée, une arnaque très vicieuse

Autre arnaque encore plus redoutable. On pourrait l’appeler l’escroquerie à la virgule décalée. Récemment, un commerçant a comparu devant le tribunal judiciaire de Caen pour une escroquerie à la carte bancaire rapporte France 3 Normandie. Grâce à une technique particulièrement vicieuse, il a détourné plus de 13 000 euros. Comment ? En facturant à ses clients des sommes beaucoup plus importantes sans qu’ils ne se rendent compte de rien. Le commerçant malhonnête déplaçait tout simplement une virgule sur la somme tapée. Parfois, il profitait de leur inattention pour taper un chiffre plus important. L’homme aurait dupé une vingtaine de victimes.

Selon une enquête de l'UFC-Que Choisir dévoilée en octobre 2020, les paiements sans contact ont explosé de 67% depuis le début de la crise sanitaire.

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Non-paiement de loyer, à vos marques prêts partez - Le Propriétaire (APQ)

Les propriétaires ont des échéanciers serrés. Plusieurs qui viennent d’acheter leurs immeubles réalisent à quel point la planification financière et les entrées régulières de fonds par le truchement du dépôt des loyers des locataires sont importantes. Dans un marché qui s’est enflammé, favorisant les transactions à la hausse et des marges de manœuvre souvent réduites, les dépenses principales de l'immeuble sont bien souvent immuables ou presque.
Les taxes, les assurances, les coûts...

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Thursday, June 24, 2021

Terminaux de paiement d'Ingenico : les syndicats menacent de saisir Bercy - Les Échos

Dix ans après le veto posé par Bercy contre la vente d'Ingenico à un groupe américain, le sujet menace de revenir à l'ordre du jour. Selon nos informations, les syndicats d'Ingenico, le spécialiste des paiements acheté l'année dernière par Worldline, envisagent de saisir le ministère des Finances pour bloquer la vente de l'activité de terminaux de paiement qui intéresse des fonds d'investissement américains.

« Les Etats européens ne cessent d'affirmer que le secteur des paiements représente un véritable enjeu de souveraineté, déclare Emmanuel Farah, délégué syndical de CFTC au sein d'Ingenico. C'est d'ailleurs pour ça qu'ils sont en train de développer EPI (une solution de paiement paneuropéenne, NDLR). Est-ce que l'Etat français va accepter qu'une telle technologie passe aux mains d'un fonds américain ? »

Fin 2010, le gouvernement avait demandé à Safran, qui était alors actionnaire d'Ingenico, de ne pas vendre sa participation de 22,5 % au groupe américain Danaher , au motif que la société disposait d'un savoir-faire stratégique. A l'époque, le ministre de l'Industrie Eric Besson avait qualifié Ingenico de « pépite française […] essentielle à la filière économique ». Danaher avait dû retirer son projet d'OPA.

Emplois menacés

Dix ans plus tard, Ingenico a été intégré par Worldline, lui-même issu d'Atos. Et les activités en vente n'ont pas nécessairement la même sensibilité stratégique. Pour autant, ses terminaux de paiement sont présents dans des milliers de magasins en Europe. C'est ce qui attire les fonds américains Cerberus, Apollo et Platinum, qui sont candidats à l'achat de l'activité valorisée plus de 2,5 milliards d'euros par le vendeur, selon nos informations.

Les syndicats font valoir l'expertise de cette branche baptisée « TSS », qui compte 450 salariés selon la direction et 600 selon les organisations syndicales. Ceux-ci sont répartis entre les trois sites de Paris, Valence et Suresnes. « Il s'agit principalement d'ingénieurs et de spécialistes de la distribution, précise Alain Juy, représentant CFDT chez Ingenico. Si même ces emplois sont aujourd'hui menacés en France, c'est inquiétant. »

La branche, dont Worldline pourrait rester actionnaire, a conservé en France la R & D, tandis que la production du matériel a été délocalisée. En quarante ans, la technologie développée dans l'Hexagone a permis à Ingenico de s'imposer comme l'un des trois géants mondiaux, au côté de l'américain Verifone et du chinois PAX.

A l'heure actuelle, Ingenico vend encore 7 millions de terminaux de paiement par an dans le monde et dégage un résultat opérationnel (Ebitda) estimé entre 330 et 350 millions d'euros alléchant pour les potentiels repreneurs. Mais les syndicats craignent que ces investisseurs ne réduisent la voilure.

Parmi les candidats, certains se veulent rassurants : « les salariés devraient être au contraire rassurés du rachat par un fonds qui n'aura pas à mettre en oeuvre de synergies de coûts comme un acquéreur industriel et ce n'est pas dans notre ADN de procéder ainsi ».

Important critère de choix final

« On se sent trahi. Lors du rachat par Worldline, on nous a vendu un grand projet industriel visant à créer un géant mondial des paiements, auquel tout le monde a adhéré, ne décolère pas Alain Juy. En réalité, on comprend que Worldline n'a jamais voulu garder la branche terminal de paiement ». Les syndicats, qui n'excluent pas d'appeler à la grève, demandent le maintien de l'emploi et de la technologie sur le sol français.

Interrogé, Worldline assure avoir démarré des discussions dès le mois de mars sur la question sociale dans le cadre d'une possible vente. « Dans le cas d'une ouverture du capital de TSS à un partenaire extérieur, le groupe ne prévoit pas d'impact social en France car la stratégie de TSS est celle du développement et de la croissance ce qui constitue en soi la meilleure garantie pour l'emploi », déclare une porte-parole.

Par ailleurs, le groupe assure que « le volet social » des potentiels repreneurs constituera « un important critère de choix final ».

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Alma, spécialiste du paiement fractionné, déploie un fonds pour financer les créances des marchands - L'Usine Digitale

Alma, spécialiste du paiement fractionné, déploie un fonds pour financer les créances des marchands
Alma, spécialiste du paiement fractionné, déploie un fonds pour financer les créances des marchands © Alma

La fintech Alma a annoncé ce 24 juin le déploiement d’un fonds commun de titrisation pour financer les marchands à hauteur d’un milliard d’euros d'ici à un an.

Le français spécialisé dans le paiement fractionné souhaite permettre aux commerçants d’augmenter leur chiffre d’affaires en proposant des facilités de paiement à leurs clients tout en garantissant le financement de leurs créances. À travers son fonds commun de titrisation, Alma espère amplifier sa croissance.

Lancée en 2017, Alma propose des solutions de paiement fractionné et différé à destination des commerçants et des consommateurs. La fintech est née en de la volonté de généraliser ces moyens de paiement et de simplifier leur intégration. Suite à son récent partenariat avec la Banque Postale, Alma s’est offerte de la data de credit scoring de qualité, permettant d’avoir une visibilité sur les capacités de remboursement des clients. Un gage de confiance non négligeable pour les commerçants partenaires.

jusqu’à 200 millions d’euros
Pour cette nouvelle étape, la fintech souhaite étendre cette confiance en utilisant ce FCT comme une levée de dettes, permettant le financement des créances des marchands. Le fonds achète des créances de maturité inférieure ou égale à trois mois de quelques centaines d’euros en moyenne. Alma prévoit par la suite de lever jusqu’à 200 millions d’euros dans les deux prochaines années à travers ce FCT.

Pour l’heure, Alma a pu compter sur le soutien d’Eiffel Investment Group qui a souhaité investir dans ce FCT dès sa mise en place. "Fort de notre expérience de près de dix ans aux côtés des plus grandes plateformes de financement en Europe, nous souhaitons accompagner Alma dans la durée, au service de notre engagement pour les marchands français”, a indiqué Nicolas Jaïs d’Eiffel Investment Group.

S'imposer sur le territoire
La start-up a par ailleurs décroché au début du mois de juin, ses agréments d’établissement de paiement et de société de financement auprès de l’ACPR, renforçant davantage sa présence dans le paysage financier français. “La récente obtention du double agrément auprès et le lancement de ce premier Fonds Commun de Titrisation sont les témoins de la viabilité et de la solidité du modèle d’Alma. C’est un gage supplémentaire de confiance pour nos partenaires et nos investisseurs”, a déclaré Claire Sanson, responsable financement et conformité d’Alma.

Avec plus de 65 millions d’euros levés en capital auprès d’investisseurs de premier ordre, Alma a vu sa liste de commerçants partenaires passer de 0 à plus de 3000 en deux ans. La fintech gère d’ores et déjà plusieurs centaines de millions d’euros de transactions chaque année. Une croissance qu’Alma espère bien porter encore plus loin pour s’imposer en leader du paiement fractionné sur le territoire.

Le 8 juin dernier, l’un des concurrents d’Alma, le géant suédois du paiement fractionné Klarna a annoncé son lancement en Hexagone. Présent dans 17 pays, Klarna n’est encore qu’à ses débuts en France et ne propose qu’une partie de ses services pour l’instant. Toutefois, le suédois dispose d’une stratégie marketing d’envergure pouvant rapidement changer la donne.

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La Banque CIBC offrira des options de paiement par versements pour les achats par carte de crédit en ligne en collaboration avec Visa Canada - LeLézard.com

Classé dans : Les affaires
Sujet : Nouveaux produits et services

La nouvelle solution de versements échelonnés de Visa permettra aux clients admissibles de la Banque CIBC de choisir une option de paiement par versements pour leurs achats en ligne admissibles lorsqu'ils passeront à la caisse.

TORONTO, le 24 juin 2021 /CNW/ - En réponse à la demande croissante des consommateurs d'avoir accès à des plans de paiement par versements souples, la Banque CIBC et Visa ont annoncé aujourd'hui une nouvelle option de versements échelonnés pour les achats en ligne, qui devrait être lancée pour les titulaires de carte de la Banque CIBC au Canada au début de 2022. La nouvelle option de versements échelonnés de Visa permettra de convertir les achats admissibles en une série de versements égaux plus petits, à payer sur une période déterminée au moyen d'une carte de crédit admissible.

CIBC (Groupe CNW/CIBC)

Grâce à la solution de versements échelonnés de Visa, les titulaires de carte canadiens admissibles de la Banque CIBC pourront demander une option de paiement par versements lorsqu'ils passeront à la caisse en ligne à la fin de leur magasinage. Cette nouvelle solution sera offerte à la plupart des titulaires de carte de crédit personnelle CIBC pour les achats admissibles effectués auprès des marchands participants. Les clients pourront ensuite payer l'achat en effectuant des versements échelonnés avec leurs paiements mensuels de carte de crédit.

Cette nouvelle offre mise sur la popularité du plan de paiement par versements MonTempo CIBCMC de la Banque CIBC, que les clients peuvent utiliser après avoir porté un achat à leur carte. Grâce à MonTempo, les clients peuvent magasiner en personne ou en ligne, et convertir plus tard tout achat admissible de plus de 100 $ en plan de paiement par versements par l'intermédiaire de Services bancaires CIBC en direct ou de Services bancaires mobiles CIBC. Depuis que MonTempo a été lancé en septembre 2019, les clients de la Banque CIBC ont adopté en grand nombre cette solution de plan de paiement par versements, qui leur procure une option de paiement supplémentaire pour leurs achats.

« Compte tenu de la popularité grandissante des plans de versements pour les achats par carte de crédit en ligne à l'échelle mondiale, nous sommes heureux de collaborer avec Visa pour apporter cette innovation à nos clients titulaires d'une carte de crédit CIBC au Canada », a commenté Diane Ferri, première vice-présidente, Produits de cartes à la Banque CIBC. « Inspirée de MonTempo CIBC, cette nouvelle solution donne aux clients une souplesse accrue et une option de plus pour gérer leurs liquidités. »

« Nous sommes fiers de nous associer avec la Banque CIBC pour offrir aux titulaires de cartes de crédit CIBC notre solution de versements échelonnés Visa sur mesure, afin qu'ils disposent de plus de choix de modes de paiement pour leurs achats et puissent mieux contrôler leur budget », a déclaré Brian Weiner, vice-président et chef de produit et du numérique, Visa Canada. « Les titulaires de carte pourront diviser le montant total de leur achat en versements égaux plus petits à payer au fil du temps, sous réserve de la limite actuelle de leur carte de crédit, sans remplir aucune nouvelle formule ni demande de prêt. »

Les versements échelonnés représentent une part croissante du marché des paiements, correspondant à plus de 1 700 milliards de dollars canadiens du volume de paiements mondiaux1. Cette vigueur se reflète au Canada, où l'utilisation de versements échelonnés a progressé de 30 % l'an passé seulement, et où le marché potentiel pourrait atteindre quelque 50 milliards de dollars par année2.

Les plans de paiement par versements offrent aux acheteurs un meilleur contrôle de leurs finances mensuelles et facilitent la gestion de leurs liquidités en leur permettant de payer des achats selon un calendrier de paiement fixe, à un taux d'intérêt moindre que ceux généralement appliqués sur les cartes de crédit. De plus, les titulaires de carte peuvent utiliser leur compte de carte de crédit CIBC actuel au lieu de devoir demander une vérification du crédit, télécharger une application ou ouvrir une marge de crédit pour participer au programme d'un commerçant. Les titulaires de carte continuent en outre de profiter des avantages des cartes de crédit pour leurs achats, comme les primes et les assurances, et peuvent rembourser le plan de paiement par versements en tout temps, sans pénalité, quelle que soit la durée choisie.

__________________

1 Rapport sur la taille du marché des versements échelonnés réalisé en janvier 2020 par Euromonitor International pour Visa Inc.

2 Compilation de données d'Euromonitor Consulting pour Visa Inc. (dollars canadiens).

À propos de la Banque CIBC

La Banque CIBC est une importante institution financière nord-américaine qui compte 10 millions de clients, tant des particuliers que des entreprises, y compris des clients institutionnels et du secteur public. Par l'intermédiaire de Services bancaires personnels et PME, de Groupe Entreprises et Gestion des avoirs, et de Marchés des capitaux, la Banque CIBC offre un éventail complet de conseils, de solutions et de services au moyen de son réseau de services bancaires numériques de premier plan, et de ses emplacements dans tout le Canada, aux États-Unis et dans le monde entier. Vous trouverez d'autres communiqués et renseignements au sujet de la Banque CIBC au www.cibc.com/fr/about-cibc/media-centre.html.

À propos de Visa

Visa Inc. (NYSE : V) est le leader mondial des paiements numériques. Notre mission est de relier le monde grâce au réseau de paiement le plus innovant, le plus fiable et le plus sûr, et, ce faisant, de permettre aux particuliers, aux entreprises et aux économies de prospérer. Notre réseau de traitement global de pointe, VisaNet, fournit des paiements sécurisés et fiables dans le monde entier, et est capable de gérer plus de 65 000 messages de transaction par seconde. La focalisation indéfectible de la société sur l'innovation est un catalyseur pour la croissance rapide du commerce numérique accessible à tous, partout, sur n'importe quel type d'appareil. À l'heure où le monde est en train de passer de l'analogique au numérique, Visa met à disposition sa marque, ses produits, ses employés, son réseau et son envergure pour remodeler l'avenir du commerce. Pour en savoir plus, consultez visa.ca, visa.com/blog et @VisaCA.

Pour en savoir plus sur les solutions de versements échelonnés de Visa, visitez le site visa.ca/installments.

Visa (Groupe CNW/CIBC)

SOURCE CIBC


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Lancement de Versements Visa au Canada avec la Banque Scotia - LeLézard.com

Classé dans : Les affaires
Sujet : Nouveaux produits et services

La Banque Scotia utilisera la nouvelle solution de Versements Visa pour répondre à la demande croissante des Canadiens en matière de paiements flexibles

TORONTO, le 24 juin 2021 /CNW/ - Visa Canada a annoncé aujourd'hui qu'elle offre une plus grande flexibilité de paiement aux Canadiens avec le lancement de Versements Visa, une nouvelle option pour convertir les achats déjà effectués en paiements plus petits et égaux sur une période définie.

Visa Canada (Groupe CNW/Visa Canada)

La Banque Scotia est le premier émetteur canadien à annoncer qu'elle tirera parti de la capacité de Versements Visa pour offrir à ses clients de cartes de crédit Visa plus de choix quant à la façon dont ils paient les achats effectués sur leurs cartes de crédit et, en fin de compte, plus de contrôle sur leur budget. Les titulaires canadiens admissibles de cartes de crédit Visa de la Banque Scotia seront parmi les premiers clients du monde à profiter de la flexibilité qu'offre Visa Versements, en utilisant leurs comptes de carte de crédit existants de la Banque Scotia.

Avec le déploiement, qui devrait commencer en août 2021, tout client admissible de la carte de crédit Visa Scotiabank qui choisit de profiter de la nouvelle option de versement appelée Scotia SelectPayMC1 peut diviser les achats admissibles qu'il a déjà effectués sur sa carte.

Plus tard cette année, Visa prévoit également commencer à offrir Versements Visa avec des émetteurs canadiens au cours du processus de paiement chez des marchands participants. Cela donnera aux clients de ces émetteurs qui effectuent un achat admissible avec leur carte de crédit le choix de payer par versements au cours de leur transaction.

Les versements représentent actuellement un segment important du système de paiement à l'échelle mondiale, représentant plus de 1,7 billion de dollars canadiens en volume de paiements mondiaux.2 Au Canada, l'adoption a augmenté de 30 % au cours de la dernière année seulement et l'occasion de paiement au pays devrait atteindre environ 50 milliards de dollars par année.3 L'augmentation du recours aux versements partout au Canada et dans le monde est stimulée par la demande croissante des consommateurs pour plus de flexibilité en matière d'options de paiement et par l'intérêt marqué des marchands à trouver de nouvelles façons de livrer concurrence sur le marché et de proposer plus de moyens de paiement aux consommateurs.

« Nous surveillons cette tendance depuis des années et nous avons développé une solution sur mesure pour les consommateurs et les marchands canadiens. Nous sommes ravis d'aider la Banque Scotia à réaliser ses objectifs », a déclaré Brian Weiner, vice-président et chef des produits et du numérique, Visa Canada. « Le consommateur peut recevoir une offre de versements qui fonctionne dans les limites de sa carte de crédit existante. Aucun nouveau prêt à suivre, aucun nouveau formulaire à remplir. Elle donne aux clients le choix, la flexibilité et la transparence qu'ils veulent et dont ils ont besoin sur le marché moderne. »

« Nous sommes fiers de travailler avec Visa pour offrir cette fonctionnalité novatrice à nos clients détenteurs de carte de crédit Visa plus tard cet été. La carte SelectPayMC de la Banque Scotia offre à nos clients de cartes de crédit plus de souplesse et de commodité en leur permettant de choisir des achats admissibles et de payer ces achats au fil du temps », a déclaré Brett Mooney, vice-président directeur, Cartes de crédit et Prêts non garantis à la Banque Scotia. Il s'agit d'un moyen rapide, facile et pratique pour nos clients de gérer leurs finances, et lorsqu'ils utilisent SelectPayMC, nos clients continuent de bénéficier de toutes les autres fonctionnalités de nos cartes primées, y compris les récompenses et les avantages d'assurance. Nous sommes ravis de commencer à offrir cette fonctionnalité précieuse à nos clients au cours des prochaines semaines. »

Versements Visa : une solution sur mesure

Les Versements Visa visent à fournir une solution novatrice et différenciée qui aidera l'écosystème de paiements à répondre à la demande croissante d'alternatives « achetez maintenant, payez plus tard ».

  • Avantages pour les consommateurs :Les titulaires de carte admissibles disposeront d'options d'achat élargies, leur permettant de décider comment et quand ils peuvent payer les articles avec les cartes déjà dans leur portefeuille/portefeuille numérique. Les acheteurs peuvent tirer profit de leur crédit existant auprès de leurs banques, sans soumettre de nouvelles demandes de prêt, de nouvelles vérifications de crédit ou sans télécharger une nouvelle application.
  • Avantages pour les marchands : Il a été prouvé qu'offrir des versements au passage à la caisse augmente le total moyen des achats et le taux de conversion du panier.4 Grâce à une seule intégration, les marchands peuvent activer des offres de versements pour les titulaires de carte admissibles des émetteurs participants, sans que les clients aient besoin de s'inscrire à un nouveau service.
  • Avantages pour l'émetteur et l'acquéreur : Grâce aux Versements Visa, les émetteurs de cartes peuvent offrir à leurs titulaires de carte l'avantage supplémentaire de la flexibilité avec les cartes dont ceux-ci disposent déjà. Les acquéreurs pourront offrir de nouveaux services à valeur ajoutée dans le cadre de leur offre de vendeur.

Pour en savoir plus sur Versements Visa, visitez : http://www.visa.ca/installments

_____________________

1 Certaines conditions s'appliquent. Disponible uniquement sur les cartes de crédit admissibles de la Banque Scotia. Non offert aux résidents du Québec. Visitez Scotiabank.com/selectpay pour en savoir plus.

2 Rapport Euromonitor International de janvier 2020 sur le dimensionnement des versements pour Visa inc.

3 Compilation des données d'Euromonitor Consulting pour Visa inc. (CAD)

4 Source : Recherche par Euromonitor, Centre de cartes interbancaires de Turquie

À propos de Visa
Visa inc. (NYSE: V) est un chef de file mondial en matière de paiements numériques. La mission de Visa inc. consiste à relier le monde grâce au réseau de paiement le plus novateur, fiable et sûr, pour permettre aux personnes, aux entreprises et aux économies de prospérer. Le réseau de traitement mondial avancé, VisaNet, permet des paiements sûrs et fiables dans le monde entier, et il est en mesure de traiter plus de 65 000 messages de transactions à la seconde. L'accent que nous mettons sans relâche sur l'innovation permet une croissance rapide du commerce numérique, sur n'importe quel appareil, pour tous, partout. Alors que le monde passe de l'analogique au numérique, Visa consacre sa marque, ses produits, ses gens, son réseau et son échelle à redéfinir l'avenir du commerce. Pour obtenir plus de renseignements, consultez visa.ca/fr_CA, visa.com/blog et @VisaCA.

À propos de la Banque Scotia
La Banque Scotia est une banque de premier plan dans les Amériques. Guidés par notre objectif : « Pour chaque avenir », nous aidons nos clients, leurs familles et leurs communautés à réussir grâce à une vaste gamme de conseils, de produits et de services, y compris les services bancaires personnels et commerciaux, la gestion de patrimoine et les services bancaires privés, les services bancaires d'entreprise et d'investissement et les marchés de capitaux. Avec une équipe d'environ 90 000 employés et d'actifs d'environ 1,1 billion de dollars (au 30 avril 2021), la Banque Scotia se négocie à la Bourse de Toronto (TSX : BNS) et à la Bourse de New York (NYSE : BNS). Pour en savoir plus, visitez le site http://www.scotiabank.com et suivez-nous sur Twitter @ScotiabankViews. Marque déposée de la Banque de Nouvelle-Écosse.

SOURCE Visa Canada


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