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Tuesday, May 31, 2022

Filons basket D-1 : Jacques Paiement tire sa révérence - Courrier Frontenac

Presque trois ans jour pour jour après sa nomination à la barre des Filons masculins basket en première division, l’entraîneur-chef Jacques Paiement tire sa révérence.

Il a informé l’organisation de sa décision à savoir qu’il ne sera pas de retour l’an prochain. Jacques Paiement quitte son poste donc après deux saisons complètes avec un palmarès plus que reluisant.

À sa première campagne en 2019-2020, il a mené son équipe à un dossier de 12 victoires et deux défaites avant de voir celle-ci s’incliner au championnat régional. Après avoir fait l’impasse sur la saison 2020-2021 en raison de la pandémie, les Filons ont conservé une fiche immaculée de dix victoires et aucune défaite au terme du calendrier régulier 2021-2022. Par la suite, l’équipe a remporté le titre provincial avant de subir l’élimination au championnat canadien.

Le coordonnateur des programmes sportifs au Cégep de Thetford, Maxime Joyal, a tenu à lui rendre hommage. « Jacques a rendu de fiers services à notre organisation. Sa contribution pour l’acceptation de l’équipe en division 1 a été importante et les standards établis seront une référence pour la suite des choses », a-t-il admis.

ALEX KATAHWA PREND LA RELÈVE

La direction des Filons n’aura pas mis de temps à chercher très loin pour dénicher un successeur de talent à Paiement puisqu’elle a pigé dans sa propre cour en nommant Alex Katahwa à la barre de l’équipe.

Celui qui, au cours des trois dernières années, a dirigé la formation féminine D-2 et l’équipe Prep féminine a aussi agi comme adjoint à Jacques Paiement depuis son arrivée à Thetford, mais également à ses côtés avec le Rouge et Or de l’Université Laval.

Il avoue que sa récente nomination l’excite. « Je pensais que cela arriverait un jour, mais pas aussi vite. J’ai grandi en regardant des matchs de basket D-1 et là, j’aurai l’occasion d’être entraîneur à ce niveau. C’est une belle histoire. Ça me fait plaisir, mais c’est surtout un beau défi », a-t-il affirmé.

Malgré le départ de huit vétérans qui ne seront pas de retour la saison prochaine, Alex Katahwa demeure optimiste et il entend profiter de l’expérience acquise pour bien faire les choses. « J’ai accumulé beaucoup d’expérience en côtoyant Jacques. Je le connais depuis presque 20 ans et je lui ai posé beaucoup de questions au fil des années. Quant à la saison prochaine, on a des recrues qui vont rentrer dans l’alignement et des joueurs en provenance de notre équipe D-2 qui feront le saut avec nous. On va travailler à rebâtir une équipe gagnante. Même si nous aurons moins de joueurs d’expérience, ce sera mon travail d’y parvenir. »

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Monday, May 30, 2022

Recours collectif contre VISA et Master Card - journal le soir

Les petits commerçants qui ont accepté les cartes de crédit Visa ou Mastercard comme mode de paiement ces vingt dernières années pourraient recevoir une portion du nouveau règlement de plusieurs millions de dollars conclu dans le cadre du recours collectif contre Visa et Mastercard.

La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) estime que ce règlement est un petit pas de plus vers des conditions plus équitables pour bon nombre de PME qui acceptent les paiements par carte de crédit.

« Les petits commerçants doivent assumer des coûts importants reliés aux frais imposés pour les transactions par carte de crédit. Sans compter que les contrats avec les sociétés de traitement des paiements sont souvent difficiles à comprendre. Le règlement dans le cadre du recours collectif portant sur des cartes de crédit est une victoire importante pour les PME. Cela leur permettra de récupérer des sommes d’argent dans un contexte difficile pour bon nombre d’entre elles », fait remarquer Jasmin Guénette, vice-président des affaires nationales à la FCEI.

Une portion du règlement

Les sommes d’argent qu’un propriétaire pourra recevoir dépendent de la taille de son entreprise et de ses revenus annuels moyens. Les petits commerçants ayant des revenus annuels inférieurs à 5 M$ pourront réclamer 30 $ par année s’ils ont accepté des cartes de crédit Visa et/ou MasterCard pour le paiement de biens ou de services entre 2001 et 2021. Les propriétaires d’entreprise ont jusqu’au 30 septembre 2022 pour soumettre leur réclamation et le montant maximal du règlement s’élève à 600 $.

Soulignons que 92 % des entreprises acceptent à présent les paiements par carte de crédit ou de débit. Ces nouvelles habitudes ont eu un impact considérable sur les PME tout au long de la pandémie. Les mesures sanitaires et les confinements imposés ces deux dernières années ont conduit à une réduction importante de l’utilisation de l’argent comptant au profit des cartes de crédit, en particulier des paiements sans contact et des transactions électroniques qui sont plus coûteuses pour les commerçants qui les acceptent.

Les commerçants pourront facturer des frais supplémentaires

En vertu du règlement, Mastercard et Visa modifieront également leurs règles sur la facturation des frais supplémentaires, qui pourront être permis à partir d’octobre 2022.

« Cela fait plus de dix ans que la FCEI se bat pour que l’industrie des cartes de crédit soit davantage transparente et traite les PME de façon plus équitable. Permettre la facturation de frais supplémentaires est un élément important du règlement de ce recours collectif. Il faut que toutes les provinces canadiennes le permettent, y compris le Québec. On ne s’attend pas à ce que beaucoup de commerçants facturent des frais supplémentaires pour les transactions par carte de crédit, mais le fait d’en avoir la possibilité leur donnera plus de marge de manœuvre pour faire face aux futures augmentations des frais », ajoute monsieur Guénette.

La FCEI continue de faire pression auprès du gouvernement pour qu’il tienne sa promesse électorale de 2021 visant à réduire les frais de traitement des paiements par carte de crédit imposés aux PME.

Pour plus de renseignements sur le règlement du recours collectif, l’admissibilité et les réclamations, consultez la page Recours contre des cartes de crédit-réclamez votre part du règlement.

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Wednesday, May 25, 2022

La Russie à un cheveu du défaut de paiement - La Presse

(Moscou) La Russie est à un cheveu du défaut de paiement alors qu’elle dit vouloir honorer ses obligations financières. Les États-Unis ayant décidé de mettre fin dès aujourd’hui à une exemption lui permettant de payer ses dettes en dollars, Moscou remboursera sa dette en roubles, a indiqué mercredi le ministère russe des Finances.

Publié à 8h12 Mis à jour à 12h53
Agence France-Presse

« Étant donné que le refus de prolonger cette licence rend impossible de continuer à honorer la dette extérieure en dollars, les remboursements se feront en devise russe avec la possibilité de les convertir ensuite en devise originale via le National Settlement Depository (NSD) qui servira d’agent payeur », affirme le ministère dans un communiqué.

Le NSD est un organisme russe centralisé chargé du dépôt des titres financiers échangés dans le pays.  

« Le ministère russe des Finances, en tant qu’emprunteur responsable, assure de sa volonté de continuer à honorer et rembourser toutes ses obligations financières », souligne le communiqué.

« La situation actuelle n’a rien de commun avec la situation de 1998, quand la Russie n’avait pas assez de fonds pour rembourser ses dettes », a déclaré le ministre des Finances Anton Silouanov, cité dans le communiqué. « Aujourd’hui nous avons l’argent, et la volonté de payer est là aussi ».

« Cette situation créée artificiellement par un pays inamical n’aura pas d’effet sur la vie des Russes », a-t-il assuré.

Mardi, le Trésor américain a annoncé avoir décidé de mettre fin à partir de 0 h 01 mercredi, heure de Washington, à une exemption permettant à Moscou de payer ses dettes en dollars.

En place depuis le début des sanctions occidentales contre la Russie, en représailles à la guerre en Ukraine, cette exemption avait permis à Moscou d’échapper au défaut de paiement.

Elle avait été décidée par Washington pour « permettre une transition ordonnée et aux investisseurs de vendre leurs titres », avait expliqué la secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen la semaine dernière.

Yellen avait alors indiqué que cette exemption prendrait « probablement » fin.

Moscou confrontée à des « difficultés de paiements »

La mesure de Washington prend effet deux jours avant la prochaine échéance de paiement pour Moscou, qui porte sur un peu plus de 100 millions de dollars d’intérêts sur deux obligations.

Selon le Wall Street Journal citant l’agence de presse russe officielle Tass, les autorités se seraient toutefois déjà acquittées du paiement de ces intérêts.

Outre l’échéance du 27 mai, le gouvernement russe doit encore honorer 12 paiements d’ici la fin de l’année.

La Russie ne pouvait déjà plus rembourser sa dette avec des dollars détenus dans des banques américaines, dans le cadre des sanctions renforcées prises par les États-Unis le 5 avril.

La gouverneure de la banque centrale russe, Elvira Nabioullina, avait reconnu le 29 avril que Moscou était confrontée à des « difficultés de paiements », mais elle s’était refusée à parler de défaut de paiement potentiel.

La dette extérieure de la Russie représente, selon son ministère des Finances, environ 4500 à 4700 milliards de roubles (quelque 78 à 81 milliards de dollars au taux actuel), soit 20 % de la dette publique totale.

Que signifie le défaut de paiement d’un État ?

Un pays est considéré en défaut de paiement quand il n’honore pas ses engagements financiers auprès de ses créanciers, qui peuvent être des États, des institutions financières (Fonds monétaire international, Banque mondiale, etc.) ou des investisseurs sur les marchés financiers. Le défaut est qualifié de partiel quand l’État ne rembourse pas une partie de ses obligations.

L’annonce peut aussi provenir d’une agence de notation après un délai de grâce de 30 jours, mais concernant la Russie, les trois principales agences ont abandonné l’évaluation de la dette de l’État et des entreprises du pays pour se conformer aux sanctions européennes.

Le défaut peut encore être officialisé par un créancier privé révélant publiquement qu’un pays a cessé de le rembourser, ou encore via l’agence américaine ISDA (International Swaps and Derivatives Association), qui régit les CDS, une sorte d’assurance contre le défaut de paiement.

La seule porte de sortie serait que « l’Union européenne ou le Royaume-Uni autorisent les paiements russes en euro ou en livre sterling », une hypothèse très peu probable selon l’enseignant-chercheur.

Outre les premiers 71 millions de dollars, un second paiement de 26,5 millions d’euros est attendu par les investisseurs vendredi, avec cette fois la possibilité de payer en roubles selon Slim Souissi.

Trois autres paiements d’intérêts, pour un peu moins de 400 millions de dollars doivent également être honorés fin juin, selon des données compilées par l’agence Bloomberg, dont certains doivent être remboursés uniquement en devise américaine.

En quoi la situation est atypique ?

La Russie est à un cheveu du défaut de paiement alors même qu’elle dit vouloir honorer ses obligations financières.

Ce sont les sanctions qui vise à bloquer l’économie et le système financier russe qui empêchent la Russie de payer ses créanciers, une première, selon M. Souissi.

« Il n’y a pas d’exemples de pays qui ont fait défaut en raison de sanctions. En 2014, l’Argentine avait refusé de payer » des fonds vautours en ayant les moyens financiers, « mais c’était en contestation d’une décision de justice », illustre Tim Samples, professeur de droit à l’Université de Géorgie aux États-Unis.

Le gérant de portefeuilles chez Sanso IS Cyriaque Dailland, estime que les États-Unis « poussent les Russes au défaut ».

Le ministre russe des Finances a lui promis d’aller en justice si le pays est déclaré en défaut de paiement, afin de présenter les preuves de ses efforts pour rembourser les investisseurs.

Si la Russie s’inquiète autant, c’est qu’un défaut de paiement réduirait considérablement sa capacité à emprunter dans le futur, même si dans les faits, elle ne peut déjà plus lever de fonds à cause des sanctions occidentales.

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Tuesday, May 24, 2022

La Russie ne peut plus rembourser sa dette en dollars, décide Washington - Le Journal de Montréal

Les États-Unis ont décidé de mettre fin à une exemption permettant à Moscou de payer ses dettes en dollars, a annoncé mardi le Trésor américain, une décision qui pourrait précipiter la Russie dans le défaut de paiement. 

• À lire aussi: [EN DIRECT] Trois mois de guerre en Ukraine: voici tous les derniers développements

Cette mesure va prendre effet deux jours avant la prochaine échéance de paiement pour Moscou, qui porte sur un peu plus de 100 millions de dollars d’intérêts sur deux obligations.

Selon le Wall Street Journal citant l’agence de presse russe officielle Tass, les autorités se seraient toutefois déjà acquittées du paiement de ces intérêts.

Outre l’échéance du 27 mai, le gouvernement russe doit encore honorer 12 paiements d’ici la fin de l’année. Le défaut de paiement parait donc inéluctable.

En place depuis le début des sanctions occidentales contre la Russie, en représailles à l’invasion de l’Ukraine lancée le 24 février dernier, cette exemption avait permis jusqu’alors à Moscou d’y échapper.

Washington avait consenti à une exemption temporaire pour «permettre une transition ordonnée et permettre aux investisseurs de vendre leurs titres», avait expliqué la secrétaire américaine au Trésor Janet Yellen la semaine dernière.

Vers une bataille judiciaire ?

La ministre des Finances du président américain Joe Biden avait alors indiqué que cette exemption prendrait «probablement» fin mercredi.

Depuis début avril, la Russie ne pouvait déjà plus rembourser sa dette avec des dollars détenus dans des banques américaines.

La gouverneure de la Banque centrale russe, Elvira Nabioullina, a reconnu fin avril avril que Moscou était confronté à des «difficultés de paiements», mais elle s’était refusée à parler de défaut de paiement.

La dette extérieure de la Russie représente, selon son ministère des Finances, environ 4 500 à 4 700 milliards de roubles (une cinquantaine de milliards d’euros au taux actuel), soit 20 % de la dette publique totale.

La Russie a manqué des paiements sur des dettes intérieures en roubles lors de la crise financière de 1998, mais n’a pas fait défaut sur sa dette étrangère depuis 1918, lorsque le leadeur bolchévique Vladimir Lénine avait refusé de reconnaitre la dette héritée du régime tsariste renversé lors de la révolution de 1917.

En cas de défaut, le gouvernement russe perdrait l’accès à une source de financement importante ou serait contraint de payer des taux d’intérêt prohibitifs même si dans les faits, il ne peut déjà plus lever de fonds à cause des sanctions occidentales.

De leurs côtés, les détenteurs de créances impayées risquent de perdre tout ou partie de leur argent.

Il pourrait aussi y avoir une bataille judiciaire puisque le ministre des Finances russes Anton Silouanov avait fait savoir dès avril que la Russie entamerait une procédure si elle était déclarée en défaut de paiement par l’Occident.

Il avait alors accusé les pays occidentaux de créer «artificiellement» les conditions d’un défaut de paiement.

Comme tous les États, la Russie emprunte de l’argent sous forme d’obligations, souvent en dollars, et doit payer régulièrement des intérêts et rembourser le capital.

Un pays est considéré en défaut quand il est incapable d’honorer ses engagements auprès de ses créanciers.

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Saturday, May 21, 2022

Terminal de paiement : Les modèles SumUp à prix cassés à la Fnac - Le Parisien

Si vous effectuez régulièrement des transactions bancaires, et que vous avez besoin d’un terminal abordable pour accepter les paiements par carte bleue, la Fnac a ce qu’il vous faut avec le pack comprenant un terminal de paiement Sumup Air et sa station de recharge. Grâce au terminal Sumup Air, vous pouvez accepter tous types de paiement par carte bancaire, soit avec utilisation du code de la carte, soit les paiements sans contact. Le terminal vous permet également d’accepter les paiements par smartphone, puisqu’il prend en charge non seulement les cartes Visa, Mastercard, Maestro, ou American Express, mais il est aussi compatible avec les applications Google Pay, Apple Pay ou encore Samsung Pay. Pour profiter de ce terminal de paiement Sumup Air et de sa station de recharge, rendez-vous à la Fnac, qui le propose à 21,99 euros au lieu de 39,99 euros.

Le terminal de paiement Sumup Air à moins de 22 euros à la Fnac

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Paiement fractionné : Klarna rentre dans le rang - La Tribune.fr

L'extravagance et le Far West semblent toucher à sa fin pour les grands acteurs du paiement fractionné. Le géant suédois Klarna serait en tout cas en train d'en faire les frais. Acte 1, la valorisation de la fintech serait en train de fondre comme neige au soleil. Selon le Wall Street Journal, Klarna cherche à lever de nouveaux capitaux, pouvant aller jusqu'à un milliard de dollars, sur la base d'une valorisation qui serait inférieure de 30 % à celle de son dernier tour de table. Selon l'Agefi, Klarna considère ces informations comme de la pure spéculation.

En juin 2021, le groupe, qui se présente désormais comme une « super app » du shopping en ligne, a été valorisée 45 milliards de dollars, soit deux fois la capitalisation d'une banque comme Société Générale. En début d'année même, selon des rumeurs non confirmées, Klarna discutait avec des fonds souverains sur une base de valorisation de 60 milliards de dollars ! Pas mal pour un groupe qui a accusé, l'an dernier, une perte d'exploitation de 670 millions d'euros. Le prix à payer pour assurer une croissance forte et international, a alors justifié le groupe.

Mais le groupe doit continuer à lever des capitaux pour assurer sa croissance et rassurer ses clients e-commerçants. Des capitaux qui vont au passage coûter de plus en plus cher avec la montée des taux - d'intérêt. De fait, la grande purge en cours sur les valeurs technologiques - le Nasdaq a reculé de 30 % par rapport à son précédent sommet de novembre - aura forcément ses conséquences sur les valorisations de la fintech. Et la valeur des actifs détenus par les fonds d'investissement.

Toujours selon le Wall Street Journal, la fintech spécialisée dans le paiement SumUp aurait également dû revoir ses prétentions à la baisse dans une levée de fonds actuellement en cours. A noter que certains poids lourds du financement la Tech européenne, comme le fonds Tiger, s'est depuis replié sur les Etats-Unis. La fintech américaine Affirm, également spécialisée dans le paiement fractionné, a vu sa capitalisation fondre de moitié depuis son prix d'introduction en Bourse en janvier 2021, à quelque 7 milliards de dollars. La chute du titre est même de 75% depuis le début de l'année.

Pression réglementaire

Les acteurs du paiement fractionné ont d'autant plus besoin d'argent frais qu'ils sont surveillés de près par les régulateurs. C'est l'acte 2. Au Royaume-Uni, l'un des plus gros marchés de Klarna, de nouvelles contraintes réglementaires visant à mieux protéger les consommateurs contre les risques de surendettement, sont même dans les tuyaux. Bruxelles réfléchit également à une réglementation pour encadrer les min-prêts et les facilités de paiement en plusieurs fois.

Outre-manche, sentant le vent du boulet, Klarna a déjà pris un certain nombre d'initiatives pour renforcer la transparence de ses contrats. Elle vient également d'annoncer au Royaume-Uni son intention, à partir de juin prochain, de proposer à ses clients de les aider à construire un historique de crédit. Klarna va désormais transmettre à deux des principales agences de notation de crédit du pays, Experian et TransUnion, les informations sur les transactions de ses clients, notamment leur comportement en matière de remboursement. Les acteurs du paiement fractionné sont en effet accusés par les associations de consommateurs de faire du crédit à la consommation déguisé sans s'affranchissant des règles du crédit à la consommation, et pousser ainsi les ménages les plus fragiles vers des situations de surendettement.

Selon Klarna, cette initiative va rappeler à ses clients que ses facilités de paiement sont bien du crédit et « protégera davantage les consommateurs britanniques contre la constitution de lignes de crédit multiples en signalant l'utilisation du paiement fractionné aux agences de notation de crédit de référence », indique le communiqué.

Autre avantage : les clients qui remboursent sans problème les échéances verront leur score de crédit s'améliorer pour bénéficier de conditions de crédit plus avantageuses sur les autres supports de crédit, comme la carte de crédit. Du moins en théorie, car les modèles d'évaluation des agences de notation ne sont pas encore adaptés à la prise en compte du paiement différé. Rappelons qu'en France de telles agences de scoring (fichier positif) sont interdites par la loi.

Après une folle croissance, la baisse des valorisations et l'alignement des pratiques des acteurs du paiement fractionné avec ceux du crédit à la consommation, montrent bien que le secteur est peut-être arrivé à une certaine maturité, et qu'un mouvement de consolidation en Europe pourrait prendre le relais.

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Friday, May 20, 2022

Les défauts de paiement des entreprises russes se multiplient - Les Échos

C'est un géant mondial de l'acier, qui jusqu'à présent livrait chaque année 2,5 millions de tonnes de métal à l'Europe. Il a enregistré l'an dernier un bénéfice de 4 milliards de dollars pour un chiffre d'affaires de 11 milliards. Pourtant Severstal se retrouve aujourd'hui en défaut de paiement sur 1,43 milliard de dette en dollars. Les créanciers du groupe n'ont pas touché les 800 millions d'intérêts attendus fin mars.

Un cas loin d'être isolé. Depuis le premier défaut d'un groupe russe, Russian Railways, début mars, une petite vingtaine de sociétés sont venues s'ajouter à la liste. Le montant total de dette en défaut atteint 14 milliards de dollars, selon les calculs de Bloomberg.

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Thursday, May 19, 2022

La SNCF accepte (enfin) le paiement en ligne par chèques-vacances, voici comment procéder - TF1 INFO

"L'intégration de ce moyen de paiement permet de simplifier la vie des voyageurs en leur donnant plus de flexibilité et de liberté grâce à la possibilité de tout faire à distance pour payer l'ensemble ou une partie de leurs billets", estiment de concert la SNCF et l'ANCV dans un communiqué commun. 

La simplification est à portée de main, quand tous les salariés recevront directement leurs chèques-vacances sous forme dématérialisée. En attendant, si la conversion est possible, et ouvre effectivement la voie à un achat de billet sur le site ou l'application de la SNCF, mieux vaut ne pas s'y prendre au dernier moment.

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Paiement sans contact : Mastercard expérimente le paiement avec un simple sourire - Sud Ouest

Pour utiliser ce service, les utilisateurs devront enregistrer leur visage et leurs informations de paiement dans l’application Payface, une base protégée et cryptée. Le système de paiement se base ensuite sur la reconnaissance faciale et l’empreinte digitale. Forcément, cela suscite des inquiétudes quant à la protection des données personnelles.

Un marché de 18,6 milliards de dollars

Mais ce système pourrait bientôt être introduit dans toute l’Amérique latine, puis dans le reste du monde. Selon Mastercard, cette nouvelle méthode permettrait de gagner du temps et d’accélerer les paiements en magasin. Mastercard présente aussi ce système comme plus hygiénique et sécurisé que le paiement sans contact actuel.

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Retards de paiement CAF : vous n'avez pas encore touché vos APL ou votre RSA, voici pourquoi - Midi Libre

Des milliers d'allocataires se retrouvent pénalisés. Les dossiers dans certaines Caisses d'allocation familiale s'accumulent et les délais de paiement s'allongent. On vous explique pourquoi.

L'attente devient interminable pour certains allocataires. "C'est très compliqué en ce moment, je n'ai plus de sous je n'arrive pas à la fin du mois parce que je n'ai pas mes allocations", témoigne un allocataire chez Franceinfo.

Comme le rapporte Le Parisien lundi 16 mai, au niveau national, le délai d’attente "toutes prestations confondues" est de "17 jours", affirme Nicolas Grivel, directeur général de la Cnaf, interrogé par le journal, soit trois semaines et demie puisqu’il s’agit de jours ouvrables. Un chiffre variable en fonction des situations et des départements.

Qu'est-ce qui explique ces retards ?

Il y aurait deux causes principales à ces retards, à en croire Nicolas Grivel, directeur général des Caisses d'allocations familiales interrogé par Franceinfo : d'abord, les deux années de crise sanitaire que nous venons de vivre, ensuite, la réforme des aides au logement 2021 qui a induit des problèmes informatiques qui se sont traduites par une augmentation de l'ensemble du volume des pièces qu'il restait à traiter.

La situation dans l'Hérault

A noter que toutes les Caf ne sont pas concernées. La Caisse d'allocations familiales de l'Héraut par exemple nous précise : "Nous n'avons aucun retard de versement dans l'Hérault. Les délais de traitement des mails et pièces sont conformes aux objectifs." De quoi rassurer les allocataires héraultais.

Qui joindre en cas d'urgence et comment ?

En cas de non-versement de l'aide, il est préférable de contacter un agent de la CAF pour résoudre le problème. S’il s’avère que le dossier est en règle, la CAF paie le rappel des allocations impayées lors du prochain versement, rappelle Dossier Familial. 

Pour joindre votre CAF, il vous suffira de composer le 3230 et de renseigner le numéro de votre département.

Un retour quasi à la normale ?

La situation se serait "progressivement améliorée au deuxième semestre 2021", selon Nicolas Grivel. Pour améliorer la situation et rattraper les retards de traitement de dossiers, certaines Caf ont fermé leur accueil au public quelques jours. D’autres sont venues aider leurs homologues surchargés en traitant certains de leurs dossiers grâce à la dématérialisation. Une convention collective a par exemple été signée entre la Caf de l’Ariège et celle du Haut-Rhin, indique Capital

Le problème, c'est que cette situation a impacté les allocataires, mais pas que. Les agents Caf sont confrontés à de nombreux ralentissements informatiques et peinent à faire leur travail correctement. C'est pourquoi certains ont décidé d'organiser des journées de grève, prévient Thierry Faivre, secrétaire national de la branche famille du syndicat national Force ouvrière des cadres des organismes sociaux (SNFOCOS) chez nos confrères de Capital.

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Wednesday, May 18, 2022

Paiement par carte bancaire : souriez, vous êtes débité ! - Futura

Au Brésil, Mastercard expérimente dans des supermarchés le paiement par reconnaissance faciale. Ce procédé biométrique inquiète les États-Unis et l'Europe, qui limitent, voire interdisent, la reconnaissance faciale dans les lieux publics. En revanche, en Russie, c'est déjà en place dans le métro de Moscou.

Cela fait bientôt 10 ans que les banques et les spécialistes des systèmes de paiement et de retrait comme Visa et Mastercard étudient la possibilité de payer par reconnaissance faciale. Dans un communiqué, Mastercard annonce la mise en place d'un ensemble de normes de conformité pour les banques, les commerçants et les fournisseurs de technologie qui garantissent que les données privées des consommateurs utilisant ce service sont correctement sécurisées.

L'objectif pour le concurrent de Visa, est de permettre de valider un paiement avec un sourire devant un écran ou un simple signe de la main au-dessus d'un lecteur ! Ce processus inédit de paiement biométrique est expérimenté depuis cette semaine dans cinq supermarchés de São Paulo, au Brésil. De futurs tests sont prévus pour l'Asie et le Moyen-Orient.

Quelle protection pour les données biométriques ?

« Pour les commerçants, les avantages sont également considérables, allant de délais de transaction plus rapides et de files d'attente plus courtes à une plus grande hygiène et une sécurité accrue, se justifie Mastercard. Le système de paiement peut être intégré à des programmes de fidélité et à des recommandations personnalisées pour aider les consommateurs à trouver des produits susceptibles de les intéresser en fonction de leurs achats précédents. »

Même si le géant américain met en avant la sécurité des données et la simplicité du système, il sera compliqué d'étendre son usage à travers le monde. Que ce soit aux États-Unis ou en Europe, les lois sur la protection des données biométriques des consommateurs sont très encadrées. Pour qu'un tel système fonctionne, il faut que le commerçant ou la banque stocke la structure faciale d'un consommateur ou ses empreintes digitales. Actuellement, lorsque l'on valide un paiement via son smartphone avec son empreinte digitale, l'image est stockée dans l'appareil, et non sur le serveur du site marchand ou de la banque.

Avant d'aller en magasin, la personne enregistre son visage dans l'application Mastercard. La base de données est alors accessible chez les commerçants partenaires. © Reuters, Mastercard

L'Europe interdit la reconnaissance faciale dans l'espace public

À titre d'exemple, des États américains ont promulgué des lois réglementant l'utilisation de la biométrie, et des parlementaires ont également proposé une loi fédérale interdisant l'utilisation de la reconnaissance faciale. En Europe, le plus récent rapport édité par la Commission européenne pointait du doigt le fait que « la technologie de reconnaissance faciale enregistre des caractéristiques du corps humain qu'une personne ne peut modifier (contrairement aux identifiants de téléphone portable) ». Par ailleurs, « un grand nombre d'images sont déjà disponibles (par exemple sur l'internet), et des images faciales peuvent être prises à distance à l'insu d'une personne » avec la crainte de l'usurpation d'identité.

En revanche, en Russie, ces questions sur la protection des données personnelles et leur sécurité se posent moins puisque les Moscovites utilisent déjà le paiement par reconnaissance faciale dans les transports en commun. Pour cela, les utilisateurs du métro de Moscou enregistrent dans une application, une bonne fois pour toutes, leur photo et leurs données bancaires. Et ensuite, les caméras des stations de métro se chargent de débiter leur abonnement en fonction de leurs passages dans le tourniquet. Un système tout simplement inimaginable en Europe puisque la reconnaissance faciale est prohibée dans l'espace public.

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Paiement par carte bancaire : souriez, vous êtes débité ! - Futura
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8 applications mobiles pour faciliter le paiement entre amis - BDM

Pour faciliter le remboursement entre amis, il existe plusieurs applications de paiement en ligne, qui permettent de faire des virement facilement et sans frais, via un smartphone.

1. Lydia

Très populaire, Lydia est une application française qui existe depuis 2011, et qui permet à ses utilisateurs d’envoyer et de recevoir de l’argent en ligne. Vous pouvez ainsi facilement lier Lydia à votre compte bancaire, pour alimenter votre solde et rembourser vos amis, ou récupérer l’argent qui vous a été envoyé. L’application propose un historique détaillé des transactions, et permet d’effectuer les versements en utilisant le numéro de téléphone ou le QR code du destinataire. Une fonctionnalité de cagnotte pour collecter de l’argent lors d’un événement est également disponible.

Disponible sur iOS et Android.

lydia
© Lydia

2. PayPal

PayPal est le service de paiement en ligne le plus utilisé au monde. Il permet d’envoyer de l’argent facilement et de manière sécurisée entre proches. Vous pouvez ainsi réaliser des virements sans frais pour rembourser vos amis, créer une cagnotte en ligne ou encore utiliser votre solde pour effectuer des achats. L’application propose un système de liens personnalisés à partager pour demander des remboursements de manière simple. Il est également possible d’utiliser l’adresse mail ou le numéro de téléphone pour envoyer de l’argent.

Disponible sur iOS et Android.

paypal
© PayPal

3. Paylib

Paylib est un service de paiement en ligne créé par plusieurs banques françaises. Il permet d’effectuer des virements instantanés, pour se rembourser entre amis par exemple. Il est possible d’envoyer de l’argent sur Paylib à n’importe quel personne, tant qu’elle dispose d’un compte bancaire domicilié en France ou à Monaco. Le montant maximal des transactions est fixé par chaque banque. Le bénéficiaire du virement est informé instantanément par SMS.

Disponible sur iOS et Android.

paylib
© Paylib

4. Pumpkin

Pumpkin est une application de paiement en ligne qui simplifie le remboursement entre proches. Elle propose d’effectuer des virements sans frais, pour équilibrer les dépenses entre amis. Vous pouvez créer une ardoise collective, sous forme de tableur, qui permet d’indiquer qui doit combien à qui, selon toutes les dépenses engagées par chacun. Il est possible d’effectuer une demande de remboursement, qui s’envoie directement au contact souhaité. Pour virer de l’argent, il vous suffit de disposer du numéro de téléphone de votre bénéficiaire.

Disponible sur iOS et Android.

pumpkin
© Pumpkin

5. Lyf Pay

Lyf Pay est une plateforme de paiement entre amis qui simplifie les virements d’argent entre amis. Tout transite par l’application, et les envois d’argent se font instantanément. Vous pouvez facilement effectuer des demandes de remboursement sur Lyf Pay, et virer la somme reçue sur votre compte en banque. Si votre bénéficiaire n’utilise pas l’application, il recevra un SMS qui l’invitera à créer un compte pour récupérer son argent facilement. La plateforme permet également de créer des cagnottes en ligne pour collecter de l’argent lors d’une occasion particulière.

Disponible sur iOS et Android.

lyf pay
© Lyf Pay

6. Splitwise

Splitwise est une application d’organisation des dépenses en groupe, qui permet de calculer automatiquement les remboursements à effectuer dans un groupe. En fonction des paiements de chacun, Splitwise indique qui doit combien à qui. Vous pouvez simplement rajouter des dépenses à tout moment pour ne pas les oublier. L’application propose de rembourser directement vos amis, en payant en ligne, mais vous pouvez également indiquer si un remboursement a été effectué hors application.

Disponible sur iOS et Android.

splitwise
© Splitwise

7. Tricount

Tricount est une application de calcul des dépenses en groupe, qui permet d’équilibrer l’addition totale, en indiquant qui doit rembourser qui. Elle permet d’ajouter chaque dépense en direct, et se met à jour automatiquement. Chaque participant peut voir les dépenses ajoutées par les autres, ainsi que l’état des comptes et des dettes de chacun. La balance s’affiche en rouge si la personne doit envoyer de l’argent, et en vert si elle doit en recevoir. Vous pouvez effectuer les remboursements hors application, ou utiliser Lyf Pay (voir plus haut) directement dans Tricount.

Disponible sur iOS et Android.

tricount
© Tricount

8. Nos comptes entre amis

Nos comptes entre amis est une application de calcul des dépenses pour les groupes, créée par la banque BNP Paribas. Elle permet de gérer le budget en suivant les dépenses communes, pour équilibrer sur la durée. La plateforme calcule simplement les sommes dues, et s’actualise en temps réel lorsqu’une dépense est ajoutée. Vous pouvez ajuster manuellement les sommes si nécessaire. Le remboursement peut s’effectuer hors ligne, ou passer directement par l’application, qui propose de payer via Lyf Pay (voir plus haut).

Disponible sur iOS et Android.

nos comptes entre amis
© Nos comptes entre amis

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Tuesday, May 17, 2022

Engie, pris au piège du paiement en roubles, "discute" avec Gazprom - BFM Business

Bruxelles vient d'assouplir ses directives concernant l'achat de gaz russe, en permettant l'ouverture d'un compte à la Gazprombank, en euros ou en dollars. Alors que le paiement en roubles est encore interdit.

Engie est pris en deux feux. L'énergéticien a expliqué, lors de son annonce de résultats, qu'il était "en discussions avec Gazprom" au sujet de la demande du Kremlin de payer le gaz russe en roubles.

Le groupe a pris "les mesures nécessaires pour être prêt à exécuter ses obligations de paiement, pour autant que cela soit conforme au cadre des sanctions européennes et ne modifie pas l'équilibre des risques."

"Nous avons suivi le processus que d'autres acteurs dans l'énergie suivent et c'est un processus qui maintenant est assez bien jalonné et nous permet surtout de ne pas prendre une exposition devises", a indiqué la directrice générale Catherine MacGregor.

La firme va, à l'instar de l'allemand Uniper et de plusieurs autres firmes énergétiques européennes, payer sur un compte de Gazprombank en euros ou dollars.

La Commission Européenne estimait encore récemment qu'il pourrait s'agir d'un contournement des sanctions, alors que Bruxelles se refuse officiellement à régler ses commandes de gaz en roubles. Mais les instances ont assoupli leurs positions hier sur le sujet, validant la création d'un compte à la Gazprombank, pour l'exécution des paiements, en euros ou en dollars.

L'Italie poussait ces derniers jours, via son Premier ministre Mario Draghi, pour une réforme des règles: il appelait notamment le pétrolier transalpin ENI à ouvrir un compte à la Gazprombank, en roubles cette fois. Ce que les nouvelles directives de la Commission Européenne prohibe toujours.

Engie a par ailleurs augmenté ses prévisions financières grâce à la hausse du cours des matières énergétiques: le géant français attend désormais un résultat net récurrent pour 2022 situé entre 3,8 et 4,4 milliards d'euros, contre 3,1 à 3,3 milliards auparavant.

VG avec AFP

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Monday, May 16, 2022

Apple veut faire disparaitre les terminaux de paiement grâce à l'iPhone - jeuxvideo.com

News hardware Apple veut faire disparaitre les terminaux de paiement grâce à l'iPhone

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Vous connaissez déjà le paiement sans contact, très courant un peu partout depuis plusieurs années. payer avec son smartphone apporte encore des avantages, mais les commerçants et les clients doivent encore faire face au terminal de paiement. Et bien plus pour longtemps avec l’iPhone.

Le terminal de paiement, c’est votre iPhone

Il est possible de (presque) tout faire avec un smartphone, et il paraît maintenant étrange de devoir se coltiner un terminal externe pour recevoir des paiements. On retrouve ces petits appareils chez tous les commerçants, et on y est tellement habitués que l’on ne fait même plus attention.

Les terminaux utilisent la technologie NFC (Near-Field Communication), pour réceptionner les informations bancaires enregistrées sur le smartphone afin d’effectuer le paiement. Tous les smartphones aujourd’hui supportent le NFC, alors pourquoi dépendre d’une machine supplémentaire ?

Apple a trouvé cela peu logique, et a annoncé en février l’arrivée prochaine d’une fonctionnalité permettant directement à un iPhone de non pas seulement émettre des paiements, mais aussi les recevoir.

Une vidéo nous montre la fonction en action dans le Visitor Center d’Apple Park, le siège de la marque à Cupertino. Elle est en phase de test dans le magasin et il est déjà possible d’essayer.

Concrètement, le fonctionnement sera identique à ce que l’on connaît. Un iPhone sert de récepteur et remplace le terminal, qui peut accueillir un autre smartphone ou montre connecté équipé d’un portefeuille électronique, ou une carte bancaire compatible sans contact.

Une fonction bien pratique sur l’iPhone

Cette option s’appelle Tap to Pay, et elle ne révolutionne pas les paiements, mais cela devrait faciliter la vie des commerçants en leur évitant d’acheter des terminaux de paiement, et sûrement simplifier l’utilisation étant donné que tout se fera sur l’iPhone.

Comme beaucoup de fonctionnalités, celle-ci arrive d’abord aux USA plus tard dans l’année, et on espère la voir rouler chez nous quelque temps après. Elle sera compatible avec les iPhone Xs et ultérieurs.

Il y a quelques jours, Apple était sous le feu des projecteurs car ils empêchent l’accès au NFC présent dans les iPhone aux tiers, et se le réserve pour garder Apple Pay en souverain.


Profil de RommB, Jeuxvideo.com

Par RommB, Journaliste jeuxvideo.com

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Pourquoi le paiement instantané ne décolle-t-il pas autant que prévu? - BFM Business

[AVIS D'EXPERT] Le paiement instantané ne décolle pas du tout à la hauteur des attentes initiales. Décryptage avec notre expert Guillaume Almeras, fondateur du site de veille et de conseils Score Advisor.

Encore un flop? Un de plus? Comme pour tout ce qui aura concerné les innovations de paiement, le choix des banques et, de manière générale, les comportements financiers, le paiement instantané ne décolle pas du tout à la hauteur des attentes. Et, comme souvent, la France se distingue par son conservatisme: le paiement instantané représente désormais 10% des paiements en moyenne en Europe mais seulement 3% en France (où il est autorisé depuis fin 2018), selon des données présentées par Comité national des paiements scripturaux (CNPS), une enceinte de concertation présidée par la Banque de France et qui réunit les représentants du secteur des paiements.

En soi, il n’y a rien là qui condamne son usage. Nous l’avons déjà souligné: les comportements liés aux paiements changent très lentement. Or, on aura quand même compté 20 millions de paiements instantanés au premier trimestre 2022. Ce n’est certainement pas rien mais c’est très loin de ce qui était attendu. Car, quand on a commencé à beaucoup parler du paiement instantané en 2015/2016, on considérait qu’il allait rapidement devenir la norme pour tous les paiements. Pensez : un paiement irrévocable en dix secondes, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, quand un virement bancaire classique peut prendre entre 24 et plus de 72 heures en fonction des jours ouvrés, le public allait sûrement immédiatement l’exiger.

Mais pas du tout ! Que s’est-il donc passé? Les banques ne l’ont pas toutes proposé d’emblée et l’ont rendu assez cher (environ 1€ en moyenne). Auraient-elles voulu retenir l’essor du nouvel usage, le temps de pouvoir s’organiser, qu’elles n’auraient pu mieux s’y prendre! Pour le public, l’idée s’est tout de suite installée que ces nouveaux virements sont chers, alors qu’on avait bien vécu sans eux jusque-là. Ce genre de jugement peut prendre des années à disparaître. Depuis, plusieurs établissements ont proposé des virements instantanés gratuits et les banques ont lancé l’application Paylib, qui permet des paiements entre particuliers gratuits et instantanés par simple utilisation d’un numéro de mobile. Paylib, proposé par la majorité des banques, compte déjà 25 millions d’utilisateurs mais il concentre presque à lui seul le nouvel usage, qui ne s’est pas généralisé, même entre entreprises, dans un pays où les délais de paiement sont pourtant importants (mais les paiements instantanés sont encore limités à un maximum de 15.000 €).

Aujourd’hui, à travers le CNPS, la Banque de France entend promouvoir les paiements instantanés et lance une campagne de communication. Cela participe de la consolidation du marché européen des paiements. Pourtant dans sa communication, la Banque de France se focalise sur des usages micro-locaux et domestiques: partage des frais d’un repas entre amis, ventes entre particuliers, paiement d’un artisan…

Remplacer le cash

Est-ce bien le rôle d’une Banque centrale de s’impliquer ainsi dans des micro-usages de consommation? Quels objectifs poursuit-elle exactement? Et pourquoi ne met-elle pas en avant le principal avantage du paiement instantané, qui est d’être le seul paiement électronique présentant les mêmes avantages que le cash? Même garantie de réception des fonds et même instantanéité, le virement instantané est même plus commode à utiliser que le cash, qu’il faut se procurer, transporter, conserver de manière sécurisé. Avec le virement instantané, pas besoin d’avoir l’appoint. C’est en se substituant au cash qu’il prendra vraiment son essor.

Seulement, parler de remplacement du cash fait peur. On redoute sa suppression. On s’inquiète des possibilités de surveillance, de traçage, ce qui est également lié à la perspective des monnaies numériques de Banques centrales. Tout cela fait de plus en plus peur mais ne pas en parler ne fait qu’accréditer ces inquiétudes.

Il devrait pourtant être facile de souligner que les paiements instantanés représentent une alternative intéressante au cash. Et que l’usage de ce dernier n’est pas sans contraintes, ni coûts. En quoi une Banque centrale est parfaitement fondée à souhaiter en voir baisser l’usage. Cela ne revient pas à supprimer toute monnaie fiduciaire, dont on peut plus raisonnablement envisager qu’elle sera d’un usage de plus en plus résiduel (mais il est vrai qu’on attend qu’il en aille de même pour les chèques depuis… quarante ans ; rien n’est rapide en matière de comportements de paiement!).

Il est aujourd’hui généralement acquis que, face aux rumeurs, faire comme si elles n’existaient pas est la meilleure manière de les enflammer. Dans le cas présent, il est probable que la Banque de France n’a pas voulu mettre en balance paiements instantanés et cash pour ne pas alimenter les polémiques. Ce qui va bien certainement être le cas!

Par Guillaume Almeras, fondateur du site de veille et de conseils Score Advisor

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Sunac, poids lourd de l'immobilier en Chine, en défaut de paiement - Le Journal de Montréal

Dans le rouge: Sunac, l'un des principaux promoteurs immobiliers de Chine, a annoncé jeudi être en défaut de paiement, moins de six mois après le géant national Evergrande. 

L'immobilier et la construction, qui pèsent plus du quart du PIB de la Chine, ont longtemps servi de locomotive pour l'économie et joué un rôle capital pour la reprise après la première vague épidémique en 2020.

Mais pour réduire l'endettement du secteur, Pékin a durci les conditions d'accès au crédit pour les promoteurs immobiliers.

Résultat, de nombreux groupes se retrouvent depuis l'an dernier à court de liquidités, dont le numéro un du secteur Evergrande.

La mauvaise santé financière de ce mastodonte a pénalisé par ricochet ses concurrents, les acheteurs hésitant de plus en plus à investir dans la pierre.

La situation sanitaire actuelle, qui entraîne restrictions aux déplacements, voire confinements, et pèse sur le pouvoir d'achat des Chinois, accentue par ailleurs la pression sur le secteur.

Sunac devait rembourser le mois dernier 29,5 millions de dollars (28 millions d'euros) sur des intérêts d'emprunt mais n'avait pu honorer l'échéance. Le groupe disposait d'un délai de grâce de 30 jours qui a pris fin mercredi. 

A cette échéance, Sunac n'avait «pas remboursé» la somme, a indiqué jeudi le groupe dans un communiqué adressé à la Bourse de Hong Kong, où il est coté. 

«Contrat du siècle»

L'immobilier connaît des «changements radicaux» qui ont entraîné pour Sunac une «baisse significative» des ventes depuis le second trimestre 2021, et un accès à de nouveaux financements «de plus en plus difficile», a admis le groupe basé à Tianjin (nord).

Sunac est le plus gros promoteur chinois à faire défaut cette année. 

Trois autres délais de grâce arriveront à échéance pour lui à la fin du mois. Mais le groupe a d'ores et déjà averti qu'il ne pourrait pas non plus les honorer.

Sunac dit vouloir résoudre «dans un délai raisonnable» ses problèmes de financement avec ses créanciers. 

Sur un marché immobilier globalement morose, le groupe a rapporté une baisse d'environ 65 % de ses ventes sur un an en mars et avril.

En 2019, à son heure de gloire, Sunac revendiquait plus de 50 000 employés. 

Deux ans plus tôt, la firme avait fait l'acquisition d'hôtels et de sites touristiques du conglomérat Wanda, un compatriote alors épinglé par Pékin pour sa frénésie d'achats à l'étranger et son endettement. 

Pour cette transaction, présentée par la presse à l'époque comme le «contrat du siècle», Sunac avait dépensé 63 milliards de yuans (8,8 milliards d'euros au taux actuel).

Evergrande

Ces investissements tous azimuts ne sont pas sans rappeler ceux d'Evergrande, qui outre l'immobilier, voyait un potentiel de croissance dans le tourisme, le numérique ou encore la voiture électrique.

Mais le groupe s'est retrouvé étranglé l'an dernier par une dette abyssale d'environ 260 milliards d'euros. 

Et il n'avait pu honorer des remboursements, se débattant par ailleurs pour livrer des appartements déjà payés par des acheteurs. 

En décembre 2021, l'agence de notation Fitch a déclaré le groupe en défaut de paiement. 

Pour sortir la tête de l'eau, Evergrande tente ces derniers mois de vendre des actifs et de réduire ses participations dans d'autres entreprises. 

Le groupe a ainsi cédé en mars pour 3,6 milliards de yuans (510 millions d'euros) un vaste projet immobilier à Hangzhou (est de la Chine).

Menacé par une croissance atone et des restrictions sanitaires qui plombent son économie, le pouvoir chinois arrondit de son côté les angles avec un secteur sous pression depuis des mois.

Pékin a ainsi apporté fin avril son soutien à l'immobilier et appelé à un développement sain du secteur, au moment où plusieurs villes lèvent le pied sur certaines contraintes réglementaires.

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Replay | Atelier paiement : Quelles perspectives pour le monde des paiements ? 11/05/2022 - Fevad

Quelles perspectives de croissance pour ces crypto-actifs ? Mais aussi pour leur démocratisation à grande échelle, quels intérêts pour les commerçants par rapport aux moyens de paiement existants ?

Lors de cet atelier, nous avons traité les points suivants : 

  • Les caractéristiques de la blockchain 
  • Les intérêts des crypto-monnaies
  • Les opportunités pour les e-commerçants
  • Les points d’attention

Un atelier en partenariat avec :

Ci-dessous le replay   (réservé aux adhérents) :

Désolé ce contenu est reservé aux adhérents

Si vous êtes adhérent vous pouvez y accéder simplement en vous connectant à votre compte MyFEVAD. Si vous n'êtes pas adhérent et que vous souhaitez obtenir des informations sur l'adhésion à la FEVAD, n'hésitez à nous contacter contact@fevad.com.

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Saturday, May 14, 2022

Dossier pourboire: n'oubliez pas votre camelot - Le Journal de Québec

Avec le paiement électronique de l’abonnement et l’absence d’argent comptant dans les poches des clients, les camelots sont de plus en plus oubliés lorsque vient le temps de donner un pourboire.

• À lire aussi: Le pourboire, un petit plus toujours aussi essentiel

• À lire aussi: Voici le guide du pourboire 2022

• À lire aussi: L’option pourboire envahit les machines

• À lire aussi: Cinq choses à savoir sur le pourboire au Québec

Ils se lèvent tôt chaque matin, sept jours sur sept, bravent la météo et subissent eux aussi l’augmentation du prix de l’essence. Pour livrer votre quotidien, ils sont quelque 900 camelots à travers le Québec.

Part importante des revenus

«On vit la même chose que les autres en ce qui concerne la pénurie de main-d’œuvre. Cette année, c’est hors du commun. Le pourboire est une partie importante de la rémunération des camelots. Ce ne sont pas tous les clients qui sont sensibilisés à ça», explique Dominic Payette, directeur général chez Messageries Dynamiques, responsable du réseau de distribution à domicile pour Le Journal de Québec et Le Journal de Montréal.

Combien les lecteurs donnent-ils à leur camelot? Selon M. Payette, certains clients ne donnent rien, alors que d’autres peuvent donner 10$ par semaine. Environ 20% des clients à peine versent un pourboire avec le paiement électronique.

«La marge est très grande. Le camelot va souvent laisser une enveloppe. Le livreur de pizza va une fois chez vous et les gens donnent parfois 5$. C’est le même principe, comme au restaurant. Le camelot, lui, livre tous les jours votre journal, peu importe la température», ajoute-t-il.

Il souligne que les clients peuvent aussi glisser un 5$, 10$ ou 20$ au camelot lorsqu’ils y pensent.

Le contact humain est toutefois plus difficile puisque peu de gens se lèvent aussi tôt. En 2022, près de 90% des clients ont abandonné l’ancienne collecte hebdomadaire ou bimensuelle à domicile comme moyen de paiement.

Vous avez des informations à nous partager à propos de cette histoire?

Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs?

Écrivez-nous à l'adresse jdm-scoop@quebecormedia.com ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.

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Friday, May 13, 2022

ONEY : Le boom du paiement fractionné - BFM Business

Levier de croissance pour les commerçants et de gestion budgétaire pour les consommateurs, le paiement fractionné est en pleine expansion.

Depuis plus de 14 ans, Oney développe l’accès au paiement fractionné, appelé aussi “Buy now, pay later”, à plus de 13 000 sites et magasins partenaires. Depuis avril 2022 et l’alliance stratégique entre Prestashop, PayPlug et Oney, une nouvelle étape est franchie avec une solution unique de paiement en 3 ou 4 fois pour 136 000 e-commerçants en Europe. Rencontre avec Jean-Pierre Viboud, CEO de ONEY, leader en France et dans plusieurs pays d’Europe.

Le paiement fractionné, une solution gagnant-gagnant ?

Les chiffres sont éloquents : l’engouement déjà fort pour les solutions de paiement en plusieurs fois s’est accéléré avec l'accroissement des usages digitaux et le renforcement de la confiance des consommateurs ces 2 dernières années. 40% ont payé en plusieurs fois dans les 12 derniers mois et plus de la moitié compte y recourir encore plus à l’avenir.

Côté consommateurs, le paiement en plusieurs fois par carte bancaire séduit par sa simplicité et parce qu’il répond au besoin de mieux maîtriser son budget, et d’autant plus dans un contexte de tensions sur le pouvoir d’achat. 3 consommateurs sur 4 annoncent qu’ils feront davantage attention à leur budget en 2022 qu’en 2021 et 42% estiment que le paiement fractionné est un nouveau levier pour mieux gérer son budget. Il permet de lisser sa consommation mais aussi, pour certains, d’accéder à des produits de gamme supérieure ou de meilleure qualité, donc plus durables. Pour 72 % des clients, il a été le déclencheur d’achat. Le paiement fractionné constitue donc un véritable soutien à la consommation.

Côtés commerçants, même constat. En offrant une facilité de paiement à leurs clients, ils voient le panier moyen augmenter : de 20 à 70 % en fonction de leur secteur d’activité. La solution est également très simple et transparente pour eux.

Cette solution gagnant-gagnant qu’Oney a inventée il y a 14 ans, s’appuie sur des expertises pointues en termes de technologie de paiement, d’expérience client ou d’analyse du risque. Cette connaissance fine des usages de consommation a permis le développement de solutions fiables et performantes avec un des meilleurs taux d’acceptation du marché, ce qui offre aux commerçants une garantie de performance optimale.

Convaincu que le paiement fractionné est un usage qui doit être universel, Oney a adapté ses solutions à tous les secteurs d’activités et tous les canaux de vente : magasins, sites e-commerce, market place, click and collect, call centers. 1 paiement fractionné sur 3 en France est réalisé avec Oney. Fort de ce succès et pour renforcer son leadership, Oney va plus loin cette année avec une alliance inédite.

Après l’annonce du partenariat entre Prestashop, Oney et PayPlug en mars dernier, le module Prestashop Paylater est désormais disponible en France !

Le partenariat entre Oney, PayPlug première solution de paiement omnicanal pour les PME et PrestaShop, première solution ecommerce open source en Europe, vient bouleverser le paysage du e-commerce avec une solution de paiement fractionné prête à l’emploi.

Depuis le 20 avril, les commerçants utilisateurs de la plateforme PrestaShop en France et en Italie ont accès de façon native sur le back-office de PrestaShop ou la marketplace Aaddons, à une solution de paiement fractionné pour tous leurs clients.

Ce module « Prestashop Paylater » s’active en quelques clics pour proposer un paiement en 3 ou 4 fois sans frais pour des valeurs de panier personnalisables entre 100€ et 3000€, une récupération des fonds par les commerçants en 24 heures sur leur compte bancaire et une prise en charge de la fraude et des impayés à 100% par Oney.

Cette alliance sert l’ambition fondatrice de Oney de permettre à tous les marchands, PME comme entreprises de taille intermédiaire et jusqu’aux géants du commerce d’accéder à une solution de paiement fractionné « best in class ».

Quel déploiement en Europe ?

Disponible depuis avril en France et en Italie, cette solution offre un formidable potentiel de croissance, d'augmentation des ventes et d'attraction de nouveaux clients. Le module sera disponible en Espagne cet été et dans d'autres pays très prochainement. A terme, ce sont 136 000 e-commerçants en Europe qui pourront en bénéficier.

Oney, qui dispose d’un savoir-faire unique et éprouvé, consolide ainsi son leadership en Europe et illustre avec Payplug et Prestashop, l’excellence française en termes de paiement et de e-commerce.

Un triplement du marché mondial du “Buy Now Pay Later” est anticipé d’ici 2025 avec 250 milliards de dollars. 60 % des européens l’ont déjà utilisé. Oney, précurseur du paiement fractionné, innove en permanence au service des commerçants et de leurs clients.

Ce contenu a été réalisé en partenariat avec SCP. La rédaction de BFM Business n'a pas participé à la réalisation de ce contenu.

En partenariat avec SCP

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Portrait des ventes pour non-paiement des taxes - CFNJ

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