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Monday, November 28, 2022

Recours hypothécaires - Conseiller

La plupart des gens connaissent le fonctionnement des prêts hypothécaires. Des paiements mensuels, hebdomadaires ou bimensuels sont effectués sur plusieurs années jusqu’à ce que le prêt soit finalement remboursé et que l’hypothèque puisse être radiée du registre foncier.

Jusqu’à ce que le prêt soit remboursé, le prêteur conserve sa garantie hypothécaire, laquelle octroie au prêteur des droits puissants.

UN RETARD DE PAIEMENT ?

Advenant que votre client prenne du retard sur ses paiements, le prêteur hypothécaire n’est pas autorisé à saisir immédiatement votre bien immeuble. En effet, certaines procédures doivent être respectées.

Lorsque les paiements cessent, le prêteur peut faire parvenir une lettre de mise en demeure. Il est également tenu de publier un préavis d’exercice d’un droit hypothécaire. Ce dernier informe le propriétaire-emprunteur de son défaut ainsi que du montant total encore dû sur le prêt.

Également connu sous le nom de « préavis de 60 jours », qui fait référence au fait qu’aucune poursuite ne peut être intentée pendant les 60 premiers jours suivant sa publication, ce préavis doit d’abord être signifié par un huissier de justice au propriétaire-emprunteur et à toute autre personne intéressée, puis publié au registre foncier à l’encontre de l’immeuble.

Pendant cette période de 60 jours, le propriétaire a le droit de remédier à son défaut en procédant au paiement de ce qui est dû, de même qu’en payant les intérêts et les frais de justice.

Le prêteur a essentiellement deux choix lorsqu’il envoie le préavis de 60 jours. Premièrement, il peut décider de procéder par voie de vente sous contrôle de justice. (Une variante, moins courante, est la vente par le prêteur lui-même.) Si le prêteur décide de procéder par vente et que le défaut n’est pas corrigé durant la période de 60 jours, il pourra entamer les démarches pour qu’un jugement en sa faveur contre le débiteur lui soit octroyé et pour vendre l’immeuble hypothéqué.

Le produit de la vente sera ensuite utilisé pour payer, par ordre de priorité, tous les créanciers ayant des créances enregistrées sur l’immeuble, de même que pour assumer le paiement de tout courtier immobilier mandaté pour vendre l’immeuble, des frais de justice et des frais d’huissier. Si, après la vente de l’immeuble et la distribution du produit, il reste de l’argent, celui-ci sera retourné à l’emprunteur. À l’inverse, si le prêteur n’a pas été payé en totalité, il conserve une réclamation contre son emprunteur pour le déficit, mais il s’agira alors simplement d’une créance personnelle et non plus d’une créance garantie.

L’emprunteur a également la possibilité, s’il le souhaite, de procéder au moyen d’une prise en paiement. Dans un tel cas, il peut déclarer qu’il a l’intention de devenir propriétaire du bien immeuble. S’il c’est le cas, cela tiendra lieu de paiement du prêt et le prêt lui-même sera effacé à compter du jour du jugement. Cette option peut être particulièrement intéressante lorsque le solde à payer est d’un montant beaucoup plus faible que le montant de la valeur du bien immeuble. Ce droit n’est cependant pas absolu. Premièrement, si au moins 50 % de la dette a déjà été remboursée, le prêteur aura besoin de l’autorisation du tribunal pour procéder à la prise en paiement. Deuxièmement, l’emprunteur, ou d’autres créanciers hypothécaires peuvent forcer le prêteur à passer d’un recours en prise en paiement à un recours en vente, à condition qu’ils respectent certaines formalités.

Une fois les 60 jours écoulés, afin de réellement obtenir la propriété du bien immeuble, il est nécessaire d’intenter une action en justice pour délaissement forcé de l’immeuble aux fins de la vente ou de la prise en paiement. Une telle procédure doit être signifiée à l’emprunteur. Ce dernier pourrait cependant retenir les services d’un avocat et contester la procédure. Si une défense est faite par l’emprunteur et qu’elle n’est pas rejetée pour le motif qu’elle est manifestement infondée ou qu’il s’agit d’une défense inadmissible, alors un procès pourra être tenu et un jugement sera rendu. Si l’emprunteur ne conteste pas, un jugement peut être obtenu par défaut.

Il est important de noter que, même une fois la procédure intentée, l’emprunteur peut toujours empêcher que l’immeuble ne lui soit pris en payant ce qui est dû, y compris tous les nouveaux versements qui sont devenus exigibles, ainsi que les frais de justice, lesquels comprennent les frais d’huissier pour la signification de la procédure ainsi que les frais payés au tribunal pour ouvrir le dossier à la Cour, en plus des intérêts et des autres coûts qui peuvent avoir été engagés par le prêteur.

L’emprunteur doit respecter certains délais afin d’éviter de perdre le bien. Dans le cas de la prise en paiement, le délai sera l’émission du jugement prononçant la prise en paiement. Le jugement devient le titre de propriété du prêteur. Après le jugement, à moins qu’un appel ou une demande en rétractation du jugement ne soit entrepris, il est trop tard pour l’emprunteur pour payer ce qui est dû.

Dans les cas de vente, le dernier moment où l’emprunteur pourra payer est avant qu’un acte de vente ne soit signé avec un acheteur par l’huissier ou le prêteur.

Au Québec, le système est conçu pour donner à l’emprunteur une large possibilité de payer ce qui est dû afin d’éviter qu’il ne perde la propriété d’un bien immobilier. Le fait que l’emprunteur soit en défaut et ait pris du retard sur ses paiements, ou encore qu’il n’ait pas remboursé le prêt à la date de remboursement prévue signifie que l’emprunteur encourra des coûts supplémentaires, notamment en frais de justice et en frais d’huissier, et, éventuellement, devra payer des intérêts supplémentaires, mais si l’emprunteur parvient à trouver l’argent avant la date limite, celui-ci peut conserver l’immeuble.

Il est également important de noter qu’un emprunteur ne peut pas, malgré toute entente à l’effet contraire, être obligé de payer les honoraires de l’avocat du prêteur ni même d’autres coûts qui ne sont pas liés à la préservation du bien immeuble. Par contre ces montants peuvent éventuellement faire l’objet d’une action en justice distincte contre l’emprunteur strictement dans le but de les récupérer.

Si vous avez des questions concernant votre prêt hypothécaire ou ce que votre prêteur peut ou ne peut faire, n’hésitez pas à communiquer avec un avocat ou un notaire.

Me Franco Tamburro

 

Avec la collaboration de Me Amélie Bourget

 

Alepin Gauthier Avocats Inc.

Cette chronique contient de l’information juridique d’ordre général et ne devrait pas remplacer un conseil juridique auprès d’un avocat ou d’un notaire qui tiendra compte des particularités de votre situation.

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Sunday, November 27, 2022

Saturday, November 26, 2022

Guide pour débutants - Payer des factures avec des paiements par débit préautorisé - Milesopedia

Le monde est en constante évolution et vos méthodes de paiement doivent l’être aussi. Se souvenir de toutes les dates de paiement de vos factures sans avoir de retard peut être désagréable. Non seulement ceci alourdit la charge mentale, mais cela vous expose à des retards de paiement, qui peuvent entraîner des frais considérables.

Pour ceux qui le font encore et qui avez une méthode qui vous convient, bravo ! Tout de même, nous vous indiquons une alternative plus facile.

Cet article vous informe de l’option de paiement par débit préautorisé (DPA) et de comment dont vous pouvez l’utiliser dans votre vie financière quotidienne.

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Friday, November 25, 2022

Thursday, November 24, 2022

Microsoft va lancer une application de paiement intégrée à Teams en décembre - Direction Informatique

Microsoft est sur le point d’introduire un système de paiement au sein de Teams, qui sera déployé en avant-première publique en décembre. L’application Payments, disponible dans la boutique d’applications Microsoft Teams, permettra aux utilisateurs d’être payés par les clients pour des rendez-vous, des cours ou des événements hébergés via Teams. 

L’application sera gratuite avec un abonnement Teams ou M365, en tant qu’outil pour les petites entreprises – ou les entreprises de toute taille – qui cherchent à augmenter leurs revenus.

Au lancement, l’application ne sera prise en charge que pour les entreprises enregistrées aux États-Unis et au Canada. Les utilisateurs de Teams pourront installer l’application à partir de la boutique Microsoft Teams.

Comment ça fonctionne :

Les utilisateurs pourront connecter un service tiers tel que Stripe ou PayPal à l’application Payments et demander des paiements lors d’une réunion Teams. Les clients pourront alors payer immédiatement en quelques clics.

Les administrateurs pourront gérer la disponibilité de l’application Payments pour leurs utilisateurs en définissant des politiques d’autorisation d’application dans le centre d’administration Teams.

L’article original (en anglais) est disponible sur IT World Canada, une publication sœur de Direction informatique,

Adaptation et traduction française par Renaud Larue-Langlois.

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Mahée Paiement: voici QUAND on pourra la revoir à la télé! - Noovo Moi

Outre Mahée Paiement, Bianca Gervais et Sébastien Diaz seront entourés de Kim Lévesque-Lizotte, Guillaume Lambert, Kevin Raphael, Bob le Chef, Sébastien Kfoury, Bleu Jeans Bleu et Ariane Moffatt pour célébrer les 40 ans de Ciné-Cadeau.

Rappelons que depuis la fin de la série Ruptures, la comédienne s'est faite plus discrète à l'écran.

On se croise les doigts pour retrouver Mahée Paiement dans la suite de Un gars, une fille, qui est présentement en chantier!

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Les salariés de Worldline, leader du paiement en ligne, en grève pour le « Black Friday » - Le Monde

Les salariés de Worldline le reconnaissent volontiers : « la culture de la grève » n’est pas dans leur « ADN ». Mais dans cette entreprise du CAC 40 comme ailleurs, l’inflation a réveillé la mobilisation collective. Pour la première fois depuis douze ans, la société spécialisée dans le paiement en ligne a connu six demi-journées de grève, cet automne, pour protester contre les propositions d’augmentations de salaire, jugées très en deçà des attentes, lors des négociations annuelles obligatoires anticipées pour 2023.

A savoir, 0,58 % d’augmentation générale, 3,57 % pour les augmentations individuelles et promotions. Quand l’inflation a atteint 6,2 % sur un an, et que le groupe se porte bien, avec un résultat brut d’exploitation en hausse de 25 % en 2021. « Franchement, 0,58 %, dans une boîte qui marche comme la nôtre, c’est se moquer de nous », s’indignaient des grévistes au pied de l’entreprise, à la Défense, à Puteaux, le 8 novembre.

Tout en affirmant avoir écouté « attentivement » les revendications des syndicats, la direction de Worldline explique au Monde, par écrit, devoir garder « à l’esprit qu’elle doit aussi garantir tout le reste des équilibres économiques de l’entreprise dans le contexte macroéconomique actuel incertain ». L’intersyndicale CFTC-CFDT-FO-CGT-CFE-CGC a lancé deux nouveaux appels à la grève, pour le « Black Friday », vendredi 25 novembre, et le « Cyber Monday », lundi 28 novembre, deux journées de soldes durant lesquelles l’activité explose sur les plates-formes de paiement.

1 050 signatures

Tout est automatisé, mais les grévistes préviennent qu’ils ne seront pas là pour rétablir le service en cas d’incident. Lors de la dernière grève, le 8 novembre, l’intersyndicale a compté près de 400 participants aux assemblées générales, sur 4 000 salariés en France (et 18 000 dans le monde). En outre, 1 050 d’entre eux ont signé la pétition qui rassemble leurs revendications. Soit un quart de l’effectif.

Ils demandent 150 euros brut d’augmentation par mois pour tous (contre entre 10 euros et 70 euros, proposés par la direction en deux fois, d’ici à juillet 2023) pour « couvrir l’inflation galopante », et 2 500 euros d’intéressement, pour une « plus juste redistribution de la marge réalisée par l’entreprise ». En juin, c’est le rejet commun d’un accord d’intéressement jugé « incohérent » qui a soudé l’intersyndicale. Aujourd’hui, la direction propose une « prime de partage de la valeur » de 1 600 à 2 000 euros, qu’elle conditionne à l’amélioration de la marge du groupe.

Il vous reste 63.02% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

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Tuesday, November 22, 2022

Mort de Pierre Lacroix : un sauvetage risqué en zone interdite - Le Devoir

Les pompiers qui se sont portés au secours de deux plaisanciers en détresse le soir du 17 octobre 2021 n’ont jamais envisagé d’abandonner l’opération même s’ils entraient dans une zone interdite à la navigation, celle des rapides de Lachine. Au deuxième jour de l’enquête du Bureau du coroner sur le décès de Pierre Lacroix, les coéquipiers du pompier décédé ont raconté mardi le sauvetage difficile auquel ils ont participé.

Formé comme barreur, le pompier Robin Brunet-Paiement pilotait l’embarcation qui s’est portée au secours du bateau de plaisance qui dérivait vers les rapides de Lachine en début de soirée. L’embarcation à bord de laquelle il se trouvait avec ses trois collègues — parmi lesquels Pierre Lacroix — se dirigeait à plein régime en direction du bateau en difficulté.

Sur les ondes radio, des messages insistants informaient les secouristes que les plaisanciers s’approchaient dangereusement des rapides de Lachine. Ce compte à rebours irritait le barreur et l’équipage n’était pas certain de pouvoir rejoindre le bateau en détresse avant qu’il n’atteigne les eaux tumultueuses.

À (re)lire

C’est que depuis 2010, les sauveteurs sont tenus de ne pas intervenir dans la zone interdite des rapides de Lachine en raison des risques importants. Mais les limites de cette zone ne sont pas balisées et à bord de l’embarcation, le GPS ne permettait pas à l’équipage de savoir s’il se trouvait ou non dans cette zone. Seule une carte à l’intérieur du bateau montrait une zone hachurée.

Mais ce soir-là, personne n’a donné l’ordre aux pompiers de rebrousser chemin et à bord, il n’a jamais été question d’abandonner les plaisanciers à leur sort. « On était le dernier recours. Il n’y avait personne d’autre. C’est sûr qu’il faisait noir. Mais notre mission, c’était de foncer », a expliqué Robin Brunet-Paiement.

Ses deux collègues Michael Maillé et le lieutenant François Rabouin, qui ont aussi témoigné mardi, ont confirmé que l’idée de renoncer au sauvetage ne leur a jamais traversé l’esprit.

Robin Brunet-Paiement a décrit dans le menu les manoeuvres qu’il a faites pour approcher le bateau des plaisanciers qui se trouvait alors dans une mer houleuse. L’opération délicate a mal tourné. L’embarcation de sauvetage ayant subitement chaviré, les quatre pompiers sont tombés à l’eau.

Le lieutenant François Rabouin s’est retrouvé coincé sous le bateau. Une fois dégagé de sa fâcheuse position, il a été emporté dans les rapides. « J’étais désorienté complètement. J’étais épuisé. Je me suis dit que c’était fini et que j’allais mourir là. Je ne savais pas combien il me restait de temps dans les rapides. J’avais ma dose », a-t-il dit en se remémorant ces moments éprouvants.

Il sera finalement ramené sur le bateau des plaisanciers comme ses collègues Robin Brunet-Paiement et Michael Maillé. Mais Pierre Lacroix manque toujours à l’appel. C’est que vers 3 h du matin que son corps est retrouvé sous l’embarcation de sauvetage renversée.

Des questionnements

 

Le barreur Robin Brunet-Paiement a admis qu’il se demandait encore si les manoeuvres d’approche, qui se sont soldées par la mort de Pierre Lacroix, étaient les plus appropriées dans les circonstances. « L’approche n’était pas parfaite. Mais moi, c’est la seule option que je voyais à court terme. C’est sûr que ça fait plus d’un an et qu’après plusieurs recherches et discussions, on cherche toujours à trouver une meilleure façon de faire l’abordage de ce bateau. Je n’en ai pas trouvé encore. […] Après un an, il y a beaucoup d’interrogations qui restent sans réponse ». Le manque de formation des sauveteurs nautiques a peut-être joué en sa défaveur, a-t-il dit.

Présente lors des audiences, la fille aînée de Pierre Lacroix, Stéphanie Lacroix, a tenu à rassurer le pompier. « C’est vraiment important pour moi que tu saches que ce n’est pas de ta faute. […] J’espère sincèrement qu’un jour, tu vas t’enlever cette culpabilité. » Elle a d’ailleurs remercié chaleureusement chacun des coéquipiers de son père.

Formation insuffisante

 

En matinée, le lieutenant Sylvain Dominique, qui travaillait au poste de commandement à partir du rivage, a reconnu que la formation des secouristes nautiques comportait des lacunes. « On ne pratique pas dans les zones dangereuses. On ne pratique pas quand il y a du mauvais temps, juste quand il fait beau. Il n’y a pas de formation en eaux vives », a-t-il déploré.

Il a par ailleurs souligné que même un an après le tragique événement, le Service de sécurité incendie de Montréal n’avait toujours pas fait de « debriefing » à l’interne afin d’évaluer le déroulement des opérations et des décisions qui avaient été prises de soir là.

Les audiences présidées par la coroner Géhane Kamel, qui se déroulent au palais de justice de Joliette, se poursuivent mercredi.

À voir en vidéo

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Digital Virgo, le Lyonnais spécialisé dans le paiement télécom, s'introduit en bourse - Usine Digitale

Digital Virgo, spécialiste des solutions de paiements mobile, s'introduit en bourse. Le Lyonnais a annoncé le 17 novembre 2022 vouloir fusionner avec le SPAC Goal Acquisitions Corp et lever 100 millions de dollars à l'occasion de son introduction au Nasdaq. Un SPAC ou société d'acquisition à vocation spécifique est une coquille vide introduite en bourse dans le seul but de fusionner dans un second temps avec une société non cotée. Cette dernière rentre alors en bourse de façon contrôlée.

Ils espèrent clore la transaction au premier trimestre 2023. Les actions de Digital Virgo seront échangées à 10 dollars à ses débuts sur le marché et l'entreprise sera valorisée 513 millions de dollars. Suite à cette introduction en bourse, Digital Virgo veut poursuivre son développement notamment en Amérique du Nord et sur ses autres marchés clés.

Des solutions de paiement via les opérateurs télécoms

Digital Virgo a été fondée en 2008 et a décroché le statut d'établissement de paiement en Europe en 2020. L'entreprise est spécialisée dans les solutions de paiements mobiles via les solutions de facturation des opérateurs de télécoms. Ces derniers sont connectés à des milliards de personnes et peuvent facturer toute personne possédant une carte SIM sans avoir besoin de justificatifs bancaires ou de carte de crédit.

Concrètement Digital Virgo connecte les marchands aux opérateurs télécoms. Les premiers peuvent ainsi proposer des solutions de paiement simplifiées à leurs clients comme : la facturation directe sur la facture mensuelle mobile ou via les crédits de la carte SIM prépayée (fonctionne sur tous les appareils mobiles), une solution de micropaiement via l'envoie d'un SMS à un numéro (paiement du coût de l'envoi du SMS sur la facture mobile), des numéros surtaxés, l'USSD (ce protocole permet de déclencher un service d'envoi de messages sans coût ni connexion Internet), et les solutions de wallets qui permettent de déposer de l'argent sur un compte connecté à un numéro.

Des partenariats avec 150 opérateurs télécoms

Digital Virgo a construit une plateforme qui répond aux besoins de divers secteurs comme les médias, le sport, le divertissement, le jeu, le commerce, les finances et d'autres encore. Sa solution est tout particulièrement utile pour ceux qui n'ont pas de banque ou des alternatives limitées dans les pays faiblement bancarisés, notamment en Afrique. Digital Virgo souhaite renforcer l'engagement en proposant en proposant de nouveaux types de contenus.

Aujourd'hui l'entreprise a déjà noué des partenariats avec 150 opérateurs de télécoms à travers le monde et a passé 300 contrats commerciaux. Elle assure avoir 2 milliards d'utilisateurs et gérer 9 milliards de transactions par an. Le Lyonnais affirme être rentable depuis au moins les sept dernières années. L'entreprise revendique un chiffre d'affaires de 390 millions d'euros sur 2021 et vise 436 millions d'euros sur 2022 (soit une croissance de 12%). En début d'année prochaine elle va devoir faire ses premiers pas aux côtés d'autres valeurs technologiques qui sont aujourd'hui bousculées dans un contexte économique difficile.

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Monday, November 21, 2022

OLG ÉLARGIT LES OPTIONS DE PAIEMENT DES ACHATS DE LOTERIE EN LIGNE - LeLézard.com

Classé dans : Vacance et tourisme
Sujet : MAT

TORONTO, le 21 nov. 2022 /CNW/ - La Société des loteries et des jeux de l'Ontario (OLG) offre plus de choix aux clients grâce au paiement direct, une façon sûre et intuitive d'acheter des produits de loterie en ligne. Les joueurs qui ont un compte valide sur OLG.ca peuvent maintenant acheter des billets uniques et des abonnements de loterie de LOTTO MAX, LOTTO 6/49, Daily Grand, Ontario 49, Daily Keno, Pick-2, Pick-3, Pick-4 et Encore sur le site Web d'OLG et des billets uniques sur l'application d'OLG. Ils peuvent payer directement avec Visa et Mastercard, sans avoir à d'abord déposer des fonds dans un portefeuille électronique ni à payer de frais d'avance de fonds.

« En tant que premier fournisseur de jeu au Canada à proposer le paiement direct pour les achats de loterie en ligne, OLG est en tête de peloton lorsqu'il s'agit d'offrir aux clients des options de paiement pratiques et flexibles, a expliqué Amanda Marshall, vice-présidente à l'Intégration des produits numériques d'OLG. L'investissement dans nos capacités de paiement appuie notre plan qui consiste à placer le client au centre de tout ce que nous faisons, tout en offrant aux joueurs en Ontario une expérience de jeu numérique inégalée et intégrée. »

OLG traitera les paiements directs par le biais de Paysafe, une plateforme de paiement spécialisée et sûre qui accepte les cartes Visa, Mastercard et Visa Débit, les cartes de débit Mastercard et les cartes prépayées admissibles émises par des institutions canadiennes. Les joueurs pourront aussi continuer d'utiliser le solde de leur portefeuille électronique.

OLG promeut le jeu responsable dans tous ses secteurs d'activité. Nous proposons aux joueurs des outils en ligne et des documents éducatifs par l'entremise du programme d'OLG reconnu mondialement, Jouez sensé, qui a obtenu le niveau d'accréditation le plus élevé de la World Lottery Association. Notre page primée Mes outils Jouez sensé est intégrée directement sur OLG.ca afin d'aider les joueurs à profiter de nos jeux de façon sensée et responsable. Le paiement direct va de pair avec ces outils, notamment les limites d'achat, en vue d'aider les clients à continuer à jouer en s'amusant.

À OLG, nous jouons pour l'Ontario. La totalité des profits est réinvestie dans la province en vue d'aider à bâtir des collectivités solides et d'améliorer la qualité de vie de tous les Ontariens.

OLG est un organisme de la Couronne qui contribue à bâtir un meilleur Ontario en offrant à nos clients d'excellentes expériences de divertissement. Agissant de manière socialement responsable, OLG exploite et gère des établissements de jeu traditionnel, la vente de jeux de loterie dans la province, le jeu en ligne et la prestation du bingo et d'autres produits de jeu électronique aux centres de jeu de bienfaisance. OLG aide aussi à soutenir le secteur des courses de chevaux. Depuis 1975, OLG a versé environ 55 milliards de dollars aux résidents et à la Province de l'Ontario pour appuyer les principales priorités du gouvernement, comme les soins de santé, le traitement et la prévention liés au jeu problématique et les athlètes amateurs. Chaque année, les recettes provenant des activités d'OLG servent également à soutenir les collectivités d'accueil, les Premières Nations de l'Ontario, les détaillants de loterie et les organismes de bienfaisance locaux dans toute la province.

Jouez pour l'Ontario
Tous les profits d'OLG sont investis en Ontario
OLG.ca

JouezSense.ca 
Misez sur des connaissances 
Suivez-nous sur Twitter @PlaySmartOLG

ConnexOntario - Soutien pour le jeu problématique : 1-866-531-2600
Available in English

Cliquez ici si vous ne voulez plus recevoir ces courriels.

SOURCE OLG Winners


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Communiqué envoyé le 21 novembre 2022 à 10:00 et diffusé par :

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Un commerçant peut-il refuser un paiement en espèces? - L'Union

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Sunday, November 20, 2022

Spotify teste un système de paiement alternatif sur le Play Store avec la bénédiction de Google - Journal du geek

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Fin du partenariat entre Apple et Alma sur le paiement fractionné - Les Échos

Publié le 20 nov. 2022 à 10:00Mis à jour le 20 nov. 2022 à 10:52

Voilà une nouvelle qui tombe mal pour les consommateurs français à l'approche des fêtes de Noël. Apple ne propose plus de paiement en plusieurs fois sans frais dans l'Hexagone, ni sur son site Internet, ni dans les Apple Stores. Alors que la fintech française Alma avait signé fin juillet avec la marque à la pomme pour proposer ce mode de paiement de 3 à 24 mensualités sur certains produits comme l'iPhone, l'iPad, l'Apple Watch et les accessoires, ce service a brusquement pris fin le 18 octobre dernier.

Une facilité pourtant bien utile pour échelonner le paiement d'un iPhone, dont le dernier-né de la gamme lancé en septembre, l'iPhone 14, coûte au minimum 1.019 euros. Aucune des deux sociétés n'a souhaité s'exprimer sur les raisons de l'interruption de ce partenariat, moins de trois mois après sa signature.

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Une hypothèque jusqu'à ses 103 ans | La Presse - La Presse

À la longue, certaines questions deviennent des classiques. Cuisse ou poitrine ? Hublot ou allée ? Mat ou lustré ? Ces temps-ci, l’éternel dilemme « taux fixe ou variable ? » est particulièrement populaire. Car la réponse peut avoir des conséquences angoissantes comme celle de devoir encore payer sa maison passé son centième anniversaire.

C’est tout un choc qu’Annik Arvisais a ressenti en ouvrant l’enveloppe de la CIBC. La Banque lui précisait que son prêt hypothécaire serait remboursé en totalité dans 62 ans et 4 mois. « Je n’ai pas dormi de la nuit ! C’est passé de 23 à 42 ans et à 62 ans en très peu de temps. » La maison a été achetée en 2016.

Vous aurez compris qu’elle a contracté un prêt à taux variable, mais que ses paiements sont fixes. Chaque hausse de taux retarde donc le jour où elle sera libérée du poids de son hypothèque, car elle paie de moins en moins de capital.

En juillet dernier, au moment de signer son contrat avec la CIBC, elle a opté pour le taux variable à 3,75 %. Il atteint désormais 5,35 %.

Si ce taux devait se figer pour toujours, Annik ferait son dernier versement à 103 ans, me dit-elle en riant — tellement c’est burlesque –, même si elle ne la trouve pas drôle. Ce scénario n’arrivera pas, mais la propriétaire d’un service de garde en milieu familial regrette d’avoir choisi le taux variable, qu’on lui avait conseillé. « Le taux fixe était un peu plus cher. Mais c’est moins épeurant. J’ai besoin de routine. »

Bien sûr, il est impossible de changer le passé. Mais il est impératif d’agir pour l’avenir, croient deux experts du cabinet de courtage hypothécaire nesto. Car Annik ne paie actuellement que 52,19 $ par mois de capital et l’on s’attend à ce que la Banque du Canada augmente encore son taux directeur, le 7 décembre.

PHOTO FOURNIE PAR ANNIK ARVISAIS

Annik Arvisais a eu un choc en apprenant qu’elle devrait payer sa maison pendant 62 ans.

Il y a donc un risque réel pour la mère et entrepreneure d’atteindre le « taux déclencheur » ou « taux de déclenchement » (trigger rate, en anglais). Ce qui est loin d’être agréable.

Ce moment survient le jour où le paiement mensuel ne suffit plus à payer les intérêts.

Le phénomène est méconnu et peu documenté, car depuis 30 ans au Canada, les taux ont suivi une tendance baissière. Mais on n’a pas fini d’en entendre parler. En août, la Banque Royale disait que 80 000 de ses clients étaient près du taux déclencheur.

Quand il est touché, le prêteur force alors son client à augmenter son paiement mensuel. « On réamortit le solde du prêt sur 25 ans, mais exceptionnellement, ça peut aller jusqu’à 40 ans », précise Damien Charbonneau, cofondateur et chef des opérations de nesto. Le client n’a pas le choix d’accepter. L’augmentation peut être dure à encaisser, surtout en pleine période inflationniste.

PHOTO DAVID BOILY, LA PRESSE

Damien Charbonneau, cofondateur et chef des opérations du courtier hypothécaire nesto

Si vous possédez une hypothèque à taux variable, le « taux déclencheur » est précisé dans votre contrat.

« Mon meilleur conseil à Annik est d’augmenter ses paiements mensuels », dit Chase Belair, cofondateur et courtier principal de nesto. Cette stratégie lui permettra de gagner du temps. Elle pourrait aussi effectuer des remboursements anticipés pour réduire le capital emprunté.

Une autre possibilité est de convertir l’hypothèque pour obtenir un taux fixe. Mais bien des experts, dont ceux de nesto, croient que la majorité des hausses de taux sont derrière nous, de sorte que le moment n’est peut-être pas idéal pour exercer cette option.

Si vous êtes près du taux déclencheur, votre prêteur devrait communiquer avec vous « de manière proactive ». Du moins, c’est l’attente formulée par l’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC) sur son site web. Il sera intéressant de voir comment les banques réagiront, et si cela aggravera l’essoufflement du marché immobilier canadien au point de fragiliser l’économie du pays, comme le suggérait récemment la Manuvie.

Un des scénarios catastrophe pour les banques, c’est d’arriver au trigger point et de forcer tout le monde à des hausses de paiement. Il y aurait assurément des défauts de paiement.

Damien Charbonneau, cofondateur et chef des opérations de nesto

C’est justement pour éviter les mauvaises surprises de ce genre que nesto préconise les paiements variables qui fluctuent comme les taux. Cette option rebute les propriétaires qui veulent les plus petits versements mensuels possibles. Mais il faut être conscient des risques inhérents à ce choix.

La bonne nouvelle pour Annik, c’est qu’elle dispose de la marge de manœuvre financière pour augmenter ses paiements hypothécaires de quelques centaines de dollars par mois. Après son dilemme « taux fixe ou variable » de l’été dernier, l’heure des choix sonne à nouveau.

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Une hypothèque jusqu'à ses 103 ans | La Presse - La Presse
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Saturday, November 19, 2022

Découvrez Stancer : Le nouvel acteur des moyens de paiement - Cadre dirigeant magazine

Stancer est la nouvelle marque d’Iliade (groupe Free), qui a pour volonté de révolutionner, à la manière de Free lors de son lancement, le monde des moyens de paiement. L’offre actuelle se compose de trois solutions de paiement : le terminal de paiement (terminal mobile et sans abonnement), le lien de paiement ainsi qu’une solution de paiement en ligne. Ces trois moyens de paiement sont détaillés au sein de cet article.

Un terminal de paiement adapté aux petites transactions

Le terminal de paiement (TPE) proposé par Stancer est un terminal de paiement mobile, il est idéal pour les activités ambulantes ou extérieures comme la vente sur les marchés par exemple. Il est bien entendu fait pour les commerçants ayant un magasin physique. Parfait pour les bars ou les restaurateurs, il permet d’encaisser les clients directement à table.

En plus d’être mobile, l’offre de TPE Stancer se caractérise par le fait qu’il est sans frais de transactions (au-dessous de 150 transactions par mois) ainsi que sans abonnements. Dès lors il apparaît comme une solution particulièrement intéressante pour l’encaissement des petites transactions. Finit les frais de transactions abusifs ainsi que les montants minimums pour le paiement par carte.

Encaissez vos clients à distance avec le lien de paiement

Stancer propose également une solution de lien de paiement sécurisé permettant d’encaisser à distance vos clients. Le lien est partageable sur n’importe quel support. Vous pouvez ainsi faire partir un lien de paiement SMS ou bien encore par e-mail. Le lien de paiement peut également être annulé si vous le désirez. Rapide et sécurisé, c’est la solution idéale pour encaisser vos clients à distance et lutter contre les impayées et les problématiques de gestion de créances.

Un lien de paiement est une méthode de paiement en ligne qui permet aux clients d’effectuer des achats sans avoir à saisir leurs détails de paiement à chaque fois. Cela peut être pratique pour les clients qui veulent faire plusieurs achats, ou qui ne veulent pas stocker leurs informations de paiement sur le site Web d’un commerçant. Les liens de paiement peuvent également être utilisés pour envoyer des factures ou des demandes de paiement. Lors de la création d’un lien de paiement, les commerçants peuvent spécifier le montant, la devise et la date d’expiration du lien. Les clients peuvent ensuite cliquer sur le lien et saisir leurs informations de paiement sur une page sécurisée. Les liens de paiement sont un moyen rapide et pratique de demander ou de recevoir des paiements en ligne.

Une solution de paiement en ligne facile à intégrer

Afin de couvrir le marché des solutions de paiement, Stancer propose également une solution de paiement en ligne. la dernière des solutions de paiement Stancer, se caractérise par un module d’intégration en ligne au site web marchant. Facile d’intégration et optimisé pour s’intégrer sur n’importe quel CMS ou technologie utilisée par le site internet, le paiement en ligne Stancer est avantageux en termes de commission et de frais de transactions. Totalement sécurisé ce moyen de paiement vous permettra de propulser votre activité.

Stancer entend bientôt ajouter de nouveaux pans à son offre, comme le paiement fractionné ou encore le scoring.

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Friday, November 18, 2022

Licenciement de salariés dans une ressource intermédiaire : qui est responsable du paiement du préavis? Les tribunaux se prononcent pour la première fois. - CHRONIQUEURS - Juridique - Estrieplus.com - Le journal Internet - EstriePlus.com

Crédit photo: Depositphotos.com

En 2017, la Résidence l'Éveil inc. (ci-après « l'Éveil »), un centre d'hébergement pour personnes handicapées, ferme ses portes et licencie quatorze salariés sans leur octroyer le préavis prévu par la Loi sur les normes du travail (ci-après « L.n.t. »).

L'Éveil étant une ressource intermédiaire par laquelle le Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides (ci-après « CISSSL ») faisait dispenser des services de santé et de services sociaux dans son territoire, les tribunaux ont eu à se poser la question : qui est responsable du paiement du préavis?

En effet, la L.n.t. prévoit, à l'alinéa 1 de l'article 95 qu' :

Un employeur qui passe un contrat avec un sous-entrepreneur ou un sous- traitant, directement ou par un intermédiaire, est solidairement responsable avec ce sous-entrepreneur, ce sous-traitant et cet intermédiaire, des obligations pécuniaires fixées par la présente loi ou les règlements.

Afin d'identifier qui serait responsable du paiement du préavis, le tribunal a dû analyser la relation entre le CISSSL et l'Éveil afin de déterminer si l'Éveil était le sous-entrepreneur ou sous-traitant du CISSSL.

Après avoir constaté l'absence de jurisprudence dans un contexte semblable, la Cour supérieure, sous la plume de l'honorable juge Marc St-Pierre a condamné solidairement le CISSSL et l'Éveil dans une décision succincte1 où il est indiqué qu'il n'y a pas de raison de ne pas appliquer l'article 95 au présent cas, sans toutefois énoncer les raisons de l'appliquer.

Le CISSSL porte la décision en appel. Dans son arrêt2, la Cour d'appel analyse la législation pertinente régissant les ententes entre le CISSSL et la ressource intermédiaire et qualifie leur relation d'une de contrat de service. Par la suite, la Cour réitère que la L.n.t. se doit de recevoir une interprétation large et libérale et que « l'objectif premier de l'article 95 L.n.t. est d'éviter qu'un employeur contourne les dispositions en matière d'obligations pécuniaires en ayant recours à la sous-traitance. »3.

Ainsi, la Cour d'appel conclut que l'article 95 L.n.t. s'applique au cas présent et que le CISSSL est solidairement responsable du préavis dû aux ex-salariés de l'Éveil.

Aussi, elle rappelle que l'entente nationale entre le ministère de la Santé et des Services sociaux et l'Association des ressources intermédiaires d'hébergement du Québec qui prévoit que la ressource intermédiaire doit assumer toutes les obligations découlant de la

L.n.t. et tenir indemne le centre intégré de santé et de services sociaux de tout recours de toute poursuite ou recours « ne vaut qu'entre les signataires de l'entente et ne peut empêcher la solidarité légale prévue à l'article 95 L.n.t. de s'appliquer pour les obligations pécuniaires fixées par la loi ou les règlements »4.

Il appert donc, sous toutes réserves que l'arrêt de la Cour d'appel soit porté en appel et que la Cour suprême conclut autrement, qu'un centre intégré de santé et de services sociaux pourrait être tenu à payer une indemnité au salarié d'une ressource intermédiaire n'ayant pas reçu les indemnités auquel il aurait droit selon la L.n.t. Il reste à voir si l'interprétation serait la même pour d'autres types de partenariat.

1 Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail c. Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides et al., 2021 QCCS 1554.

2 Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides c. Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail, 2022 QCCA 1500.

Par : Anne Petitclerc, avocate

Monty Sylvestre, conseillers juridiques inc.

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Thursday, November 17, 2022

Licenciement de salariés dans une ressource intermédiaire : qui est responsable du paiement du préavis? Les tribunaux se prononcent pour la première fois. - CHRONIQUEURS - Juridique - Estrieplus.com - Le journal Internet - EstriePlus.com

Crédit photo: Depositphotos.com

En 2017, la Résidence l'Éveil inc. (ci-après « l'Éveil »), un centre d'hébergement pour personnes handicapées, ferme ses portes et licencie quatorze salariés sans leur octroyer le préavis prévu par la Loi sur les normes du travail (ci-après « L.n.t. »).

L'Éveil étant une ressource intermédiaire par laquelle le Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides (ci-après « CISSSL ») faisait dispenser des services de santé et de services sociaux dans son territoire, les tribunaux ont eu à se poser la question : qui est responsable du paiement du préavis?

En effet, la L.n.t. prévoit, à l'alinéa 1 de l'article 95 qu' :

Un employeur qui passe un contrat avec un sous-entrepreneur ou un sous- traitant, directement ou par un intermédiaire, est solidairement responsable avec ce sous-entrepreneur, ce sous-traitant et cet intermédiaire, des obligations pécuniaires fixées par la présente loi ou les règlements.

Afin d'identifier qui serait responsable du paiement du préavis, le tribunal a dû analyser la relation entre le CISSSL et l'Éveil afin de déterminer si l'Éveil était le sous-entrepreneur ou sous-traitant du CISSSL.

Après avoir constaté l'absence de jurisprudence dans un contexte semblable, la Cour supérieure, sous la plume de l'honorable juge Marc St-Pierre a condamné solidairement le CISSSL et l'Éveil dans une décision succincte1 où il est indiqué qu'il n'y a pas de raison de ne pas appliquer l'article 95 au présent cas, sans toutefois énoncer les raisons de l'appliquer.

Le CISSSL porte la décision en appel. Dans son arrêt2, la Cour d'appel analyse la législation pertinente régissant les ententes entre le CISSSL et la ressource intermédiaire et qualifie leur relation d'une de contrat de service. Par la suite, la Cour réitère que la L.n.t. se doit de recevoir une interprétation large et libérale et que « l'objectif premier de l'article 95 L.n.t. est d'éviter qu'un employeur contourne les dispositions en matière d'obligations pécuniaires en ayant recours à la sous-traitance. »3.

Ainsi, la Cour d'appel conclut que l'article 95 L.n.t. s'applique au cas présent et que le CISSSL est solidairement responsable du préavis dû aux ex-salariés de l'Éveil.

Aussi, elle rappelle que l'entente nationale entre le ministère de la Santé et des Services sociaux et l'Association des ressources intermédiaires d'hébergement du Québec qui prévoit que la ressource intermédiaire doit assumer toutes les obligations découlant de la

L.n.t. et tenir indemne le centre intégré de santé et de services sociaux de tout recours de toute poursuite ou recours « ne vaut qu'entre les signataires de l'entente et ne peut empêcher la solidarité légale prévue à l'article 95 L.n.t. de s'appliquer pour les obligations pécuniaires fixées par la loi ou les règlements »4.

Il appert donc, sous toutes réserves que l'arrêt de la Cour d'appel soit porté en appel et que la Cour suprême conclut autrement, qu'un centre intégré de santé et de services sociaux pourrait être tenu à payer une indemnité au salarié d'une ressource intermédiaire n'ayant pas reçu les indemnités auquel il aurait droit selon la L.n.t. Il reste à voir si l'interprétation serait la même pour d'autres types de partenariat.

1 Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail c. Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides et al., 2021 QCCS 1554.

2 Centre intégré de santé et de services sociaux des Laurentides c. Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail, 2022 QCCA 1500.

Par : Anne Petitclerc, avocate

Monty Sylvestre, conseillers juridiques inc.

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« Un commerçant ne peut refuser un paiement en espèces » : Carrefour et Casino rappelés à l’ordre - Ouest-France

La Banque de France a rappelé aux groupes de grande distribution Carrefour et Casino leur obligation d’accepter les paiements en espèces dans l’ensemble de leurs magasins, a indiqué mercredi 16 novembre le directeur des activités fiduciaires Christophe Baud-Berthier.

Un rappel fait par écrit

Un rappel qui intervient quand il a été constaté que l’absence de personnel dans certains magasins ouverts le dimanche obligeait les clients à se diriger vers des caisses automatiques ne permettant pas le paiement en pièces et billets.

« On a rappelé aux dirigeants de ces deux grands groupes que c’était contraire à la loi », a expliqué Christophe Baud-Berthier lors d’une intervention aux Journées de l’économie à Lyon et diffusée en ligne. Une demande faite par écrit « récemment », sans réponse pour le moment.

« C’est le principe et il faut le rappeler : un commerçant ne peut pas refuser un paiement en espèces », a-t-il poursuivi contrairement aux autres moyens de paiement.

Un des piliers du Plan national de gestion des espèces (PNGE)

Seule exception : lorsque les billets sont faux. Mais ceux-ci sont très rares, a souligné le responsable de la Banque de France. Sur chaque million de billets en circulation en zone euro l’an dernier, 12 sont contrefaits.

Selon M. Baud-Berthier, le gestionnaire d’aéroports Groupe ADP avait lui aussi retiré la possibilité de s’acquitter du parking en espèces depuis la période du Covid-19. La société l’a remise en service sur demande expresse de la banque centrale.

L’acceptabilité du paiement en espèces chez les commerçants est un des piliers du Plan national de gestion des espèces (PNGE), au même titre par exemple que l’accessibilité, via la bonne couverture du territoire par les distributeurs automatiques de billets.

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Wednesday, November 16, 2022

Défaut de paiement de loyers : renonciation tacite du bailleur à poursuivre la résiliation de plein droit du bail - Dalloz actualité

La décision du 5 octobre 2022 , relative à un arrêt rendu lui-même sur renvoi après cassation, s’inscrit à la suite d’un premier arrêt de la Cour de cassation du 15 janvier 2020 (Com. 15 janv. 2020, n° 17-28.127, D. 2020. 1023 , note S. Tisseyre ; AJDI 2020. 615 , obs. J.-P. Blatter ; AJ contrat 2020. 250, obs. M. Tirel ; Lexbase aff., févr. 2020, n° 624, obs. E. Le Corre-Broly) par lequel la Cour régulatrice rappelle une solution affirmée (Com. 9 oct. 2019, n° 18-17.563, D. 2019. 1933, obs. A. Lienhard ; ibid. 2208, chron. S. Barbot, C. de Cabarrus et A.-C. Le Bras ; ibid. 2020. 1541, obs. M.-P. Dumont ; ibid. 1857, obs. F.-X. Lucas et P. Cagnoli ; AJDI 2019. 900 , obs. J.-P. Blatter ; AJ contrat 2020. 45, obs. M. Tirel ; Rev. sociétés 2019. 784, obs. F. Reille ; Rev. prat. rec. 2020. 25, chron. P. Roussel Galle et F. Reille ; ibid. 2021. 25, chron. E. Morgantini et P. Rubellin ; JCP E 2019, n° 1532, note A. Cerati-Gauthier ; Gaz. Pal. 14 janv. 2020, p. 56, note F. Kendérian) selon laquelle « lorsque le juge-commissaire est saisi, sur le fondement de l’article L. 622-14, 2°, du code de commerce, d’une demande de constat de la résiliation de plein droit d’un bail pour défaut de paiement des loyers et charges afférents à une occupation postérieure au jugement d’ouverture de la procédure collective, cette procédure, qui obéit à des conditions spécifiques, est distincte de celle qui tend, en application de l’article L. 145-41 du code de commerce, à faire constater l’acquisition de la clause résolutoire stipulée au bail commercial ».

Renonciation tacite à un droit né

Si dans le cadre de cette affaire, la Cour régulatrice a rappelé dans un premier arrêt l’articulation des règles du droit des procédures collectives et celles du droit commercial en matière de résolution de plein droit du bail commercial (S. Tisseyre, préc.), elle réaffirme néanmoins dans l’arrêt du 5 octobre rapporté que tout titulaire d’un droit déjà né peut renoncer tacitement à ce droit, de sorte qu’en l’espèce, le bailleur a renoncé tacitement à poursuivre la résiliation de plein droit du bail pour défaut de paiement des loyers postérieurs au jugement d’ouverture du redressement judiciaire.

Au cas particulier, une société a été mise en redressement judiciaire par un jugement du 4 février 2016. Après avoir déclaré une créance au passif de la société correspondant aux loyers impayés depuis le mois d’octobre 2015 au titre du bail commercial conclu le 5 mars 2005, le bailleur a saisi le juge-commissaire d’une requête aux fins de voir constater la résiliation de plein droit du bail. Le tribunal a prononcé en novembre 2016 la conversion en liquidation judiciaire de la procédure de redressement et désigné un liquidateur judiciaire.

Le juge-commissaire a rejeté la requête du bailleur.

Par un acte du 5 avril 2017, auquel a été appelé le bailleur, le liquidateur a cédé le fonds de commerce de la société locataire.

Le bailleur étant décédé, ses héritiers ont décidé de poursuivre la procédure introduite par le recours formé contre l’ordonnance du juge-commissaire.

La cour d’appel de Paris (Paris, 8 déc. 2020, n° 20/04347), sur renvoi après cassation (Com. 15 janv. 2020, préc.) a constaté la résiliation de plein droit du bail au 5 octobre 2016 aux motifs que les...

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Les terminaux de paiement de Square débarquent en France - Servicesmobiles.fr

En 2022, la société a traité des paiements d'une valeur de 64 milliards de dollars.

En 2009, Jack Dorsey fondateur de Twitter lance un nouveau projet dans le paiement un concurrent direct de PayPal. Nom de code “Square3. L’idée du projet est de permettre à quiconque d’avoir un terminal de paiement, véritable révolution du paiement pour les vendeurs de sandwichs et bien au-delà… L’innovation est dans un petit lecteur de carte en plastique qui prend sa place dans la prise casque d’un iPhone (ou iPod Touch) qui va permettre de faire le transfert de données en glissant la carte de crédit dans le lecteur. Il a lancé Square, en avant-première mondiale sur la conférence le Web 9-10 décembre 2009. Plus tard en 2010 Xavier Niel a investi 25 000$ dans la start-up.

En 2011, c’est le lancement commercial de SquareUp à travers 50 commerçants sur les États-Unis, le paiement en 1 clic, pour les entreprises locales comme votre coiffeur, le loueur de voitures….Pragmatique pour l’instant, il y a plus de porteurs de CB que de mobile NFC, et les plateformes OS comme iPhone et Android touchent des millions d’utilisateurs.

En 2012, les équipes de Barack Obama, les organisateurs et les bénévoles sur le terrain seront équipées avec du matériel pour leur permettre de traiter les dons de campagne à partir de leur téléphone mobile. Le service a aidé à réduire le temps nécessaire au traitement des dons de campagne. Square devrait prendre comme commissions sur les transactions, ce qui est 2,75 % pour les paiements via carte magnétique.

En 2013, Square lance Square Stand, le point de vente réinventé et depuis c’est une solution de service en tant que logiciel (SaaS) basée sur le cloud qui regroupe le traitement des paiements, les ventes en ligne et en personne, la facturation, la gestion d’entreprise et bien plus encore dans un système rationalisé et économique. Vous pouvez utiliser Square pour traiter les cartes de crédit et accepter une gamme d’autres paiements, y compris les paiements par chèque de la chambre de compensation automatisée (ACH), Apple Pay, Google Pay et Cash App Pay pour n’en nommer que quelques-uns. Square vous permet également d’accepter des paiements n’importe où.

En 2014, la société a traité des paiements d’une valeur de 23,8 milliards de dollars, générant des revenus de 850 millions de dollars.

En 2022, Square a lancé Tap to Pay sur iPhone à ses millions de vendeurs à travers les États-Unis Disponible dans l’application iOS Square Point of Sale, Tap to Pay sur iPhone permet aux vendeurs de toutes tailles d’accepter les paiements sans contact directement depuis leur iPhone, sans matériel supplémentaire requis et sans frais supplémentaires pour le vendeur. Grâce à Tap to Pay sur iPhone, Square fournit une solution qui permet aux nouveaux vendeurs et aux entreprises établies de faire plus facilement du commerce en personne. Tout marchand Square disposant d’un iPhone compatible peut accepter les paiements sans contact en ouvrant simplement l’application Square POS, en enregistrant la vente et en présentant son iPhone à l’acheteur.

Square à aussi créer une plate-forme de développement pour créer des services financiers autour du bitcoin. Le nom de la plate-forme est “TBD“. Elle sera destinée aux développeurs qui créent des produits de services financiers autour du bitcoin.

Chiffres de Square

En 2022, la société a traité des paiements d’une valeur de 64 milliards de dollars.

Les trois principaux concurrents de Square Payments dans la catégorie Gestion des paiements sont PayPal avec 31,69 %, Stripe avec 20,74 %, Stripe Connect avec 19,84 % de part de marché. Les trois principales industries qui utilisent Square Payments pour la gestion des paiements sont l’hôtellerie, la vente au détail, le développement d’applications Web et de bureau. Les trois principales zones géographiques de Square Payments pour la gestion des paiements sont les États-Unis avec (56%), l’Australie avec (13%), le Canada avec (13%) clients respectivement.

Le chiffre d’affaires net annuel de Square a atteint la barre des 4,71 milliards de dollars américains en 2019, contre un peu plus de 200 millions de dollars américains en 2012. Au cours du seul quatrième trimestre de 2019, la société a généré plus de 1,31 milliard de dollars américains de revenus nets. Malgré ces chiffres prometteurs, le bénéfice net annuel de Square n’a pas été positif jusqu’à présent et la seule raison pour laquelle la société a déclaré un bénéfice net de 375,45 millions de dollars américains en 2019 était due aux gains tirés de la vente de son activité de livraison de nourriture Caviar au quatrième trimestre 2019.

Square devient Block

En 2021 Square a annoncé aujourd’hui qu’elle changeait son nom en Block. Block sera le nom de la société en tant que personne morale. Le nom Square est devenu synonyme de l’activité Vendeur de l’entreprise, qui fournit un écosystème intégré de solutions commerciales, de logiciels d’entreprise et de services bancaires pour les vendeurs, et cette décision permet à l’activité Vendeur de posséder la marque Square pour laquelle elle a été conçue. Depuis ses débuts en 2009, la société a ajouté Cash App, TIDAL, SPIRAL et TBD  en tant qu’entreprises, et le changement de nom crée de la place pour une croissance supplémentaire. Block est un écosystème global de nombreuses entreprises unies par leur objectif d’autonomisation économique et sert de nombreuses personnes – particuliers, artistes, fans, développeurs et vendeurs.

  • Avec Cash App, n’importe qui peut facilement envoyer, dépenser ou investir son argent dans des actions ou des Bitcoins
  • Spiral (anciennement Square Crypto) construit et finance des projets Bitcoin gratuits et open source.
  • Les artistes utilisent TIDAL pour les aider à réussir en tant qu’entrepreneurs et à se connecter plus profondément avec les fans.
  • TBD construit une plate-forme de développement ouverte décentralisé pour faciliter l’accès à Bitcoin et à d’autres technologies de blockchain sans avoir à passer par une institution.

France

Il y a de nombreuses entreprises et startup françaises et étrangères qui au fil des années ont attaqué le marché. Alors que plus d’un milliard de paiements en carte bancaire représentant une somme totale de 15 milliards d’euros ont été réalisés en 2021, l’accès à une offre simple, sécurisée, agile et peu pour réaliser des transactions bancaires est devenu un sujet majeur pour des millions de commerçants et d’entreprises françaises. La location de terminaux de paiement peut en effet représenter une charge financière et administrative conséquente pour les PME, qui ont souvent des difficultés à trouver une solution adaptée à leur usage quotidien et à leur volume de ventes traitées. Autant de contraintes pouvant complexifier l’accession au paiement par carte bancaire, et entraver les clients au moment de l’acte d’achat.

Le groupe INNOV8, spécialiste de la distribution 3.0 de produits connectés, annonce la signature d’un partenariat avec Square.

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Circle adoube Apple Pay comme solution de paiement - Cointribune

mer 16 Nov 2022 ▪ 13h00 ▪ 4 min de lecture - par Cédrick Aimé GUELANG OFALABEN

Hier en fin de journée, l’industrie crypto a reçu une bonne nouvelle. Après plus d’une semaine de frayeur et de doute suite à l’insolvabilité de FTX, il fallait enfin passer à autre chose. C’est Circle qui a annoncé une association avec Apple PAY. Cette collaboration s’adresse beaucoup plus aux investisseurs qui acceptent le stablecoin USDC. Le premier avantage pour cette solution de paiement est la réduction des frictions éventuelles entre les modes de paiement classiques et les règlements en crypto.

L’Euro Coin (EUROC) de Circle bientôt sur Solana (SOL)
Circle s’associe à Apple Pay

Circle frappe fort et intègre les services d’Apple Pay

Le marché crypto n’est toujours pas revenu à son meilleur niveau. L’écosystème n’est pas encore au bon fixe pour faciliter la démocratisation des crypto en masse. Toutefois, certaines plateformes crypto montrent la voie. En effet, Circle s’inscrit dans cette lancée et rassure les détracteurs des cryptos avec sa récente association en grande pompe avec Apple Pay. L’entreprise a dévoilé un ensemble de projets sur son écosystème qui intègre désormais les solutions de paiements mises en avant par Apple Pay

Rappelons que Circle est connue pour la fourniture des solutions de règlement aux commerçants pour faciliter leur activité. Avec ce nouveau mode de paiement, l’idée serait de permettre à ces derniers de recevoir leurs fonds en USDC de la même façon qu’ils l’auraient reçu en argent fiduciaire. Vous l’aurez compris, ce nouveau partenariat veut réduire, ou mieux, briser les barrières qui continuent d’exister entre les paiements en crypto et en argent fiduciaire. Circle a constaté que c’est l’une des raisons pour lesquelles beaucoup de commerçants aujourd’hui hésitent à adopter les cryptomonnaies. 

Les commerçants n’auront plus besoin de maitriser l’écosystème pour s’adapter à un monde nouveau. Il n’y aura pas de grande différence avec ce à quoi ils auraient été habitués.

À noter également que les services de paiement de la plateforme Circle s’adossent sur les connexions API pour fonctionner. De cette manière, les utilisateurs peuvent recevoir des fonds dans la devise virtuelle qu’ils préfèrent. En plus de cela, ils peuvent aussi les transférer directement dans leurs comptes bancaires, ou à défaut, les conserver tout simplement.

Circle ne compte pas se limiter à l’USDC. Elle souhaite aussi étendre ses services de paiements à l’ETH et au BTC à l’avenir.

Conclusion

Circle veut mettre fin aux barrières qu’il y a entre les paiements en argent fiduciaire et en cryptomonnaie. Avec ce nouveau partenariat, l’entreprise tient enfin un argument qui pourrait convaincre les commerçants. Ils pourront entrer massivement dans l’écosystème, un peu comme le fait déjà Binance. Attendons maintenant de voir comment les commerçants vont accueillir cette association qui augure des meilleurs lendemains pour le marché crypto.

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Cédrick Aimé GUELANG OFALABEN avatar
Cédrick Aimé GUELANG OFALABEN

Doctorant en droit financier et rédacteur web SEO expérimenté, Cédrick Aimé est passionné par les cryptomonnaies, le trading, etc. Il participe naturellement grâce à ses articles à la révolution blockchain au quotidien pour une meilleure démocratisation de la DeFi.

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Circle adoube Apple Pay comme solution de paiement - Cointribune

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Hier en fin de journée, l’industrie crypto a reçu une bonne nouvelle. Après plus d’une semaine de frayeur et de doute suite à l’insolvabilité de FTX, il fallait enfin passer à autre chose. C’est Circle qui a annoncé une association avec Apple PAY. Cette collaboration s’adresse beaucoup plus aux investisseurs qui acceptent le stablecoin USDC. Le premier avantage pour cette solution de paiement est la réduction des frictions éventuelles entre les modes de paiement classiques et les règlements en crypto.

L’Euro Coin (EUROC) de Circle bientôt sur Solana (SOL)
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Circle frappe fort et intègre les services d’Apple Pay

Le marché crypto n’est toujours pas revenu à son meilleur niveau. L’écosystème n’est pas encore au bon fixe pour faciliter la démocratisation des crypto en masse. Toutefois, certaines plateformes crypto montrent la voie. En effet, Circle s’inscrit dans cette lancée et rassure les détracteurs des cryptos avec sa récente association en grande pompe avec Apple Pay. L’entreprise a dévoilé un ensemble de projets sur son écosystème qui intègre désormais les solutions de paiements mises en avant par Apple Pay

Rappelons que Circle est connue pour la fourniture des solutions de règlement aux commerçants pour faciliter leur activité. Avec ce nouveau mode de paiement, l’idée serait de permettre à ces derniers de recevoir leurs fonds en USDC de la même façon qu’ils l’auraient reçu en argent fiduciaire. Vous l’aurez compris, ce nouveau partenariat veut réduire, ou mieux, briser les barrières qui continuent d’exister entre les paiements en crypto et en argent fiduciaire. Circle a constaté que c’est l’une des raisons pour lesquelles beaucoup de commerçants aujourd’hui hésitent à adopter les cryptomonnaies. 

Les commerçants n’auront plus besoin de maitriser l’écosystème pour s’adapter à un monde nouveau. Il n’y aura pas de grande différence avec ce à quoi ils auraient été habitués.

À noter également que les services de paiement de la plateforme Circle s’adossent sur les connexions API pour fonctionner. De cette manière, les utilisateurs peuvent recevoir des fonds dans la devise virtuelle qu’ils préfèrent. En plus de cela, ils peuvent aussi les transférer directement dans leurs comptes bancaires, ou à défaut, les conserver tout simplement.

Circle ne compte pas se limiter à l’USDC. Elle souhaite aussi étendre ses services de paiements à l’ETH et au BTC à l’avenir.

Conclusion

Circle veut mettre fin aux barrières qu’il y a entre les paiements en argent fiduciaire et en cryptomonnaie. Avec ce nouveau partenariat, l’entreprise tient enfin un argument qui pourrait convaincre les commerçants. Ils pourront entrer massivement dans l’écosystème, un peu comme le fait déjà Binance. Attendons maintenant de voir comment les commerçants vont accueillir cette association qui augure des meilleurs lendemains pour le marché crypto.

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Cédrick Aimé GUELANG OFALABEN

Doctorant en droit financier et rédacteur web SEO expérimenté, Cédrick Aimé est passionné par les cryptomonnaies, le trading, etc. Il participe naturellement grâce à ses articles à la révolution blockchain au quotidien pour une meilleure démocratisation de la DeFi.

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