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Monday, February 28, 2022

Tranglo propose le service de liquidité à la demande de Ripple sur ses 25 corridors de paiement - LeLézard.com

Classé dans : Les affaires, Science et technologie, Crypto-monnaies
Sujet : Contrats de license / de marketing

Ouvrir la voie à des paiements transfrontaliers instantanés sans préfinancement

SINGAPOUR, 1er mars 2022 /PRNewswire/ -- Tranglo a mis en service le programme de liquidité à la demande (« ODL, On-Demand Liquidity ») de Ripple pour tous ses corridors de paiement, permettant aux prestataires de transfert de fonds de traiter des paiements transfrontaliers instantanés sans préfinancement coûteux.

Tranglo and Ripple join hands to scale On-Demand Liquidity, which leverages the digital asset XRP to facilitate low-cost cross-border payments for remittance providers.

Cela fait suite au succès du déploiement pilote de son service ODL en septembre 2021, qui a réalisé 250 000 transactions d'une valeur de 48 millions USD au cours des 100 premiers jours.

Au moment de la parution de cet article, les transactions ODL par l'intermédiaire du réseau financier mondial de Ripple, RippleNet, proviennent de marchés comme l'Australie, le Japon, les Philippines et Singapour. D'autres marchés devraient suivre.

Ripple, premier fournisseur de solutions de blockchain d'entreprise pour les paiements transfrontaliers, a acquis 40 % de Tranglo en 2021 pour développer RippleNet et le service ODL.

Ce dernier s'appuie sur l'actif numérique XRP pour faciliter les paiements transfrontaliers à faible coût sur RippleNet. Les prestataires de transfert de fonds utilisant le service ODL n'auront pas besoin de préfinancer leurs comptes, ce qui leur permettra d'optimiser la rentabilité des capitaux pour développer leur activité.

Jacky Lee, PDG de Tranglo Group, a déclaré : « Nos prestataires de transfert de fonds veulent pénétrer les marchés le plus rapidement possible au moindre coût. ODL offre exactement cette opportunité : ils peuvent commencer à envoyer des paiements sans immobiliser des fonds chez différents intermédiaires financiers, ce qui peut être coûteux et chronophage. Les entreprises de transfert de fonds qui s'inscrivent au service ODL ont également accès à Tranglo Connect et à RippleNet, ce qui leur permet de mieux répondre à des besoins de paiement de plus en plus diversifiés. »

Tranglo aide les institutions financières et les entreprises à payer à l'échelle mondiale grâce à Tranglo Connect, sa solution propriétaire de paiements transfrontaliers. Elle intègre les services de paiement et de partenariat en toute transparence, harmonisant le processus de paiement de bout en bout avec un accès direct à l'API. Tranglo Connect permet aux entreprises d'effectuer immédiatement des paiements dans plus de 25 pays de manière fiable et sécurisée.

À propos de Tranglo

Tranglo est une plateforme de paiement transfrontalier qui a fait ses preuves dans le domaine des paiements d'entreprise, de transferts de fonds vers l'étranger et de solutions de paiement mobile. Fondée en 2008, nous avons des bureaux à Kuala Lumpur, Singapour, Jakarta, Dubaï et Londres. Notre réseau mondial couvre plus de 100 pays, 2 500 opérateurs mobiles, 1 300 banques/portefeuilles et 130 000 points de retrait d'espèces. Tranglo est fier d'agir à titre de partenaire de Ripple, le leader des solutions de blockchain d'entreprise pour les paiements mondiaux. Nous offrons maintenant des services de paiement transfrontaliers améliorés avec une couverture encore plus large grâce à RippleNet, le réseau mondial de paiement de Ripple. Pour en savoir plus, visitez www.tranglo.com.

Contact médias

L'équipe de marketing numérique de Tranglo
marketing@tranglo.com

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Communiqué envoyé le 28 février 2022 à 19:00 et diffusé par :

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Tranglo propose le service de liquidité à la demande de Ripple sur ses 25 corridors de paiement - LeLézard.com
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Wall Street termine en ordre dispersé - TVA Nouvelles

La Bourse de New York a conclu mitigée une séance hautement volatile lundi, soupesant l'impact des sévères sanctions financières occidentales qui s'abattent sur la Russie, visant à arracher un cessez-le-feu en Ukraine.

• À lire aussi: Nouveau record pour le cours du blé sur le marché européen

• À lire aussi: Poutine fustige «l'empire du mensonge» occidental

• À lire aussi: Les marchés mondiaux chahutés par les nouvelles sanctions contre la Russie

Selon des résultats définitifs à la clôture, l'indice Dow Jones, qui avait ouvert en nette baisse, n'a finalement lâché que 0,49% à 33 892,60 points.

Le Nasdaq, également dans le rouge à l'ouverture, a conclu en hausse de 0,41% à 13 751,40 points et l'indice élargi S&P 500 n'a cédé que 0,24% à 4 373,94 points, après avoir fortement reculé en journée.

La séance concluait aussi un nouveau mois de perte pour les indices, après un mois de janvier difficile.

Les États-Unis ont annoncé lundi qu'ils paralysaient les actifs de la Banque centrale de Russie, mettant à exécution l'une des mesures décidées contre les banques russes ce week-end avec l'Union européenne, auxquels se sont joints le Japon et la Suisse.

De premiers pourparlers russo-ukrainiens ont eu lieu au Bélarus, et les délégations sont rentrées pour «consultations dans leurs capitales» respectives.

L'UE a fermé son espace aérien aux avions russes, tandis que Vladimir Poutine a interdit le ciel russe à de nombreuses compagnies aériennes.

«L'incertitude est élevée et l'issue n'est pas claire. Quand c'est comme ça, il y a une fuite vers les actifs sûrs, comme les bons du Trésor, l’argent, l'or et les métaux précieux», a commenté David Kotok, stratégiste en chef chez Cumberland Advisors.

Les rendements sur les bons du Trésor à 10 ans, qui évoluent à l'inverse du prix des obligations qui étaient très recherchées, ont glissé à un plus bas en un mois à 1,81%.

Le dollar gagnait presque 0,50% par rapport à l'euro à 1,1214 dollar pour un euro tandis que les cours du pétrole ont repris leur ascension.

«Les sanctions imposées ont été très sévères et le marché s'inquiète du boomerang économique qui risque de se produire si ces sanctions restent en place longtemps», a indiqué Peter Cardillo de Spartan Capital.

Une grosse moitié des secteurs du S&P 500 ont terminé dans le rouge, avec l'immobilier (-1,77%) et le secteur bancaire (-1,45%) en premier lieu.

«Nous ignorons comme les sanctions vont se dérouler. Nous savons que la méthode de paiement a changé, mais nous ne saurons qu'après coup le lien entre les paiements» et la cascade d'impayés qui peut en découler, a expliqué David Kotok évoquant l'exclusion des banques russes du système Swift.

«Lorsque vous bloquez les paiements depuis ou vers la Russie, ce paiement était déjà prévu pour être utilisé pour autre chose. Lorsque le paiement n'arrive pas, la transaction suivante n'a pas lieu et le risque de contagion apparaît», a-t-il averti.

JPMorgan, Citigroup ont conclu en baisse de plus de 4%.

Les titres des compagnies aériennes affectées par l'escalade des sanctions touchant les espaces aériens ont aussi lâché plus de 3% comme Delta Airlines (-3,90% à 39,92 dollars) et United Airlines (-3,16% à 44,40 dollars).

Les actions du secteur de la défense ont eu le vent en poupe comme Lockheed Martin (+6,67% à 433,80 dollars) ou Northrop Grumman (+7,93% à 442,14 dollars).

À la cote, les entreprises russes inscrites au NYSE ou sur le Nasdaq ont vu leurs échanges arrêtés en attendant «des informations supplémentaires» vu le conflit russo-ukrainien et la portée des nouvelles sanctions.

La cotation d'une demi-douzaine de titres dont ceux du géant de la tech russe Yandex ou du groupe de paiements électroniques Qiwi a été mise à l'arrêt sur le Nasdaq. Sur le NYSE, ce sont trois groupes, Cian, une plateforme d'immobilier, le groupe minier Mechel (MTL) et le groupe de télécommunications MBT, qui sont concernées.

Avant cet arrêt de cotation mis en place dans la nuit par la place new-yorkaise, les actions russes avaient violemment souffert vendredi. Yandex avait ainsi chuté de 44% en une journée.

Après l'annonce de son rachat pour 13,4 milliards de dollars par la Banque canadienne Toronto-Dominion Bank (TD), l'Américaine First Horizon a engrangé 28,66% à 23,48 dollars.

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Wall Street termine en ordre dispersé - TVA Nouvelles
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Paiement de proximité | Ville de Clermont-Ferrand - Ville de Clermont-ferrand

Un nouveau service de proximité pour les Clermontois
Après le lancement du Portail citoyen Ici, la plateforme permettant d’effectuer toutes vos démarches en ligne, la Ville de Clermont-Ferrand met en place un nouveau service de proximité.
Vous pouvez désormais payer les factures de la Ville de Clermont-Ferrand en espèces et en carte bancaire dans les bureaux de tabac agréés, au plus près de chez vous sur des horaires d’ouverture élargis.

Quels montants ?

  • jusqu’à 300 € en espèces
  • sans limitation de montant en carte bancaire.

Quelles factures ?

Toutes les factures des activités périscolaires, extrascolaires et de loisirs enfants, jeunes et adultes : restauration scolaire, séjours, accueils de loisirs, etc.

Comment ça marche ?

Vous devez simplement vous rendre chez un buraliste agrée (reconnaissable par l’affiche apposée sur sa devanture), muni de votre facture, scanner votre QR code et payer. Le paiement est réalisé à l’aide d’un terminal sécurisé : il n’est pas nécessaire de confier votre facture au buraliste et celui-ci n’a accès à aucune information de nature personnelle.
Ce service de proximité constitue une offre de services supplémentaire au bénéfice des usagers, en plus du prélèvement automatique et du paiement en ligne.


 

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Sunday, February 27, 2022

Les valeurs de paiement chinoises bondissent alors que les sanctions de SWIFT contre la Russie stimulent les espoirs liés au yuan - Zonebourse.com

Investors are seen behind screens displaying stock information at a brokerage house in Fuyang

Les actions chinoises liées aux paiements ont bondi lundi, les investisseurs pariant que le fait que les États-Unis et l'Europe expulsent la Russie de SWIFT profiterait au système de paiement transfrontalier de la Chine et accélérerait le développement des devises numériques.

Renforçant les sanctions suite à l'invasion de l'Ukraine par la Russie, les États-Unis et l'Europe ont annoncé samedi qu'ils allaient bannir les grandes banques russes du principal système de paiement mondial SWIFT et ont annoncé d'autres mesures visant à limiter l'utilisation par Moscou d'un trésor de guerre de 630 milliards de dollars.

Les actions des principales entreprises chinoises impliquées dans le développement d'infrastructures de paiement pour le yuan numérique, notamment Newland Digital Technology Co, Lakala Payment Co et Client Service International Inc, ont fortement augmenté, malgré la faiblesse du marché chinois en général.

Les sanctions de SWIFT contre la Russie "sont un événement marquant qui va accélérer le processus de dédollarisation", a écrit Dang Congyu, analyste chez Founder Securities.

"Bien qu'il soit difficile de remplacer SWIFT à court terme, cet incident est très bénéfique pour la mondialisation du yuan sur le long terme."

Ce point de vue a été repris par Guosheng Securities, qui a recommandé des actions chinoises liées aux paiements, citant le potentiel du système de paiement propre à la Chine, le CIPS, et du yuan numérique, pour briser l'hégémonie du dollar.

Dans le contexte de la concurrence mondiale, le yuan numérique "jouera un rôle clé dans la promotion du statut mondial du yuan, et son développement s'accélérera", ont écrit les analystes Liu Gaochang et Yang Ran.

Parmi les autres valeurs liées aux paiements qui ont augmenté lundi, citons XGI Inc, Guangdong Tecsun Science & Technology Co et Global Infotech Co.

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Friday, February 25, 2022

L'offre de remise de chèque non certifié, faite à l'audience, ne constitue pas un paiement libératoire - Le Propriétaire (APQ)

Le tribunal est saisi d’une demande produite le 2 août 2021 pour une diminution de loyer de 20% par mois et pour ordonner à la locatrice d’exécuter son obligation de lui fournir les reçus de paiement de loyer. Les parties sont liées par un bail du 1er juillet 2021 au 30 juin 2022 au loyer de 585.00$. Aussi, une demande en dommages et intérêts pour troubles et inconvénients.

Les motifs de la demande.
1. Négligence dans la dératisation. 2. Perte du service de la conciergerie....

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Wednesday, February 23, 2022

Bientôt, une nouvelle application de paiement mobile pour un très large éventail d’opérations - African Manager

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Bientôt, une nouvelle application de paiement mobile pour un très large éventail d’opérations  African Manager
Bientôt, une nouvelle application de paiement mobile pour un très large éventail d’opérations - African Manager
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Loto-Québec ne ferme pas la porte au paiement en cryptomonnaie - TVA Nouvelles

Le PDG de Loto-Québec, Jean-François Bergeron, s’est montré ouvert hier à l’utilisation de la cryptomonnaie lors d’un déjeuner-causerie d’affaires à Québec.

« Ça devra faire partie de nos cartons pour les prochaines années parce que la cryptomonnaie, je pense que c’est un levier », a lancé Jean-François Bergeron, à la tribune de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec (CCIQ).

« Les banques s’y intéressent de plus en plus. Les gouvernements s’y intéressent de plus en plus. On a juste de la difficulté à comprendre comment l’on va contrôler d’une certaine façon cette devise-là », a-t-il expliqué.

Questionné par Le Journal peu après l’allocution de M. Bergeron, le porte-parole de Loto-Québec, Renaud Dugas, a indiqué qu’il est trop tôt pour considérer ce mode de paiement.

« Loto-Québec n’a aucun projet en lien avec la cryptomonnaie pour le moment », a-t-il souligné dans une déclaration transmise par courriel.

« Nous restons à l’affût de son évolution puisqu’elle fait partie du paysage économique mondial, mais il est prématuré à ce moment-ci de considérer ce mode de paiement », a-t-il ajouté.

Pour David Decary-Hetu, professeur à l’École de criminologie à l’Université de Montréal et spécialiste des cryptos, Loto-Québec a déjà des processus pour détecter le blanchiment d’argent, alors le mode de paiement importe peu.

« Si l’on achète 100 000 $ de jetons, on a les mêmes contrôles qui s’appliquent, donc ce n’est pas un très gros enjeu de dire que l’on ferait des paiements en cryptomonnaie », analyse-t-il.

« Là où il y a un enjeu, c’est ce que l’on vient légitimer et encourager, et selon les cryptomonnaies, il peut y avoir plus ou moins de risques », note-t-il.

À la mi-janvier, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a publié une mise en garde contre les offres d’investissement frauduleuses liées aux cryptoactifs.

De nombreuses firmes de cryptos se retrouvent sur la « liste noire de sites internet et de compagnies exerçant des activités à risque élevé potentiellement illégales au Québec » de l’AMF.

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Tuesday, February 22, 2022

Loto-Québec ne ferme pas la porte au paiement en cryptomonnaie - Le Journal de Montréal

Le PDG de Loto-Québec, Jean-François Bergeron, s’est montré ouvert hier à l’utilisation de la cryptomonnaie lors d’un déjeuner-causerie d’affaires à Québec.

• À lire aussi: Bonis chez Loto-Québec: un geste «scandaleux» et «indécent»

• À lire aussi: Des bonis aux cadres ne sont pas exclus chez Loto-Québec malgré les 2000 licenciements

« Ça devra faire partie de nos cartons pour les prochaines années parce que la cryptomonnaie, je pense que c’est un levier », a lancé Jean-François Bergeron, à la tribune de la Chambre de commerce et d’industrie de Québec (CCIQ).

« Les banques s’y intéressent de plus en plus. Les gouvernements s’y intéressent de plus en plus. On a juste de la difficulté à comprendre comment l’on va contrôler d’une certaine façon cette devise-là », a-t-il expliqué.

Questionné par Le Journal peu après l’allocution de M. Bergeron, le porte-parole de Loto-Québec, Renaud Dugas, a indiqué qu’il est trop tôt pour considérer ce mode de paiement.

« Loto-Québec n’a aucun projet en lien avec la cryptomonnaie pour le moment », a-t-il souligné dans une déclaration transmise par courriel.

« Nous restons à l’affût de son évolution puisqu’elle fait partie du paysage économique mondial, mais il est prématuré à ce moment-ci de considérer ce mode de paiement », a-t-il ajouté.

Légitimer la crypto

Pour David Decary-Hetu, professeur à l’École de criminologie à l’Université de Montréal et spécialiste des cryptos, Loto-Québec a déjà des processus pour détecter le blanchiment d’argent, alors le mode de paiement importe peu.

« Si l’on achète 100 000 $ de jetons, on a les mêmes contrôles qui s’appliquent, donc ce n’est pas un très gros enjeu de dire que l’on ferait des paiements en cryptomonnaie », analyse-t-il.

« Là où il y a un enjeu, c’est ce que l’on vient légitimer et encourager, et selon les cryptomonnaies, il peut y avoir plus ou moins de risques », note-t-il.

À la mi-janvier, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a publié une mise en garde contre les offres d’investissement frauduleuses liées aux cryptoactifs.

De nombreuses firmes de cryptos se retrouvent sur la « liste noire de sites internet et de compagnies exerçant des activités à risque élevé potentiellement illégales au Québec » de l’AMF.

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Loto-Québec ne ferme pas la porte au paiement en cryptomonnaie - Le Journal de Montréal
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Cryptomonnaies | Loto-Québec réfléchit à un moyen de permettre les paiements - La Presse

Loto-Québec réfléchit à savoir comment ses clients pourraient effectuer leur paiement avec de la cryptomonnaie, mais la société d’État n’a pas encore de plan concret à cet égard, a dit Jean-François Bergeron, son président et chef de la direction.

Publié à 13h43
Stéphane Rolland La Presse Canadienne

« Ça devra faire partie de nos cartons pour les prochaines années, dit M. Bergeron lors d’une présentation virtuelle devant la Chambre de commerce de l’industrie de Québec (CCIQ). Parce que la cryptomonnaie, je pense que c’est un levier. Les banques s’y intéressent de plus en plus. Les gouvernements s’y intéressent de plus en plus. »

La place de la cryptomonnaie s’inscrit dans une réflexion plus large sur les méthodes de paiement, comme celui d’Apple Pay, a-t-il donné en exemple lors d’un échange avec Steeve Lavoie, le président et chef de la direction de la CCIQ. « L’expérience de paiement fait partie maintenant des réflexions auxquelles les organisations qui ont à interagir avec des consommateurs pensent et mettent beaucoup d’efforts. »

La réflexion n’en est qu’à ses débuts et M. Bergeron admet ne pas avoir encore « de clarté » sur le rôle que jouera la cryptomonnaie dans les services de Loto-Québec. « On a juste de la difficulté à comprendre comment on va contrôler cette devise-là comme on le fait avec toutes les autres devises mondiales. Je vous dirais que la feuille est beaucoup plus blanche que pas blanche actuellement. »

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Le fonds Apollo reprend les terminaux de paiement de Worldline - LeMondeInformatique

Le spécialiste des services de paiement Worldline, indépendante d'Atos depuis 2019, revend son activité de terminaux et services associés, TSS, au fonds américain Apollo pour 2,3 Md€. En 2021, Worldline a réalisé un chiffre d'affaires de 3,7 Md€ sur les activités poursuivies, en croissance organique de 6,8%. Son résultat net est creusé par TSS.

Worldline, qui se revendique 4ème acteur mondial des paiements, revend ses activités Terminaux, Solutions et Services (TSS) à Apollo pour 2,3 milliard d’euros. L’ancienne filiale d’Atos, devenue indépendante en 2019, est entrée en négociation exclusive avec le fonds d’investissement américain à la suite d’une offre d’achat ferme de ce dernier pour sa division TSS. La transaction proposée comprend un montant de 1,7 milliard d’euros auquel s’ajoutent des actions de préférence pouvant aller jusqu’à 0,9 milliard d’euros « sur la base de la création de valeur future de TSS », indique Worldline dans un communiqué. L’accord inclut un partenariat commercial entre le groupe français et TSS pour les 5 prochaines années.

L’annonce de cette transaction a précédé de quelques heures celles des résultats annuels 2021. Le spécialiste de la dématérialisation des paiements a généré l’an dernier un chiffre d’affaires de 3,689 milliards d’euros sur les activités poursuivies, en croissance organique de 6,8% (+12% au 4ème trimestre). Il dit avoir atteint tous ses objectifs financiers et met en avant un excédent brut opérationnel de 933 M€, soit 25,3 du chiffre d’affaires, en amélioration de +220 points de base par rapport à 2020. Mais le groupe affiche une perte de -751 M€, creusée par celle de TSS qui s'établit à -943 M€. Sans cette dernière, le résultat net est positif, à 191 M€ (résultat net attribuable aux propriétaires de la société mère pour les opérations poursuivies). Le chiffre d'affaires se répartit entre les services aux commerçants, les services financiers et la partie Mobilité et services web transactionnels, les trois lignes ayant progressé respectivement de 8,2%, 3,1% et 6,8%. En novembre, Worldline a été certifié SecNumCloud.

Un désengagement de TSS décidé fin 2021

En février 2020, Worldline avait racheté Ingenico avec l’ambition de créer un « champion européen de classe mondiale dans les paiements électroniques », escomptait Gilles Grapinet, PDG de Worldline. D’autres rachats ont été faits en Grèce, Italie et Suède. Mais un an plus tard, les résultats obtenus décevaient les investisseurs et faisaient chuter le cours de l’action à plusieurs reprises en juillet et à l’automne 2021, constituant alors la plus forte baisse de l’indice CAC 40. L’entreprise a pris à ce moment l’orientation stratégique de se désengager de TSS et de chercher un repreneur pour cette division. Apollo a été considéré comme « le candidat qui nous paraît être le plus à même à en garantir la reprise de cette activité pour le meilleur intérêt de ses clients, collaborateurs et actionnaires », indique Gilles Grapinet. 

La ligne de services TSS est dirigée par Matthieu Destot. Ce dernier présente le rachat comme une étape clé qui accélérera la dynamique de transformation vers davantage de logiciels et de services cloud s’appuyant notamment sur la plateforme Android Axium, les offres de Terminal as a service (SaaS) et la plateforme de paiement as a service (PPaaS). La finalisation de la vente de TSS à Appolo est envisagée pour le second semestre de cette année.

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Monday, February 21, 2022

Salaires : un tiers des Français favorable à un paiement fractionné - Le Point

Et si c'était la solution contre les fins de mois difficiles ? Selon une enquête d'Opinion Way, dont Le Parisien s'est fait l'écho, plus d'un tiers des Français ne seraient pas opposés à la fin du virement mensuel unique de leur salaire. Une façon, pour les 35 % de Français concernés, de mieux gérer leur budget en séquençant davantage leurs dépenses, tout en recevant plus souvent le satisfaisant virement.

Chez les moins de 35 ans, l'idée est même plébiscitée : 62 % des jeunes sont favorables au paiement fractionné. Dans le détail, cependant, les Français concernés ne se mettent pas facilement d'accord sur les modalités du paiement en plusieurs fois : 37 % se satisferaient de deux virements par mois, 27 % préféreraient recevoir leur salaire toutes les semaines, et 19 % d'entre eux iraient même jusqu'à choisir une rémunération à la journée, avec ainsi un paiement quotidien.

Un système désavantageux pour les entreprises

À première vue, le système peut en effet paraître avantageux. Mais dans les faits, il poserait plus de problèmes que le paiement mensuel. Un virement bimensuel ou plus régulier peut certes être adapté pour les dépenses quotidiennes, en revanche, pour les frais fixes les plus importants comme un loyer ou le remboursement d'un emprunt, sa mise en place pourrait grandement déséquillibrer les comptes du ménage concerné.

Par ailleurs, le système serait également désavantageux pour les entreprises. Éditer une fiche de paie coûte entre 17 et 35 euros à une entreprise. Fractionner les paiements doublerait ou triplerait de tels coûts, en plus de compliquer la vie des services de ressources humaines. De surcroît, le Code du travail impose le paiement mensuel dans la plupart des cas. Il autorise cependant, rappelle Le Parisien, un salarié à demander un acompte à son employeur, tant que l'avance demandée n'excède pas la moitié de son salaire habituel. 

À LIRE AUSSIDamon – Apprendre à lire une fiche de paie, quelle bonne idée !

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Les terminaux de paiement français Wordline en passe d'être rachetés par l’américain Apollo - BFM Business

Le spécialiste français des paiements électroniques Worldline annonce être entré en négociations exclusives pour vendre ses activités de terminaux de paiement au fonds Apollo, valorisées à 2,3 milliards d'euros.

Apollo va débourser jusqu’à 2,3 milliards d'euros pour acquérir le spécialiste français des paiements électroniques Worldline. La finalisation de l'opération "est envisagée pour le second semestre 2022", a précisé Worldline dans un communiqué.

Cette opération est basée sur une "offre ferme d'achat pour 100% des titres de TSS (Terminaux, Solutions et Services) pour un prix comprenant un montant de 1,7 milliard d'euros ainsi que des actions de préférence pouvant atteindre un montant allant jusqu'à 0,9 milliard d'euros sur la base de la création de valeur future de TSS".

Le français passe sous bannière américaine

Worldline cherchait de longue date à revendre cette activité, récupérée lors de l'acquisition de son concurrent Ingenico en 2020.

Worldline avait lancé "une revue stratégique des activités de terminaux de paiement afin d'assurer à TSS les meilleures conditions pour exécuter son plan de transformation ambitieux", explique Gilles Grapinet, directeur général de Worldline, cité dans le communiqué.

"Nous avons signé un accord avec le candidat qui nous paraît être le plus à même de garantir la reprise de cette activité, dans le meilleur intérêt de ses clients, collaborateurs et actionnaires", poursuit-il.

De son côté, Michele Raba, associé chez Apollo, a souligné le positionnement de TSS, "leader des solutions de hardware dans l'écosystème de l'infrastructure du paiement, doté d'une marque forte et de parts de marché de premier plan dans toutes les régions où l'activité opère".

"Nous nous réjouissons de cette collaboration future avec l'équipe de direction de TSS, et d'accélérer la croissance de TSS dans les domaines du hardware, des softwares et des services, qui connaissent actuellement une forte impulsion", a-t-il dit, également cité dans le communiqué.

Worldline publiera ses résultats annuels ce mardi.

S.A. avec AFP

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Saturday, February 19, 2022

Klarna : la fintech qui veut voler aux banques le marché du paiement - Les Échos

Publié le 19 févr. 2022 à 8:02Mis à jour le 19 févr. 2022 à 8:51

Alors que certains de ses concurrents nouent des partenariats avec les banques, Sebastian Semiatkowski les attaquent en frontal. Et le patron de Klarna, l'une des fintech du paiement les plus en vue en Europe, ne cache pas non plus ses intentions : priver les banques du lucratif marché des paiements dont, selon lui, elles profitent au détriment des consommateurs.

« Selon certaines études, l'industrie du paiement génère 700 milliards de dollars de revenus, ce qui est plus que le secteur pharmaceutique, dit-il aux 'Echos'. Et pour quoi faire ? Envoyer de l'argent d'un compte digital à un autre et ajouter un crédit par-dessus ? La valeur que cette industrie créée pour la société est ridicule comparée aux revenus que les banques parviennent à en tirer. Concrètement, c'est une taxation injuste de la société. »

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Paiement : quelles sont les innovations portées par les start-up françaises du secteur ? - Les Numériques

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Le Village by CA Paris a fait appel au cabinet Deloitte pour dresser un état des lieux des start-up françaises spécialisées dans les innovations de paiement. 70 % de ces jeunes pousses ont vu le jour à partir de 2014.

Paiement

Avec 2,5 milliards d’euros captés sur les 11,6 milliards d’euros levés par les start-up françaises en 2021, l’écosystème fintech se porte bien dans l’Hexagone. Face à cette situation, Le Village by CA Paris, branche parisienne de la filiale du Crédit Agricole qui déploie depuis 2014 des structures d’accélération à destination des start-up, a fait appel au cabinet Deloitte pour dresser un état des lieux des start-up françaises spécialisées dans les innovations de paiement.

Pour réaliser ce panorama, 164 jeunes pousses ont été analysées et classées par cas d’usage. À noter que les néobanques ne sont pas prises en compte dans ce panorama “car leur business model porte sur la fourniture de comptes bancaires en ligne et non pas de services spécifiques de paiements”, précise Deloitte dans l’étude, tout comme les cryptomonnaies qui représentent un écosystème à part entière. Par conséquent, des poids lourds de la French Tech, comme la néobanque B2B Qonto, qui a atteint une valorisation de 4,4 milliards d’euros en janvier, ou le champion des cartes de football NFT Sorare, auteur du plus gros tour de table de l’histoire pour une start-up française avec 580 millions d’euros levés en une seule opération, n’y figurent pas.

Dans cette étude, il ressort que 70 % des start-up du paiement ont vu le jour à partir de 2014, l’année qui a suivi le lancement de la French Tech, un label de mobilisation et de promotion des écosystèmes numériques français. Dès lors, le développement des entreprises du secteur s’est accéléré, avec une chaîne de financement des start-up qui s’est considérablement étoffée.

Leur prolifération s’est encore davantage accentuée depuis l’entrée en vigueur en janvier 2018 de la deuxième directive européenne sur les services de paiement (DSP2), qui oblige les banques à rendre accessibles les données de leurs clients via des API, sous réserve de leur consentement, à des entreprises tierces. Dans le sillage des néobanques, qui ont émergé pour dépoussiérer un secteur bancaire resté archaïque pendant plusieurs décennies, d’autres start-up ont ainsi vu le jour pour proposer des innovations sur le marché des paiements. Un défi de taille dans un secteur détenu par quelques géants jouissant d’une situation parfois hégémonique.

Start-up


© Le Village by CA Paris & Deloitte

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77 % des innovations sont B2B

Dans cet écosystème en pleine effervescence, l’attention des jeunes pousses du secteur s’est principalement portée sur les services à destination des particuliers (partage de frais, épargne automatique, microdons…) et les solutions de distribution à destination des commerçants. Ces dernières sont très largement représentées dans le panorama du Village by CA Paris & Deloitte, puisque celui-ci met en exergue que 77 % des innovations des start-up analysées ciblent les commerçants et les entreprises.

38 % d’entre elles s’attaquent à la distribution pour permettre à ces clients B2B d’émettre des solutions de paiement et d’encaisser les paiements de leurs clients, à l’image de Lemonway, Fintecture ou encore Dejamobile, tandis que 28 % de ces innovations associent de nouveaux services aux paiements (gestion de la paie et des réservations, services liés aux cartes professionnelles…), comme Zenchef, Mooncard ou encore PayFit, qui ont intégré le cercle des licornes françaises en début d’année avec un tour de table de 254 millions d’euros.

Les 23 % restants des innovations des start-up françaises analysées dans le cadre de l’étude sont donc à destination des particuliers, avec une attention portée au moyen de paiement en lui-même (authentification forte, paiement fractionné, facilité d’usage des cartes…) sur un segment occupé par Alma, Handsome et United Biometrics, ou à l’intégration du moyen de paiement dans une offre plus large (gestion des tickets de caisse, microdons…), ce qui intéresse des start-up comme PayLead, KillBills et Microdon. Enfin, 11 % des innovations combinent des services visant aussi bien les particuliers que les entreprises, notamment au travers de l’agrégation de comptes (Bankin’, Linxo, Budget Insight…), ou de la mise en place de nouveaux réseaux de paiement (Acinq) et de monnaies digitales de banques centrales (Iznes, LiquidShare…).

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Les innovations adjacentes écrasent les technologies de rupture

Sur l’analyse de toutes ces innovations, il ressort que 52 % sont adjacentes au paiement, ce qui signifie qu’elles vont au-delà de la transaction en elle-même pour créer de nouveaux usages et marchés. Dans cette catégorie, on retrouve des start-up proposant du paiement fractionné, du paiement entre particuliers, de l’agrégation de comptes, de l’épargne automatique, de l’analyse de données de paiement, de la gestion de la paie ou encore de la collecte de pourboires. Derrière cette majorité d’innovations, celles considérées comme incrémentales pèsent 42 % du total, avec des services associés aux cartes bancaires, de l’authentification, des solutions d’émission et de gestion des paiements, et des solutions d’acceptation physiques, en ligne ou omnicanales, de manière à optimiser un produit existant.

Enfin, il n’y a que 11 % d’innovations de rupture, comme les nouveaux réseaux de paiement et les monnaies digitales de banques centrales, pour développer de nouveaux usages et marchés. Toutefois, l’ensemble de l’écosystème des cryptomonnaies n’étant pas pris en compte, difficile de pousser l’analyse plus loin dans les technologies de rupture, qui sont essentiellement basées sur la blockchain. Meta (Facebook) a tenté le coup avec le Diem, mais le projet a été tué dans l’œuf. Les régulateurs internationaux et les banques centrales veillent au grain, ce qui freine l’essor de technologies de rupture. Ainsi, les start-up du paiement se concentrent principalement sur les technologies de plateformisation (36 %) et de digitalisation (31 %).

Innovations


© Le Village by CA Paris & Deloitte

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Des levées de fonds de plus en plus imposantes

La meilleure incarnation française de cette approche est probablement Lydia, qui propose pléthore de services, comme du paiement mobile, de l’épargne rémunérée, des prêts express, des cartes de débit, des cagnottes en ligne, un compte courant ou encore du trading, après s’être fait connaître du grand public avec sa fonctionnalité de remboursement entre particuliers.

L’an passé, la société, qui compte le géant chinois Tencent et le fonds américain Accel parmi ses investisseurs, s’est distinguée avec une levée de fonds de 103 millions de dollars. Une opération qui a permis à l’entreprise de devenir une licorne et de se projeter vers l’avenir, avec l’ambition de devenir le compte courant principal de 10 millions d’Européens à l’horizon 2025. Dans la même veine, Swile, qui voit désormais au-delà de la dématérialisation des titres-restaurant, a levé 200 millions de dollars en octobre 2021.

Levées de fonds


© Le Village by CA Paris & Deloitte

Au total, l’étude du Village by CA Paris & Deloitte a identifié six levées cumulées supérieures à 100 millions d’euros dans le secteur entre 2021 et début 2022, intégrant ainsi celle de 155 millions d’euros d’Alma, spécialiste tricolore du paiement fractionné qui doit lutter contre le géant suédois Klarna. Le panorama met également en lumière que les levées de fonds cumulées comprises entre 300 et 500 millions d’euros concernent principalement la gestion de la paie (PayFit), les paiements fractionnés (Alma) et les services associés aux cartes bancaires (Swile).

Quant aux levées de fonds cumulées comprises entre 100 et 300 millions d’euros, elles sont réalisées par des start-up travaillant sur les paiements entre particuliers (Lydia) et les solutions d’acception omnicanales et en ligne (Wynd et Sunday). Ces tours de table devraient se multiplier davantage dans les prochains mois, avec des montants encore plus impressionnants, dans le sillage d’une French Tech qui a accueilli 22 tours de table supérieurs à 100 millions d’euros en 2021, pour une valeur totale de cinq milliards d’euros.

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Paiement : quelles sont les innovations portées par les start-up françaises du secteur ? - Les Numériques
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Wednesday, February 16, 2022

iA Société financière inc. annonce le paiement d'un dividende sur ses actions ordinaires et l'Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. annonce le paiement d'un dividende sur ses actions privilégiées - LeLézard.com

Classé dans : Les affaires
Sujet : Dividendes / Ristournes

QUÉBEC, le 16 févr. 2022 /CNW Telbec/ - Le conseil d'administration de iA Société financière inc. (TSX: IAG) a annoncé aujourd'hui le paiement d'un dividende trimestriel de 0,6250 $ par action ordinaire en circulation pour le trimestre se terminant le 31 décembre 2021, soit le même que le trimestre précédent. Ce dividende sera payable le 15 mars 2022 aux actionnaires inscrits à la fermeture des bureaux le 4 mars 2022.

iA Société financière inc. rappelle aux actionnaires ordinaires qui souhaitent adhérer au régime de réinvestissement des dividendes et d'achat d'actions de iA Société financière inc. qu'ils doivent s'inscrire au plus tard à 16 h le 25 février 2022 pour le réinvestissement du prochain dividende. Pour savoir comment s'inscrire au régime, il suffit de visiter le site Internet de la société, à l'adresse ia.ca, sous l'onglet À propos, à la section Relations avec les investisseurs/Dividendes. Il est à noter que les actions ordinaires émises dans le cadre du régime seront acquises sur le marché secondaire et qu'aucun escompte ne s'appliquera.

Aussi, le conseil d'administration de l'Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. (TSX: IAF) a annoncé aujourd'hui :

  • le paiement d'un dividende trimestriel de 0,2875 $ par action privilégiée à dividende non cumulatif de catégorie A - série B. Ce dividende sera payable au comptant le 31 mars 2022 à tous les actionnaires privilégiés inscrits le 4 mars 2022;
  • le paiement d'un dividende trimestriel de 0,2360625 $ par action privilégiée à dividende non cumulatif de catégorie A - série G. Ce dividende sera payable au comptant le 31 mars 2022 à tous les actionnaires privilégiés inscrits le 4 mars 2022;
  • le paiement d'un dividende trimestriel de 0,3000 $ par action privilégiée à dividende non cumulatif de catégorie A - série I. Ce dividende sera payable au comptant le 31 mars 2022 à tous les actionnaires privilégiés inscrits le 4 mars 2022.

Tous les dividendes versés par iA Société financière inc. sur ses actions ordinaires et par l'Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. sur ses actions privilégiées sont des dividendes déterminés en vertu de la Loi de l'impôt sur le revenu (Canada) et de toute législation fiscale provinciale et territoriale correspondante.

À propos de iA Groupe financier
iA Groupe financier est un groupement de sociétés d'assurance et de gestion de patrimoine des plus importants au Canada. Il mène aussi des activités aux États-Unis. Fondé en 1892, il figure au nombre des grandes sociétés publiques au Canada. Ses titres sont inscrits à la Bourse de Toronto, sous les symboles IAG (actions ordinaires) et IAF (actions privilégiées).

ia.ca

iA Groupe financier est une marque de commerce et un autre nom sous lequel iA Société financière inc. et l'Industrielle Alliance, Assurance et services financiers inc. exercent leurs activités.

SOURCE iA Groupe financier


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Communiqué envoyé le 16 février 2022 à 17:02 et diffusé par :

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Le régulateur britannique hausse le ton contre les acteurs du paiement différé - La Tribune

Le ton monte au Royaume-Uni à l'encontre des acteurs du paiement différé (Buy now Pay later, BNPL). Le régulateur, Financial Conduct Authority (FCA), souhaite en effet remettre de l'ordre dans les clauses des contrats, jugées peu claires.

Quatre fintechs étaient dans le collimateur de l'autorité de tutelle - Clearpay, Klarna, Laybuy et Openpay. Ces dernières ont aussitôt obtempéré aux demandes du régulateur et modifié certaines clauses contractuelles. Pas question pour eux de se mettre à dos le régulateur alors que le marché du paiement différé a été multiplié par trois en 2020, selon une étude du FCA.

« Nous n'avons pas encore le pouvoir de réglementer ces entreprises mais nous avons le pouvoir d'examiner les conditions des contrats pour en vérifier l'équité », a ainsi expliqué Sheldon Mills, directeur exécutif des consommateurs et de la concurrence à la FCA.

En résumé, le régulateur exige que les clauses des contrats soient plus transparentes et lisibles, notamment sur certains points, comme les annulations ou les autorisations de paiements en continu. Message reçu donc par les sociétés visées. Clearpay, Laybuy et Openpay ont même accepté de rembourser les clients qui ont été facturés pour des frais de retard de paiement alors qu'ils avaient annulé leur commande (et donc l'avance).

Mais le régulateur britannique, avec le soutien du Trésor et des associations de consommateurs, entend aller plus loin et proposer un encadrement plus strict du paiement différé. Une première consultation menée par le Trésor s'est terminée début janvier. Le gouvernement a même promis l'an dernier une réglementation qui pourrait entrer en application à la fin de l'année, ou au début de 2023. Le Parti Travailliste, qui s'est déjà attaqué aux « prêteurs sur salaires », est en pointe sur le dossier et accuse la FCA de ne pas prendre le problème au sérieux.

2% des achats en ligne

Le paiement différé - plus fréquent outre-Manche qu'en France qui privilégie le paiement fractionné - connaît un engouement sans pareil au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et dans les pays de culture anglo-saxonne, le plus souvent comme une alternative à la carte de crédit, plus difficilement accessible et très couteuse. Selon la société de conseil FIS, le paiement différé représente déjà 2% des achats en ligne aux Etats-Unis, une proportion qui pourrait doubler d'ici 2024.

Le principe du paiement différé est simple : vous ne payez rien ou presque rien à l'achat et vous recevez la facture 15 ou 30 jours plus tard. Ce sont souvent des achats de petits montants et « l'avance de trésorerie » n'est pas régulée.

La recette est particulièrement efficace pour les achats en ligne, terrain privilégié de l'achat impulsif : l'autorisation est accordée quasi instantanément, sans dossier à remplir, et après une vérification plus sommaire des antécédents de crédit. Un clic et le client reçoit son colis plaisir à domicile, sans bourse déliée ! Facile dès lors de multiplier les achats auprès de nombreuses enseignes et autant de fournisseur de crédit en naviguant sur son mobile. Une expérience client qui touche donc particulièrement la jeune clientèle, la génération Z.

La puissante association de consommateurs Which ? a de plus publié une étude qui montre que les consommateurs considèrent de plus en plus les facilités de paiement différé comme des solutions pour boucler les fins de mois que comme des crédits à proprement parler. Résultat, selon Credit Karma, une fintech qui permet d'accéder à son score de crédit, 7,7 millions de Britanniques auraient accumulé des impayés auprès des sociétés spécialisées dans le paiement différé, pour un montant moyen de 538 livres sterling (650 euros).

Le danger est d'autant plus grand que toutes les grandes enseignes proposent désormais une option de paiement différé. C'est le cas bien sûr aux Etats-Unis mais l'Europe n'est plus épargnée. Pour le marchand, le gain est double : augmenter à la fois le taux de conversion (finaliser un achat) et le montant du panier moyen. Selon une étude de cas publié sur le blog du géant du paiement différé Klarna, le site spécialisé dans la mode Rue21 a augmenté son panier moyen de 73% depuis son relooking à la sauce Klarna.

Les régulateurs sur le qui-vive

Les principaux acteurs du marché sont devenus les fintechs les mieux valorisées, comme Affirm aux Etats-Unis (12 milliards de dollars de capitalisation boursière), le suédois Klarna, récemment valorisée à 45,6 milliards de dollars lors d'une levée de fonds (contre 40 milliards en juin dernier) ou bien l'australien Afterpay, racheté 29 milliards de dollars par Block (ex-Square) l'été dernier.

Ce boom fulgurant a bien évidemment attiré l'attention des régulateurs, aussi bien au Royaume-Uni qu'aux Etats-Unis, en Suède ou en Australie. « À l'heure actuelle, il n'existe que très peu de réglementations américaines, voire aucune, qui traitent spécifiquement du paiement différé. Cependant, le Bureau de protection financière des consommateurs (CFPB) s'est efforcé d'examiner de près les BNPL en vue d'une éventuelle réglementation, ce qui signifie que des changements pourraient bientôt intervenir », note ainsi le cabinet FIS.

L'Europe n'est pas en reste. La Commission européenne souhaite, dans le cadre de la révision de la directive de 2008 visant la protection du consommateur, réintégrer dans la réglementation du crédit tous les types de prêts, y compris ceux de faibles montants et de courte durée. En France, dans un rapport parlementaire sur le surendettement, le député Philippe Chassaing a appelé en octobre dernier le gouvernement à légiférer sans attendre sur le paiement différé ou fractionné et les mini-crédits. Toutefois, Bercy préfère attendre la révision de la directive européenne.

Les acteurs ripostent

Face à cette avalanche de critiques et à la pression croissante des autorités, les acteurs du secteur organisent leur riposte. Le discours est simple : le paiement différé est une alternative moins coûteuse pour le consommateur à la carte de crédit, dont les taux d'intérêt dépassent fréquemment les 20% au Royaume-Uni. Généralement, c'est le marchand qui supporte d'ailleurs le coût du crédit, qui est intégré dans la commission qu'il paye à son prestataire de paiement, de 3 à 7% de la transaction.

D'ailleurs, Klarna a mené, en partenariat avec une association de consommateurs, une enquête auprès de 2.000 Britannique sur le niveau d'information sur la carte de crédit, tout juste publiée sur son blog. Et les résultats sont édifiants !

Non seulement 60% des sondés ne connaît pas le taux d'intérêt pratiqué lors d'un achat mais surtout aucune personne interrogée n'est capable de mesurer le coût total du crédit de l'achat. Et pourtant, toutes ces données sont en théorie communiquées, conformément à la réglementation, tout le long du parcours. De quoi défendre le modèle du paiement différé qui finalement serait bien plus transparent que la carte de crédit !

La France en pointe sur le paiement fractionné

En France, les acteurs se défendent de toute dérive en mettant en avant le paiement fractionné, pourtant associé à un panier moyen beaucoup plus élevé, comme l'achat de biens électroniques. Du coup, le paiement fractionné serait plus proche dans son esprit du crédit à la consommation que le paiement différé, et moins sujet au risque de surendettement. D'ailleurs, le rapport Chassaing n'a pas constaté de lien entre le paiement fractionné et des situations de surendettement. En appui, les ténors du paiement fractionné revendiquent des taux de défaut très faible, de l'ordre de 1%, même s'ils restent très avare en chiffres.

Le marché est en croissance de 15 à 20% par an et la Banque de France estime à 7 milliards d'euros les encours, soit 4% des encours de crédit à la consommation. Traditionnellement, ce sont les ex-captives bancaires de grands distributeurs (Floa, Oney...) qui ont attaqué en premier le marché du paiement en x fois. Depuis Oney est passé sous le contrôle du groupe BPCE et Floa a été rachetée par BNP Paribas. De nombreux acteurs ont également fait leur apparition, comme les fintechs Alma, Pledg mais aussi Younited qui s'est plus récemment positionné sur le marché. Toutes ces fintechs affichent des taux de croissance à deux chiffres impressionnants.

Nouvelle levée de fonds pour Alma

C'est notamment le cas d'Alma qui vient de boucler son quatrième tour de table, d'un montant de 115 millions d'euros, un an après sa précédente levée de fonds de 49 millions d'euros. L'an dernier, la fintech a traité plus d'un milliard d'euros de paiement fractionné, soit... trois fois plus qu'en 2020. Et la fintech espère tripler à nouveau son volume d'affaires en 2022 !

A noter également la présence de Klarna en France, qui vient d'ailleurs de lancer sur le marché hexagonal sa fameuse application de « shopping », sorte de galerie marchande où les utilisateurs peuvent faire leurs courses en paiement différé. Alma compte d'ailleurs développer une application mobile similaire. La bataille du paiement différé ou fractionné ne fait que commencer.

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Monday, February 14, 2022

Québec devrait 2,4 milliards en primes et en augmentations salariales dans le réseau de la santé - Le Devoir

Le gouvernement du Québec doit plus de deux milliards de dollars en primes et augmentations salariales aux professionnels du réseau de la santé, a dénoncé lundi une coalition de huit syndicats.

Les organisations syndicales reprochent aussi à Québec d’avoir renoncé aux versements d’intérêts sur les sommes dues, et ce, bien qu’il ait signé des ententes prévoyant ceux-ci.

Les syndicats calculent que leurs membres attendent des sommes de 1,28 milliard de dollars découlant des signatures des conventions collectives et de 1,15 milliard en raison du règlement de plaintes en équité salariale. Au total, les sommes en souffrance seraient donc de 2,43 milliards.

Le ministre de la Santé, Christian Dubé, n’a pas contesté ces sommes. En réaction à la sortie des syndicats, il a publié lundi une lettre envoyée le 10 février à la Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ). Dans celle-ci, il dit « comprendre tout à fait les préoccupations du personnel » et assure que « les gestes appropriés sont posés afin que cette situation puisse être régularisée rapidement ».

 

Comme l’écrivait Le Devoir la semaine dernière, certains professionnels, comme les audiologistes ou les orthophonistes, attendent à eux seuls des versements de 40 000 $ — ou même de 52 000 $ — selon les estimations des divers syndicats. Ces montants proviennent de la signature de règlement de plaintes en équité salariale.

« Ces plaintes datent de 2010 et 2015. C’est tout simplement inadmissible et révoltant, non seulement pour les femmes auxquelles ces sommes sont dues, mais pour toutes les femmes du Québec », ont écrit lundi la FSSS-CSN, la FSQ-CSQ, la FIQ, le SQEES-FTQ, le SCFP, l’APTS, la FP-CSN et le SPGQ.

Incapables de respecter l’échéancier

Les syndicats reprochent aussi au ministre de la Santé d’avoir repoussé l’échéancier pour les paiements découlant des signatures de conventions collectives et de l’introduction de primes par des arrêtés ministériels. « Vendredi dernier, des représentants du [ministère de la Santé] ont présenté un nouveau calendrier de versements des sommes, incomplet et imprécis, s’échelonnant jusqu’au 23 mars », ont-ils déploré.

Christian Dubé a lui-même reconnu la semaine dernière que son ministère était incapable de respecter les échéanciers en fonction desquels le gouvernement s’est engagé. « Je m’étais engagé à régler ça rapidement. Je peux bien comprendre que nos systèmes informatiques sont désuets et on m’a donné au ministère les bonnes raisons. C’est sûr qu’il y a eu beaucoup de changements : les primes différentes, la nouvelle convention collective. Mais ce n’est pas excusable. Je vous le dis, je les rencontre encore demain, et je suis gêné », avait-il lancé à la veille d’une réunion avec les syndicats.

M. Dubé répète dans sa lettre à la FIQ que « l’entrée en vigueur très rapide des conventions collectives après leur signature », jumelée aux « enjeux connus des systèmes d’information » dans le réseau de la santé et à la pénurie de personnel administratif « sont des facteurs qui contribuent malheureusement aux délais dans le versement des sommes dues » au personnel de la santé.

Les retards de paiement au ministère s’expliquent par « le fait que les systèmes de paie ne sont pas paramétrés pour permettre le versement de ces nouvelles mesures », a expliqué la semaine dernière la porte-parole Marjorie Larouche. « De plus, certaines mesures prévues aux nouvelles conventions collectives impliquent de la rétroactivité sur plusieurs années, ce qui complexifie l’exercice. »

Les ennuis logistiques du ministère, sur lesquels Le Devoir avait levé le voile en novembre, ont entraîné des « travaux intensifs », avait assuré la porte-parole.

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La SNCF proposerait bientôt de payer ses billets en plusieurs fois - Capital.fr

Avec un pouvoir d'achat en baisse, des prix de l'énergie en hausse et parfois un budget serré, de plus en plus de Français ont recours aux paiements échelonnés. Raison pour laquelle, d'après une information de nos confrères du Parisien, la SNCF réfléchirait fortement à proposer cette solution de paiement à ses clients. Ainsi, l'entreprise ferroviaire aurait lancé un appel d'offres pour trouver son partenaire financier et ce "depuis quelques mois", selon un spécialiste du paiement fractionné interrogé par Le Parisien. Le but pour la SNCF est de permettre à des familles de pouvoir prendre des billets pour partir en vacances et éviter qu'elles ne se tournent vers la voiture.

Contactée par nos confrères, la SNCF n'a pas confirmé officiellement l'information mais explique qu'elle "continue à travailler sur toutes les bonnes idées qui permettent de faciliter l'accès de tous au voyage en train, y compris à travers les moyens de paiement". Dans sa réponse, elle admet tout de même que le paiement étalé peut être "une piste intéressante pour certains de nos clients". En revanche, ce système ne devrait pas être mis en place avant la fin de l'année "le temps de continuer à y travailler".

Toutes les agences de voyages l'ont adopté

Sur la bonne voie donc, mais pas dans l'immédiat. Pourtant selon un acteur du paiement en plusieurs fois interrogé par Le Parisien, cette solution ne doit plus être une possibilité mais une "nécessité". En cause, la concurrence de l'aérien et de la voiture. Début février, une étude menée par Kantar avec le leader du marché, Floa Bank, pour Le Parisien, révélait que plus d'un Français sur trois avait déjà eu recours au paiement échelonné. Un marché en constante croissance que ce soit en France ou en Europe. C'est en Belgique et au Portugal qu'il est d'ailleurs le plus utilisé. La majorité des interrogés disent y avoir recours pour "équilibrer leur budget" ou "faire face à un imprévu".

Les Français achètent essentiellement de l'électroménager, du matériel high-tech, des meubles ou l'utilisent pour les voyages. Dans ce secteur d'ailleurs, aucun opérateur n'utilisait le paiement en plusieurs fois il y a cinq ans, révèle le directeur général adjoint de Floa Bank au Parisien. Désormais, tous le proposent. D'autres grandes entreprises se sont lancées dedans depuis comme Lidl Voyages, Air France Cdiscount, ou Lastminute.com. Et cela permettrait de déclencher de nombreux achats.

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Thursday, February 10, 2022

Paiement en plusieurs fois : Alma lève 115 millions d'euros pour viser l'international - MoneyVox

Le jeune pousse française spécialisée dans les services de paiement fractionné et différé Alma a annoncé jeudi une levée de 115 millions d'euros auprès de plusieurs actionnaires, dont le géant chinois de l'internet Tencent, afin de financer son expansion internationale.

« En 2022, Alma prévoit d'ouvrir de nouveaux marchés, notamment aux Pays-Bas, au Luxembourg, au Portugal, en Irlande et en Autriche », détaille un communiqué.

Le nouvel actionnaire Tencent « présente l'avantage d'avoir créé Wechat, et Wechat pay (un service de messagerie et de transaction de référence en Chine, NDLR), qui est vraiment le plus haut standard de ce type de solutions de paiement », explique le cofondateur et dirigeant d'Alma Louis Chatriot. Cette levée est assortie de la souscription d'une dette de 95 millions d'euros pour financer l'activité courante.

Créée en 2018, la jeune pousse est présente sur le segment du paiement fractionné, ces offres qui permettent de payer un achat (mode, bijouterie, équipements sportifs, de la maison...) en plusieurs fois, qu'il soit réalisé en ligne ou en magasin. Elle se rémunère en appliquant au vendeur une commission comprise entre 2% et 4% du prix de vente, que ce dernier choisit ou pas de répercuter sur le client final.

Plusieurs de ses actionnaire historiques dont Cathay Innovation, Eurazeo et Bpifrance ont également participé au tour de table.

Une « licorne » en devenir

Cette opération ne fait pas basculer l'entreprise basée à Paris dans la catégorie des licornes, ces sociétés du numérique valorisées plus d'un milliard de dollars, « mais on n'en est pas très loin non plus », relève M. Chatriot.

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Alma est présente en France principalement mais dispose d'équipes en Italie, en Espagne, en Allemagne et en Belgique. Elle compte 200 salariés, travaille avec 6 000 marchands et a géré plus d'un milliard d'euros de volume de paiements en 2021.

En mai 2021, la société avait signé avec Banque Postale Consumer Finance, filiale de la Banque Postale dédiée au crédit à la consommation, « un accord de partenariat stratégique » pour mettre ce moyen de paiement à disposition de marchands.

Elle avait levé 49 millions d'euros il y a un an et 12,5 millions d'euros il y a deux ans.

Reproduction interdite.

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E-Commerce en Afrique Francophone : le paiement, la 'première difficulté' pour les entrepreneurs du digital - BBC Afrique

  • Rose-Marie Bouboutou-Poos
  • Broadcast Journalist

Des travailleurs de JUMIA examinent des produits à livrer dans l'entrepôt d'Ikeja de la société, à Lagos.

Crédit photo, AFP via Getty Images

Les acteurs du e-commerce africains sont délaissés par les grandes plateformes de règlement et sont confrontés à une difficulté : collecter leurs paiements mais des entrepreneurs ont développé des solutions. Nous vous en présentons deux dans cet article.

Avec la pandémie de Covid 19 et la distanciation sociale, nous sommes de plus en plus nombreux à faire une partie de nos achats en ligne.

Soldes, promotions, fêtes comme la Saint Valentin, tout est mis en place par les e-commerçants pour nous faire sortir notre carte bancaire.

Maintenant imaginez-vous avoir réalisé des affaires juteuses avec plusieurs ventes à votre actif, des dizaines de milliers de francs CFA reçus électroniquement qui s'affichent en positif sur votre compte e-commerce mais aucun moyen de les encaisser sur votre compte bancaire ou les toucher en espèces.

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C'est le casse-tête que vit Valeska Tozo une entrepreneure e-commerce établie au Togo. Elle explique les difficultés de beaucoup d'acteurs :

"Nous sommes obligés de nous limiter aux moyens locaux que nous avons à notre disposition comme Orange Money ou Wave par exemple au Sénégal qui facilite le paiement. Au Togo, nous avons Flooz ou T-Money mais parfois la connexion ne passe pas et on ne peut recevoir des paiements de l'étranger".

Pour ses clients à l'international, qui peuvent pourtant payer par carte bancaire ou PayPal, c'est encore un autre casse-tête.

"J'ai un compte Paypal mais parfois on a des difficultés à retirer l'argent et les autres moyens de paiement que ce soit Stripe où autres ne nous permettent pas en réalité de couvrir plusieurs pays donc on doit se rabattre sur les agences de transfert", explique-t-elle.

"Cela impacte beaucoup l'activité car la majorité des personnes qui sont à l'international ont des cartes bancaires et utilisent Paypal du coup ça leur est plus facile de payer en ligne que d'aller faire le rang pour envoyer un transfert d'argent, cela décourage les clients à passer la commande ou à faire l'achat", déplore Valeska Tozo.

Un important potentiel

Le E-commerce est souvent présenté comme la voie de l'avenir.

La vente au détail en ligne en Afrique a connu une croissance exponentielle ces dernières années. Plusieurs facteurs contribuent à cette croissance : la population la plus jeune et la deuxième plus grande au monde. En outre, la pénétration d'Internet a augmenté en raison de la large expansion des smartphones et des appareils mobiles. Cette tendance, encore renforcée par la pandémie, devrait se poursuivre.

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Selon le rapport e-Conomy Africa 2020 de Google et de la Société Financière Internationale (IFC), l'économie numérique en Afrique pourrait représenter 5,2 % du PIB du continent à l'horizon 2025, soit un peu plus de 180 milliards de dollars. Ce montant pourrait atteindre 712 milliards de dollars à l'horizon 2050. Il existe donc un potentiel pour un vaste marché numérique.

Et nombre de ces entrepreneurs sont en réalité des entrepreneuses. Selon l'IFC, les femmes représentent la moitié des acteurs du commerce électronique en Afrique.

Mais si les règlements numériques sont de plus en plus répandus en Afrique, les entrepreneurs du commerce en ligne dans certains pays du Continent, délaissés par les grandes plateformes de paiement, sont confrontés à une réelle difficulté insoupçonnée de nombreux clients : percevoirs les paiements à distance de leurs clients.

Luc Tolo Beavogui, fondateur de Vamnom

Crédit photo, Luc Tolo Beavogui

Solution 1 : les banques en ligne

Luc Tolo Beavogui, entrepreneur guinéen installé au Sénégal, fondateur de Vamnom, une agence de marketing digital, a aussi connu ces limitations quand il s'est lancé dans le e-commerce.

"En réalité, c'est la première difficulté pour la plupart des personnes qui s'engagent dans le digital. La plupart des gens en Afrique ne peuvent pas avoir Stripe (une plateforme de paiement par Carte bancaire, NDLR) et les comptes PayPal sont limités juste à pouvoir payer en ligne mais pas recevoir de l'argent et faire du business avec", détaille-t-il.

Ce blocage l'a poussé à effectuer des recherches approfondies afin de développer "sa recette", ainsi qu'il le dit lui-même, dont il fait bénéficier d'autres e-commerçants africains désormais.

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Il a découvert des banques en ligne comme Payoneer et TransferWise que les entrepreneurs africains peuvent utiliser afin de pouvoir s'affilier aux deux mastodontes du paiement en ligne que sont Stripe et PayPal.

"Ces plateformes acceptent toutes les banques de l'Afrique et du coup il est possible de lier son compte bancaire avec les grandes plateformes de paiement. Ce n'est pas une faille illégale", explique Luc Tolo Beavogui.

Aujourd'hui, sa structure Vamnom aide les commerçants à se lancer en ligne à mettre en place les moyens de paiemens.

Idriss Marcial Monthe, CEO & Co-fondateur de CinetPay

Crédit photo, NADI JESSICA

Solution 2 : les plateformes de paiement africaines

Idriss Marcial Monthe a co-fondé CinetPay. L'idée germe en 2009 quand l'entrepreneur décide de créer en Côte d'Ivoire un site Internet de vente de noms de domaine africains et d'espaces d'hébergement.

"Je me retrouve confronté très vite avec la problématique de pouvoir accepter des paiements en ligne. Je devais me déplacer pour aller chez les clients collecter du cash. Le coût du transport mangeait toute ma marge", se rappelle l'entrepreneur.

Il ouvre successivement 3 comptes PayPal avec les adresses d'amis ou parents résident on occident (France, Canada, Suisse) mais à chaque fois les comptes sont fermés par PayPal au bout de quelques mois.

"Car vous êtes une entreprise africaine, vous exercez en Afrique et vous utilisez un compte qui a été ouvert en Europe, vous n'avez pas le droit car PayPal n'est pas autorisé dans votre pays. Et à chaque fois que PayPal fermait notre compte, il bloquait notre argent", se souvient Idriss Marcial Monthe.

Lassé, il se rend avec son associé chez les opérateurs de Mobile Money pour prendre leurs API de paiement.

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« API » signifie Application Programming Interface (interface de programmation applicative). Une API de paiement est une API spécialement conçue pour communiquer des informations aux banques pour permettre les paiements de manière sécurisée sur un site Internet.

C'est l'ingrédient du succès qui manquait à son business.

"Nous avons réussi à convertir 80% de nos utilisateurs avec le paiement en ligne", dit-il.

"On s'est rendu compte que ce que l'on avait développé comme solution pour résoudre un problème que l'on avait, était une idée d'entreprise et on a décidé de créer cinetpay, un aggrégateur de paiements pour permettre à tous ceux qui font du commerce en ligne d'accepter n'importe quel type de solutions via notre plateforme", explique Idriss Marcial Monthe.

CinetPay est aujourd'hui présent dans 8 pays d'Afrique francophone (Côte d'Ivoire, Sénégal, Mali, Togo, Burkina Faso, Guinée Conakry, Cameroun, RD Congo) et la société a plus de 7000 entreprises dans sa base de donnée.

De nombreuses autres plateformes sont présentes sur ce marché SycaPay, PayDunya, Touch Pay, Wizall Money ou encore Bizao qui ont la particularité de toutes être basées en Côte d'Ivoire.

Une image illustrative des cartes de débit Visa et Visa.

Crédit photo, NurPhoto via Getty Images

Pourquoi les grandes plateformes de paiement ne sont pas accessibles en Afrique ?

Nous avons contacté Stripe pour savoir pourquoi ils n'étaient pas ouverts aux entrepreneurs d'Afrique francophone. La plateforme nous a répondu qu'ils avaient récemment fait l'acquisition de la société Paystack, basée au Nigéria, pour mener leurs efforts en Afrique, notamment au Nigeria, au Ghana et en Afrique du Sud.

PayPal et 2CheckOut (la solution de Paiement de Shopify et WordPress) n'ont pas répondu à nos demandes de commentaire.

Pour Idriss Marcial Monthe, il y aurait plusieurs raisons expliquant que ces plateformes soient réfractaires à l'Afrique.

"Les règlementations dans beaucoup de pays africains ne sont pas suffisamment claires et lisibles pour les acteurs du paiement qui sont habitués à être dans des environnements très réglementés. La deuxième raison, c'est la fraude parce nos pays sont réputés pour être des pays où le niveau de fraude est le plus élevé dans le monde. La troisième raison, c'est le risque que constitue nos différents Etats à cause de l'instabilité politique, du manque de transparence etc. La dernière raison pourrait être l'opportunité : est-elle suffisamment grande pour qu'ils se déploient sur le territoire ?", estimet-t-il.

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Les plateformes africaines, des solutions africaines aux problèmes africains, sont un pas dans la bonne direction même si Luc Tolo Beavogui de Vamnom déplore qu'aucune ne couvre tous les pays.

"Il n'a que quelques pays dedans, il n'y a pas les pays anglophones, tu as ce moyen de paiement mais tu es toujours limité. Imaginez avoir 3 ou plus interfaces de paiement sur votre site pour couvrir tous les pays ça n'est pas joli", dit-il.

Pour les entrepreneurs de la diaspora qui souhaiteraient les utiliser pour couvrir la clientèle africaine, l'accès à ces plateformes est également réservé aux structures enregistrées dans l'espace UEMOA.

Le rêve du World Wide Web, le grand village sans frontières n'est donc pas encore une réalité pour aujourd'hui dans le domaine du e-commerce.

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