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Wednesday, December 27, 2023

L'Ethiopie officiellement en défaut de paiement. - Africanews Français

Depuis ce mardi 26 décembre, L'Éthiopie est devenue le troisième pays en défaut de paiement, après la Zambie et le Ghana. Ce pays d'Afrique de l'Est est aujourd'hui en incapacité d'honorer un paiement de 33 millions de dollars sur son unique obligation gouvernementale internationale, selon Reuters.

Avant même le 11 décembre, date officielle du paiement, Addis-abeba avait déjà annoncé des difficultés financières liées à la pandemie à covid-19, et les répercussions de la guerre civile de deux ans subie dans sa partie septentrionale, et qui a pris fin en 2022. Le deuxième pays le plus peuplé d'Afrique rejoint ainsi la liste des pays africains en restructuration de dette.

L'Etat éthiopien se refuse pour l'instant à tout commentaire. Le pays avait demandé un allégement de sa dette dans le cadre de l'initiative dirigée par le G20 au début de l'année 2021.

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Monday, December 25, 2023

Le réseau social X poursuivi par la justice pour non-paiement de bonus à ses employés - TVA Nouvelles

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Le réseau social X poursuivi par la justice pour non-paiement de bonus à ses employés  TVA Nouvelles
Le réseau social X poursuivi par la justice pour non-paiement de bonus à ses employés - TVA Nouvelles
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Que de grincheux... - Le Nouvelliste

Il arrive donc que des citoyens ne disposent pas des liquidités nécessaires pour payer leur compte de taxes à la date demandée, et la Ville en rajoute en imposant à ces personnes un taux que je qualifierais d’usuraire de 14% pour les retards de paiements. Sachant que les taxes de 2023 seront augmentées pour en arriver à une hausse de 13% en deux ans, nous sommes bien au courant que notre ville compte de nombreux retraités. Or, combien de ces aînés ont vu leurs revenus augmenter de 13% au cours des deux dernières années? Et que dire de nos concitoyens grévistes participant au Front commun, aux enseignants, aux infirmières, qui ont vu leurs chèques de paie absents ou largement amputés. Ce qui me laisse croire que l’an prochain, ce ne seront pas 9000 citoyens qui auront des lendemains difficiles, mais beaucoup plus.

Que se passe-t-il ailleurs au Québec pour le paiement des taxes? Les villes de taille comparable à Trois-Rivières, et même de plus grandes, offrent à leurs citoyens de régler leur compte de taxes en quatre versements, voire plus, et ce sans leur charger d’intérêts. Je les cite: Québec, Sherbrooke, Saguenay, Gatineau, Longueuil, Brossard, Shawinigan, Granby. Lévis accepte même 12 versements. À une question d’un citoyen qui intervenait à ce sujet, le maire lui répond que des «villes ont reculé». Ah oui! Mais lesquelles et dans quelle mesure? Une autre question tombée dans le vide abyssal des réponses à obtenir durant cette période dite de «questions du public» tournée régulièrement en parodie par nos administrateurs municipaux!

Les objections d’élus et de gestionnaires sont les suivantes: il y aurait un manque à gagner en raison de l’entrée retardée du paiement des taxes. On invoque aussi un changement administratif qui viendrait compliquer la gestion. Or, les villes ci-haut mentionnées ne semblent guère indisposées administrativement avec les mesures d’étalement et élaborent leurs budgets en conséquence. Si toutes ces villes en sont capables, pourquoi Trois-Rivières en est-elle incapable?

On se plaint donc, à la Ville, de cet argent qui entrerait dans les coffres plus tardivement; alors pourquoi la Ville ne préfère-t-elle pas garder 100 000$ par mois placés avec intérêts profitables et rémunérer les élus aux seules fins de mois, plutôt que de les payer à la semaine en sortant autour de 25 000$ par semaine, semaine après semaine. En conclusion, je proposerais que la Ville offre aux Trifluviens, et ce dès l’envoi du prochain compte de taxes, de payer en un, deux ou quatre versements. Si quelqu’un règle en un seul paiement, il pourrait bénéficier d’une certaine réduction qui pourrait le motiver à ce faire. Pour celui qui choisirait deux versements, il pourrait lui aussi bénéficier d’une réduction, mais moindre que la personne qui règle en un seul versement anticipé. Pour les autres, quatre versements égaux. La Ville devrait également baisser le taux d’intérêt imposé aux retardataires. Ou encore, ce qui a été fait lors de la pandémie, si je me souviens bien: accorder à tout le moins un délai de paiement. Est-ce trop demander à des élus rémunérés par nous de répondre aux réels besoins de milliers de citoyens?

Guy Godin

Trois-Rivières

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Sunday, December 24, 2023

Paiements fractionnés : des consommateurs mal protégés - Le Quotidien

Il y a quelques années, lors d’un déménagement, j’ai acquis mes électroménagers en ayant recours à la formule «Achetez maintenant, payez plus tard» (connue aussi sous l’acronyme anglais BNPL, pour buy-now-pay-later).

J’ai donc pu rembourser mes électros flambant neufs à raison de 12 versements mensuels, et ce sans intérêts. Une aubaine quand on manque de liquidités ou que l’on ne veut pas utiliser sa carte de crédit!

Jusqu’à récemment, cette manière était plutôt réservée à de gros achats et proposée par des compagnies de financement bien connues. Mais depuis, le domaine a été investi par de nouveaux joueurs. Des entreprises «fintechs» comme Afterpay, Sezzle, Klarna ou Affirm offrent désormais de fractionner le paiement d’articles, tels qu’un chandail, un sac à main, des écouteurs sans fil, ou même un rouge à lèvres. Cette paire de chaussures vous fait de l’œil, mais vous n’avez pas les moyens de vous l’offrir ce mois-ci? Qu’à cela ne tienne! Vous pouvez l’acheter immédiatement, puis la payer à raison de quatre versements égaux sur une période de six semaines.

Le processus est simple et rapide : au moment du paiement, sur le site du commerçant, on vous propose d’opter pour un paiement fractionné. En quelques clics, c’est réglé. Les montants seront ensuite prélevés directement sur votre compte en banque ou carte de crédit.

Tout cela est fort alléchant, mais il y a un hic…

À lire aussi : «Achetez maintenant, payez plus tard» : une bonne idée?

Des frais et des flous sur le type de contrat

Dans un récent rapport intitulé «Achetez maintenant, payez plus tard» ― Examen des risques et des recours, l’organisme Option consommateurs a relevé plusieurs éléments qui font sourciller.

Son auteure, l’avocate Clarisse N’kaa, souligne par exemple qu’il existe un flou dans la qualification du contrat de paiements différés. «Par conséquent, les dispositions relatives au crédit dans la Loi sur la protection du consommateur (LPC) qui visent à protéger le consommateur de l’endettement excessif ne sont pas nécessairement prévues dans les conventions», déplore-t-elle.

De plus, ces compagnies se présentent comme des options sans frais au crédit. Mais des frais, il en existe bel et bien si les fonds sont insuffisants (NSF) au moment du retrait de la mensualité prévue. Aux États-Unis, une action collective a d’ailleurs été intentée contre la fintech Klarna, relativement à des frais cachés. Et si jamais un paiement «rebondit» par manque de fonds, n’oublions pas que l’institution financière prélèvera aussi un montant dans votre compte en banque !

Le consommateur doit également s’attendre à des pénalités s’il n’est pas en mesure de respecter ses obligations dans les délais prévus au contrat, et son dossier de crédit sera entaché si l’entreprise rapporte ce manquement aux agences de crédit.

La formule «Achetez maintenant, payez plus tard» est donc bien moins anodine qu’il n’y paraît et les conséquences d’un manquement peuvent être lourdes. «En cas de recouvrement, Sezzle se réserve le droit de prélever directement dans un autre compte bancaire, votre compte épargne par exemple, même s’il n’est pas relié aux paiements différés», illustre Clarisse N’kaa.

La rétrofacturation

Autre élément qui fait tiquer l’avocate : la difficulté à régler des différends. En vertu de la LPC, pour pouvoir conclure un contrat à distance, un achat sur Internet par exemple, il faut que le consommateur puisse utiliser un mode de paiement permettant la rétrofacturation, c’est-à-dire une carte de crédit. Or, avec le paiement différé, notre carte de crédit sert à payer Klarna, Affirm ou Sezzle, et non le commerçant chez qui on a fait affaire.

En cas de problème avec le produit acheté, si l’on souhaite obtenir un remboursement, c’est toutefois vers le vendeur que l’on devra se tourner. Celui-ci remboursera alors l’entreprise de crédit, mais pas le consommateur, et ce dernier devra se débrouiller pour récupérer son argent.

Il faudra donc s’armer de patience, et ce d’autant que le service à la clientèle de ces «fintechs» est souvent difficile d’accès… En faisant affaire avec ce type d’entreprises, le consommateur se prive ainsi d’un recours prévu par la loi pour le protéger, puisqu’il ne bénéficie pas directement de la rétrofacturation.

C’est pourquoi Option consommateurs estime que le gouvernement devrait légiférer pour inclure ce type de contrats dans la catégorie des contrats de crédit couverts par la loi.

Le rapport recommande aussi d’améliorer la littératie financière pour permettre aux consommateurs la prise d’une décision éclairée avant de contracter une entente de type «Achetez maintenant, payez plus tard».

«Dans le cadre de notre recherche, nous avons mis sur pied des groupes de discussion et nous avons pu constater que si, au début, les participants se montraient très favorables au BNPL, ils étaient beaucoup plus réticents après en avoir appris davantage à ce sujet», conclut Clarisse N’kaa.

Cette recommandation est d’autant plus importante que les jeunes sont très friands de ce type de paiement. Or, les risques d’endettement sont bien réels, car en multipliant ce qui nous semble être de «petits paiements», on peut vite perdre le contrôle et voir son dossier de crédit entaché pour longtemps.

Pour en apprendre davantage sur les plans de paiement différé, consultez la page de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada.

À lire aussi : Épicerie : en quête d’économies, adapter ses stratégies

Les Coops de l’information sont fières de faire équipe avec Protégez-Vous afin de vous offrir chaque vendredi des contenus qui sauront vous conseiller sur divers facettes de nos réalités quotidiennes. Découvrez plus de contenus sur le site de Protégez-Vous.

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X poursuivi par la justice pour non paiement de bonus à ses employés - Le Devoir

Le réseau social X (anciennement Twitter) a violé ses engagements contractuels en ne payant pas des primes de performance annuelles promises verbalement à ses employés, selon une décision rendue vendredi par un tribunal fédéral américain.

Un ancien employé du groupe, Mark Schobinger, avait intenté en juin un procès à la plateforme pour rupture de contrat, arguant que Twitter avait promis à ses salariés le versement d’un bonus pour 2022 s’ils restaient dans l’entreprise rachetée par Elon Musk jusqu’au premier trimestre 2023, date limite prévue pour ce paiement.

X a tenté de faire rejeter cette demande, mais la justice a refusé estimant que le dossier et la plainte pour rupture de contrat étaient valides, selon les termes de la loi californienne.

 

« Schobinger a invoqué une réclamation pour rupture de contrat qui est valide en vertu de la loi californienne. Il allègue que Twitter a promis verbalement de verser à chaque employé une partie de la prime envisagée », a écrit le juge Vince Chhabria. « Et en refusant de verser à Schobinger la prime promise, Twitter a violé ce contrat », a déclaré le juge.

Le réseau social peut faire appel de la décision du tribunal.

 

Désormais propriété d’Elon Musk et rebaptisé X, le groupe est confronté à de nombreuses difficultés, dont une enquête de Bruxelles sur la désinformation et la haine en ligne, des critiques sur la réponse de la plateforme aux récentes émeutes à Dublin et un exode des annonceurs de renom. 

L’entreprise vaut désormais moins de la moitié des 44 milliards de dollars que Elon Musk a payés en octobre 2022 pour l’acquérir, selon des documents internes envoyés au personnel et rapportés par la publication technologiqueThe Verge.

À voir en vidéo

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X poursuivi par la justice pour non paiement de bonus à ses employés - Le Devoir
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Friday, December 22, 2023

Paiements fractionnés : des consommateurs mal protégés - La Voix de l'Est

Il y a quelques années, lors d’un déménagement, j’ai acquis mes électroménagers en ayant recours à la formule «Achetez maintenant, payez plus tard» (connue aussi sous l’acronyme anglais BNPL, pour buy-now-pay-later).

J’ai donc pu rembourser mes électros flambant neufs à raison de 12 versements mensuels, et ce sans intérêts. Une aubaine quand on manque de liquidités ou que l’on ne veut pas utiliser sa carte de crédit!

Jusqu’à récemment, cette manière était plutôt réservée à de gros achats et proposée par des compagnies de financement bien connues. Mais depuis, le domaine a été investi par de nouveaux joueurs. Des entreprises «fintechs» comme Afterpay, Sezzle, Klarna ou Affirm offrent désormais de fractionner le paiement d’articles, tels qu’un chandail, un sac à main, des écouteurs sans fil, ou même un rouge à lèvres. Cette paire de chaussures vous fait de l’œil, mais vous n’avez pas les moyens de vous l’offrir ce mois-ci? Qu’à cela ne tienne! Vous pouvez l’acheter immédiatement, puis la payer à raison de quatre versements égaux sur une période de six semaines.

Le processus est simple et rapide : au moment du paiement, sur le site du commerçant, on vous propose d’opter pour un paiement fractionné. En quelques clics, c’est réglé. Les montants seront ensuite prélevés directement sur votre compte en banque ou carte de crédit.

Tout cela est fort alléchant, mais il y a un hic…

À lire aussi : «Achetez maintenant, payez plus tard» : une bonne idée?

Des frais et des flous sur le type de contrat

Dans un récent rapport intitulé «Achetez maintenant, payez plus tard» ― Examen des risques et des recours, l’organisme Option consommateurs a relevé plusieurs éléments qui font sourciller.

Son auteure, l’avocate Clarisse N’kaa, souligne par exemple qu’il existe un flou dans la qualification du contrat de paiements différés. «Par conséquent, les dispositions relatives au crédit dans la Loi sur la protection du consommateur (LPC) qui visent à protéger le consommateur de l’endettement excessif ne sont pas nécessairement prévues dans les conventions», déplore-t-elle.

De plus, ces compagnies se présentent comme des options sans frais au crédit. Mais des frais, il en existe bel et bien si les fonds sont insuffisants (NSF) au moment du retrait de la mensualité prévue. Aux États-Unis, une action collective a d’ailleurs été intentée contre la fintech Klarna, relativement à des frais cachés. Et si jamais un paiement «rebondit» par manque de fonds, n’oublions pas que l’institution financière prélèvera aussi un montant dans votre compte en banque !

Le consommateur doit également s’attendre à des pénalités s’il n’est pas en mesure de respecter ses obligations dans les délais prévus au contrat, et son dossier de crédit sera entaché si l’entreprise rapporte ce manquement aux agences de crédit.

La formule «Achetez maintenant, payez plus tard» est donc bien moins anodine qu’il n’y paraît et les conséquences d’un manquement peuvent être lourdes. «En cas de recouvrement, Sezzle se réserve le droit de prélever directement dans un autre compte bancaire, votre compte épargne par exemple, même s’il n’est pas relié aux paiements différés», illustre Clarisse N’kaa.

La rétrofacturation

Autre élément qui fait tiquer l’avocate : la difficulté à régler des différends. En vertu de la LPC, pour pouvoir conclure un contrat à distance, un achat sur Internet par exemple, il faut que le consommateur puisse utiliser un mode de paiement permettant la rétrofacturation, c’est-à-dire une carte de crédit. Or, avec le paiement différé, notre carte de crédit sert à payer Klarna, Affirm ou Sezzle, et non le commerçant chez qui on a fait affaire.

En cas de problème avec le produit acheté, si l’on souhaite obtenir un remboursement, c’est toutefois vers le vendeur que l’on devra se tourner. Celui-ci remboursera alors l’entreprise de crédit, mais pas le consommateur, et ce dernier devra se débrouiller pour récupérer son argent.

Il faudra donc s’armer de patience, et ce d’autant que le service à la clientèle de ces «fintechs» est souvent difficile d’accès… En faisant affaire avec ce type d’entreprises, le consommateur se prive ainsi d’un recours prévu par la loi pour le protéger, puisqu’il ne bénéficie pas directement de la rétrofacturation.

C’est pourquoi Option consommateurs estime que le gouvernement devrait légiférer pour inclure ce type de contrats dans la catégorie des contrats de crédit couverts par la loi.

Le rapport recommande aussi d’améliorer la littératie financière pour permettre aux consommateurs la prise d’une décision éclairée avant de contracter une entente de type «Achetez maintenant, payez plus tard».

«Dans le cadre de notre recherche, nous avons mis sur pied des groupes de discussion et nous avons pu constater que si, au début, les participants se montraient très favorables au BNPL, ils étaient beaucoup plus réticents après en avoir appris davantage à ce sujet», conclut Clarisse N’kaa.

Cette recommandation est d’autant plus importante que les jeunes sont très friands de ce type de paiement. Or, les risques d’endettement sont bien réels, car en multipliant ce qui nous semble être de «petits paiements», on peut vite perdre le contrôle et voir son dossier de crédit entaché pour longtemps.

Pour en apprendre davantage sur les plans de paiement différé, consultez la page de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada.

À lire aussi : Épicerie : en quête d’économies, adapter ses stratégies

Les Coops de l’information sont fières de faire équipe avec Protégez-Vous afin de vous offrir chaque vendredi des contenus qui sauront vous conseiller sur divers facettes de nos réalités quotidiennes. Découvrez plus de contenus sur le site de Protégez-Vous.

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Thursday, December 21, 2023

Délit de fuite mortel à Gatineau : un suspect arrêté - Radio-Canada.ca

Le Service de police de la Ville de Gatineau (SPVG) annonce avoir arrêté un homme de 40 ans en lien avec le délit de fuite mortel survenu mardi à Gatineau.

Selon le SPVG, le suspect a contacté lui-même son service mardi, pour l'informer qu'il était l'auteur du délit de fuite survenu à l’intersection de la montée Paiement et du boulevard Saint-René Ouest.

Se trouvant en Ontario, l'homme a ensuite été arrêté par la Police provinciale de l'Ontario (PPO), en collaboration avec le Service de police d'Ottawa, avant d'être transféré à Gatineau.

L'individu a comparu devant la Cour du Québec et fait face à une accusation de délit de fuite causant la mort.

Le véhicule impliqué dans l'accident a été localisé et saisi pour des fins d'expertises, ajoute le SPVG dans un communiqué.

Rappelons que mardi, la police a découvert un homme inconscient, dont la mort a par la suite été constatée à l’hôpital. La victime, âgée d’une quarantaine d’années, était un piéton.

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Tuesday, December 19, 2023

Ville de Québec: non au paiement des taxes en 12 versements - Le Journal de Québec

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Ville de Québec: non au paiement des taxes en 12 versements  Le Journal de Québec
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Taxes à Québec: pourquoi vous ne pourrez pas payer en 12 versements - Le Soleil

Même si elle sera plus salée cette année, votre facture de taxes foncières ne pourra pas être acquittée en plus que quatre versements, comme c’est le cas présentement. La Ville de Québec refuse de faire passer à 12 le nombre de paiements possibles.

Le nombre d’échéances de taxes est déjà passé de deux à quatre depuis 2019.

Elle rejette ainsi la proposition formulée par l’opposition officielle, lors du conseil municipal du 5 décembre.

Invoquant une «baisse importante du pouvoir d’achat des ménages» et le devoir d’un gouvernement de proximité d’offrir de la «flexibilité» aux contribuables «durant cette période difficile», son chef, Claude Villeneuve, demandait à ce que la Ville ajoute la possibilité pour les citoyens d’acquitter leur facture de taxes en 12 versements sans intérêts pour toutes les catégories d’immeubles.

D’autres villes comme Lévis l’ont déjà fait, plaidait l’opposition officielle, ainsi pourquoi pas Québec.

Après avoir évoqué que cette méthode ne s’avérait «pas nécessairement avantageuse pour les citoyens», l’administration Marchand a détaillé sa position dans une décision du comité exécutif rendue publique lundi, dans laquelle elle refuse l’avis de proposition de l’opposition officielle.

Les citoyens paient quatre fois

Québec ne voit pas la nécessité d’étirer les paiements sur 12 mois, alors qu’en 2023, malgré la situation économique, «les propriétaires ont payé leurs taxes plus rapidement qu’en 2022».

Également, la Ville calcule que plus de huit contribuables sur dix s’acquittent de leur compte de taxes sans aucun retard. Quelques 13% paient par ailleurs leur dû à la suite d’un rappel fait par l’envoi d’un relevé de compte. «Ainsi, à la fin du mois de décembre, c’est environ 98% des comptes de taxes qui sont entièrement payés chaque année, les retards de paiement ne constituent pas un enjeu», selon l’administration.

Même si le paiement étalé sur 12 mois, par paiements préautorisés, est déjà disponible pour les citoyens, moyennant des intérêts, moins de 5% des propriétaires adhèrent à cette option.

Des pertes pour la Ville

La Ville s’estimerait perdante d’un compte de taxes étalé toute l’année.

Sans possibilité de placer les fonds substantiels quatre fois par année, Québec chiffre à 7,5 millions $ la perte de revenus annuels d’intérêts sur placements à court terme.

Pour le compenser, elle plaide qu’il lui faudrait augmenter les taxes de l’ensemble des propriétaires de 0,5 % de plus.

Aussi, les citoyens et les entreprises seraient tentés de payer d’autres factures qui comportent des intérêts, comme leur compte d’électricité, de téléphone cellulaire ou de cartes de crédit avant leurs taxes municipales, avance-t-on dans le document décisionnel. «Ainsi, la Ville renonce à des liquidités à court terme au profit d’entreprises privées.»

Paperasse et lourdeur administrative

Traitement des chèques à encaisser, augmentation du nombre de ressources pour traiter un volume d’encaissements «accru», papier supplémentaire et production de 170 000 factures de taxes «plus complexes»: le changement des échéances nécessiterait par ailleurs «des efforts et des frais administratifs supplémentaires», soutient la Ville.

Cote de crédit impactée

Étant donné qu’elle disposerait d’un moins important niveau de liquidité, Québec redoute que sa notation de crédit souffrirait, alors que sa cote lui permet présentement «de financer les investissements à des taux avantageux et d’avoir accès à un plus large bassin d’investisseurs institutionnels».

Comme les autres grandes villes

Québec constate, en se comparant, que la plupart des autres grandes villes québécoises demandent aux citoyens de payer leur impôt foncier en deux ou quatre versements, à l’exception de Lévis. C’est le cas notamment à Montréal, Laval, Longueuil, Sherbrooke, Gatineau, Saguenay et Trois-Rivières.

Dates d’échéance pour le paiement des taxes municipales à Québec en 2024

  • 4 mars 2024
  • 3 mai 2024
  • 3 juillet 2024
  • 3 septembre 2024

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Taxes à Québec: pourquoi vous ne pourrez pas payer en 12 versements - Le Soleil
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Monday, December 18, 2023

Terre-Neuve recevra un paiement de péréquation pour la première fois en 15 ans - Radio-Canada.ca

Terre-Neuve-et-Labrador recevra en 2024-2025 son premier paiement de péréquation depuis 15 ans.

Ottawa lui versera 218 millions de dollars en vertu du programme de transfert du gouvernement du Canada, qui traite des disparités fiscales entre les provinces et permettant aux gouvernements d’offrir des services similaires à leur population.

Ça ne veut pas dire que la situation économique ou financière de la province a beaucoup changé dans la dernière année, explique Trevor Tombe, économiste à l’Université de Calgary et spécialiste de la péréquation. C’est une formule nationale et ce que reçoivent les provinces dépend souvent de ce qui se passe à l’extérieur de leurs frontières.

David Macdonald, économiste principal au Centre canadien des politiques alternatives, explique que l’inflation a fait grimper les revenus de tous les gouvernements provinciaux au cours de la dernière année. Mais Terre-Neuve-et-Labrador n’a pas suivi la cadence des provinces comme l'Alberta et la Saskatchewan.

On a vu des augmentations dans les revenus du gouvernement provincial de Terre-Neuve-et-Labrador, mais ces augmentations n’étaient pas aussi rapides que ce qu’on a vu dans les autres provinces, affirme l’expert basé à Ottawa, en soulignant la forte hausse de la production dans les sables bitumineux qui a fait croître les revenus gouvernementaux dans l’ouest du pays.

Impact psychologique

Terre-Neuve-et-Labrador a longtemps été parmi les provinces les plus pauvres au Canada. Le gouvernement provincial a pourtant arrêté de recevoir la péréquation en 2008, au moment où les revenus du secteur pétrolier fracassaient des niveaux records.

Terre-Neuve-et-Labrador n’est plus une province pauvre, avait déclaré Danny Williams, premier ministre à l’époque.

Selon Pierre-Marcel Desjardins, directeur de l’École des hautes études publiques de l’Université de Moncton, le retour aux paiements de péréquation ne va pas passer inaperçu à Terre-Neuve-et-Labrador.

Pierre-Marcel Desjardins pose pour une photo.

L'économiste Pierre-Marcel Desjardins

Photo : Radio-Canada / Frederic Michael Cammarano

Il y avait cet élément psychologique, là. C'était un peu pour dire, "On a réussi", [...] que finalement, on était dans la cour des grands, explique le professeur d’économie.

Les redevances pétrolières, qui représentaient le tiers des revenus provinciaux à la fin des années 2000, ont depuis diminué et stagnent autour de 10 % des revenus du gouvernement.

Si nous recevons plus d’argent, c’est une bonne chose

Lundi, la ministre provinciale des Finances, Siobhan Coady, a été particulièrement optimiste quant aux paiements de péréquation.

Si nous recevons plus d’argent, c’est une bonne chose, a-t-elle affirmé devant la Chambre d’assemblée.

Siobhán Coady, debout à un lutrin, des documents devant elle, prononce une allocution à la Chambre d'assemblée.

Siobhán Coady, la ministre des Finances de Terre-Neuve-et-Labrador, en mars dernier.

Photo : La Presse canadienne / Paul Daly

Selon les projections de Trevor Tombe, Terre-Neuve-et-Labrador va continuer à recevoir des paiements de péréquation dans les prochaines années, surtout en raison de l'augmentation de la capacité fiscale de l’Alberta et de la Saskatchewan, qui fait grimper la moyenne nationale.

Cette moyenne-là, c'est la capacité, pas les revenus réels [...] mais la capacité des différentes provinces. Donc ce n'est pas seulement basé, la péréquation, sur ce qui se passe chez nous, mais également ce qui se passe ailleurs, renchérit Pierre-Marcel Desjardins.

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Terre-Neuve recevra un paiement de péréquation pour la première fois en 15 ans - Radio-Canada.ca
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Wednesday, December 13, 2023

Familiprix choisit Nuvei comme partenaire de paiement - Direction Informatique

Nuvei Corporation, une société de technologies financières de Montréal, entreprend un partenariat avec Familiprix, un regroupement de pharmaciens propriétaires québécois qui compte plus de 400 pharmacies affiliées au Québec et au Nouveau-Brunswick. Ce partenariat vise le lancement d’une application de commerce électronique permettant aux pharmaciens affiliés d’accepter des paiements en ligne pour la première fois.

Nuvei permettra aux pharmaciens de Familiprix « d’optimiser leurs opérations de paiement, de maximiser les taux d’acceptation et d’offrir une expérience de paiement fluide et sécurisée à leurs clients de commerce électronique », explique la société. La plateforme de paiement de Nuvei s’appuie sur la technologie Web Store Front et permet aux clients de Familiprix de magasiner en ligne en réglant leurs achats par carte de crédit, ou à l’aide de tout mode de paiement alternatif en usage au Québec.

En outre, Nuvei aidera Familiprix à procéder à l’intégration de nouvelles pharmacies qui se joignent au réseau Familiprix, afin que celles-ci puissent accepter des paiements en ligne de façon efficace. Dans le panneau de contrôle de Familiprix, le compte principal permet de gérer chaque établissement du réseau de succursales indépendantes au moyen d’une seule ouverture de session. Pour leur part, les exploitants de chaque pharmacie ont accès à la solution de tableau de contrôle PayLink de Nuvei.

« Le lancement de notre site de commerce en ligne, supporté par la solution de paiement en ligne sécuritaire de Nuvei, est un énorme virage pour Familiprix et ses membres affiliés », affirme Charles Nadeau, directeur e-commerce et expérience digitale de Familiprix. « Ce projet permettant d’accepter des paiements en ligne pour la première fois représente une évolution importante aux services que nous offrons à notre clientèle. Le déploiement de notre système de paiement en ligne avec l’aide de Nuvei s’est déroulé sans tracas. »

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Portrait des ventes pour non-paiement des taxes - CFNJ

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