Payment is the new black. Shopify, le géant canadien de l'e-commerce qui revendique plusieurs millions de clients dans 175 pays et pèse 45 milliards de dollars, a annoncé ce mardi le déploiement en France de sa propre solution de paiement, afin de compléter la palette de services qu'il met à disposition des marchands souhaitant se lancer dans la vente en ligne. Cette solution a été développée en partenariat avec PayPal, qui distribue en l'occurrence sa propre technologie en marque blanche.
Avec plus d'une centaine de devises gérées, Shopify Payments doit simplifier la vie des e-commerçants français cherchant à se lancer à l'international. En outre, la solution maison de Shopify est directement intégrée à sa plateforme, ce qui permet aux commerçants de piloter leurs finances et de suivre leurs commandes directement depuis leur interface Shopify. Shopify Payments est déjà disponible dans 17 pays, dont l'Allemagne, l'Italie ou encore l'Espagne.
Payment is the new black. Shopify, le géant canadien de l'e-commerce qui revendique plusieurs millions de clients dans 175 pays et pèse 45 milliards de dollars, a annoncé ce mardi le déploiement en France de sa propre solution de paiement, afin de compléter la palette de services qu'il met à disposition des marchands souhaitant se lancer dans la vente en ligne. Cette solution a été développée en partenariat avec PayPal, qui distribue en l'occurrence sa propre technologie en marque blanche.
Avec plus d'une centaine de devises gérées, Shopify Payments doit simplifier la vie des e-commerçants français cherchant à se lancer à l'international. En outre, la solution maison de Shopify est directement intégrée à sa plateforme, ce qui permet aux commerçants de piloter leurs finances et de suivre leurs commandes directement depuis leur interface Shopify. Shopify Payments est déjà disponible dans 17 pays, dont l'Allemagne, l'Italie ou encore l'Espagne.
Le COVID-19 au Vietnam est fondamentalement maîtrisé et la vie de la plupart des gens est revenue à la normale. Cependant, les paiements autres qu’en espèces, encouragés pendant la pandémie pour limiter les contacts directs, restent toujours populaires auprès des consommateurs.
La pandémie a accéléré le mode de paiement sans numéraire, orienté par le gouvernement vietnamien. Photo : Linh Thao/CVN
Selon une enquête récemment menée par le géant du paiement numérique VISA, 65% des Vietnamiens ont moins d’argent liquide dans leur portefeuille et un tiers disent qu’ils cesseront d’utiliser de l’argent liquide après la pandémie. Près de 76% des consommateurs utilisent désormais des portefeuilles mobiles et encore plus (82%) utilisent des cartes.
VISA a également souligné que les achats en ligne et les alternatives en espèces devraient tous rester après la pandémie. Les deux tiers des Vietnamiens ont essayé de faire des achats en ligne pendant la pandémie et la moitié d’entre eux ont effectué leur premier achat via les réseaux sociaux. Neuf consommateurs sur dix utilisent désormais les services de livraison à domicile, et la quasi-totalité d’entre eux l’utilisent désormais plus souvent qu’avant la pandémie.
Une écrasante majorité (plus de 80%) utilise désormais ses cartes, ses paiements QR et ses portefeuilles mobiles au moins une fois par semaine. Une bonne moitié des Vietnamiens ont commencé à utiliser plus souvent des cartes, tandis que 64% et 63% ont augmenté respectivement leur utilisation des paiements mobiles sans contact et des portefeuilles mobiles.
Les impacts de la pandémie ne peuvent être ignorés, ni à court terme ni à long terme. Cela a entraîné des changements durables dans la façon dont les consommateurs choisissent d’effectuer leurs achats et dans leur mode de paiement. Le succès des commerçants et des entreprises repose sur leur capacité à évoluer et à se transformer avec ces changements, a déclaré Dang Tuyêt Dung, responsable nationale de VISA pour le Vietnam et le Laos.
Fin 2021, 95% de toutes les institutions financières au Vietnam avaient développé leur propre stratégie de digitalisation. Actuellement, plus de 80 banques proposent à leurs clients des services bancaires en ligne; 44 banques proposent des services bancaires mobiles; et 45 entreprises fintech proposent des services d’intermédiaire de paiement.
Sur l’ensemble du territoire, ce sont actuellement plus de 90.000 magasins qui acceptent les paiements par QR code et près de 300.000 terminaux points de vente.
Des pierres tombales retirées de leur socle gisent dans la nature, à l’arrière du cimetière Saint-Joseph de Shawinigan, les contrats de concession funéraire n’ayant pas été renouvelés. Ultime recours, plaide-t-on sur place, le retrait des monuments est fait dans le respect des défunts, laissés en terre, mais aux côtés desquels de nouvelles dépouilles pourraient bientôt être inhumées.
La Russie s’est acquittée en roubles de paiements d’intérêts sur sa dette libellée en dollars, a annoncé jeudi le ministère des Finances russes, en raison des sanctions occidentales qui font planer depuis des mois le risque d’un défaut de paiement.
Niant en bloc le risque d’un défaut de la Russie, le ministre des Finances Anton Silouanov a accusé «les contreparties étrangères» de «refuser d’effectuer des paiements en devises étrangères, ce qui est une situation de force majeure pour nous», créant ainsi les conditions d’un défaut artificiel.
«Tous ceux qui s’y connaissent savent que ce n’est pas un défaut. Honnêtement, toute cette situation ressemble à une farce», a-t-il raillé.
«N’importe quel jour où un investisseur voudra ou pourra venir chercher son argent, l’équivalent en roubles l’attendra», a-t-il prévenu.
Dans un communiqué jeudi, son ministère a annoncé avoir payé en roubles des échéances sur sa dette extérieure à échéance en 2027 et 2047 d’un montant total de 12,51 milliards de roubles, soit près de 235 millions de dollars.
«Ainsi, les obligations (...) de la Fédération de Russie sont remplies dans leur intégralité par le ministère des Finances de la Russie», a ajouté le ministère.
L’argent a été transféré au National Settlement Depository (NSD), un organisme russe centralisé chargé du dépôt des titres financiers échangés dans le pays et sanctionné par l’Union européenne.
Le ministère a expliqué se baser sur un nouveau système de paiement temporaire entré en vigueur par un décret présidentiel publié mercredi.
Ce système prévoit que, lorsqu’une échéance arrive, le ministère des Finances transfère l’équivalent en roubles des fonds au NSD, qui s’occupe de rembourser les créditeurs en roubles au taux de la banque centrale russe, afin «d’assurer l’équivalence maximale des paiements».
Si les créditeurs sont russes, les fonds sont transférés «en contournant les intermédiaires étrangers», précise le ministère des Finances.
Mais si les titres sont détenus à l’étranger, les fonds seront transférés sur des comptes spéciaux en roubles, un mécanisme proche de celui utilisé pour les paiements gaziers.
Anton Silouanov a assuré qu’» afin de protéger les investisseurs contre le risque de variation du taux de change, ces fonds seront indexés au taux actuel du rouble (...) jusqu’au moment des règlements effectifs aux propriétaires».
Fin mai, la Russie a annoncé qu’elle rembourserait sa dette extérieure en roubles, ne pouvant plus le faire en dollars du fait des sanctions, malgré son importante liquidité financière.
Or, un remboursement dans une devise autre que celle dans laquelle une créance a été libellée expose le débiteur à un défaut sur sa dette.
Depuis que les trois grandes agences de notation financières internationales ne notent plus la Russie, il revient à une organisation réunissant de grandes banques internationales (Credit Derivatives Determinations Committees) d’évaluer si oui ou non la Russie rate des paiements à ses créanciers.
Début juin, cette commission de créanciers a affirmé que le pays n’avait pas honoré le paiement d’intérêts sur sa dette à hauteur de 1,9 million de dollars dû le 4 avril.
Les nouvelles stars du paiement brillent un peu moins à l'approche de l'été. La fintech britannique SumUp a annoncé jeudi avoir bouclé une levée de fonds de 590 millions d'euros. Cette opération, qui combine à la fois de la dette et des capitaux propres, porte la valorisation de la société à 8 milliards d'euros.
C'est moins de la moitié du montant estimé en début d'année, lorsque le spécialiste des terminaux de paiement nouvelle génération commençait à sonder les investisseurs : SumUp flirtait alors avec les 20 milliards d'euros de valorisation.
La Russie s'est acquittée en roubles de paiements d'intérêts sur sa dette libellée en dollars, a annoncé jeudi le ministère des Finances russes, en raison des sanctions contre le pays pour son intervention militaire en Ukraine.
«Les fonds pour le paiement d'un coupon (sur les obligations externes de la Fédération de Russie à échéance en 2027 et 2047 d'un montant total de 12,51 milliards de roubles (l'équivalent de 234,85 millions de dollars) ont été reçus par l'agence de paiement pour les euro-obligations National Settlement Depository (NSD)», a indiqué dans un communiqué le ministère.
«Ainsi, les obligations (...) de la Fédération de Russie sont remplies dans leur intégralité par le ministère des Finances de la Russie», a ajouté ce dernier.
Dans ce communiqué, le ministère indique se baser sur un nouveau système de paiement temporaire entré en vigueur par un décret présidentiel publié juste avant, le mercredi 22 juin.
Ce système prévoit que lorsqu'une échéance arrive, le ministère des Finances transfère l'équivalent en roubles des fonds au NSD, un organisme russe centralisé chargé du dépôt des titres financiers échangés dans le pays.
Ce dernier s'occupe de rembourser les créditeurs en roubles au taux de la Banque centrale, afin «d'assurer l'équivalence maximale des paiements». Si les créditeurs sont russes, les fonds sont transférés «en contournant les intermédiaires étrangers».
Mais si les titres sont détenus à l'étranger, les fonds seront transférés sur des comptes spéciaux en roubles, un mécanisme proche de celui utilisé pour les paiements gaziers.
Fin mai, la Russie a annoncé qu'elle rembourserait sa dette extérieure en roubles, ne pouvant plus le faire en dollars du fait des sanctions, malgré son importante liquidité financière.
Or un remboursement dans une devise autre que celle dans laquelle une créance a été libellée expose le débiteur à un défaut sur sa dette.
Depuis que les trois grandes agences de notation financières internationales ne notent plus la Russie, il revient à une organisation réunissant de grandes banques internationales (Credit Derivatives Determinations Committees) d'évaluer si oui ou non la Russie rate des paiements à ses créanciers.
Début juin, cette commission de créanciers a affirmé que le pays n'avait pas honoré le paiement d'intérêts sur sa dette à hauteur de 1,9 million de dollars dû le 4 avril.
Samsung Kiosk tout-en-un sera équipé de terminaux de paiement Moneris, offrant une solution intelligente et transparente aux entreprises et aux clients canadiens
Samsung Electronics Canada a annoncé aujourd’hui un nouveau partenariat avec Moneris Solutions Corporation (« Moneris »), un chef de file canadien du commerce unifié, pour intégrer une méthode de paiement transparente à sa solution libre-service Samsung Kiosk et élargir les solutions de commerce pour les marchands partout au Canada.
Grâce à sa fonctionnalité modulaire et à son design compact, Samsung Kiosk offre une solution de libre-service pratique grâce à l’intégration de terminaux de paiement Moneris, offrant des capacités de commande et de paiement sans contact améliorées pour les entreprises et les clients.
« Avec les industries du commerce de détail et de la restauration qui continuent de se transformer, de plus en plus d’entreprises adoptent de nouvelles solutions technologiques pour répondre et dépasser les besoins en constante évolution des consommateurs », a déclaré Mary Peterson, vice-présidente, TI et solutions d’entreprise, Samsung Electronics Canada. « Nous sommes fiers de nous associer à Moneris et d’offrir une solution libre-service intuitive avec Samsung Kiosk. Ensemble, nous sommes en mesure d’aider les entreprises canadiennes à servir plus de clients avec une plus grande cohérence, tout en élargissant les occasions d’affaires. »
Le partenariat de Samsung Canada avec Moneris arrive à un moment où de plus en plus de propriétaires d’entreprises canadiennes ont besoin d’une solution de paiement libre-service qui offre à la fois fiabilité et performance, améliore l’efficacité, renforce l’appartenance de la marque et crée de nouvelles occasions de vente.
« Fournir des solutions de paiement de pointe, comme les kiosques sans surveillance, à nos commerçants est devenu de plus en plus important au cours des dernières années », a déclaré Matt Crawford, vice-président, acquisition et partenariats avec des tiers, Moneris. « En tant que fournisseur de produits électroniques de premier plan, Samsung est reconnue pour ses innovations en terme de conception et de technologie. Nous sommes fiers de travailler avec Samsung pour offrir des solutions de kiosques riches en fonctionnalités et abordables aux commerçants du Canada. »
Grâce à ce partenariat, Moneris distribuera également la solution de kiosque à plusieurs fournisseurs de logiciels indépendants partout au Canada, y compris TakuLabs Ltd., Oliver POS, GRUBBRR, XPR POS et BIG Digital, entre autres.
Lancée pour la première fois en 2021, la solution Samsung Kiosk est un système de commande et de paiement tout-en-un qui comprend un écran interactif, un haut-parleur, une imprimante, un lecteur, un processeur de paiement et plus encore. Convenant aux entreprises de toutes tailles, la solution de kiosque novatrice est une réponse aux changements récents des habitudes et des demandes des consommateurs.
Pour obtenir plus de renseignements sur Samsung Kiosk, veuillez visiter le site www.samsung.com.
Samsung Canada annonce la création d'un partenariat avec Moneris pour déployer une nouvelle solution de paiement libre-service partout au Canada - Samsung Newsroom Canada Read More
Ingenico, l'expert mondial du terminal de paiement, lance PartnerIN, un nouveau programme qui a pour ambition d'embarquer ses clients au-delà du paiement. Pour le présenter, So Bam a réalisé une fiction rétro-futuriste colorée et métaphorique, qui transporte le spectateur dans le futur du paiement. Dans un univers minimal, contemporain et élégant, toutes les typologies de clients (revendeurs, intégrateurs, développeurs de logiciel, etc.) sont conviés par Lauren, cheffe de bord de PartnerIN, à passer les portes du programme pour accéder à des services premium et "façonner ensemble le futur du paiement". Ce film a été diffusé à l’événement PayTech 2022 à Lisbonne qui rassemble des acteurs des secteurs de la technologie et du paiement. Il sert également de support de présentation pour les commerciaux d’Ingenico et sera diffusé sur les réseaux sociaux d’Ingenico (LinkedIn, Twitter, Youtube).
LÉVIS, QC, le 22 juin 2022 /CNW Telbec/ - La Financière agricole du Québec (FADQ) a procédé au versement de la première avance de compensation pour l'année d'assurance 2022 aux producteurs de porcs dans le cadre du Programme d'assurance stabilisation des revenus agricoles (ASRA). Cette première avance s'élève à près de 77 millions de dollars, ce qui représente 111,04 dollars par truie et 8,92 dollars par 100 kilogrammes de porc. Après le prélèvement de leur contribution annuelle au programme, les producteurs de porcs recevront un montant total de plus de 34 millions de dollars, soit 53,56 $ par truie et 4,39 dollars par 100 kilogrammes de porc.
La conjoncture économique actuelle entraîne une augmentation importante des coûts de production et une tendance à la baisse des prix de vente des animaux. Afin de permettre aux éleveurs de porcs d'accéder à des liquidités, la première avance de compensation de l'année 2022 sera devancée en juin plutôt qu'en juillet. La Financière agricole du Québec suit la situation de près avec les Éleveurs de porcs du Québec.
Citation
« La Financière agricole joue un rôle de premier plan dans l'agriculture au Québec. Nos outils démontrent que l'on s'adapte aux conjonctures et qu'ils permettent aux producteurs d'ici de poursuivre la mise en marché de produits de qualité malgré les risques inhérents du métier. À cet effet, le programme ASRA versera au net plus de 34 millions de dollars aux producteurs de porcs pour compenser les fluctuations des marchés. »
M. Ernest Desrosiers, président-directeur général de La Financière agricole du Québec
Faits saillants
Programme d'assurance stabilisation des revenus agricoles
Programme de type collectif qui protège contre la fluctuation des prix et des coûts de production.
Paiements versés lorsque le prix de vente moyen d'un produit est inférieur au revenu stabilisé ajusté, lequel est basé sur le coût moyen de production des entreprises spécialisées.
Programme financé aux deux tiers par la FADQ et au tiers par les adhérents. Les montants nets versés excluent les contributions des adhérents.
Productions couvertes : agneaux, bouvillons et bovins d'abattage, céréales (avoine, blé, orge) et canola, porcelets, porcs, veaux d'embouche, veaux de grain.
Les producteurs ayant obtenu une subvention du Programme d'appui financier à la relève agricole peuvent bénéficier d'un rabais sur leur contribution annuelle à l'ASRA. Pour cette première avance dédiée au secteur porcin, un montant de 382 000$ a été accordé en rabais.
La réduction du prix des porcs de 40 $/100kg, à compter du 4 avril, a accentué le manque de liquidité chez les entreprises porcines.
Lors de situations exceptionnelles, la FADQ peut décider d'ajouter ou de devancer des avances de compensations au cours de la période d'assurance.
La Financière agricole du Québec, c'est...
Une relation d'affaires avec un peu plus de 24 000 entreprises agricoles et forestières
Une offre de produits et de services de qualité en financement, en assurance et en protection du revenu
Avoir une relève agricole au coeur de ses priorités en lui offrant une aide financière directe et adaptée à sa réalité, dont 12,3 millions de dollars accordés à 536 jeunes de cette relève
Une équipe soucieuse des besoins des producteurs agricoles et des enjeux en agriculture
Participer à l'essor économique du Québec et de ses régions avec
des valeurs assurées s'élevant à 4,18 milliards de dollars et le versement de 2,21 milliards de dollars au cours des cinq dernières années dans le cadre de ses programmes de gestion des risques; et
un portefeuille de garanties de prêts atteignant 6,01 milliards de dollars
Liens connexes
Information Valérie Beaulieu
Conseillère en communication et relations publiques
418 834-6866, poste 6223 [email protected]
SOURCE La Financière agricole du Québec
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Communiqué envoyé le 22 juin 2022 à 10:14 et diffusé par :
Samsung Kiosk tout-en-un sera équipé de terminaux de paiement Moneris, offrant une solution intelligente et transparente aux entreprises et aux clients canadiens
Samsung Electronics Canada a annoncé aujourd’hui un nouveau partenariat avec Moneris Solutions Corporation (« Moneris »), un chef de file canadien du commerce unifié, pour intégrer une méthode de paiement transparente à sa solution libre-service Samsung Kiosk et élargir les solutions de commerce pour les marchands partout au Canada.
Grâce à sa fonctionnalité modulaire et à son design compact, Samsung Kiosk offre une solution de libre-service pratique grâce à l’intégration de terminaux de paiement Moneris, offrant des capacités de commande et de paiement sans contact améliorées pour les entreprises et les clients.
« Avec les industries du commerce de détail et de la restauration qui continuent de se transformer, de plus en plus d’entreprises adoptent de nouvelles solutions technologiques pour répondre et dépasser les besoins en constante évolution des consommateurs », a déclaré Mary Peterson, vice-présidente, TI et solutions d’entreprise, Samsung Electronics Canada. « Nous sommes fiers de nous associer à Moneris et d’offrir une solution libre-service intuitive avec Samsung Kiosk. Ensemble, nous sommes en mesure d’aider les entreprises canadiennes à servir plus de clients avec une plus grande cohérence, tout en élargissant les occasions d’affaires. »
Le partenariat de Samsung Canada avec Moneris arrive à un moment où de plus en plus de propriétaires d’entreprises canadiennes ont besoin d’une solution de paiement libre-service qui offre à la fois fiabilité et performance, améliore l’efficacité, renforce l’appartenance de la marque et crée de nouvelles occasions de vente.
« Fournir des solutions de paiement de pointe, comme les kiosques sans surveillance, à nos commerçants est devenu de plus en plus important au cours des dernières années », a déclaré Matt Crawford, vice-président, acquisition et partenariats avec des tiers, Moneris. « En tant que fournisseur de produits électroniques de premier plan, Samsung est reconnue pour ses innovations en terme de conception et de technologie. Nous sommes fiers de travailler avec Samsung pour offrir des solutions de kiosques riches en fonctionnalités et abordables aux commerçants du Canada. »
Grâce à ce partenariat, Moneris distribuera également la solution de kiosque à plusieurs fournisseurs de logiciels indépendants partout au Canada, y compris TakuLabs Ltd., Oliver POS, GRUBBRR, XPR POS et BIG Digital, entre autres.
Lancée pour la première fois en 2021, la solution Samsung Kiosk est un système de commande et de paiement tout-en-un qui comprend un écran interactif, un haut-parleur, une imprimante, un lecteur, un processeur de paiement et plus encore. Convenant aux entreprises de toutes tailles, la solution de kiosque novatrice est une réponse aux changements récents des habitudes et des demandes des consommateurs.
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Les étudiants en mobilité représentent un marché en constante progression, de plus de 360 000 étudiants en France et d'environ 5 600 000 à travers le monde. Ces étudiants internationaux font souvent face à des demandes de garanties particulièrement exigeantes. C'est notamment le cas des étudiants africains. Créée il y a 6 ans par Duplex Kamgang, la plateforme Studely leur propose une solution.
Spécialiste de la caution bancaire avec un service de justification de ressources, l'attestation de virement irrévocable (AVI) (qui prouve le cantonnement des fonds dédiés aux études dans une banque en Europe), Studely propose aussi un accompagnement personnalisé aux étudiants, dans leurs démarches administratives. Ce service a d'ores et déjà été proposé à plus de 10 000 étudiants par la fintech implantée dans une quinzaine de pays d'Afrique et qui dispose de plus de 70 millions d'euros de fonds sous gestion (2021).
Aujourd'hui, la startup propose un nouveau service qui « offre une alternative au virement international pour alimenter son compte de paiement », explique Duplex Kamgang, CEO et co-fondateur de la startup.
« Studely facilite l'ouverture de compte pour les mineurs et permet aux étudiants venant en France pour de courts séjours (>6 mois) d'être bancarisés. Enfin, nous offrons aux étudiants des services extra-bancaires via le Club Studely (conseils et accompagnements, ndlr)», précise-t-il.
Cette solution pourrait rapidement se développer dans des pays faiblement bancarisés sur le continent. En effet, les taux de bancarisation en Afrique, vont de 8% au Burkina Faso à plus de 60% dans les pays du Maghreb. Selon un rapport de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), le taux de personnes âgées de 15 ans et plus et possédant un compte dans une banque ne dépassait pas 17 % en 2017.
Un compte de paiement dédié aux étudiants internationaux
Fin mai, Studely franchissait une nouvelle étape en lançant une solution de compte de paiement destinée aux étudiants en mobilité internationale, en partenariat avec des acteurs bancaires européens et Mastercard. Cette solution vient compléter l'offre traditionnelle de la startup qui couvrait jusqu'ici la garantie financière et le cantonnement des fonds pour l'obtention du visa étudiant.
« Aucune banque ou néo-banque française ne propose ou n'est capable de proposer une ouverture de compte pour un étudiant qui est dans son pays d'origine, à ce jour. Studely a créé ce processus inédit dans le milieu bancaire français. Avec Studely, l'étudiant est bancarisé en France dès l'étape pré-consulaire », précise Duplex Kamgang qui assure par ailleurs qu'il n'a pas été si compliqué de trouver des partenariats pour opérationnaliser cette solution innovante (fruit d'un an de travail sans discontinu).
« Nous avons convaincu Mastercard sur le potentiel du marché, sur le pouvoir d'achat que cette clientèle d'étudiants en mobilité représente, mais aussi sur l'impact d'une telle initiative en termes de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) », précise-t-il.
A travers la plateforme de Studely, les étudiants accèdent à une application mobile associée à un IBAN, qu'ils peuvent utiliser avant même d'arriver en Europe. Cette technologie à impact répond notamment au problème du paiement des frais de scolarité ou de la simple location de son logement étudiant avant l'arrivée sur le territoire européen. Visa en poche, l'étudiant reçoit sa carte Mastercard dès son arrivée.
A la conquête de nouveaux marchés
Depuis 2021, les offres de Studely sont entièrement dématérialisées. Parallèlement, la startup ne s'intéresse plus seulement aux profils qui étudient France, mais aussi à ceux qui choisissent l'Allemagne et bientôt la Belgique, l'Italie et le Royaume-Uni, qui représentent un flux annuel de 2,2 millions d'étudiants. L'expansion géographique de l'entreprise devrait se poursuivre vers de nouvelles latitudes et notamment en Inde et en Chine, qui concentrent des populations d'étudiants étrangers considérables (soit un marché de plus de 1,3 million d'étudiant).
Pour Duplex Kamgang, le lancement de ce nouveau compte, associé à une carte de paiement « s'inscrit dans la stratégie d'innovation permanente (...) En proposant une offre de services financiers mobile, facilement accessible à tous les étudiants internationaux, nous accélérons notre stratégie de conquête de parts de marché et d'expansion géographique ».
Studely fait bouger les lignes pour des étudiants qui étaient, jusqu'ici, contraints de s'en retourner vers les banques traditionnelles. Parallèlement, cette nouvelle offre permet aux étudiants de gérer leurs fonds et d'effectuer leurs paiements à des prix compétitifs. « Notre service permet de recevoir des dépôts en espèces sur le compte, depuis le Sénégal, le Mali, le Burkina Faso, le Bénin, la Côte d'Ivoire, le Niger, la Guinée, le Togo, le Cameroun et le Gabon. Un mandat Western Union de l'Afrique vers la France coûte 6% et Studely le fera à 3%. Nous sommes moitié moins chers », se félicite Duplex Kamgang.
A l’occasion d’une conférence de presse qui s’est tenue le jeudi 16 juin à Paris, Galitt a présenté les enseignements paneuropéens et français de la 5ème édition du baromètre PayObserver [*]. Paiement mobile, sans contact, instantané, mais aussi Buy Now Pay Later, Request to Pay ou cryptomonnaies… Cette enquête, qui revient sur les grandes tendances des paiements, s’intéresse aux nouveaux usages et aux attentes des consommateurs de 5 pays : Allemagne, Belgique, France, Italie et Royaume-Uni.
Les résultats paneuropéens du Galitt PayObserver 2022
• Les banques en tête malgré la montée en puissance des nouveaux acteurs du paiement
Dans l’ensemble des pays, les banques traditionnelles sont les premiers acteurs où les consommateurs détiennent un compte de paiement, c’est par exemple le cas de 92% des Belges et de 74% des Italiens. Si la technologie utilisée bénéficie du même niveau de confiance chez l’ensemble des prestataires de paiement, les banques arrivent en tête du classement en matière de sécurité et de service client. Par exemple, 49% des consommateurs européens s’y sentent protégés en cas de cyber-attaque, contre seulement 19% pour les néobanques.
Cashless, transparents, intemporels... et gratuits, les nouveaux acteurs du paiement restent tout de même attractifs pour les européens, spécialement en Italie où 54% des consommateurs détiennent un compte dans une néobanque ou une fintech. Même si les usages sont moindres et que certaines de ces entreprises finissent parfois par disparaître, elles sont parvenues à créer un lien ultime entre technologie et service client, et ont ainsi contribué à redéfinir les services de l’ensemble des acteurs du marché.
• Alors que le mobile apparaît comme l’outil de prédilection pour communiquer, la carte physique reste le moyen de paiement le plus utilisé
Aujourd’hui, tous les acteurs doivent impérativement adapter leur interface client au mobile, qui reste, à l’exception de l’Allemagne, l’outil de communication privilégié des consommateurs pour interagir avec leur prestataire de paiement. Un pourcentage qui monte à 70% chez les Anglais souhaitant entrer en contact avec leur banque, 60% des Italiens et 57% des Français, chez qui même les plus de 50 ans privilégient les applications mobiles autant que le téléphone, un score remarquable pour ce marché.
Dans un monde qui déteste le plastique, il reste pourtant la forme de paiement la plus populaire dans les points de vente : 67% des Belges et 62% des Anglais utilisent leur CB physique pour chacun de leur paiement. Dans ce contexte, les moyens de paiement alternatifs peinent à décoller. Ainsi, seulement 1/3 des Français déclare utiliser et apprécier utiliser leur mobile pour payer. Une tendance qui devrait tout de même s’inverser grâce à la Génération Z. En délaissant de plus en plus la carte plastique (écart de -16 points entre les 12-25 ans et les 26-65 ans au Royaume-Uni) ou le cash (-10 points entre les deux générations belges) au profit du mobile (+16 points entre les deux générations françaises) ou des cartes de crédit de magasin (+10 points entre les deux générations allemandes), les usages et le goût des plus jeunes pour l'innovation devrait changer le paysage du paiement.
• Le paiement en ligne doit globalement s’améliorer en matière de parcours client, dont les besoins varient d’un pays ou d’une génération à l’autre
Alors que la carte de débit ou de crédit est le mode de paiement favori des consommateurs pour leurs achats en ligne, sauf en Allemagne où le portemonnaie électronique (wallet) arrive en tête à 44%, 2/3 des Européens interrogés ont déjà abandonné leur parcours d’achat sur internet, surtout en Allemagne (75%) et en Italie (68%). Un constat qui prouve que pour convertir les paniers d’achat, le paiement en ligne doit s’avérer à la fois rapide et sécurisé.
La vitesse du processus ne se limite pas à celle de la connexion internet ou du flux de données mais correspond aussi à l'option de paiement disponible, utiliser PayPal sera par exemple toujours plus rapide que de saisir manuellement les numéros d’une CB physique après l’avoir cherchée. Pour faire face au besoin exprimé par les consommateurs en matière de sécurité des données, le processus de vérification par la banque s’avère essentiel, spécialement pour les Français (58%) et les Italiens (55%), mais beaucoup moins pour les Allemands (29%).
• Les innovations en matière de paiement s'imposent peu à peu
Le Buy Now Pay Later (BNPL), qui permet de résoudre des difficultés de trésorerie, est une solution majoritairement utilisée par des consommateurs disposant de revenus élevés pour acheter des articles de valeur. Néanmoins, pour plus de 30% des Européens interrogés, il correspond davantage à une dette qu’à un mode de paiement. 50% des consommateurs se montrent également réticents face aux coûts qu'il implique.
Le paiement instantané est devenu la nouvelle norme pour des consommateurs qui ne voient pas de raison justifiée à payer pour en bénéficier : 81% au Royaume-Uni et 75% en Belgique. Le Request to Pay (RTP) est quant à lui une nouveauté sur le marché pour beaucoup. Lorsqu'il est expliqué, ce service suscite une réaction très positive chez les consommateurs, surtout chez les jeunes européens qui sont 92% à le percevoir comme utile.
Les consommateurs sont globalement sensibilisés aux cryptomonnaies, notamment en Italie où elles connaissent un taux de notoriété de 78%. Globalement, l'engouement est surtout significatif auprès de la Génération Z qui les considère comme un futur générateur de richesse. Étonnamment, le partenaire perçu comme le plus fiable pour gérer le portefeuille de cryptomonnaies reste la banque (traditionnelle ou numérique), surtout en France (45%).
Focus sur les résultats France du Galitt PayObserver 2022
• Les banques conservent leur avance... pour l'instant
La concurrence dans l'écosystème des paiements est grande mais les banques traditionnelles conservent une avance de 64 points par rapport à leur plus proche concurrent : les banques en ligne. Comme dans le reste de l’Europe, les consommateurs français leur font particulièrement confiance par rapport aux autres nouveaux venus dans le domaine des paiements. Un positionnement qui n'est pas tout à fait assuré puisque les jeunes sont les grands testeurs des nouveaux acteurs du paiement et les plus disposés à renoncer aux banques traditionnelles (15%).
• Les cartes ne sont pas facilement remplacées par les nouveaux modes de paiement
Comme leurs voisins européens interrogés, près de 9 Français sur 10 sont attachés à leur carte plastique et la trouvent plus facile d’utilisation que les autres modes de paiement disponibles. Le paiement mobile n'a pas encore convaincu la moitié des consommateurs français et seuls 13% d’entre eux sont prêts à laisser leur carte à la maison.
• En matière de paiement en ligne, l'équilibre entre la facilité et la sécurité est la principale préoccupation
Plus de la moitié des Français considère que la sécurité et la facilité sont des éléments importants lors du paiement en ligne. L'équilibre est plus difficile à trouver dans les méthodes d'authentification avec des consommateurs qui préfèrent le vieux monde des mots de passe à celui de la biométrie, qui semble toutefois séduire la Génération Z, plus rassurée que les autres tranches d'âge.
• Le contrôle exercé par le client, la principale valeur du paiement instantané
42% des consommateurs français considèrent le paiement instantané comme un moyen de mieux gérer son argent. Les obstacles à son utilisation sont assez faibles hormis la perception de son coût qui peut complexifier la mise en place d'un modèle économique rentable, mais pas hors de portée quand il fait partie d'une proposition de valeur plus large (avec le BNPL ou le Request to Pay par exemple).
• La proposition éthique du BNPL apparaît comme un besoin prioritaire
Les Français apprécient particulièrement la valeur du BNPL pour le paiement d'articles coûteux, mais il peut s'étendre à d'autres besoins d'achat et même, pour une minorité d'entre eux, au paiement d'articles essentiels (c'est-à-dire les courses alimentaires, les factures, etc.). Même si le BNPL est devenu très populaire, les consommateurs craignent les dangers de l'endettement (43%).
• L'avenir des paiements en cryptomonnaies dans les mains de la Génération Z
La sensibilisation aux cryptomonnaies est élevée (62%) et la plupart des Français qui en possèdent le font à des fins d'investissement (32%) plutôt que pour acheter des biens (14%). La direction qu’elles prendront pour les paiements est largement influencée par la Génération Z, qui une nouvelle fois est la plus grande utilisatrice (43%) et la plus désireuse de l'utiliser comme moyen de paiement. Bien qu’elle ait été conçue pour fonctionner en dehors du système bancaire, 41% des personnes interrogées font confiance aux banques pour gérer leur cryptomonnaie.
À propos de Galitt, société du groupe Sopra Steria
Fondée en 1990, Galitt et ses 350 consultants et experts accompagnent les établissements financiers, les commerçants, et les acteurs de l’industrie du paiement dans la transformation de leurs services de paiements, afin de les rendre simples, efficaces et sûrs, dans la vie de tous les jours. En tant qu’acteur leader sur le marché européen du paiement, Galitt assiste ses clients sur différents secteurs d’activité et géographies, de la définition de leur stratégie au déploiement de leurs solutions.
Galitt réalise des études et des prestations de formation pour guider ses clients dans leurs choix stratégiques et les aider à innover sur un marché des paiements en constante mutation. Galitt assiste ses clients dans leurs projets de construction et de déploiement de nouvelles solutions de paiement, en s’appuyant sur une forte expertise sectorielle, et un support pour la conformité et la sécurité des solutions mises en œuvre. Enfin, Galitt fournit des logiciels de test de renommée mondiale, facilitant le lancement de nouveaux produits, et développe des solutions de paiement spécialisées, fondées sur des technologies de dernière génération.
galitt.com
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[*] Questionnaire administré en ligne en avril et mai 2022 auprès d’échantillons représentatifs de chaque population, y compris en Belgique avec une représentation proportionnelle entre Wallonie, Flandre et Bruxelles. Les interrogés devaient avoir un compte bancaire comme condition d'entrée pour répondre.
Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
The issuer is solely responsible for the content of this announcement.
Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
L'émetteur est seul responsable du contenu de cette annonce.
Les arnaques ne cessent de se développer dans notre monde. Et cela concerne de nombreux secteurs, comme la technologie. Ainsi, un porte carte haute technologie peut vous permettre d’éviter de vous faire arnaquer !
L’augmentation des arnaques
C’est un aspect assez spécifique à prendre en compte. En effet, nous sommes souvent victime, ou approché par des arnaques qui peuvent grandement atteindre à votre vie privée.
Ces dernières n’ont jamais réellement disparu, bien au contraire. Elles ne cessent de se développer, mettant ainsi à mal de nombreuses personnes, et notamment les plus sensibles à ce type de procédés.
On en trouve dans tous les domaines, pouvant ainsi grandement augmenter le risque d’en être victime. Il faut savoir qu’avec l’extension de la technologie que nous connaissons, les arnaques ne cessent de se développer. Elles utilisent les mêmes procédés, pouvant ainsi devenir invisibles aux yeux des personnes crédules. Et cela peut donc très facilement les amener à subir des effets néfastes sur leur vie privée.
Notamment sur les arnaques qui sévissent actuellement sur internet. Ces dernières sont très importantes et sont présentes en grande quantité. Mais il existe différents moyens de s’en protéger, et nous allons vous présenter un produit bien spécifique. Ce dernier est un boîtier high-tech qui va vous éviter de subir certaines arnaques !
Un boîtier contre les arnaques !
Certaines personnes semblent adopter différentes mesures restrictives pour ne pas tomber dans le piège de certaines arnaques.
Et cela se comprend, notamment lorsque l’on voit les différents impacts que cela peut avoir sur ces dernières. Ainsi, sachez que vous pouvez divulguer différentes informations personnelles auprès des personnes qui veulent vous arnaquer. Cela peut donc avoir un impact conséquent, car l’usurpation d’identité est présente et est très difficile à retrouver.
Mais sachez également que vous pouvez dévoiler des informations bancaires auprès des escrocs. Cela aura un impact plus significatif, car vous pourrez vous faire subtiliser de l’argent en grande quantité.
Mais dans cet article, nous allons vous expliquer comment ce petit boîtier peut vous éviter toute mauvaise surprise. En effet, il concerne les paiements sans contact. Cela est une véritable aubaine pour les commerçants et des millions de consommateurs qui peuvent payer différentes sommes à partir de 1 euro.
Les banques en pleine crise sanitaire ont d’ailleurs augmenté les plafonds afin de limiter les contacts et la transmission du virus. Le plafond est désormais de 30 à 50€ par transaction depuis le 11 mai 2020 !
L’arnaque au sans-contact est très présente, et cette dernière peut avoir des effets importants. En effet, sachez qu’il est possible de se faire voler à chaque instant, et ce, même si la carte est rangée dans sa poche ! Une situation inquiétante pour des millions de consommateurs et de propriétaires de cartes bancaires !
Pour éviter tous ses drames, un boîtier high-tech a été inventé, et vous pourrez ranger votre carte dans ce dernier. En effet, il s’agit d’un boîtier fabriqué en aluminium , ce qui garantit une protection importante.
Il répond aux caractéristiques suivantes, avant un net avantage sur le portes cartes classiques :
le poids,
l’esthétique,
la praticité,
la résistance,
le transport.
Un porte carte innovant ?
C’est donc un nouveau produit qui est mis en vente dans différents secteurs. En effet, ce dernier va permettre de pouvoir vous aider dans la lutte contre les paiements sans contacts frauduleux.
Outre son esthétisme très intéressant à base de cuir pour les hommes et femmes qui aiment cette matière, il va grandement vous aider à préserver votre argent.
Le portefeuille Karben utilise une technologie de pointe connue sous le nom de blocage RFID pour protéger vos informations personnelles et celles de votre carte de crédit.
Autrement dit, cela vous protège des escrocs, car cette technologie bloque l’accès au transfert de données RFID.
Pour comprendre cela, il est important de comprendre comment fonctionne cette arnaque. Et cela est tout simple ! Il suffit aux escrocs d’approcher un terminal de paiement sans contact (ou des scanners numériques de haute technologie) proche de vos cartes de crédit. Sans que vous le sachiez, ils procèdent alors à des paiements sans contact, qui peuvent parfois grandement atteindre votre économie.
Grâce à cette technologie, vous pouvez sereinement vous balader dans une foule bondée, dans le métro, sans risquer de vous faire voler votre argent.
Sorel-Tracy, le 13 juin 2022 — La MRC de Pierre-De Saurel annonce que les taxes de l’ensemble des immeubles soumis dans l’avis public de vente pour défaut de paiement des taxes ont été payées. Ainsi, la vente aux enchères qui devait se tenir le 14 juin à 10 h est annulée.
Conformément au Code municipal du Québec, la MRC de Pierre-De Saurel, sur demande des municipalités locales et/ou des centres de services scolaire, a la responsabilité de procéder à la vente des immeubles pour lesquels les taxes sont impayées.
Cette vente leur permet de récupérer l’argent des taxes qui leur sont dues.
La MRC de Pierre-De Saurel annonce que les taxes de l’ensemble des immeubles soumis dans l’avis public de vente pour défaut de paiement ont été payées. Ainsi, la vente aux enchères qui devait se tenir ce mardi à 10 h est annulée.
Conformément au Code municipal du Québec, la MRC de Pierre-De Saurel, sur demande des municipalités locales et/ou des centres de services scolaire, a la responsabilité de procéder à la vente des immeubles pour lesquels les taxes sont impayées. Cette vente leur permet de récupérer l’argent des taxes qui leur sont dues.
Le terminal de paiement de PandaPay, doté de l’application conçue par Dello, permet de payer des commerçants en cryptomonnaies dans le même appareil que pour des cartes de crédit ou de débit. (Photo : courtoisie)
Les marchands québécois pourront dorénavant accepter beaucoup plus facilement des cryptomonnaies grâce à une innovation de deux jeunes entreprises montréalaises.
PandaPay et Dello ont uni leur force pour offrir le premier terminal de paiement au pays qui accepte à la fois les cryptomonnaies et les cartes de crédit et de débit.
La fintech Dello s’est chargée d’intégrer les cryptomonnaies dans le système de paiement de PandaPay. Le consommateur qui veut payer n’a qu’à choisir la fonction cryptomonnaies pour régler son achat en utilisant le même terminal requis pour une carte de crédit ou de débit. L’appareil génère un code QR que le client n’a qu’à scanner afin de débiter son portefeuille numérique. Pour le marchand, ce paiement est automatiquement converti en dollars canadiens.
«Il y a des avantages clairs à accepter les cryptomonnaies, que beaucoup de commerçants ignorent, notamment des frais de transaction moins élevés, une protection contre les rétrofacturations frauduleuses et l'accès à de nouveaux groupes démographiques», a déclaré le cofondateur de Dello, Martin Lafleur, par communiqué.
PandaPay travaille sur ce projet depuis deux ans. «Des tests ont été faits chez des marchands de confiance depuis janvier, explique le chef des produits et des partenariats de cette PME de 70 employés, Marc Sarrapuchiello, en entrevue téléphonique. Cela fait six mois qu’on examine si cela marche et on a travaillé à améliorer le produit et à régler les problèmes. Pour lancer la solution, il faut s’assurer qu’elle soit stable.»
Le cofondateur de cette entreprise créée en 2014 voyait d’abord les cryptomonnaies comme une menace pour son industrie, mais celle-ci s’est plutôt transformée en occasion d’affaires.
«On espère que cette solution va nous permettre d’attirer de nouveaux clients, ajoute-t-il en entrevue. Il y aura beaucoup de curieux.»
PandaPay, qui possède 7000 points de vente partout au Canada, ainsi qu’aux États-Unis, précise qu’au départ, seulement le Bitcoin et le Bitcoin Lightning seront acceptés.
«Mais d’autres cryptomonnaies comme Ethereum seront disponibles dans un futur approché», souligne Marc Sarrapuchiello.
L’utilisation des cryptomonnaies a explosé ces dernières années, particulièrement chez les moins de 40 ans. Selon la firme Triple A, plus de 300 millions de personnes possédaient des cryptomonnaies en 2021 dans le monde, dont 28 millions en Amérique du Nord. Des commerces comme le détaillant automobile HGrégoire acceptent déjà des paiements en monnaie virtuelle.
Très volatiles, les cryptomonnaies sont toutefois affectées par les baisses récentes des marchés financiers. Par exemple, le Bitcoin a perdu environ 38% de sa valeur durant les six derniers mois.
Le paiement en un clic, c'est un peu le graal dans l'e-commerce. Depuis qu'Amazon a rendu public son brevet en la matière en 2017, des start-up se sont créées spécifiquement sur ce segment. Le Français Just en fait partie. Fondée en 2021 et lancée en début d'année, elle vient de lever trois millions d'euros auprès d'Otium Capital et des business angels dont Didier Valet (ancien directeur général délégué de Société Générale) ou encore Jon Oringer (fondateur de Shutterstock).
Comme Facebook Connect et Google, qui permettent aux internautes de s'identifier en un clic, Just dépose un cookie qui associe l'utilisateur au navigateur et à l'appareil qu'il utilise. Quand il utilise un nouveau navigateur, la start-up lui envoie un code par mail et fait le rapprochement. Résultat : lorsqu'un internaute veut payer en un clic chez un marchand client de Just, il n'a pas besoin de créer de compte ou remplir un formulaire d'inscription.
Le système « smile to pay » (payez avec un sourire) de Mastercard, dont le lancement a été annoncé la semaine dernière, est censé faire gagner du temps aux clients à la caisse. Il est à l’essai au Brésil, et de futurs prototypes sont prévus pour le Moyen-Orient et l’Asie.
Mastercard met en avant les arguments suivants : sa technologie sans contact permettra d’accélérer les transactions, de réduire les files d’attente dans les magasins, et d’améliorer la sécurité et l’hygiène dans les entreprises. Mais ce système suscite des inquiétudes en matière de confidentialité, de stockage de données, de criminalité et de potentiels « biais ».
Comment fonctionnera-t-il ?
Le système de paiement biométrique de Mastercard donnera à ses clients la possibilité d’utiliser la reconnaissance faciale pour effectuer des transactions financières, en associant les systèmes d’authentification biométriques de diverses entreprises tierces à ses systèmes de paiement.
Selon un porte-parole de Mastercard, l’entreprise a d’ores et déjà développé des partenariats avec NEC, Payface, Aurus, Fujitsu Limited, PopID et PayByFace. D’autres seront prochainement annoncés.
« Les fournisseurs doivent obtenir une certification délivrée par un laboratoire indépendant, attestant qu’ils répondent aux critères du programme, avant d’être considérés », explique Mastercard. Cependant, les détails de ces critères n’ont pas encore été rendus publics.
Selon certains médias, les clients devront installer une application qui les prendra en photo et enregistrera leurs données bancaires. Ces informations seront sauvegardées et stockées sur les serveurs des fournisseurs externes.
Au moment de passer à la caisse, le visage du client sera scanné et comparé aux données stockées. Une fois son identité vérifiée, les fonds seront prélevés automatiquement sur son compte. L’option « payer d’un signe de la main » est en fait similaire : quand le client agite la main en regardant la caméra, c’est son visage qui est scanné, et non sa main.
Des technologies d’authentification similaires sont déjà intégrées aux smartphones (face ID) et ont été mises en place dans de nombreux aéroports, y compris en Australie avec les « smartgates » » (portiques intelligents).
La Chine a commencé à utiliser des systèmes de paiement biométriques dès 2017. Mais Mastercard est parmi les premiers à lancer cette technologie sur les marchés occidentaux. L’entreprise entre ainsi en concurrence avec le système « pay with your palm » (payez avec votre paume) utilisé par les caisses automatiques d’Amazon Go et dans les magasins de la chaîne Whole Foods, achetée par le mastodonte du e-commerce aux États-Unis.
Ce que l’on ignore encore
Il existe encore beaucoup de zones d’ombre concernant le fonctionnement exact du système de Mastercard. Quel sera le degré de précision de la reconnaissance faciale ? Qui aura accès aux bases de données biométriques ?
Selon le porte-parole de Mastercard, les données des clients seront stockées par l’un ou l’autre de ses fournisseurs de technologies biométriques sous forme de fichiers cryptés, et seront retirées de la base de données dès que le client « manifestera le souhait de résilier son contrat ». Mais comment s’assurer du retrait des données si Mastercard n’y a pas directement accès ?
Naturellement, la protection de la vie privée est au cœur des inquiétudes suscitées par ce système, surtout au vu du nombre de fournisseurs extérieurs potentiels.
Heureusement, les clients de Mastercard auront le choix d’utiliser ou non le système de paiement biométrique. Toutefois, les détaillants pourront décider de ne pas proposer cette option ou, à l’inverse, de l’utiliser à l’exclusion de tout autre mode de paiement.
Les technologies de reconnaissance faciale utilisées dans les aéroports et par les services de police ne laissent en revanche que rarement le choix aux usagers.
On peut supposer que Mastercard et les fournisseurs de données biométriques partenaires de l’entreprise demanderont son consentement au client, comme l’exigent la majorité des lois sur la protection de la vie privée. Mais les clients sauront-ils ce qu’ils autorisent  ?
En fin de compte, les fournisseurs de technologies biométriques auxquels s’associera Mastercard décideront de la manière dont seront utilisées les données, de la durée de leur exploitation, du lieu où elles seront stockées, et des personnes autorisées à les consulter. Mastercard se contentera de sélectionner des fournisseurs « dignes » d’être acceptés comme partenaires, et de déterminer les critères minimaux qu’ils devront remplir.
Les clients qui voudront disposer de ce mode de paiement devront consentir à toutes les conditions d’utilisation et de protection des données correspondantes. Et, comme l’ont fait remarquer plusieurs sources, Mastercard pourra se servir du système en l’intégrant à ses offres de fidélité et en faisant des recommandations personnalisées aux clients en fonction de leurs achats.
Un problème de précision
Même si la précision des technologies de reconnaissance faciale a été remise en question par le passé, les meilleurs algorithmes d’authentification de données biométriques ont aujourd’hui une marge d’erreur de seulement 0,08 %, d’après des tests menés par le National Institute of Standards and Technology (NIST) aux États-Unis. Dans certains pays, même les banques n’hésitent plus à utiliser cette méthode pour permettre aux clients de se connecter à leurs comptes.
Cependant, nous ne connaissons pas le degré de précision des technologies utilisées par le système de paiement biométrique de Mastercard. Des algorithmes qui fonctionnent presque parfaitement en laboratoire sont parfois beaucoup moins efficaces en conditions réelles, où l’éclairage, l’angle de la prise de vue et d’autres paramètres peuvent varier.
Un risque de biais
Dans une étude publiée en 2019, le NIST a démontré que sur 189 algorithmes de reconnaissance faciale, la majorité était biaisée. Les résultats étaient moins précis pour les visages de personnes non-blanches.
Même si la technologie a évolué ces dernières années, elle n’est pas à toute épreuve. Et nous ne savons pas dans quelle mesure Mastercard est parvenu à surmonter cette difficulté.
Si le logiciel échoue à reconnaître un client à la caisse, la personne concernée risque d’être contrariée, voire de se mettre en colère, ce qui irait totalement à l’encontre des promesses de vitesse et de praticité mises en avant par l’entreprise.
Mais si le système se trompe sur l’identité de quelqu’un (en prenant Pierre pour Jacques, par exemple – ou en confondant des jumeaux), l’argent risque d’être prélevé sur le mauvais compte. Comment faire pour remédier à cette situation ?
Ce système est-il sûr ?
Nous entendons souvent parler de logiciels et de bases de données piratés, même au sein d’institutions soi-disant ultrasécurisées. En dépit des efforts de Mastercard pour assurer la sécurité de ce système, rien ne dit que les bases de données des fournisseurs extérieurs – contenant potentiellement des millions de fiches d’identité biométriques – ne seront pas piratées.
Entre de mauvaises mains, ces données pourraient conduire à des usurpations d’identité, un délit en constante augmentation, ou à de la fraude financière.
Voulons-nous vraiment de ce système ?
Mastercard suggère que 74 % des clients sont favorables à l’utilisation de cette technologie, citant des statistiques issues d’une étude interne et reprises par son partenaire Idemia, qui commercialise des technologies d’identification biométrique.
Mais le rapport cité est vague et bref. D’autres études donnent des résultats totalement différents. L’une suggère par exemple que 69 % des consommateurs rechignent à utiliser des systèmes de reconnaissance faciale dans les magasins. Une autre montre que seuls 16 % font confiance à cette technologie.
Sans oublier que, si les consommateurs connaissaient vraiment les risques que présente la reconnaissance faciale pour authentifier des paiements, ce pourcentage serait sans doute encore moindre.
Traduit de l’anglais par Iris Le Guinio pour Fast ForWord
C’est en substance ce qu’il faut retenir de la conférence de presse gouvernementale, tenue hier, jeudi 9 juin 2022, à la Maison Georges Rawiri, siège de Gabon Televisions par le porte-parole du gouvernement Alain Claude Bilie By Nze accompagné de son collègue ministre en charge des Affaires sociales. La Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) est « ensituation de cessation de paiements», c’est–à–dire qu’elle n’est plus en mesure d’honorer ses dettes échues.
Le gouvernement a reconnu devant la presse nationale et internationale, pour la première fois, la cessation de paiement de la Caisse nationale de sécurité sociale, instrument de l’Etat, chargée notamment du paiement des pensions retraites, par la voie du ministre en charge des Affaires sociales Guy Patrick Obiang Ndong. Une situation qui trouve ses origines dans la mauvaise gestion de cet établissement public à caractère industriel et commercial ces dix dernières années et qui a conduit le gouvernement a dissoudre sa direction générale et son conseil d’administration, avec la mise en place d’une administration provisoire pour tenter de « stopper l’hémorragie »
La cessation de paiement se définit comme l’impossibilité pour un débiteur de faire face à son passif exigible avec l’actif disponible. Dans le cas de la CNSS habitué de « la roue » comme le déclarait Patrick Ossi Okori, son directeur général déchu c’est « en d’autres termes, l’impossibilité d’obtenir le moindre concours, bancaire notamment, pour faire face à une échéance » , précise la doctrine du droit des procédures collectives et des entreprises en difficulté.
Fort de ce constat, surtout de la nécessité de combler un déficit astronomique de l’ordre de plus de 500 milliards de FCFA, le gouvernement de la République, sur instruction du président Ali Bongo Ondimba, qui s’indignait déjà, le vendredi 27 mai 2022, devant les responsables de la CNAMGS et laCNSS, ainsi que les ministres en charge du Budget et des Comptes publics, et des Affaires sociales, du mode de gouvernance de ces structures, qui selon lui devait être changé.
Pour tenter de redresser la CNSS englué dans une dette abyssale, le gouvernement a réagi en instaurant à l’issu du Conseil des ministres du mardi 7 juin dernier, la mise en place d’une « administration provisoire qui rendra publics, de manière mensuelle, les rapports de gestion des fonds alloués », a réaffirmé Guy Patrick Obiang Ndong devant les journalistes lors de la conférence de presse gouvernementale.
Il ne reste plus que cette administration provisoire de la Caisse nationale de sécurité sociale qui sera assurée par Christophe Eyi pour une durée de 12 mois ne se termine pas par une liquidation de cette structure dont l’insolvabilité a été tolérée depuis plusieurs années, en laissant ses dirigeants opérer des placements à risque avec les fonds des cotisants.
Promulgations Conseil d’agglomération : Règlement de l’agglomération sur des travaux de nature mixte aux fins de la réalisation, pour l’année 2022 et les suivantes, d’une partie du Règlement sur le remplacement des branchements privés d’eau potable en plomb et sur le programme de subventions s’y rattachant et sur l’emprunt nécessaire au paiement des coûts qui y sont rattachés, R.A.V.Q. 1473.
Conseil d’agglomération : Règlement de l’agglomération sur des travaux de construction, de rénovation et de réfection à la base de plein air La Découverte et au parc naturel du Mont-Bélair et sur l’emprunt nécessaire au paiement des coûts qui y sont rattachés, R.A.V.Q. 1486.
Conseil municipal : Règlement modifiant le Règlement sur les amuseurs publics relativement aux conditions d’obtention et de suspension d’un permis ainsi qu’aux amendes applicables en cas d’infraction, R.V.Q. 2992.
Conseil municipal : Règlement sur des travaux de construction, de rénovation et de réfection de bâtiments, de parcs et d’équipements récréatifs relevant de la compétence de proximité de la ville et sur l’emprunt nécessaire au paiement des coûts qui y sont rattachés, R.V.Q. 3058.
Conseil municipal : Règlement sur les travaux d’agrandissement et de réaménagement du centre d’art La Chapelle et sur l’emprunt nécessaire au paiement des coûts qui y sont rattachés, R.V.Q. 3071.
Conseil municipal : Règlement sur des travaux de mise en œuvre des Visions culturelles et sur l’emprunt nécessaire au paiement des coûts qui y sont rattachés, R.V.Q. 3073.
Demande d’avis sur la conformité Conseil municipal : Règlement modifiant le Règlement sur le plan directeur d’aménagement et de développement relativement à la limite maximale d’urbanisation et aux aires de grandes affectations situées à l’extérieur du nouveau périmètre d’urbanisation défini au Schéma d’aménagement et de développement révisé, R.V.Q. 3070.
Conseil municipal : Règlement modifiant le Règlement sur la réalisation d’un projet relatif à un établissement d’éducation et de formation sur le lot numéro 6 337 537 du cadastre du Québec, R.V.Q. 3085.
Consultation publique Conseil d’arrondissement de Beauport : projet de modification intitulé Règlement modifiant le règlement de l’Arrondissement de Beauport sur l’urbanisme relativement aux zones 53077Pa et 53082Mb, R.C.A.5V.Q 302.
Demandes de dérogations mineures Conseil d’arrondissement des Rivières :
· Propriété située au 2705, rue Antonin-Marquis, quartier de Duberger–Les Saules, district électoral de Vanier–Duberger, correspondant au lot 1 227 337 du cadastre du Québec;
· Propriété située dans la rue Pierre-Ardouin, quartier de Duberger–Les Saules, district électoral des Saules–Les Méandres, correspondant au lot 5 545 321 du cadastre du Québec;
· Propriété située au 1600, rue Provinciale, quartier de Duberger–Les Saules, district électoral des Saules–Les Méandres, correspondant au lot 3 964 470 du cadastre du Québec.
Conseil d’arrondissement de Sainte-Foy–Sillery–Cap-Rouge :
· Propriété sise au 990, route de l’Église, district électoral du Plateau;
· Propriété sise au 2019, avenue de la Famille, district électoral de Cap-Rouge–Laurentien.
Avis public Convocation de l’assemblée publique pour la constitution d’un conseil de quartier dans le quartier 5-4.