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Tuesday, January 31, 2023

Les plans d'Elon Musk pour intégrer le paiement en cryptomonnaies sur Twitter - BFM Crypto

Le milliardaire et patron de Twitter cherche à faire évoluer le réseau social Twitter, en y intégrant des systèmes de paiement, dont très probablement des cryptomonnaies.

Twitter intègrera-t-il bientôt le paiement en cryptomonnaie? Le sujet est de nouveau sur la table. On savait que son patron, le milliardaire Elon Musk, a plaidé en faveur de la monnaie à tête de chien, le dogecoin. Mais là, on a des indications un peu plus nettes sur sa volonté de mettre des cryptomonnaies sur le réseau social Twitter.

En effet, selon le Financial Times, Elon Musk serait en train de lancer un écosystème de paiement pour faire de Twitter une sorte de super application financière. Avec ce nouveau système de financement, Elon Musk espère bien pouvoir générer de nouveaux revenus pour son réseau social, tablant sur plus d'un milliard de dollars de revenus d'ici à 2028.

Depuis plusieurs mois maintenant, le réseau social cherche à obtenir plusieurs licences à ce sujet auprès des autorités américaines, après une première validation du Trésor américain. Ce qui veut dire que l’infrastructure, elle, est déjà prête depuis un moment. Dans un premier temps, il s’agira de pouvoir échanger des devises, comme le dollar ou l’euro. Ce serait une sorte de système intégré, un Paypal de Twitter.

Mais il est évident que dans un second temps, les cryptomonnaies entreront en jeu. Les fonctionnalités qui vont pouvoir permettre de pouvoir le faire semblent d’ores et déjà intégrées. Reste à savoir maintenant quelle cryptomonnaie sera choisie au départ. Difficile d’imaginer de ne pas pouvoir payer en bitcoin, qui reste aujourd'hui la reine des cryptomonnaies. Maintenant, tout le monde regarde la crypto dogecoin, qui a toujours été le petit chouchou d’Elon Musk, celle qu’il appellait la cryptomonnaie du peuple.

A ce stade, ce n'est pas impossible que la monnaie à tête de chien se comporte bien ces derniers jours, justement sur la base d’anticipations à ce sujet. Il y a quelques jours encore, Elon Musk déclarait qu'il serait ravi d’aller se commander un happy meal chez McDonald's et le manger devant les caméras s'il pouvait le payer en dogecoin.

Antoine Larigaudrie édité par PA

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Elon Musk veut que Twitter rivalise avec des services de paiement ... - BlogNT

Elon Musk souhaite désormais que Twitter entre en concurrence avec des services de paiement comme PayPal afin de faire grimper ses revenus. Le milliardaire entrepreneur a sérieusement cherché des solutions pour augmenter les revenus de Twitter.

Depuis qu’il a pris le contrôle du service, il a remanié le service d’abonnement Blue, en vendant des coches de vérification à presque tous les utilisateurs, entre autres caractéristiques exclusives. Et cette fois, le chef des twittos aurait l’intention de faire de Twitter un service de paiement. Twitter Payments n’a pas encore officiellement décollé, mais il semble que Musk travaille à en faire une réalité.

Le Financial Times rapporte que le géant des réseaux sociaux, dont le milliardaire entrepreneur est désormais propriétaire, prend des mesures pour lancer ses services de paiement. Une fois qu’il aura commencé à fonctionner, il pourrait probablement concurrencer d’autres géants du paiement, comme PayPal, que Musk a fondé et vendu il y a plusieurs décennies.

Le média rapporte que Twitter a commencé à demander les dépôts nécessaires au lancement d’un service de paiement. En fait, un dépôt réglementaire a révélé que Twitter s’est enregistré auprès du Trésor américain en novembre dernier, le désignant comme un processeur de paiements. Il semble donc que les formalités administratives aient commencé dès l’année dernière.

Les sources du Financial Times ont également noté que la société a commencé à demander des licences d’État, alors qu’elle se prépare à son lancement.

Twitter rivalisera-t-il bientôt avec des services comme Apple Pay, Google Pay et PayPal ?

Les sources anonymes ont révélé que le directeur de la gestion des produits chez Twitter, Ester Crawford, travaille actuellement sur ses services de paiement. Lui et son équipe auraient commencé à développer toute l’infrastructure nécessaire pour que Twitter ne soit plus seulement un réseau social.

Musk souhaiterait transformer Twitter au-delà de son format de réseau social. Le patron de Tesla prévoit de proposer des services financiers sur la plateforme, notamment des services tels que les cartes de débit et les comptes d’épargne. Selon un rapport de Coin Desk, le chef de Twitter prévoit de proposer des monnaies fiduciaires traditionnelles « avant tout ».

Étant donné cela, les utilisateurs de Twitter Payments devraient opter pour l’utilisation de monnaies ordinaires dans un premier temps. Mais à terme, Musk prévoit de l’étendre aux options non traditionnelles. Les sources du Financial Times affirment que le milliardaire envisage de proposer des crypto-monnaies par la suite.

Twitter Payments concurrencerait essentiellement les géants actuels des paiements comme Apple Pay, Google Pay et PayPal. Ces services permettent aux utilisateurs d’envoyer de l’argent à leurs pairs et offrent des options de paiement en boutique. Mais, il reste à voir si Twitter pourrait rivaliser avec succès avec ces options existantes.

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Monday, January 30, 2023

Euro numérique : la BCE propose la création d'une « app » de ... - Les Échos

Publié le 30 janv. 2023 à 17:19Mis à jour le 30 janv. 2023 à 17:35

La dernière option envisagée par la Banque centrale européenne (BCE) pour mettre en place l'euro numérique pourrait entrer directement en concurrence avec le projet paneuropéen de paiement EPI (pour « European Payment Initiative »). Et les banques ne cachent pas leur mécontentement.

La semaine dernière, Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE , a en effet évoqué devant la Commission des affaires économiques et monétaires du Parlement européen la possibilité de créer une application permettant de payer en euro numérique comme on paie en cash.

« L'Eurosystème envisage une nouvelle application euro numérique, qui ne comprendrait que les fonctionnalités de paiement de base », a-t-il expliqué. Elle permettrait ainsi aux usagers européens de payer en euro numérique.

Pour un usage équivalent à celui du cash

Dans un objectif d'inclusion financière, cette monnaie de banque centrale numérique mise à disposition des particuliers serait accessible, via les banques commerciales, que l'utilisateur soit client ou non d'une banque.

La BCE envisage une application basique qui soit utilisable soit pour payer, soit pour échanger de l'argent avec quelqu'un, comme on le ferait avec des billets de banque. Le compte en euro numérique de l'utilisateur serait séparé de son compte classique de dépôt et limité en termes de montant. Il serait cependant toujours géré au quotidien par les banques commerciales.

Cette idée inquiète toutefois le secteur bancaire, car elle pourrait bousculer le projet paneuropéen de paiement (EPI) qu'une quinzaine d'établissements du Vieux Continent essaient de mettre en place. « On est très clairement dans un projet frontalement concurrent d'EPI », estime un banquier.

Ce projet avait à l'origine pour objectif de concurrencer les américains Visa et Mastercard en créant un système de paiement par carte, mais il a revu ses ambitions à la baisse. Il vise à présent à créer un portefeuille électronique orienté vers le paiement instantané. Un créneau qu'une application telle que décrite par la BCE pourrait directement menacer. EPI, de son côté, préfère relativiser : « Ce n'est pas parce que c'est une solution digitale qui fonctionnerait avec une app que ce serait une concurrence frontale avec EPI, assure un porte-parole. Il faut par exemple noter qu'EPI serait capable d'intégrer l'euro digital ».

Les banques opposées à l'euro numérique

Si EPI affiche sa confiance, c'est aussi que le projet avance, selon nos informations. Notamment sur le projet consistant à s'appuyer sur les solutions techniques proposées par le hollandais iDeal d'un côté et Payconiq, présent en Belgique, de l'autre. La prochaine réunion devrait se tenir courant février. La place française, de son côté, commencerait déjà à envisager la migration de son système Paylib vers EPI.

Au-delà de la concurrence faite à EPI, « les banques sont vent debout contre ce projet d'euro numérique, explique un banquier. La manière dont il est mené est une sorte de hold-up institutionnel de la BCE ».

Plus mesurée, la Fédération bancaire française (FBF) ne cache pas son hostilité sur le fond à l'euro numérique. « Il convient de se demander quelle serait l'utilité d'une monnaie digitale de banque centrale pour les clients, interroge-t-elle. Est-ce que l'euro numérique en tant que monnaie de banque commerciale répond à un argument d'usage ? A un argument de sécurité ? A date, nous n'en avons pas trouvé un qui permettrait de justifier sa mise en place en Europe ».

Les opposants ont encore le temps de travailler leurs arguments : l'euro numérique n'est encore qu'à l'étude. Sa création doit d'abord être décidée par les institutions européennes. La phase de développement n'interviendra pas avant 2027.

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Nigeria : Waza simplifie les paiements transfrontaliers grâce à ses ... - We Are Tech

Dans le but d’aider les entreprises africaines dans la gestion de leurs finances et améliorer l’inclusion financière, les fintech se multiplient sur le continent. C’est le secteur qui attire le plus de capitaux et les tech entrepreneurs y proposent des solutions de plus en plus innovantes.

Waza est une solution fintech développée par une start-up nigériane du même nom. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les commerçants et les chefs d’entreprises, d’effectuer des paiements business-to-business (B2B) entre les pays africains et dans le monde entier. La start-up, basée à Lagos, a été fondée en 2022 par Maxwell Obi et Emmanuel Igbodudu.

« Nous aidons les entreprises africaines, les start-up et le commerce des marchés émergents à gérer leurs problèmes de liquidité, leurs factures et leurs besoins de paiement mondiaux via nos API et notre plateforme web. […] Nous résumons en quelques clics les complexités liées au respect de vos obligations de paiement et à la gestion de vos liquidités sur divers marchés », peut-on lire sur la plateforme.

La solution ne dispose pas d’applications mobiles. Elle se repose sur sa plateforme web, accessible via un navigateur, et sur ses interfaces de programmation pour permettre au commerçant de payer et de recevoir des fonds dans la devise mondiale de son choix, d’envoyer des fonds vers des portefeuilles mobiles et des banques du monde entier, ou encore de créer des factures et de demander aux fournisseurs de payer.

La fintech facilite l’accès aux diverses devises mondiales en aidant à résoudre les besoins de paiement et de liquidité, de manière efficace, abordable et en temps réel. La création d’un compte sur la plateforme permet d’accéder à un tableau de bord depuis lequel il est possible d’avoir une idée de toutes les opérations financières engagées et en cours. Cette inscription donne droit aux clés de l’interface de programmation, indispensable aux développeurs pour la mise en place du système.

Waza a été sélectionné pour figurer dans la cohorte Hiver 2023 de l’accélérateur californien Y Combinator. Cette sélection permet à la fintech de toucher 500 000 $ et d’accéder à du mentorat et aux investisseurs potentiels à la recherche de projets intéressants parmi les jeunes pousses sélectionnées.

Adoni Conrad Quenum

Lire aussi : Au Kenya, Lipana assure la comptabilité des petites et moyennes entreprises

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Saturday, January 28, 2023

Salaire : quand le paiement doit-il intervenir ? - Force Ouvrière

Pour les salariés mensualisés, le paiement du salaire doit intervenir au moins une fois par mois. Pour ceux qui ne sont pas mensualisés (ex : saisonnier, salarié temporaire, intermittent ou travaillant à domicile), le salaire doit être versé au moins deux fois par mois, à 16 jours au plus d’intervalle (art. L 3241-1 et s. du code du travail).

Lorsqu’un salarié mensualisé en fait la demande, l’employeur est tenu de lui verser un acompte correspondant, pour une quinzaine, à la moitié de la rémunération mensuelle.

Si l’employeur doit nécessairement respecter la fréquence de versement du salaire, aucune date de paiement ne lui est imposée, sauf disposition prévue par accord d’entreprise ou convention collective. L’employeur peut payer le salarié à la fin du mois ou durant le mois qui suit.

Le salaire est payé en espèces ou par chèque barré ou par virement sur un compte bancaire ou postal dont le salarié est le titulaire ou le cotitulaire. Le salarié ne peut désigner un tiers pour recevoir son salaire. Lorsque le salaire est supérieur à 1 500 €, le salaire est obligatoirement payé par chèque barré ou par virement.

Sauf en cas de paiement par virement, le salaire est payé sur le lieu de travail pendant les heures de travail.

Si le salarié a moins de 18 ans, ses parents ou son tuteur peuvent demander à recevoir son salaire à sa place.

Une fiche de paie doit obligatoirement être remise au salarié.

L’employeur qui ne paie pas le salarié ou ne le paie qu’en partie ou avec retard commet une infraction pénale. Le défaut de paiement du salaire à la date prévue est passible d’une amende maximale de 450 € par salarié concerné (art. R 3246-1 du code du travail).

Si l’employeur ne paie pas le salaire, il revient au salarié de le mettre en demeure de reprendre le paiement de celui-ci par LRAR, sous un certain délai.

Si à l’expiration de ce délai, l’employeur s’obstine à ne pas reprendre le paiement du salaire, le salarié peut saisir, en référé, le CPH pour qu’il ordonne à l’employeur, éventuellement sous astreinte, de verser les sommes dues au salarié. Des dommages-intérêts peuvent également être versés au salarié s’il démontre un préjudice particulier distinct de celui résultant du non-paiement du salaire (ex : frais bancaires pour dépassement du découvert, non-paiement des échéances de prêt…).

Le salarié peut aussi cesser d’exécuter sa prestation de travail tant que l’employeur n’aura pas repris le paiement du salaire. A noter que le salarié qui se tient à la disposition de son employeur a droit au paiement de son salaire, peu important notamment que ce dernier ne lui fournisse pas de travail (Cass. soc., 26-1-05, n°03-40662).

Le salarié bénéficie d’un délai de 3 ans pour effectuer une demande de paiement du salaire, ce délai courant à compter du jour où le salarié aurait dû être payé. Si la saisine du CPH interrompt le délai de prescription, une simple demande de paiement du salaire auprès de l’employeur n’a aucune incidence sur l’écoulement du délai de prescription.

Pour conclure, il faut noter qu’en cas de non-paiement du salaire qui perdure dans le temps, le salarié peut également prendre acte de la rupture de son contrat de travail ou introduire une demande de résiliation judiciaire du contrat de travail devant le CPH. Si les faits invoqués à l’appui de la prise d’acte ou de la demande de résiliation judicaire sont justifiés, la rupture produira les effets d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse soumis au barème de l’article L 1235-3 du code du travail. Dans le cas contraire, la rupture s’analysera en une démission.

Lorsque l’employeur verse une rémunération au salarié supérieure à ce qu’il peut réellement prétendre, celui-ci est fondé à demander le remboursement du trop-perçu, y compris lorsque ce trop-perçu a été versé, par erreur, pendant plusieurs années. L’employeur peut opérer des retenues sur le salaire La retenue sur salaire opérée par l’employeur ne peut excéder 10 % du salaire net, sauf si le salarié a donné son accord écrit (Cass. soc., 3-11-11 n°10-16660). La retenue est effectuée chaque mois sur le bulletin de paie, jusqu’à remboursement complet de la somme.

Attention, le fait de dissimuler de manière volontaire et persistante à l’employeur l’existence d’un trop-perçu de rémunération, y compris après la réclamation par l’employeur du trop-perçu pour une partie de la période concernée, peut constituer une faute grave rendant impossible le maintien du salarié dans l’entreprise (Cass. soc., 11-9-19, n°18-19522).

L’employeur peut demander le remboursement du trop-perçu dans la limite de la prescription des salaires, soit 3 ans. Le bulletin de paie doit mentionner le montant de la retenue et sa nature.

Lorsque le salarié aura remboursé le trop-perçu, il pourra déduire la somme en question sur sa déclaration d’impôt l’année pendant laquelle il a effectué le remboursement.

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Friday, January 27, 2023

L'Ontario étend le paiement des crédits PRESTO à un plus grand ... - Ontario Newsroom

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L'Ontario étend le paiement des crédits PRESTO à un plus grand ...  Ontario Newsroom
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Nigeria : la Banque centrale lance la première carte de paiement ... - Financial Afrik

Le Nigeria a lancé, jeudi 26 janvier, un système national de cartes nationales connu sous le nom d’AfriGo, afin de stimuler l’inclusion financière dans le pays et de réduire la dépendance aux cartes étrangères. La carte est conçue pour répondre aux particularités locales que les produits de carte existants n’ont pas réussi à résoudre, a déclaré le gouverneur de la Banque centrale (CBN), Godwin Emefiele, lors du lancement. L’initiative fait suite à la décision du régulateur, l’année dernière, d’éliminer progressivement les anciens billets de banque à valeur nominale supérieure. Godwin Emefiele a déclaré que la politique sans numéraire de la

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Wednesday, January 25, 2023

8 méthodes de paiement new-look - Ecommerce Magazine

À propos

EcommerceMag.fr est le site de la marque media E-commerce. Créee en 2005, appartenant à Netmedia Group, le magazine, son site et ses événements couvrent l’ensemble de l’actualité du retail : enseignes de la distribution spécialisée et de la grande distribution, e-commerce ainsi que celle des start-up du retail, la consommation, les nouveaux concepts de magasins et les stratégies RSE. L’ensemble de la chaîne du commerce unifié est traité : supply chain, paiements, marketing, innovations… A travers ses enquêtes, portraits, interviews, études de cas, reportages à l'étranger, couverture de salons, fiches pratiques et outils, les journalistes expérimentés de la rédaction décortiquent quotidiennement les tendances, problématiques et enjeux du secteur. Le site s’adresse aux e-commerçants, retailers, marques, logisticiens, PME, prestataires du web.

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A Paris, Bergère devient la première pharmacie française à accepter ... - BFM Crypto

Tous les produits de santé pourront être payés en cryptomonnaies dans cette pharmacie située dans le Xème arrondissement de Paris, a confirmé son propriétaire Michael Cohen à BFM Crypto.

La pharmacie Bergère française située dans le Xème arrondissement de Paris, accepte désormais les paiements en cryptomonnaies. La pharmacie membre du groupement IPharm vient de nouer un partenariat avec la solution Lyzi, qui avait déjà permis il y a quelques mois au centre Beaugrenelle à Paris d'accepter les paiements en cryptomonnaies.

"Nous sommes en 2023, les cryptomonnaies sont des monnaies de plus en plus courantes sur le web et il était important pour moi de proposer ce service de paiement physique à mes clients, qu'ils soient français ou internationaux", a déclaré Michael Cohen, pharmacien propriétaire de la Pharmacie Bergère.

Tous les produits de santé pourront être payés en cryptomonnaies, a confirmé Michael Cohen à BFM Crypto. La pharmacie "est un lieu que les Français côtoient presque au quotidien. A travers ce premier partenariat nous ambitionnons de démontrer la simplicité du paiement en crypto pour tous les besoins du quotidien", a précisé de son côté Damien Patureaux, patron de Lyzi.

A ce jour, il reste complexe d'utiliser les cryptomonnaies pour payer des services du quotidien. Mais Lyzi entend résoudre cette problématique en proposant une application qui réalise une réversion en "devise locale directement sur le compte du professionnel". Comment fonctionne Lyzi? Sur son site web, il est précisé qu'il faut "indique(r) le montant en euros sur l’application, l’équivalence en crypto-monnaie s’affiche sur l’écran et génère un QR code. Le commerçant partenaire n’a qu’à scanner le QR code pour valider la transaction et être payé en euros".

Première pharmacie physique

Il s'agit de la première pharmacie physique à accepter le paiement en cryptomonnaie en France. Il y a quelques années, certains sites en ligne de pharmacies (proposant principament des produits dits de parapharmacie) permettaient le paiement en cryptomonnaies selon le site Bitcoin.fr. Mais ces initiatives semblent avoit été abandonnées depuis.

Par exemple, en 2014, medicament.com, une pharmacie en ligne agréée par l’Agence régionale de santé (ARS), et affilé à une pharmacie dans les Yvelines, était le premier site à accepter le bicoin comme moyen de paiement en France. Contacté par BFM Crypto, cette pharmacie ne confirme pas si des transactions en bitcoin ont été réalisées à l'époque. Et à ce jour, elle n'accepte plus le paiement en cryptomonnaies.

Ce n'est pas la première fois qu'une pharmacie accepte les paiements en cryptomonnaies en Europe. Récemment, l'une des plus grandes chaînes de pharmacies ukrainiennes, ANC Pharmacy, a annoncé permettre à ses clients de payer en cryptomonnaies. Les clients n'auront qu'à télécharger l'application Binance, puis payer leurs produits de santé avec l'application Binance Pay. La chaîne exploite à ce jour plus de 1.000 pharmacies.

Bien avant, d'autres pharmacies s'étaient déjà mises aux cryptos en Europe. Par exemple, c'est le cas depuis 2017 de la pharmacie anglaise et en ligne MedExpress ou encore de la pharmacie italienne Pharmacie Aliberti. Les pharmacies américaines sont aussi sur ce créneau depuis plusieurs années.

Pauline Armandet

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A Paris, Bergère devient la première pharmacie française à accepter le paiement en cryptomonnaies - BFM Crypto

Tous les produits de santé pourront être payés en cryptomonnaies dans cette pharmacie située dans le Xème arrondissement de Paris, a confirmé son propriétaire Michael Cohen à BFM Crypto.

La pharmacie française Bergère, membre du réseau IPhar et située dans le Xème arrondissement de Paris, accepte désormais les paiements en cryptomonnaies. Elle vient de nouer un partenariat avec la solution Lyzi, qui avait déjà permis il y a quelques mois au centre Beaugrenelle à Paris d'accepter les paiements en cryptomonnaies.

"Nous sommes en 2023, les cryptomonnaies sont des monnaies de plus en plus courantes sur le web et il était important pour moi de proposer ce service de paiement physique à mes clients, qu'ils soient français ou internationaux", a déclaré Michael Cohen, pharmacien propriétaire de la Pharmacie Bergère.

Tous les produits de santé pourront être payés en cryptomonnaies, a confirmé Michael Cohen à BFM Crypto. La pharmacie "est un lieu que les Français côtoient presque au quotidien. A travers ce premier partenariat nous ambitionnons de démontrer la simplicité du paiement en crypto pour tous les besoins du quotidien", a précisé de son côté Damien Patureaux, patron de Lyzi.

A ce jour, il reste complexe d'utiliser les cryptomonnaies pour payer des services du quotidien. Mais Lyzi entend résoudre cette problématique en proposant une application qui réalise une réversion en "devise locale directement sur le compte du professionnel". Comment fonctionne Lyzi? Sur son site web, il est précisé qu'il faut "indique(r) le montant en euros sur l’application, l’équivalence en crypto-monnaie s’affiche sur l’écran et génère un QR code. Le commerçant partenaire n’a qu’à scanner le QR code pour valider la transaction et être payé en euros".

Première pharmacie physique

Il s'agit de la première pharmacie physique à accepter le paiement en cryptomonnaie en France. Il y a quelques années, certains sites en ligne de pharmacies (proposant principament des produits dits de parapharmacie) permettaient le paiement en cryptomonnaies selon le site Bitcoin.fr. Mais ces initiatives semblent avoit été abandonnées depuis.

Par exemple, en 2014, medicament.com, une pharmacie en ligne agréée par l’Agence régionale de santé (ARS), et affilé à une pharmacie dans les Yvelines, était le premier site à accepter le bicoin comme moyen de paiement en France. Contacté par BFM Crypto, cette pharmacie ne confirme pas si des transactions en bitcoin ont été réalisées à l'époque. Et à ce jour, elle n'accepte plus le paiement en cryptomonnaies.

Ce n'est pas la première fois qu'une pharmacie accepte les paiements en cryptomonnaies en Europe. Récemment, l'une des plus grandes chaînes de pharmacies ukrainiennes, ANC Pharmacy, a annoncé permettre à ses clients de payer en cryptomonnaies. Les clients n'auront qu'à télécharger l'application Binance, puis payer leurs produits de santé avec l'application Binance Pay. La chaîne exploite à ce jour plus de 1.000 pharmacies.

Bien avant, d'autres pharmacies s'étaient déjà mises aux cryptos en Europe. Par exemple, c'est le cas depuis 2017 de la pharmacie anglaise et en ligne MedExpress ou encore de la pharmacie italienne Pharmacie Aliberti. Les pharmacies américaines sont aussi sur ce créneau depuis plusieurs années.

Pauline Armandet

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Tuesday, January 24, 2023

Monday, January 23, 2023

L'Ontario étend le paiement des crédits PRESTO à un plus grand ... - Ontario Newsroom

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Encore un système de paiement basé sur la blockchain - Cointribune

Red Date Technology est une société d’infrastructure blockchain. L’entreprise s’occupe actuellement de la réalisation d’un projet blockchain pour la Chine. Parallèlement, elle a lancé un système innovant lors de l’édition 2023 du Forum économique mondial (WEF) à Davos, en Suisse. Découvrez ce projet blockchain axé sur les stablecoins et les CBDC.

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Un système de type SWIFT pour les CBDC

Actuellement, il existe un fossé entre les stablecoins et les monnaies numériques de banques centrales. En vue de combler ce dernier, une entreprise spécialisée en blockchain et basée à Hong Kong a lancé un système. Reddit a rapporté cette information à travers une publication ce 23 janvier 2023. Il apparait que la société Red Date Technology a lancé, le 19 janvier à Davos, un système paiement numérique.

La nouvelle solution vise à constituer le SWIFT des CBDC et des stablecoins. Il s’agit spécifiquement d’un réseau de paiement numérique universel (UDPN). Le système a été conçu en collaboration avec la société d’ingénierie technologique GFT Technologies.

Un nouveau système de paiement

Il y a également eu la contribution de la plateforme TOKO qui est spécialisée en création d’actifs numériques. La plateforme en question appartient au cabinet d’avocats DLA Piper.

Le livre blanc de l’UDPN indique qu’il s’agit d’une plateforme de technologie de grand livre distribué (DLT). L’objectif du nouveau système est similaire à celui du réseau SWIFT dédié aux banques. Un communiqué de presse parlant de la nouvelle plateforme indique : « Tout comme le réseau SWIFT a créé la norme commune originale pour la messagerie entre les institutions financières à travers différents systèmes de règlement, l’UDPN servira le même objectif pour la génération émergente de CBDC et de stablecoins ».

Les promoteurs de la nouvelle solution de paiement numérique ont déclaré que certaines entités sont déjà impliquées dans le projet. Concrètement, un « certain nombre de banques de niveau 1 » va tester le réseau dans les transferts et les swaps transfrontaliers. Pour ce faire, des cas d’utilisation de preuves de concepts (PoC) sont mis en place.

Aucune précision n’a été apportée sur les banques participant aux PoC. Toutefois, les banques suivantes ont été représentées lors du lancement du système à Davos : Deutsche Bank, The Bank of East Asia, HSBC, Akbank et Standard Chartered.

L’UDPN ne prendra en charge que les CBDC et les stablecoins adossés à des monnaies fiat. Il faudra tout de même que ces stablecoins soient réglementés en tant que méthodes de paiement. « Aucune crypto de blockchain publique non réglementée, telle que le bitcoin, ne sera acceptée », peut-on lire dans le livre blanc du nouveau système.

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Luc Jose Adjinacou avatar
Luc Jose Adjinacou

Loin d’avoir refroidi mes ardeurs, un investissement infructueux en 2017 sur une cryptomonnaie n’a fait qu’accroitre mon enthousiasme. Je me suis dès lors résolu à étudier et comprendre la blockchain et ses nombreux usages et à relayer avec ma plume de l’information relative à cet écosystème.

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Les tendances dans le paiement en 2023 - Baromètre & Etude > Paiements - EcommerceMag.fr - Ecommerce Magazine

La transition mondiale des paiements en espèces vers les paiements électroniques s'est poursuivie en 2022. Visa relève certaines tendances 2023 d'un monde en transition.

Les voyages font leur retour, ainsi que les dépenses qui vont avec

2022 enregistre un rebond des voyages. La France restant l'une des destinations les plus populaires à travers le monde. Paris reste en particulier une "destination incontournable", 73 % des touristes souhaitant visiter la capitale française. Une étude récente de GfK pour Visa révèle par ailleurs que 95 % des touristes s'attendent à pouvoir payer par carte (et 60 % à le faire avec leur smartphone) lorsqu'ils visitent la France.

60 % des touristes en voyage en France désirent payer via leur smartphone

72 % des touristes étrangers ont l'intention de faire du shopping en France : si les grands magasins arrivent en tête (65 %), les petites boutiques et les commerces artisanaux locaux arrivent juste après dans leurs intentions d'achat (62 % et 56 %).

Des consommateurs plus enclins à adopter des comportements durables

Selon l'étude GfK pour Visa ? 76 % des touristes déclarent "recycler à la maison" mais ne sont que 61 % à le faire en voyage. Les Allemands sont les plus performants à cet égard, avec 67 % de personnes "très intéressées par l'environnement", au point de changer leurs habitudes.

En 2023, davantage de consommateurs joignent le geste à la parole à mesure que plusieurs options deviennent disponibles. La commodité joue un rôle clé pour aider les consommateurs à choisir de manière durable dans leur vie quotidienne, selon l'étude Visa. La possibilité de payer les transports en commun à l'aide d'une carte de crédit, de débit ou prépayée sans contact, ou d'un dispositif de paiement, signifie que les gens n'ont plus besoin d'immobiliser des fonds sur une carte de transport dédiée, un billet papier, ou de chercher de l'argent liquide, lorsqu'ils choisissent de ne pas prendre leur voiture. Sur ce point, l'enquête Visa sur l'avenir de la mobilité urbaine que 86 % des personnes interrogées en France déclarent que la durabilité joue un rôle dans leur décision d'utiliser les transports en commun.

Le B2B devient 3.0

Autre tendance à venir, celle d'une version 3.0 des paiements entre entreprises, où la nouvelle frontière du commerce interentreprises mondial sera entièrement numérique, sécurisée, rapide, flexible et transparente.

Les cartes virtuelles permettent de rationaliser les paiements et les opérations des entreprises.

En 2023 la numérisation des processus commerciaux continue d'accélérer les transactions interentreprises et les offres de paiement intégrées au-delà des chèques et des factures papier. Les équipes chargées des comptes clients constatent déjà les avantages de l'envoi de factures électroniques et de la réception de paiements électroniques. Les banques, les processeurs et les réseaux continuent de progresser dans les cas d'utilisation potentielle des cartes virtuelles. Cette dynamique d'innovation se poursuit à mesure que l'écosystème fournit davantage de caractéristiques et de fonctionnalités pour rationaliser les paiements et les opérations des entreprises.

Les cryptomonnaies poursuivent leurs innovations

Bien que l'avenir demeure incertain, pendant l'hiver cryptoactuel, Visa s'attend à ce qu'un certain nombre de solutions peu durables soient abandonnées, alors que d'autres se concentrent sur une approche mesurée et conforme aux récents développements technologiques continuent à construire des solutions Web3.

Dans l'immédiat, les gouvernements, les banques centrales, les institutions financières traditionnelles et les fintechs concernant la monnaie et les paiements électroniques poursuivent leur développement dans le Web3. Des cas d'utilisation de paiements Web3 significatifs se profilent à l'horizon : ils comprennent les paies et les micropaiements en continu et les décaissements transfrontaliers.

La fraude s'adapte au monde omnicanal

Alors que de plus en plus de personnes dans le monde adoptent un style de vie "hybride", les fraudeurs suivent la cadence, adaptant leurs tactiques et trouvent de nouvelles façons d'escroquer les consommateurs.

Cela signifie que la sécurité et la confiance demeurent essentielles. De nouvelles percées en matière d'authentification pour la protection des utilisateurs, comme EMV 3D Secure (EMV 3DS), contribuent à sécuriser le commerce en ligne en temps réel à travers le monde. Les méthodes et solutions de paiement électronique telles que les cartes virtuelles continuent à faciliter et à sécuriser toutes les opérations. Les entreprises sont également plus conscientes de l'importance d'investir dans des outils de sécurité pour prévenir la fraude et dans des polices d'assurance qui pourraient contribuer à atténuer l'impact d'une violation.

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Les tendances dans le paiement en 2023 - Baromètre & Etude > Paiements - EcommerceMag.fr - Ecommerce Magazine
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Retards de paiement : les mauvais payeurs sanctionnés par la Banque de France - Capital.fr

Les mauvais payeurs mis à l'amende. La Banque de France a commencé en 2022 à abaisser la note de crédit de certaines entreprises affichant des retards de paiement indus sur 2021, conformément à ce qu'elle avait annoncé, selon un bulletin publié lundi. La banque centrale a toutefois limité l'an dernier le champ d'application de cette nouvelle mesure, 2022 étant considérée comme "une année de sensibilisation pour les entreprises". Ainsi les sociétés ciblées par l'institution "étaient des filiales d'entreprises intermédiaires (ETI) ou de grandes entreprises en excellente santé financière", soit 1.680 entités. "A la fin de la campagne de cotation 2022, la cote de près de 10% d'entre elles a été dégradée d’un cran par rapport à une situation sans délais de règlement excessifs", ce qui fait environ 150 entreprises qui ont vu leur cote baisser.

Les grands groupes, dont les paiements avec des retards au-delà de la limite légale de 60 jours sont restés en 2021 très supérieurs à ceux des PME, ont été épargnés s'ils avaient fait diminuer ces retards, a expliqué à l'AFP Emilie Quema, directrice des entreprises à la Banque de France. Par ailleurs, "à partir du moment où l'entreprise est capable de justifier pourquoi elle a des délais élevés, on ne la dégrade pas", a aussi précisé cette responsable. Devant la commission des Finances du Sénat, le 11 janvier, le gouverneur de la Banque de France avait annoncé que le nombre d'entreprises examinées serait triplé en 2023. "L'allongement des délais de paiement aux PME et TPE de la part de certaines entreprises de plus grande taille n'est évidemment pas acceptable.

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À LIRE AUSSI Les retards de paiement entre entreprises se sont raccourcis en 2021

16 milliards d'euros de trésorerie

Selon nos estimations, ce sont 16 milliards d'euros de trésorerie qui seraient indûment captés par ces grandes entreprises", avait déclaré François Villeroy de Galhau à cette occasion. La Banque de France n'a pas encore publié de chiffres sur les délais de paiement pour l'année 2022. La DGCCRF (Répression des fraudes) avait annoncé en août dernier une augmentation au premier semestre 2022 du nombre d'amendes administratives pour non-respect des délais de paiement, mais pour un montant cumulé en baisse.

Pour l'année 2021, la Banque de France a constaté une réduction des délais de paiement. Selon le bulletin publié lundi, "les grandes entreprises devront poursuivre la tendance initiée en 2021 afin d'effacer la progression particulièrement forte de leurs délais fournisseurs constatée en 2020 avec le choc lié à la crise sanitaire de la Covid‑19". Le délai moyen restait quand même en 2021 de 70,7 jours pour les grands groupes, contre 47,9 jours pour les PME.

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Sunday, January 22, 2023

Consommation : Pourquoi les chéquiers sont devenus un mode de paiement « sensible » - 20 Minutes

L’utilisation du chèque ne cesse de diminuer depuis deux décennies, au profit notamment de la carte bancaire et des moyens de paiement digitaux. D’après les chiffres de la Banque de France, ils ne représentaient plus que 5 % des transactions scripturales (tout ce qui n’est pas pièces et billets) en 2020. Il n’empêche, il est parfois difficile de s’en passer !

Or, selon les données 2021 de l’Observatoire de la sécurité des moyens de paiement, cela fait quatre ans que le chèque est le mode de paiement le plus fraudé, juste devant la CB. Pour cette année-là, on recense quelque 465 millions d’euros d’opérations frauduleuses, sachant que 161 millions d’euros de remises frauduleuses ont pu être neutralisés. Les pertes et vols représentent la majorité des sources de fraude, devant la falsification et le détournement.

Les réflexes de sécurité

Pour éviter que des escrocs n’utilisent vos chèques, il faut être particulièrement vigilant. Ne laissez jamais votre chéquier dans votre véhicule et évitez de le conserver au même endroit que votre pièce d’identité. De même, terminez votre carnet avant d’en commencer un nouveau, de façon à limiter le nombre de chéquiers en votre possession et consultez régulièrement votre compte (au moins une fois par semaine) pour vérifier que tout est en ordre.

En cas de retard anormal dans la réception de votre chéquier ou si vous ne trouvez plus ce dernier, contactez rapidement votre banque et faites opposition au besoin.Au moment d’émettre un chèque, vous devez veiller à le remplir avec soin pour éviter les risques de falsification. Pour cela, utilisez de préférence un stylo à bille noir sans encre (plus difficile à maquiller), écrivez bien au début de chaque ligne ou case et tirez un trait à l’horizontal sur la partie non remplie pour éviter tout ajout ultérieur de somme.

Utilisez de préférence un stylo à bille noir sans encre (plus difficile à maquiller)
Utilisez de préférence un stylo à bille noir sans encre (plus difficile à maquiller) - iStock

Pour plus de sécurité, mieux vaut encore indiquer le montant en chiffres avec les centimes, même s’il s’agit d’un chiffre rond (comme 100,00 euros par exemple). N’oubliez évidemment pas de préciser la date et le lieu, puis de signer votre chèque.

En tant que destinataire, évitez autant que possible de recevoir des paiements par ce moyen. Si c’est le cas, vérifiez que le chèque est rempli correctement et encaissez-le au plus vite en inscrivant votre numéro de compte au dos et en le signant.

Enfin, dans le cas particulier des chèques de banque, vous devez vous assurer qu’il comporte bien le filigrane de sécurité et contacter la banque émettrice pour lui demander confirmation de la transaction.

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Saturday, January 21, 2023

Vol d'essence : le Groupe Guérette se tourne vers le paiement ... - L'Express - Drummondville

AFFAIRES. Les quatre stations du Groupe Guérette de Drummondville ont récemment apposé des affiches sur leurs pompes à essence. Les automobilistes doivent maintenant payer leur essence à la pompe ou au comptoir. Le copropriétaire Guy Guérette avoue ne pas avoir eu le choix en raison des vols récurrents.

«Ce n’est pas de gaité de cœur que je fais ça. On perd entre 700 $ et 800 $ par mois, par commerce. Avec 11 stations, dont quatre à Drummondville, ça fait de grosses pertes, car la marge de profit est vraiment minime pour nous», a lancé d’entrée de jeu M. Guérette.

«C’est très difficile de retracer les voleurs, car ils cachent la plaque d’immatriculation. C’est encore une fois les bons qui paient pour les méchants», a-t-il ajouté.

Le paiement d’avance est bien implanté aux États-Unis et dans les stations commerciales comme Costco. Selon Guy Guérette, l’habitude va venir. «Les gens peuvent payer à la pompe ou entrer faire préapprouver la transaction. C’est certain que ça ne fait pas l’affaire de tout le monde, mais on est rendu là. À Magog, par exemple, pratiquement toutes les stations d’essence demandent à leurs clients de payer avant. Sous peu, ce sera étendu à tout le monde. On demande juste aux gens d’être compréhensifs», a ajouté M. Guérette.

Lors du passage de L’Express à une station du boulevard Saint-Joseph, des clients ont soutenu comprendre la situation, même si cela ne fait encore partie des mœurs.

«Avec les cartes (de débit ou crédit), c’est facile. J’arrête ici pour m’acheter des cigarettes et des petits lunchs, alors je paie avant de ressortir. Ça ne change rien pour moi», a souligné un client.

Un autre n’avait même pas remarqué l’avis apposé sur la pompe à essence. «Tu me l’apprends! Je paie toujours avec ma carte, alors ça ne sera pas bien différent pour moi», a-t-il terminé.

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Utilisez-vous le paiement sans contact ? Parce que certains Français ont encore du mal, selon cette étude - Clubic

Paiement sans contact © © Unsplash
© Unsplash

Si le paiement NFC entre petit à petit dans les mœurs des Français, l'adoption de ce nouveau mode de règlement n'est pas aussi rapide que chez nos voisins européens.

Pour beaucoup, le paiement sans contact, qu'il soit réalisé avec sa carte bancaire ou depuis son smartphone, est devenu un réflexe. Une étude vient toutefois démontrer que son adoption n'est pas aussi évidente pour l'ensemble des Français.

Une progression continue, boostée par la crise sanitaire

La société SumUp, qui commercialise des terminaux de paiement mobiles pour les commerçants, a réalisé une étude complète sur le sujet qui nous apprend plusieurs choses.

En 2022, 68 % des Français déclarent utiliser régulièrement le paiement sans contact, une hausse de 3 % en un an. La crise sanitaire en 2020, ainsi que le relèvement de la limite de paiement, de 30 à 50 euros, a visiblement encouragé de plus en plus de clients à régler leurs achats sans insérer leur carte bancaire dans le terminal de paiement.

Les régions Île-de-France et Hauts-de-France sont celles avec le taux d'adoption le plus fort, 76,9 % des sondés déclarent, en effet, utiliser souvent ce mode de paiement. Les Pays de la Loire, la Bretagne et la région Centre-Val de Loire suivent dans le classement.

La croissance est néanmoins très forte dans d'autres régions, comme la Bretagne (+8,9 %), la Corse (+6,9 %) et la Normandie (+6,3 %).

Une adoption encore lente, et un panier moyen en baisse sur 2022

Cette bonne dynamique n'est toutefois pas aussi forte que chez nos voisins. Au Royaume-Uni, ce sont 90 % des personnes interrogées qui déclarent utiliser le paiement sans contact. En Suisse ils sont 85 % à avoir adopté le règlement NFC, contre 78 % en Italie. Seule l'Allemagne est derrière la France avec un taux d'adoption de « seulement » 67 %.

Le panier moyen, étudié chez les restaurateurs, est également en baisse de 2,6 % avec un montant de 28,3 euros en 2022. Il était de 29,1 euros en 2021. Au plan national, tous secteurs d'activité confondus, le panier moyen chute de 3,8 %. Les Pays de la Loire et les Hauts-de-France sont les régions où le montant moyen dépensé tombe le plus lourdement. Cela peut s'expliquer par l'inflation qui a mis sous pression le pouvoir d'achat des Français qui ne préfèrent plus multiplier les petites dépenses.

Source : étude SumUp

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Friday, January 20, 2023

Vol d'essence : le Groupe Guérette se tourne vers le paiement ... - L'Express - Drummondville

AFFAIRES. Les quatre stations du Groupe Guérette de Drummondville ont récemment apposé des affiches sur leurs pompes à essence. Les automobilistes doivent maintenant payer leur essence à la pompe ou au comptoir. Le copropriétaire Guy Guérette avoue ne pas avoir eu le choix en raison des vols récurrents.

«Ce n’est pas de gaité de cœur que je fais ça. On perd entre 700 $ et 800 $ par mois, par commerce. Avec 11 stations, dont quatre à Drummondville, ça fait de grosses pertes, car la marge de profit est vraiment minime pour nous», a lancé d’entrée de jeu M. Guérette.

«C’est très difficile de retracer les voleurs, car ils cachent la plaque d’immatriculation. C’est encore une fois les bons qui paient pour les méchants», a-t-il ajouté.

Le paiement d’avance est bien implanté aux États-Unis et dans les stations commerciales comme Costco. Selon Guy Guérette, l’habitude va venir. «Les gens peuvent payer à la pompe ou entrer faire préapprouver la transaction. C’est certain que ça ne fait pas l’affaire de tout le monde, mais on est rendu là. À Magog, par exemple, pratiquement toutes les stations d’essence demandent à leurs clients de payer avant. Sous peu, ce sera étendu à tout le monde. On demande juste aux gens d’être compréhensifs», a ajouté M. Guérette.

Lors du passage de L’Express à une station du boulevard Saint-Joseph, des clients ont soutenu comprendre la situation, même si cela ne fait encore partie des mœurs.

«Avec les cartes (de débit ou crédit), c’est facile. J’arrête ici pour m’acheter des cigarettes et des petits lunchs, alors je paie avant de ressortir. Ça ne change rien pour moi», a souligné un client.

Un autre n’avait même pas remarqué l’avis apposé sur la pompe à essence. «Tu me l’apprends! Je paie toujours avec ma carte, alors ça ne sera pas bien différent pour moi», a-t-il terminé.

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Thursday, January 19, 2023

Risque de défaut de paiement aux États-Unis : Biden ne négociera ... - Radio-Canada.ca

Le président américain Joe Biden prend la parole.

Les États-Unis atteindront jeudi le plafond d’endettement autorisé par le Congrès.

Photo : Getty Images / Mark Makela

Agence France-Presse

Le président américain Joe Biden ne mènera « pas de négociations » avec l'opposition républicaine pour qu'elle consente à une manœuvre législative afin d'éviter un défaut de paiement des États-Unis, a prévenu mercredi sa porte-parole.

Il n'y aura pas de négociations sur le plafond d'endettement. Nous ne ferons pas cela, a dit la porte-parole de l'exécutif Karine Jean-Pierre lors de son point presse quotidien alors que la situation financière des États-Unis pourrait rapidement devenir critique.

Elle a dit estimer que c'est la responsabilité constitutionnelle du Congrès d'agir au-delà des clivages partisans et sans conditions. Cette question ne doit pas être utilisée pour des manœuvres politiques, a affirmé Karine Jean-Pierre.

Madame Jean-Pierre lors d'un point de presse à la Maison-Blanche.

La porte-parole de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre

Photo : AFP / ANDREW CABALLERO-REYNOLDS

Obéissant à une règle qui n'a pas d'équivalent parmi les économies développées, le Congrès américain doit régulièrement voter pour relever le plafond d'endettement public de la première puissance mondiale.

« Mesures extraordinaires »

Sans cela, les États-Unis pourraient être en défaut de paiement, c'est-à-dire ne plus pouvoir honorer le remboursement de certaines créances ou des intérêts associés, ce qui précipiterait la finance américaine et mondiale en terre inconnue. Or, la secrétaire au Trésor Janet Yellen a déjà averti que faute d'accord politique, son ministère devrait mettre en œuvre des mesures extraordinaires dès jeudi pour éviter temporairement un tel scénario.

Les républicains, qui contrôlent désormais la Chambre des représentants − le Sénat, l'autre chambre du Congrès, est quant à lui à majorité démocrate −, menacent de jouer la montre pour tenter de forcer le parti du président à revenir sur certaines dépenses.

La limite actuelle, établie à 31 381 milliards de dollars, avait été fixée par le Congrès en décembre 2021 à l'issue de discussions tendues. Avant cela, les législateurs avaient relevé ou suspendu le plafond 78 fois depuis 1960, le plus souvent sans difficulté particulière.

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Fonction publique : Un grief pour le paiement des jours de maladie ... - SPGQ

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L'application blockchain de paiement des recharges des VE lève ... - Cryptonews FR

Des propriétaires refusent des paiements comme tactique d'éviction - Le Devoir

Des locataires doivent se battre devant les tribunaux pour contester une éviction pour non-paiement de loyer, alors que c’est en fait leur propriétaire qui n’a pas encaissé leur paiement, relèvent des avocats en droit du logement. Ils constatent d’ailleurs que les tactiques utilisées par les propriétaires pour se débarrasser de locataires de longue date « se raffinent » de plus en plus.

Le locataire montréalais Giovanni Di Sclafani, qui demeurait depuis 1967 dans un appartement du quartier Saint-Michel, a d’abord fait l’objet d’un jugement du Tribunal administratif du logement (TAL), en mai 2020, qui a ordonné son éviction pour des retards dans le paiement du loyer.

Le dossier se retrouve toutefois ensuite devant la Cour du Québec, puisque le locataire conteste la procédure d’expulsion dont il fait l’objet. « Il estime que les arrérages de loyers proviennent d’une erreur de la gestionnaire de l’immeuble, qui a omis d’encaisser un chèque pour le loyer de mai 2018 », indique le juge de la Cour du Québec Éric Dufour dans une décision rendue le 12 novembre 2020.

Ainsi, « au fur et à mesure que passaient les mois se perpétuait pour le locataire l’état de débiteur du loyer impayé », note le juge Dufour. Il constate ainsi que le locataire « a été pris au dépourvu par la situation » et tranche en faveur de son maintien dans les lieux.

« On dirait que les propriétaires se disent : “Je vais me débarrasser d’un loyer pas cher et je vais pouvoir ensuite, après un an, louer le logement le double, le triple” » du loyer précédent, affirme en entrevue l’avocat Camille Bolté, qui a représenté Giovanni Di Sclafani. Il se spécialise d’ailleurs dans les contestations d’éviction par des locataires.

« On peut dire que toutes les méthodes sont souvent utilisées par des propriétaires pour essayer de se débarrasser des locataires », ajoute l’avocat, qui a notamment aidé un locataire à contester avec succès un avis d’éviction pour changement d’affectation en 2018. Une entreprise immobilière a tenté devant le TAL de l’évincer pour changement d’affectation. Or, le locataire en question est protégé en vertu d’un article du Code civil du Québec qui empêche l’éviction de locataires de 70 ans ou plus à faible revenu et qui demeurent depuis plus de 10 ans dans le même logement.

« Mais des propriétaires vont s’essayer, ils vont quand même envoyer un avis d’expulsion. Ils se disent que si le locataire ne connaît pas ses droits, ils vont pouvoir l’expulser », soutient Me Bolté.

Un locataire faisant l’objet d’un avis d’éviction pour non-paiement de loyer peut d’ailleurs éviter d’avoir à quitter les lieux en remettant la somme due à son propriétaire avant que le TAL ne rende sa décision. Des propriétaires décident alors d’encaisser les sommes reçues après cette date butoir afin d’avoir un motif d’évincer leur locataire, note Me Bolté. Il constate ainsi que les tactiques utilisées par les propriétaires pour tenter d’évincer des locataires « se raffinent » de plus en plus.

Une pratique commune

Deux autres avocats spécialisés en droit du logement confirment d’ailleurs que le refus d’encaisser le loyer, par divers moyens, est une pratique souvent utilisée par des propriétaires pour tenter d’évincer des locataires. Plusieurs jugements récents consultés par Le Devoir en témoignent.

« Oui, on voit ça. Mais quand les propriétaires font ça, qu’ils refusent sciemment d’encaisser le loyer, c’est souvent un geste de mauvaise foi, et on peut le prouver devant le tribunal », explique l’avocat Manuel Johnson.

Ce dernier a d’ailleurs représenté l’an dernier une locataire montréalaise qui s’est battue contre un avis d’éviction pour non-paiement d’un mois de loyer. Celle-ci a requis l’anonymat, parce qu’elle craint toujours des représailles de la part de son propriétaire, mais Le Devoir a pu consulter l’ensemble des décisions judiciaires la concernant.

Devant la Cour du Québec, cette locataire a fait valoir que son propriétaire avait refusé d’encaisser deux chèques qu’elle avait remis pour le paiement du loyer. Le propriétaire a ensuite entamé un recours pour non-paiement du loyer. Or, une discussion enregistrée tenue par la locataire et un gestionnaire de l’immeuble prouve que le propriétaire cherchait plutôt à l’expulser pour louer son logement à un prix plus élevé, indique une décision rendue à l’été 2021 par la Cour du Québec.

Le propriétaire a d’ailleurs continué d’encaisser les chèques de la locataire dans les mois suivants, ce qui implique qu’il a renoncé à invoquer une résiliation de bail, selon le tribunal, qui a alors donné raison à la locataire. Le propriétaire s’est ensuite tourné vers la Cour d’appel du Québec pour tenter à nouveau d’expulser sa locataire, mais il a essuyé un refus.

Un dossier qui ne surprend pas l’avocat spécialisé en droit du logement Antoine Morneau-Sénéchal, qui en a vu d’autres dans sa carrière.

« Souvent, les locataires vont se rendre compte que soit le propriétaire n’encaisse pas le chèque, soit il ne vient pas chercher le loyer. Et j’ai vu bien des cas où les locataires sont restés passifs dans cette situation », souligne-t-il en entrevue. Or, pour éviter une expulsion dans ce contexte, les locataires doivent être en mesure de prouver, devant le TAL, qu’ils ont tenté par divers moyens de remettre leur loyer mensuel à leur propriétaire, par exemple en envoyant une mise en demeure réclamant explicitement au propriétaire d’encaisser leur chèque, explique l’avocat.

Des locataires peuvent aussi demander de déposer leur loyer directement au TAL, après en avoir informé leur propriétaire, en vertu d’un article du Code civil du Québec, relève Me Morneau-Sénéchal. Ils doivent cependant patienter un mois simplement pour déposer une demande en ce sens en personne, puis attendre au moins trois mois avant d’avoir une première audience. Autrement, le temps d’attente moyen pour obtenir une audience dans une cause de non-paiement de loyer déposée par un propriétaire est d’environ 1,5 mois, selon les données du TAL.

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Portrait des ventes pour non-paiement des taxes - CFNJ

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